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TABLE.



ANNÉE 1840.
— suite. —
lettres 
pages
XI. 
Le printemps et les modes. — Les concerts forcés. — Les filles de Saint-Lazare. — Le poète Arnal. — La France n’a le temps de rien apprendre. 
 1
Impossible de vivre à Paris : on ne peut pas manger, on ne peut pas dormir, on ne peut pas marcher, on ne peut pas prier, on ne peut pas aimer, on ne peut pas travailler, on ne peut plus penser. — Un sanglier échappé 
 7
Longchamp 
 11
La Croix-de-Berny. — La femme élégante ne suit pas la mode, elle la fuit 
 11
XV. 
De tout ce dont on pourrait parler. — Les Rayons et les Ombres 
 14
Les paquets. — Bal du matin à l’ambassade d’Autriche. — Les coquettes n’ont jamais froid. — Le Livre de l’enfance chrétienne 
 17
Les défauts profitables et les qualités fatales. — Que ferons-nous d’Auguste ? Physiologie du député flottant. — La délicatesse porte malheur 
 23
Un bal masqué. — L’Incendio di Babilonia 
 30
Des défauts caractéristiques, c’est-à-dire des qualités professionnelles. — Les notaires fringants, les juges à bonnes fortunes, les médecins gracieux, les comédiens agriculteurs, les coiffeurs austères et les baïonnettes intelligentes 
 35
XX. 
Les épreuves de l’été. — L’arrivée au château. — Le voyage. — La comédie de société. — La lecture à haute voix. — La partie de chasse. — La contredanse 
 40
Paris l’été. — La comédie de vérité 
 48
Les déménagements de raison et les déménagements d’inclination. — Fourier. — Une bonne guerre. — Une bonne famine. — Une bonne fièvre. — Une bonne gelée, etc., etc. 
 50
La guerre. — M. Thiers. — Avantages de la déconsidération. — Une belle peur. — Fêtes de Juillet. — Vers contre un ingrat 
 57