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TABLE.
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Les galeries du palais de l’Industrie. — Cauchemar. — Les mannequins roses. — Une perruque qui bâille. — Le Turc-pendule. — Les portiers… en angélique
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Exposition de fleurs et de fruits. — Orangerie du palais du Luxembourg. — Nouvelle espèce de provinciaux. — Leurs dédains pour les merveilles parisiennes. — Une soirée littéraire
307
Les salons de Paris : salons diplomatiques, salons politiques, salons poétiques, fantastiques. — Les clubs, leurs avantages. — Ils absorbent les ennuyeux. — Vivent les clubs ! — Esprit de conversation. — Système de madame Campan. — La duchesse de Saint-Leu, son élève.
313
Paris métamorphosé en petite ville d’Allemagne. — Un ménage de sauvages à l’Opéra. — Leurs impressions. — Les salons déserts. Fêtes et spectacle au château de Dangu
321
Se promener pour se promener, ce n’est pas faire de l’exercice. — Ce sont les idées qui font vivre. — Retour des Parisiens à Paris ; ils sont devenus provinciaux. — Ah ! si Prométhée avait dérobé le feu du ciel pour allumer un cigare !
327
Les trop bonnes mères. — La vache enragée. — Les messieurs et les hommes. — La lutte, c’est la vie. — Le triomphe, c’est la mort. — Nos véritables amis sont nos ennemis. — L’aristocrate et le démocrate
334
Le premier devoir d’une femme, c’est d’être jolie. — Manières différentes d’être jolie. — Des souliers qui ont l’air bête. — Des bouquets qui sentent le marécage. — Des vins de fantaisie. — Préservez-vous des philanthropes
344
L’homme le plus malheureux qui soit au monde
352
Attaques nocturnes. — Paris repaire de brigands. — Il n’y a d’important que les niaiseries
364
ANNÉE 1845.
Paris est rassuré. — Conversation avant le bal. — Un bal de rivales. — On danse entre ennemies. — Les Bédouins aux Tuileries. — Fâcheuse influence des femmes en littérature
368
Le commérage est un des besoins de l’époque. — Les grands hommes aiment les commérages. — L’Académie. — Un billet de M. Villemain. — M. Sainte-Beuve favori des grandes dames
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