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TitreLes évangiles et la critique au XIXe siècle
AuteurGuillaume René Meignan Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionLibrairie Vor Palmé, éditeur
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1864
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LES
ÉVANGILES
ET
LA CRITIQUE AU XIXe SIÈCLE


par M. l’abbé Guillaume Meignan,
Vicaire-général de Paris, professeur à la Sorbonne.



PARIS
librairie Vor PALMÉ, éditeur
Rue Saint-Sulpice, 22
__
bar-le-duc, typographie louis guérin, imprimeur-éditeur,
Rue de la Rochelle, 49-51.
__
1864.



TABLE DES MATIÈRES





PREMIÈRE LEÇON.

Introduction.
Rapide esquisse de l’histoire du rationalisme biblique. — Les encyclopédistes du xviiie siècle. — Voltaire. — Rousseau. — Rationalisme allemand : Semler. — Eichhorn. — Herder. — Schleiermacher. — Strauss. — Néander. — Tholuck. — Hug. — Baur. — Ewald. — Les exégètes français (Colani, Réville, Renan, etc.). — Conclusion. 
 1

DEUXIÈME LEÇON.

De l’influence de la Philosophie sur l’exégèse rationaliste.
L’exégèse rationaliste est-elle aussi indépendante qu’elle le prétend ? — Examen de la critique de l’école de Voltaire. — Examen de la critique des déistes. — Examen de la critique des panthéistes. — Ce que doit être la vraie critique. 
 23

TROISIÈME LEÇON.

Les Miracles.
Le miracle est-il nécessairement le signe de la légende ? — Opportunité de traiter cette question. — Définition du miracle. — Saint Thomas l’a défini plus exactement que Bergier. — Comment on le distingue des faits naturels. — Sa possibilité, sa convenance. 
 42

482 TABLE

QUATRIÈME LEÇON.

Solution des objections récentes opposées aux Miracles.

Les objections récentes ou anciennes dérivent de l’athéisme, du déisme ou du panthéisme. — M. Renan. — M Réville. — Fausse notion de l’immutabilité de Dieu. — Le surnaturel est-il incompatible avec la science. — De l'invariabilité de la nature: Ce que la géologie nous en apprend. 60-76

CINQUIÈME LEÇON.

Continuation de la solution des objections récentes opposées aux Miracles.

Des propriétés générales essentielles à la matière. — MM. Deguin, Newton, Cuvier. — L'histoire est-elle impossible si l’on admet les miracles ? — Troublent-ils les sciences historiques ? — N’y a-t-il dans l’histoire de l’humanité que deux facteurs, à savoir : la fatalité de la nature et la liberté humaine ? — Est-il possible d’expliquer l’établissement du christianisme sans miracles ? 77-92

SIXIÈME LEÇON

Suite de la solution des objections récentes contre les Miracles.

Les miracles sont-ils inutiles ? — Le christianisme peut-il subsister sans la foi aux miracles ? — De l’impuissance de la philosophie à établir une religion. — Jésus-Christ n’a-t-il point appuyé sa doctrine sur l’autorité des miracles ? — Est-il impossible de constater un miracle ? — Essays and reviews. Est-il vrai que personne ne veuille plus croire aux miracles ? — Curieuses affirmations de M. Réville. Comment il faut répondre à l’objection qui affirme qu’il ne se fait plus de miracles. 93-121

SEPTIÈME LEÇON.

Importance et rôle des Evangiles dans l’économie du christianisme.

Résumé des leçons précédentes. — Les luthériens et les calvinistes ont-ils raison d’affirmer que la Bible DES MATIÈRES. 483

est tout le christianisme ? — Les Evangiles sont-ils l’acte constituant de l’Eglise ? — Sont-ils une règle de foi adéquate à la révélation du Christ, et le juge le plus propre à décider les controverses, la garantie la plus sûre de la discipline ecclésiastique ? — Importance primitive de l’enseignement oral. — Du rôle de la mémoire chez les peuples anciens et particulièrement chez les Juifs. — La Mischna. — Pourquoi Jésus-Christ n’a point voulu que la loi nouvelle fût d’abord écrite. 122-142

Continuation du même sujet. — L’Eglise est antérieure à la rédaction des Evangiles. Elle a été conçue, enseignée et constituée hiérarchiquement par Jésus-Christ, et dotée par lui de la promesse de l’assistance perpétuelle. Ce fait resterait démontré, alors même que les Evangiles ne seraient pas authentiques. L’Eglise n’a point pour base l’authenticité d’un livre : ses fondements sont plus larges et plus manifestes. — Nouvelles considérations sur le rôle de la tradition et de la mémoire chez les peuples anciens. — Quelle est néanmoins la grande importance des Evangiles. — Les discussions de ce temps-ci sur l’authenticité des Evangiles ne doivent point troubler les esprits raisonnables. 143- 166

Preuves intrinsèques de l'authenticité des Evangiles.

