Livre:Œuvres complètes de Delphine de Girardin, tome 5.djvu

TitreLettres parisiennes Voir l'entité sur Wikidata
VolumeŒuvres complètes de Delphine de Girardin. Tome V
AuteurDelphine de Girardin Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionHenri Plon
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1860
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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SérieTome 1 - Tome 2 - Tome 3 - Tome 4 - Tome 5 - Tome 6

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XI. 
Le printemps et les modes. — Les concerts forcés. — Les filles de Saint-Lazare. — Le poète Arnal. — La France n’a le temps de rien apprendre. 
 1
Impossible de vivre à Paris : on ne peut pas manger, on ne peut pas dormir, on ne peut pas marcher, on ne peut pas prier, on ne peut pas aimer, on ne peut pas travailler, on ne peut plus penser. — Un sanglier échappé 
 7
Longchamp 
 11
La Croix-de-Berny. — La femme élégante ne suit pas la mode, elle la fuit 
 11
XV. 
De tout ce dont on pourrait parler. — Les Rayons et les Ombres 
 14
Les paquets. — Bal du matin à l’ambassade d’Autriche. — Les coquettes n’ont jamais froid. — Le Livre de l’enfance chrétienne 
 17
Les défauts profitables et les qualités fatales. — Que ferons-nous d’Auguste ? Physiologie du député flottant. — La délicatesse porte malheur 
 23
Un bal masqué. — L’Incendio di Babilonia 
 30
Des défauts caractéristiques, c’est-à-dire des qualités professionnelles. — Les notaires fringants, les juges à bonnes fortunes, les médecins gracieux, les comédiens agriculteurs, les coiffeurs austères et les baïonnettes intelligentes 
 35
XX. 
Les épreuves de l’été. — L’arrivée au château. — Le voyage. — La comédie de société. — La lecture à haute voix. — La partie de chasse. — La contredanse 
 40
Paris l’été. — La comédie de vérité 
 48
Les déménagements de raison et les déménagements d’inclination. — Fourier. — Une bonne guerre. — Une bonne famine. — Une bonne fièvre. — Une bonne gelée, etc., etc. 
 50
La guerre. — M. Thiers. — Avantages de la déconsidération. — Une belle peur. — Fêtes de Juillet. — Vers contre un ingrat 
 57
Toujours des procès. — Le procès de madame Lafarge. — Le procès du prince Louis 
 63
Ce qu’on appelle un beau temps politique. — La guerre et la paix 
 65
Ressemblance des caractères et dissemblance des opinions. — Ne savez-vous rien de nouveau ? 
 67
Impressions politiques. — Discours de M. Guizot, de M. Thiers, de M. Barrot, de M. Berryer, etc., etc. — Les marchands de bois et les bonnetiers écrivains politiques. — La politique de M. Thiers est de la poésie. 
 73
Retour de Sainte-Hélène. — Le prince de Joinville 
 80
Réception de M. Molé à l’Académie française. — Le maréchal Oudinot et ses cinquante-sept blessures. — Concert. — Comédie. — Cochinchinois 
 84


ANNÉE 1841.


I. 
L’Académie française. — Élection de Victor Hugo. — L’esprit de parti et le parti de l’esprit 
 90
II. 
Paris fortifié. — Paris bêtifié. — Les vieux et les jeunes rabâcheurs. — Qui est-ce qui voudrait être roi constitutionnel ? — Ce n’est pas vous ? ni moi 
 94
Le bal d’hier et le bal de demain. — Un mot de l’empereur 
 100
IV. 
Les hommes politiques qui voient avant, pendant et après. — Dieu, que c’est triste d’être habile ! — Concert à l’Abbaye-aux-Bois donné au profit des inondés de Lyon. — Vers de M. de Lamartine 
 104
V. 
Les bals. — Le bal grandiose. — Le bal de vanité. — Le bal indigène. — Le bal de garçon. — Le bal de cour. — Le bal forcé 
 111
VI. 
Dernier degré de l’amabilité. — Réunion de célébrités chez madame de Lamartine. — Variétés de grands hommes. — Coquetterie entre deux maestri. — Un nouveau roman d’Eugène Sue. — Modes 
 119
À bas l’égalité ! — Les hommes sont tous égaux !… Non. — Injustices de la nature réparées par la société. — Valeurs fictives créées pour rétablir l’équité. — Petit bossu grand d’Espagne. — Les bras et les bracelets. — Les cheveux et les diamants. — La parure plus belle, hélas ! que la beauté 
 125
Les Nabuchodonosor. — Les sept petites chaises. — Le concert turc
 134
IX. 
Fureur des Nabuchodonosor. — Complaisance des grands seigneurs. — Les bas bleus libres. — La chasse au lion. — Bals Thoro. — La dame aux sept petites chaises 
 139
X. 
Les plaisirs. — La haine des gens qui s’ennuient contre les gens qui s’amusent. — Le baptême du comte de Paris. — Un député indépendant 
 143
XI. 
Les adieux. — Les projets d’été. — Les courses de Chantilly. — La mode des paris. — L’amour à la mode. — Projet de réforme gouvernementale 
 149
Une fête à Boulogne. — Le trait d’un homme d’esprit 
 157
Académie française. — Réception de Victor Hugo 
 164
La Presse et le Courrier de Paris. — Les fêtes champêtres. — Les bals du matin 
 174
XV. 
L’observation involontaire. — La femme à prétentions. — La femme inconnue. — La femme à la mode. — La femme sensible. — La femme rousse. — La femme exquise 
 182
Jours de fête, jours de pluie. — Les parties de campagne 
 195
Paris, le 15 juillet. — L’hiver est la saison de l’hypocrisie ; l’été, c’est la saison des vérités 
 199


