Lettres parisiennes
Œuvres complètes. Tomes IV et V
Henri Plon, .
Henri Plon, .
TABLE.
ANNÉE 1836.
lettres
pages
Événements du jour. — Paris provincial. — L’Ennuyeux et l’Ennuyé. — Esméralda. — Thémistocle et Scipion l’Africain dénoncés au commandant de la garde nationale
3
Les déménagements d’automne. — Marie. — Portrait de M. Vatout
8
L’obélisque de Louqsor
13
Récit anticipé d’une réception à l’Académie. — Modes. — Un nouveau roman de M. de Latouche. — Le prince Louis Bonaparte
15
Charles X. — Il voulait régner sous prétexte qu’il était roi. — La cour ne porte point le deuil
21
Commérage. — Les jeunes filles ambitieuses. — Junie épouserait Néron. — Virginie épouserait M. de Labourdonnaie
24
Le Courrier de Paris. — La cour des Tuileries. — Les salons politiques
29
Toujours des assassinats. — Paris en temps de neige. — Pâtés et canapés. — Histoire de voleur
34
ANNÉE 1837.
Le premier jour de l’an. — Anecdotes. — Élection de M. Mignet. — Le ridicule
40
L’ascension de M. Green. — Bal de l’ambassade d’Autriche. — Bal sournois du faubourg Saint-Germain. — Bal Musard
47
Vite une fausse nouvelle ! une niaiserie ! un mensonge ! La conversation se meurt ! il faut la soutenir à tout prix
52
Bal masqué de l’Opéra ; plaisir d’imagination. — Les femmes ne dansent plus, elles improvisent. — Triomphe de Musard
57
Les nymphes affamées. — L’enfantillage des hommes chauves. — L’alliance de M. de Lamennais et de George Sand
65
Le monde parisien qui s’ennuie toujours ; le monde parisien qui s’amuse toujours. — Chasse à Chantilly. — Modes
70
Carême. — Une foule privilégiée. — Salon de 1837. — Portraits bourgeois. — Droits des femmes
75
Crise ministérielle. — La grippe. — Promenade de M. le duc de Bordeaux. — Modes. — Les visites du matin
82
Rondeau ministériel. — Dans un bal costumé, les Anglaises ne sont pas toutes jolies. — Statuette de mademoiselle Taglioni. — Le théâtre de M. de Castellane. — Les Mémoires de M. le vicomte de la Rochefoucauld
88
Le danger de l’éloquence. — Le crime des idées
95
Malveillance des Parisiens contre le printemps. — Le rossignol n’est qu’un gazouilleur périodique. — Les journalistes et les salons. — Un véritable poète n’est pas responsable de ses inspirations
96
Promenade. — Tulipes de M. Tripet. — Le faubourg Saint-Germain. — Un étrange pari
102
Arrivée de la princesse Hélène à Paris
108
Dédain de convention. — Fêtes populaires. — Définition du bonheur. — La princesse Hélène. — Victor Hugo
113
Invocation à la liberté. — Versailles sauvé des rats et des députés. — Tournoi de Tivoli. — Modes
119
Le plus affreux jour de l’année. — Le bal de la garde nationale. — Le papier parfumé. — Un bal d’enfants
124
Les environs de Paris
130
Le public de l’Opéra. — Danseur décoré. — Serrurier glorifié et ruiné. — Franconi. — Promenade. — Le passant
136
Légèreté française. — Constance de la mode
144
Notre ennemi naturel. — Les coups d’État à la mode. — Tivoli et le Ranelagh. — La Brasserie anglaise. — M. Viennet et M. d’Arlincourt
147
L’anniversaire du 29 Juillet. — Le parapluie. — Les vacances. — Les modes. — Le Vicaire de Wakefield
153
Les philosophes sans le savoir
160
Les fêtes de famille et les prix de collège. — L’ermite de Tivoli. — Les modes du Constitutionnel
164
Inauguration du chemin de fer de Paris à Saint-Germain — Boulevards illuminés. — Trop de musique et trop de singes
170
La pluie. — Les femmes courageuses. — Une course à Saint-Germain par le chemin de fer. — Négligence des employés. — Tout le monde a mieux à faire que son devoir
174
Imprécations à l’automne. — À vendre séparément deux inséparables
178
Une absence. — Paris vu de loin. — Les Parisiennes à la campagne. — Le bitume. — Nouvelles littéraires. — Nouvelles étrangères
182
Mort de la reine Hortense, duchesse de Saint-Leu
188
