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Nous n’avons pas fini notre étude sur l’authenticité des Evangiles ; mais déjà un commencement de lumière doit se faire pour ceux de mes auditeurs qui, cédant à des préjugés, auraient été tentés de voir dans nos livres saints de vaines légendes, recueillies au hasard et écrites à Rome, en Asie-Mineure, à Alexandrie, par des écrivains de bonne foi, mais mal informés, séparés par le temps ou les distances du théâtre des événements.


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