ANNÉE 1842.


I. 
Après une année de silence. — Retour à Paris. — Étonnements. — Jargon parisien. — L’Égérie étrangère. — L’Académie française et le Vaudeville. — Orosmane sous-préfet. — La comédie et le couvent. — Réception de M. le chancelier Pasquier à l’Académie. — Le prix Montrond 
 204
II. 
Prise de Noukaïva. — Plaisanterie imprévoyante. — L’Angleterre ne peut pas être généreuse. — Mot de M. de Montrond. — Phèdre, petite-fille du soleil. — Étrennes. — Ce qu’on peut souhaiter à tout le monde 
 215


ANNÉE 1844.


I. 
Le carnaval. — La Madeleine redevenue mondaine. — L’ambassadeur sortant des galères. — Grave erreur, un savant pris pour un ministre. — L’homme le plus spirituel de l’univers déguisé en serin. — L’Amour qui a une rage de dents. — La leçon de polka 
 223
II. 
Coiffures à la mode. — Chapeaux de chien savant. — Évanouissements politiques, dynastiques, lyriques et sympathiques. — Emballage de magnétisme. — Paris inondé 
 232
Les femmes à l’Académie. — Pourquoi pas ? Parce que les Françaises ont plus d’esprit que les Français. — La loi salique. — Son origine. — On ne fait des lois contre les loups que dans les pays où il y a des loups. — On ne fait des lois contre l’ambition des femmes que dans les pays où l’ambition est la passion des femmes 
 240
IV. 
Une explication avec le monde. — Fausse terreur cachant un vrai dépit. — Les gens dont on ne parle jamais criant à l’indiscrétion. — Ils dénoncent l’écho pour se venger de son silence. — Des critiques qui sont des aveux 
 250
V. 
Semaine sainte. — Fête favorite. — Le dimanche des Rameaux. — Le jour des Rois. — Le jour de Noël. — Vers d’une jeune femme. — La puissance des images. — La branche de buis bénit. — Le cheval de bois. — Le portrait de famille 
 256
VI. 
Le dandy parisien. — Fumer, jouer, manger, voilà toute sa vie. — Joueurs machiavéliques. — Martingales sur le cœur humain. — Les excellents buveurs. — Où sont donc les jolies femmes ? — Bal de l’ambassade de Belgique. — Un mot charmant de M. Thiers 
 263
Analyse d’un proverbe. — Récit d’un concert. — Coiffures en fleurs naturelles confites. — Tire-bouchons de velours noir. — Le livret du Salon. — Conjugaison d’un verbe irrégulier. — Je vous fais compliment de votre âne ! Avez-vous vu mon vieux lapin ? — Études de champignons. — Esquisses et Portraits, livre nouveau de M. le duc de Doudeauville 
 270
Courses au Champ de Mars. — Les carreaux. — Le palais de l’Industrie. — L’Académie. — Une lecture de drame. — Tout le monde dort, excepté un sourd. — Les gentlemen pompiers. — Personne ne veut quitter Paris 
 278
IX. 
Les habitants de la province en proie aux émotions parisiennes. — Inventions nouvelles. — Coloration appliquée aux animaux. — Chien vert. — Agneaux rouges rêvés par Virgile. — Bal champêtre. — Un bosquet d’ambassadeurs 
 284
X. 
Suite. — Les habitants de la province devenus Parisiens. — Un monsieur qui achète des yeux d’oiseaux. — La colonne Vendôme ; nous y montâmes. — L’arc de triomphe ; nous y montâmes. — Les tours de Notre-Dame ; nous y montâmes 
 293
XI. 
Les galeries du palais de l’Industrie. — Cauchemar. — Les mannequins roses. — Une perruque qui bâille. — Le Turc-pendule. — Les portiers… en angélique 
 301
Exposition de fleurs et de fruits. — Orangerie du palais du Luxembourg. — Nouvelle espèce de provinciaux. — Leurs dédains pour les merveilles parisiennes. — Une soirée littéraire 
 307
Les salons de Paris : salons diplomatiques, salons politiques, salons poétiques, fantastiques. — Les clubs, leurs avantages. — Ils absorbent les ennuyeux. — Vivent les clubs ! — Esprit de conversation. — Système de madame Campan. — La duchesse de Saint-Leu, son élève
 313
Paris métamorphosé en petite ville d’Allemagne. — Un ménage de sauvages à l’Opéra. — Leurs impressions. — Les salons déserts. Fêtes et spectacle au château de Dangu 
 321
XV. 
Se promener pour se promener, ce n’est pas faire de l’exercice. — Ce sont les idées qui font vivre. — Retour des Parisiens à Paris ; ils sont devenus provinciaux. — Ah ! si Prométhée avait dérobé le feu du ciel pour allumer un cigare ! 
 327
Les trop bonnes mères. — La vache enragée. — Les messieurs et les hommes. — La lutte, c’est la vie. — Le triomphe, c’est la mort. — Nos véritables amis sont nos ennemis. — L’aristocrate et le démocrate 
 334
Le premier devoir d’une femme, c’est d’être jolie. — Manières différentes d’être jolie. — Des souliers qui ont l’air bête. — Des bouquets qui sentent le marécage. — Des vins de fantaisie. — Préservez-vous des philanthropes 
 344
L’homme le plus malheureux qui soit au monde 
 352
Attaques nocturnes. — Paris repaire de brigands. — Il n’y a d’important que les niaiseries 
 364