Classification. — Les races. — Les bilieux et les sanguins. — Les meneurs et les menés. — Les gens qui se lavent les mains et les gens qui ne se lavent pas les mains. — Les hommes-chats et les hommes-chiens
189
Imprudence. — Prise de Constantine. — Jacqueline
196
Nouvelle colère. — Le vrai savant et le faux savant. — Symptômes. — Chasses de l’Union
200
La poésie et la gaieté française retrouvées dans les élections. — M. Arago. — M. de Lamartine. — L’astronome et le poète. — Bons mots et naïvetés
205
Les lettres adressées au vicomte de Launay
208
Les deux choses les plus à la mode. — Ouverture de l’Odéon. — Mademoiselle Mars, mademoiselle Anaïs, mademoiselle Mante. — La prise de Constantine. — Le grand roi aux petits points. — Une erreur causée par une faute. — Une bonne phrase de roman. — Une bonne bêtise d’Anglais
214
L’homéopathie. — Les malades. — Les enfants du général Foy
221
On loue les livres, on ne les achète pas. — Les femmes qui lisent
224
Les mariages. — Les livres et les fleurs
227
Première représentation de Caligula. — Les gens du monde chassés de la salle. — Les défauts de prononciation
231
ANNÉE 1838.
Le temps perdu. — Les bals. — Le bal des modèles. — Le géant. — Le danger des éloges
237
Un mois de silence. — La Comédie de la mort. — Le monde politique
241
Le bal de la liste civile
247
L’émigration intérieure. — Les choses nouvelles. — Discours du prince de Talleyrand
249
Le retour. — Paris et ses ruisseaux. — Bourganeuf et ses torrents. — Un cheval de fantaisie. — Le jargon de Racine. — Mademoiselle Rachel. — Causeries
253
Une découverte. — Lamartine. — Victor Hugo. — Histoire de l’âme humaine. — L’École des élus. — L’École des parias
260
La Popularité, comédie. — Une lecture à l’Abbaye-aux-Bois. — M. de Chateaubriand. — A jaunting car
266
Luxe des parures. — Les guipures défendues par un édit de Louis XIV
271
Les enfants. — Le mendiant équestre. — Le manège d’Aure. — L’émeute parlementaire. — Les débuts de mademoiselle Rachel et de mademoiselle Garcia. — Les tricoteuses
275
ANNÉE 1839.
Étrennes, boutiques, marchands. — Judith. — La fausse modestie
279
Aspect de la Chambre des députés. — M. Guizot et Moïse. — Le verre d’eau sucrée. — La statue de la Liberté. — L’éléphant de la Bastille. — Inventions nouvelles. — Tissus de verre. — Batiste d’ananas. — Daguerréotype
284
Incertitude. — To be or not to be ! — Aurons-nous des portefeuilles ? — Aurons-nous des loges ? — Modes anglaises. — Chasses. — Une larme du diable
290
Le luxe des ameublements et la vulgarité des manières. — Le confortable insupportable
295
Il y a deux Frances. — Les paresseux agitateurs et les travailleurs insouciants. — Les mauvais sujets réformés, professeurs de moralité
300
Supplice des beaux enfants déguisés. — Apollon transi. — Le ballet des cariatides. — Un père intrigué par sa fille
305
Électeurs et candidats. — M. Martin, de Strasbourg. — Histoire d’un courrier bigame
311
La méthode Wilhem. — Le procédé Collas. — L’ouverture du Salon
315
Une utopie réalisée : Plus de carrosses, plus de chevaux, plus de velours, plus de bijoux, plus de dentelles, plus de rubans, etc. — Les ouvriers sont libres, ils redeviennent citoyens
320
Conversations. — Parures des femmes. — Négligé des hommes. — Le Salon. — Portraits ridicules. — Tableaux naïfs. — L’opposition et la bataille de Toulouse
325
On ne flatte que la puissance. — À quoi bon flatter un roi constitutionnel ? — Le journalisme est le roi du jour
330
La place de Grève et la Chambre des députés. — Les modes. — Les courses de Chantilly. — M. de Lamartine et le journalisme
334
La fantaisie est la fée du jour. — Fantaisie en musique. — Je pense à moi, romance. — Fantaisie en horticulture. — La violette ne veut plus être l’emblème de la modestie
339
Après l’émeute du 12 mai. — Indignation. — Une parabole. — Pauvre France !
