SOMMAIRE
TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE QUATRIÈME VOLUME.
COMMENTAIRES SUR L’ÉCRITURE.
DE LA DOCTRINE CHRÉTIENNE.
TRADUCTION DE M. L’ABBÉ HUSSENOT.
Prologue — Il n’est pas inutile d’enseigner à interpréter l’Écriture sainte.
LIVRE PREMIER.
Connaissance des choses..
Chapitre premier. — Pour traiter de l’Écriture, il faut savoir en découvrir et exposer le sens.
—II.
— Les choses et les signes.
—III.
— Division des choses.
—IV.
— De là jouissance et de l’usage.
—V.
— L’objet de notre jouissance est la sainte Trinité.
—VI.
— Dieu ne peut se définir.
—VII.
— Tous les hommes comprennent sous l’idée de Dieu l’être le plus excellent.
—VIII.
— Dieu est la sagesse immuable et doit être préféré à tout.
—IX.
— Tous les hommes portent le même jugement.
—X.
— Pureté d’âme nécessaire pour voir Dieu.
—XI.
— La sagesse incarnée nous apprend à purifier notre cœur.
—XII. Comment la sagesse divine est venue à nous.
—XIII-XIV.
— Comment la sagesse divine a guéri l’homme.
—XV.
— La résurrection et l’ascension de J.-C. soutiennent notre foi ; le jugement la stimule.
—XVI.
— Jésus-Christ purifie son Église.
—XVII.
— La voie de la patrie ouverte dans le pardon des péchés.
—XVIII.
— Les clefs confiées à l’Église.
—XIX.
— Mort et résurrection du corps et de l’âme.
—XX-XXI.
— Résurrection pour le châtiment.
—XXII.
— Dieu seul objet de notre jouissance.
—XXIII.
— L’homme s’aime naturellement. Quand cet amour est-il désordonné ?
—XXIV.
— Personne ne hait sa propre chair, pas même celui qui la châtie.
—XXV.
— Quel amour on doit à son corps.
—XXVI.
— Du commandement qui prescrit l’amour de Dieu, du prochain et de soi-même.
—XXVII.
— Ordre dans lequel on doit aimer.
—XXVIII.
— Qui doit-on secourir de préférence.
—XXIX.
— On doit tendre à ce que Dieu soit universellement aimé.
—XXX.
— Tous les hommes et les Anges mêmes sont notre prochain.
—XXXI.
— Dieu se sert de nous et n’en jouit pas.
—XXXII.
— Comment Dieu se sert de l’homme.
—XXXIII.
— Comment il faut jouir de l’homme.
—XXXIV.
— Christ et la première voie qui mène à Dieu.
—XXXV.
— L’amour de Dieu et du prochain est la plénitude et la fin de l’Écriture.
—XXXVI.
— Ce qu’il faut penser d’une interprétation défectueuse de l’Écriture, si elle sert à édifier la charité.
—XXXVII.
— On doit instruire un interprète qui se trompe.
—XXXVIII.
— La charité demeure éternellement.
—XXXIX.
— L’Écriture n’est point nécessaire à l’homme qui possède la foi, l’espérance et la charité.
—XL.
— Dans quel esprit on doit lire l’Écriture.
LIVRE II.
connaissance des signes.
Chapitre premier. — Nature du signe et de ses différentes
espèces.
—II.
— Quels signes sont l’objet de ce livre.
—III.
— La parole est au premier rang parmi les signes.
—IV.
— Origine des lettres.
—V.
— Diversité des langues.
—VI.
— Utilité qui ressort de l’obscurité des Écritures.
—VII.
— Les sept degrés qui conduisent à la sagesse.
—VIII.
— Livres canoniques.
—IX.
— Règle à suivre dans l’étude de l’Écriture.
—X.
— Obscurité de l’Écriture dans les signes qu’elle emploie.
—XI.
— La science des langues nécessaire pour l’intelligence des signes.
—XII.
— Utilité des différentes interprétations.
—XIII.
— Comment il faut corriger un défaut des traduction.
—XIV.
— Sources où l’on doit puiser la connaissance des termes et des locutions inconnues.
—XV.