ANNÉE 1845.


I. 
Paris est rassuré. — Conversation avant le bal. — Un bal de rivales. — On danse entre ennemies. — Les Bédouins aux Tuileries. — Fâcheuse influence des femmes en littérature 
 368
II. 
Le commérage est un des besoins de l’époque. — Les grands hommes aiment les commérages. — L’Académie. — Un billet de M. Villemain. — M. Sainte-Beuve favori des grandes dames 
 376
Le règne des fourbes. — La France perdue par les femmes. — Les roués bêtes. — Les favoris de Polichinelle. — Tom Pouce. — Les bulles de savon. — Gouverner, c’est amuser 
 385
IV. 
Le mot fatal : À quoi bon ? — Un mauvais bout de ruban. — Tout ce qu’il veut dire. — La force des idées. — Vivent les fictions, elles font vivre ! — Les pianistes célèbres ; leur dénomination. — Le Grand Turc pianiste, élève de Léopold Mayer. — La consigne de l’Académie est la même que celle des Tuileries 
 393


ANNÉE 1847.


I. 
Modes de 1847. — L’école tapageuse et l’école mystérieuse. — Les sacrilèges sucrés 
 402
II. 
La fête et l’incendie. — Effroi comique. — Chacun sa peur. — Sauvetage d’un chef-d’œuvre. — Une femme laide cherchant un sauveur qui la perde. — Qu’est-ce qui fait démolir la maison ? — C’est l’architecte. — Qu’est-ce qui découvre l’incendie dès qu’il est éteint ? — C’est un diplomate 
 408
Accusation douloureuse contre des personnes vénérées. — Contre le roi et M. le duc de Nemours. — Contre Alexandre Dumas et M. de Girardin 
 417
IV. 
Le carême. — Il est avec le ciel des accommodements. — Capituler avec sa conscience pour se persuader qu’on a une conscience. — Levassor maigri. — Théâtre gras, foyer maigre. — Chopin. — Mademoiselle Méara. — Une qualité que tout le monde peut se donner 
 427
V. 
La semaine sainte et les saltimbanques. — Le moderne Longchamp parisien. — Des Allemands en landau qui regardent passer des Espagnols en calèche. — Les Girondins. — Les femmes littéraires 
 434
VI. 
Les bourgeoises sucrées. — Les dévotes rageuses. — Le rêve d’un voyageur. — Le coucher du soleil. — Épreuve 
 444
La révolution de 1848 pressentie. — Les ouvriers-poètes. — Les professeurs d’égoïsme et les rêveurs de réformes. — Quand on veut dessécher un marais, on ne fait pas voter les grenouilles. — M. Guizot, ministre, lisant à la tribune une lettre confidentielle ! — Comment on gouverne la France. — Le veau froid et le veau d’or 
 454


ANNÉE 1848.


I. 
La république, ça ? Allons donc, c’est l’envers de la royauté ! — Ils font tirer le canon chaque fois qu’ils se dérangent. — C’est la vieille diplomatie, la vieille police des vieux rois. — Des républicains farouches, mais sybarites. — Crème d’ananas. — Aspect de Paris. — Repos forcé. — Cinquante mille Tityres sous un hêtre. — Le dernier vicomte 
 464
II. 
Paris les 23, 24 et 25 juin. — Les ordres d’une maîtresse de maison. — Quatre gouvernements et six journées. — Arrestation et lettres de M. de Girardin. — Conspirateurs et organisateurs 
 477
Deux joyeux refrains : Fusiller ! fusiller !… guillotiner ! guillotiner !… — Amour de la propriété. — Dernier culte des Français. — L’acajou, dieu du jour. — Affreux bonheur du bourgeois. — Supplice qu’on lui envie. — Poésie méconnue. — Littérature d’état de siège 
 483