344
Fête à l’ambassade d’Angleterre pour la naissance de la reine. — La princesse Doria. — Les humilités orgueilleuses. — Mot de l’ambassadeur de Turquie
350
Banalités de la conversation. — Les ennemis naturels
355
Les orages et les émeutes. — Le tournoi d’Eglington. – Les usuriers
361
Le bonheur d’être compris. — Les ridicules d’été. — La fausse absence
366
L’anniversaire du 29 Juillet aux Champs-Élysées. — Fête populaire. — Feu d’artifice. — Musique. — Jeux. — Supplices d’été. — L’arrosage à la pelle
372
Un nouveau système. — Les parures sont des aveux. — Le béguin orgueilleux. — Le panache modeste. — Les diamants pénibles. — Le chapeau d’une envieuse
377
Les couronnes de lauréats. — Les distributions de prix
382
Le lion véritable ; définition de ce mot. — La Saint-Louis à Versailles. — Le tournoi d’Eglington. — Le cheval d’Auriol. — Les faux chasseurs
386
La monomanie de l’égalité et la passion du luxe. — La République et la Régence. — Les Catons rococos
393
La matinée d’une jolie femme en 1812 et en 1839
398
Les romans inconnus de la vie bourgeoise. — Voulez-vous être reine ? Je vous aime et suis roi
404
Récits des plaisirs de l’été. — Je me suis amusé. — Je me suis ennuyé. — L’embonpoint capricieux
411
Les trottoirs de Paris. — Les étrangères. — Le monde savant bouleversé
417
Les prétentions. — Voyageuses célèbres. — Mademoiselle d’Angeville. — Mademoiselle Améric Vespuce. — Décivilisation des Turcs
423
L’homme à la mode. — La femme à la mode. — L’animal à la mode
428
ANNÉE 1840.
La fin du monde. — Les étrennes. — Le commerce devenu littéraire. — Les huit premiers jours de l’année
432
Les deux grands mondes. — M. Monnier de la Sizeraune ; ses discours et ses romances. — M. le duc de Bordeaux. — Le soleil destitué. — L’univers apprécié
438
Les excès détruisent les succès. — Trop ou rien ! c’est la devise des Français. — L’exagération est l’indigence des idées
445
Concurrence fâcheuse des plaisirs. — Dialogue conjugal entre deux bals. — Le coffret mystérieux
450
Les trois bals
454
Carnaval laborieux. — Portiers et musiciens somnambules. — Le bal costumé du colonel Thorn. — Études philosophiques du colonel. — Ridicules du jour ; variétés économiques : Souper sans convives. — Concert sans musique. — Dîner sans pain. — Verres sans vin. — Calorifères sans feu. — Conversations sans esprit
457
Les deux carnavals
465
La femme véritable n’existe plus. — La femme-ange, la femme-démon. — Les prestiges. — La femme n’est point la compagne de l’homme
468
Le drame de M. de Balzac. — Les puritains littéraires
474
La vocation. — Le menuisier grand seigneur. — Le grand seigneur galérien. — Les grandes dames nées actrices, — nées portières, — nées courtisanes, — nées dames du palais, — nées gardes-malades, — nées sergents de ville, — nées majors allemands, — nées bergères, — nées soubrettes. — Les femmes de chambre nées princesses. — Les filles du peuple nées petites maîtresses. — Les actrices nées grandes dames. — Les hommes nés moines, — nés troubadours, — nés chevaliers, — nés bouffons. — Les grands seigneurs nés grands seigneurs et les duchesses nées duchesses
478
Le printemps et les modes. — Les concerts forcés. — Les filles de Saint-Lazare. — Le poète Arnal. — La France n’a le temps de rien apprendre.