Conformité des Evangiles avec l’histoire. — Les rameaux compliqués de la famille d’Hérode. — Les Tétrarques. — Exactitude singulière des évangélistes comparés avec l’historien Josèphe. — Rapports multiples des Romains et des Juifs. — Les Evangiles parlent absolument comme l’histoire. — Rapports de Jésus-Christ avec les sectes juives. Il eût été impossible à un juif ignorant du second siècle de comprendre et de représenter fidèlement l’état social et religieux de la Judée au temps de Jésus-Christ. 167-191 484 TABLE

La Numismatique et le Nouveau Testament.

1° Difficulté de parler exactement des monnaies, de leur valeur intrinsèque et relative. Multiplicité et diversité des monnaies au temps des Apôtres. — Les recherches des savants modernes sur ce sujet. 2° Etonnante exactitude des Evangiles à l’égard des monnaies grecques, romaines et hébraïques. La légende ne connaît ni ne peut reproduire dans leur vérité ces détails minutieux. 192-216

La géographie de la Palestine et le Nouveau Testament.

Les changements survenus en Palestine à la fin du premier siècle et au commencement du second auraient induit en erreur les rédacteurs des Evangiles, s’ils avaient écrit au second siècle. — Etonnante exactitude des Evangiles. — Bethléem. — Les voyageurs modernes et le Nouveau Testament. 217-235

La géographie de la Palestine et le Nouveau Testament. — Suite.

La Galilée. — Nazareth. — Le puits de Jacob. — Le Thabor. — Naïm. — Conformité des récits des voyageurs modernes Robinson, Schmitt, de Saulcy, de Vogüé, etc., et des Evangiles. 236-259

La géographie de la Palestine et le Nouveau Testament. — Suite.

La Judée. — Ephrem, Jéricho, Béthanie, Jérusalem. — Nouvelles explorations de M. de Vogüé. 260-281

Résumé des leçons du premier semestre. — Preuves extrinsèques. — Témoignages des païens. — Leur attitude en présence du christianisme naissant. — Combien elle diffère de celle des ennemis de la révélation chrétienne d’aujourd’hui : raison de cette

différence. — Importance des témoignages de Julien et de Celse. 282-300

quinzième leçon.

Témoignages des hérétiques. Les Ebionites. — Leur histoire, leur hérésie, leurs aveux touchant les Evangiles. Ils n’ont point nié l’authenticité des Evangiles qu’ils n’admettaient pas. Ce qu’ils repoussaient était l’autorité apostolique. — Les Nazaréens et leur Evangile. 301-316

seizième leçon.

Témoignages des hérétiques. — Suite. Les Marcionites. — Idée générale du gnosticisme. — Histoire de Marcion. — Il a mutilé saint Luc. — Ses aveux touchant les Evangiles dont il repoussait l’autorité sans en nier l’authenticité. 317-335

dix-septième leçon.

Témoignages des hérétiques. — Suite. Les Valentiniens. — Vie de Valentin. — Son système. — Témoignage des Valentiniens. Témoignage de Tatien. — Sa vie. — Son Diatessaron. 336-48

dix-huitième leçon.

Témoignages des Pères. Irénée, Clément d’Alexandrie, Origène, Tertullien. — Le fragment de Muratori. — Force invincible de leurs témoignages. 349-366

dix-neuvième leçon.

Témoignages de Justin. — Comment l’école rationaliste a cherché à les infirmer. — Solution des difficultés.

vingtième leçon.

Témoignages des Pères. — Suite. Papias. — Le silence de Papias prouverait-il quelque chose contre l’évangile de saint Jean ? — Les Pères apostoliques. 387-406

vingt-unième et dernière leçon.

La nouvelle critique et l’intégrité des Evangiles. —

Comment et pourquoi les Evangiles synoptiques se ressemblent et diffèrent entre eux. — Solution des difficultés opposées à l’authenticité de l’évangile

saint Jean. 407-436


APPENDICES

PREMIER APPENDICE : Eclaircissement fourni par le docteur Aberle sur le prétendu silence de Papias à l’égard de l’évangile saint Jean. 437-

DEUXIÈME APPENDICE : Sur l’inspiration des saintes Ecritures.


FIN de la table.