1
Impossible de vivre à Paris : on ne peut pas manger, on ne peut pas dormir, on ne peut pas marcher, on ne peut pas prier, on ne peut pas aimer, on ne peut pas travailler, on ne peut plus penser. — Un sanglier échappé
7
Longchamp
11
La Croix-de-Berny. — La femme élégante ne suit pas la mode, elle la fuit
11
De tout ce dont on pourrait parler. — Les Rayons et les Ombres
14
Les paquets. — Bal du matin à l’ambassade d’Autriche. — Les coquettes n’ont jamais froid. — Le Livre de l’enfance chrétienne
17
Les défauts profitables et les qualités fatales. — Que ferons-nous d’Auguste ? Physiologie du député flottant. — La délicatesse porte malheur
23
Un bal masqué. — L’Incendio di Babilonia
30
Des défauts caractéristiques, c’est-à-dire des qualités professionnelles. — Les notaires fringants, les juges à bonnes fortunes, les médecins gracieux, les comédiens agriculteurs, les coiffeurs austères et les baïonnettes intelligentes
35
Les épreuves de l’été. — L’arrivée au château. — Le voyage. — La comédie de société. — La lecture à haute voix. — La partie de chasse. — La contredanse
40
Paris l’été. — La comédie de vérité
48
Les déménagements de raison et les déménagements d’inclination. — Fourier. — Une bonne guerre. — Une bonne famine. — Une bonne fièvre. — Une bonne gelée, etc., etc.
50
La guerre. — M. Thiers. — Avantages de la déconsidération. — Une belle peur. — Fêtes de Juillet. — Vers contre un ingrat
57
Toujours des procès. — Le procès de madame Lafarge. — Le procès du prince Louis
63
Ce qu’on appelle un beau temps politique. — La guerre et la paix
65
Ressemblance des caractères et dissemblance des opinions. — Ne savez-vous rien de nouveau ?
67
Impressions politiques. — Discours de M. Guizot, de M. Thiers, de M. Barrot, de M. Berryer, etc., etc. — Les marchands de bois et les bonnetiers écrivains politiques. — La politique de M. Thiers est de la poésie.
73
Retour de Sainte-Hélène. — Le prince de Joinville
80
Réception de M. Molé à l’Académie française. — Le maréchal Oudinot et ses cinquante-sept blessures. — Concert. — Comédie. — Cochinchinois
84
ANNÉE 1841.
L’Académie française. — Élection de Victor Hugo. — L’esprit de parti et le parti de l’esprit
90
Paris fortifié. — Paris bêtifié. — Les vieux et les jeunes rabâcheurs. — Qui est-ce qui voudrait être roi constitutionnel ? — Ce n’est pas vous ? ni moi
94
Le bal d’hier et le bal de demain. — Un mot de l’empereur
100
Les hommes politiques qui voient avant, pendant et après. — Dieu, que c’est triste d’être habile ! — Concert à l’Abbaye-aux-Bois donné au profit des inondés de Lyon. — Vers de M. de Lamartine
104
Les bals. — Le bal grandiose. — Le bal de vanité. — Le bal indigène. — Le bal de garçon. — Le bal de cour. — Le bal forcé
111
Dernier degré de l’amabilité. — Réunion de célébrités chez madame de Lamartine. — Variétés de grands hommes. — Coquetterie entre deux maestri. — Un nouveau roman d’Eugène Sue. — Modes
119
À bas l’égalité ! — Les hommes sont tous égaux !… Non. — Injustices de la nature réparées par la société. — Valeurs fictives créées pour rétablir l’équité. — Petit bossu grand d’Espagne. — Les bras et les bracelets. — Les cheveux et les diamants. — La parure plus belle, hélas ! que la beauté
125
Les Nabuchodonosor. — Les sept petites chaises. — Le concert turc.
134
Fureur des Nabuchodonosor. — Complaisance des grands seigneurs. — Les bas bleus libres. — La chasse au lion. — Bals Thoro. — La dame aux sept petites chaises
139
Les plaisirs. — La haine des gens qui s’ennuient contre les gens qui s’amusent. — Le baptême du comte de Paris. — Un député indépendant
143
Les adieux. — Les projets d’été. — Les courses de Chantilly. — La mode des paris. — L’amour à la mode. — Projet de réforme gouvernementale
149
Une fête à Boulogne. — Le trait d’un homme d’esprit
157
Académie française. — Réception de Victor Hugo
164
La Presse et le Courrier de Paris. — Les fêtes champêtres. — Les bals du matin
174
L’observation involontaire. — La femme à prétentions. — La femme inconnue. — La femme à la mode. — La femme sensible. — La femme rousse. — La femme exquise
182
Jours de fête, jours de pluie. — Les parties de campagne
195
Paris, le 15 juillet. — L’hiver est la saison de l’hypocrisie ; l’été, c’est la saison des vérités
199
ANNÉE 1842.
Après une année de silence. — Retour à Paris. — Étonnements. — Jargon parisien. — L’Égérie étrangère. — L’Académie française et le Vaudeville. — Orosmane sous-préfet. — La comédie et le couvent. — Réception de M. le chancelier Pasquier à l’Académie. — Le prix Montrond
204
Prise de Noukaïva. — Plaisanterie imprévoyante. — L’Angleterre ne peut pas être généreuse. — Mot de M. de Montrond. — Phèdre, petite-fille du soleil. — Étrennes. — Ce qu’on peut souhaiter à tout le monde
215
ANNÉE 1844.
Le carnaval. — La Madeleine redevenue mondaine. — L’ambassadeur sortant des galères. — Grave erreur, un savant pris pour un ministre. — L’homme le plus spirituel de l’univers déguisé en serin. — L’Amour qui a une rage de dents. — La leçon de polka
223
Coiffures à la mode. — Chapeaux de chien savant. — Évanouissements politiques, dynastiques, lyriques et sympathiques. — Emballage de magnétisme. — Paris inondé
232
Les femmes à l’Académie. — Pourquoi pas ? Parce que les Françaises ont plus d’esprit que les Français. — La loi salique. — Son origine. — On ne fait des lois contre les loups que dans les pays où il y a des loups. — On ne fait des lois contre l’ambition des femmes que dans les pays où l’ambition est la passion des femmes
240
Une explication avec le monde. — Fausse terreur cachant un vrai dépit. — Les gens dont on ne parle jamais criant à l’indiscrétion. — Ils dénoncent l’écho pour se venger de son silence. — Des critiques qui sont des aveux
250
Semaine sainte. — Fête favorite. — Le dimanche des Rameaux. — Le jour des Rois. — Le jour de Noël. — Vers d’une jeune femme. — La puissance des images. — La branche de buis bénit. — Le cheval de bois. — Le portrait de famille
256
Le dandy parisien. — Fumer, jouer, manger, voilà toute sa vie. — Joueurs machiavéliques. — Martingales sur le cœur humain. — Les excellents buveurs. — Où sont donc les jolies femmes ? — Bal de l’ambassade de Belgique. — Un mot charmant de M. Thiers
263
Analyse d’un proverbe. — Récit d’un concert. — Coiffures en fleurs naturelles confites. — Tire-bouchons de velours noir. — Le livret du Salon. — Conjugaison d’un verbe irrégulier. — Je vous fais compliment de votre âne ! Avez-vous vu mon vieux lapin ? — Études de champignons. — Esquisses et Portraits, livre nouveau de M. le duc de Doudeauville
270
Courses au Champ de Mars. — Les carreaux. — Le palais de l’Industrie. — L’Académie. — Une lecture de drame. — Tout le monde dort, excepté un sourd. — Les gentlemen pompiers. — Personne ne veut quitter Paris
278
Les habitants de la province en proie aux émotions parisiennes. — Inventions nouvelles. — Coloration appliquée aux animaux. — Chien vert. — Agneaux rouges rêvés par Virgile. — Bal champêtre. — Un bosquet d’ambassadeurs
284
Suite. — Les habitants de la province devenus Parisiens. — Un monsieur qui achète des yeux d’oiseaux. — La colonne Vendôme ; nous y montâmes. — L’arc de triomphe ; nous y montâmes. — Les tours de Notre-Dame ; nous y montâmes
293
Les galeries du palais de l’Industrie. — Cauchemar. — Les mannequins roses. — Une perruque qui bâille. — Le Turc-pendule. — Les portiers… en angélique
301
Exposition de fleurs et de fruits. — Orangerie du palais du Luxembourg. — Nouvelle espèce de provinciaux. — Leurs dédains pour les merveilles parisiennes. — Une soirée littéraire
307
Les salons de Paris : salons diplomatiques, salons politiques, salons poétiques, fantastiques. — Les clubs, leurs avantages. — Ils absorbent les ennuyeux. — Vivent les clubs ! — Esprit de conversation. — Système de madame Campan. — La duchesse de Saint-Leu, son élève.
313
Paris métamorphosé en petite ville d’Allemagne. — Un ménage de sauvages à l’Opéra. — Leurs impressions. — Les salons déserts. Fêtes et spectacle au château de Dangu
321
Se promener pour se promener, ce n’est pas faire de l’exercice. — Ce sont les idées qui font vivre. — Retour des Parisiens à Paris ; ils sont devenus provinciaux. — Ah ! si Prométhée avait dérobé le feu du ciel pour allumer un cigare !
327
Les trop bonnes mères. — La vache enragée. — Les messieurs et les hommes. — La lutte, c’est la vie. — Le triomphe, c’est la mort. — Nos véritables amis sont nos ennemis. — L’aristocrate et le démocrate
334
Le premier devoir d’une femme, c’est d’être jolie. — Manières différentes d’être jolie. — Des souliers qui ont l’air bête. — Des bouquets qui sentent le marécage. — Des vins de fantaisie. — Préservez-vous des philanthropes
344
L’homme le plus malheureux qui soit au monde
352
Attaques nocturnes. — Paris repaire de brigands. — Il n’y a d’important que les niaiseries
364
ANNÉE 1845.
Paris est rassuré. — Conversation avant le bal. — Un bal de rivales. — On danse entre ennemies. — Les Bédouins aux Tuileries. — Fâcheuse influence des femmes en littérature
368
Le commérage est un des besoins de l’époque. — Les grands hommes aiment les commérages. — L’Académie. — Un billet de M. Villemain. — M. Sainte-Beuve favori des grandes dames
376
Le règne des fourbes. — La France perdue par les femmes. — Les roués bêtes. — Les favoris de Polichinelle. — Tom Pouce. — Les bulles de savon. — Gouverner, c’est amuser
385
Le mot fatal : À quoi bon ? — Un mauvais bout de ruban. — Tout ce qu’il veut dire. — La force des idées. — Vivent les fictions, elles font vivre ! — Les pianistes célèbres ; leur dénomination. — Le Grand Turc pianiste, élève de Léopold Mayer. — La consigne de l’Académie est la même que celle des Tuileries
393
ANNÉE 1847.
Modes de 1847. — L’école tapageuse et l’école mystérieuse. — Les sacrilèges sucrés
402
La fête et l’incendie. — Effroi comique. — Chacun sa peur. — Sauvetage d’un chef-d’œuvre. — Une femme laide cherchant un sauveur qui la perde. — Qu’est-ce qui fait démolir la maison ? — C’est l’architecte. — Qu’est-ce qui découvre l’incendie dès qu’il est éteint ? — C’est un diplomate
408
Accusation douloureuse contre des personnes vénérées. — Contre le roi et M. le duc de Nemours. — Contre Alexandre Dumas et M. de Girardin
417
Le carême. — Il est avec le ciel des accommodements. — Capituler avec sa conscience pour se persuader qu’on a une conscience. — Levassor maigri. — Théâtre gras, foyer maigre. — Chopin. — Mademoiselle Méara. — Une qualité que tout le monde peut se donner
427
La semaine sainte et les saltimbanques. — Le moderne Longchamp parisien. — Des Allemands en landau qui regardent passer des Espagnols en calèche. — Les Girondins. — Les femmes littéraires
434
Les bourgeoises sucrées. — Les dévotes rageuses. — Le rêve d’un voyageur. — Le coucher du soleil. — Épreuve
444
La révolution de 1848 pressentie. — Les ouvriers-poètes. — Les professeurs d’égoïsme et les rêveurs de réformes. — Quand on veut dessécher un marais, on ne fait pas voter les grenouilles. — M. Guizot, ministre, lisant à la tribune une lettre confidentielle ! — Comment on gouverne la France. — Le veau froid et le veau d’or
454
ANNÉE 1848.
La république, ça ? Allons donc, c’est l’envers de la royauté ! — Ils font tirer le canon chaque fois qu’ils se dérangent. — C’est la vieille diplomatie, la vieille police des vieux rois. — Des républicains farouches, mais sybarites. — Crème d’ananas. — Aspect de Paris. — Repos forcé. — Cinquante mille Tityres sous un hêtre. — Le dernier vicomte
464
Paris les 23, 24 et 25 juin. — Les ordres d’une maîtresse de maison. — Quatre gouvernements et six journées. — Arrestation et lettres de M. de Girardin. — Conspirateurs et organisateurs
477
Deux joyeux refrains : Fusiller ! fusiller !… guillotiner ! guillotiner !… — Amour de la propriété. — Dernier culte des Français. — L’acajou, dieu du jour. — Affreux bonheur du bourgeois. — Supplice qu’on lui envie. — Poésie méconnue. — Littérature d’état de siège
483