— Excellence de la version Italique et de celle des Septante.
—XVI.
— Utilité de la connaissance des langues, de la nature des nombres et de la musique pour l’intelligence des signes figurés.
—XVII.
— Origine de la fable des neuf Muses.
—XVIII.
— Ne pas mépriser ce que les profanes ont de bon et d’utile.
—XIX.
— Deux sortes de science parmi les païens.
—XX.
— Sciences humaines remplies de superstitions.
—XXI.
— Superstitions des astrologues.
—XXII.
— Vanité des prédictions fondées sur l’observation des astres.
—XXIII.
— Pourquoi il faut rejeter les sciences des astrologues.
—XXIV.
— Tout usage superstitieux suppose le commerce avec les démons.
—XXV.
— Les institutions humaines exemptes de superstitions sont en partie superflues et en partie utiles et nécessaires.
—XXVI.
— Institutions humaines à rejeter ; celles qu’il faut adopter.
—XXVII.
— Sciences qui ne sont pas d’institution humaine.
—XXVIII.
— Utilité de l’histoire.
—XXIX.
— Utilité de la connaissance des animaux, des plantes, des arbres, pour l’intelligence de l’Écriture.
—XXX.
— Utilité des arts mécaniques.
—XXXI.
— Utilité de la dialectique.
—XXXII.
— D’où provient la logique dans les conclusions.
—XXIII.
— Conséquences vraies de propositions fausses, et conséquences fausses de propositions vraies.
—XXXIV.
— Connaissance des règles, des conséquences et de la vérité des propositions.
—XXXV.
— Science de la définition et de la division des choses, vraie en elle-même.
—XXXVI.
— Mêmes observations sur les règles de l’éloquence.
—XXXVII.
— Utilité de la rhétorique et de la dialectique.
—XXXVIII.
— Origine de la science des nombres.
—XXXIX
— Sciences auxquelles on peut s’appliquer.
—XL.
— Il faut profiter de ce que les païens ont de vrai.
—XLI.
— Dans quel esprit il faut étudier l’Écriture.
—XLII.
— Différence entre les livres saints et les livres profanes.
LIVRE III.
obscurités de l’écriture.
Chapitre premier. — Objet de ce livre.
—II.
— Ambiguïté qui nait de la division des termes.
—III.
— Incertitude qui nait de la prononciation.
—IV.
— Ambiguïté qui provient des paroles.
—V.
— Ne pas prendre à la lettre les expressions figurées.
—VI.
— Utilité des figures pour les Juifs.
—VII.
— Culte des idoles et des créatures.
—VIII.
— Les Juifs et les Gentils affranchis différemment, de la servitude des signes.
—IX.
— Comment on est esclave des signes.
—X.
— Comment reconnaître une expression figurée.
—XI.
— Règle pour juger ce qui, dans l’Écriture, présente un caractère de sévérité.
—XII.
— Règle pour juger des actions qui paraissent criminelles.
—XIII.
— Suite du même sujet.
—XIV.
— Erreur de ceux qui ne croient pas à la justice absolue.
—XV.
— Règle pour les expressions figurées.
—XVI.
— Des passages qui renferment quelque précepte.
—XVII.
— Il y a des préceptes communs à tous, d’autres qui sont particuliers.
—XVIII.
— On doit considérer le temps où une chose a été commandée ou permise.
—XIX.
— Les méchants jugent des autres d’après eux-mêmes.
—XX.
— Continuation du même sujet.
—XXI.
— Modération de David quoiqu’il ait été adultère.
—XXII.
— Actions louées dans l’Écriture, maintenant contraires aux bonnes mœurs.
—XXIII.
— Conclusion à tirer des fautes des hommes les plus célèbres.
—XXIV.
— Examiner avant tout la nature de l’expression.
—XXV.
— Le même terme n’a pas toujours la même signification.
—XXVI.
— Les passages clairs servent à dissiper les obscurités.
—XXVII.
— Un même passage peut être interprété différemment.
—XXVIII.
— L’Écriture s’explique mieux par elle-même que par la raison.
Chapitre XXIX. — Nécessité de la connaissance de diverses sortes de signes.
—XXX. — Règle du Donatiste Tichonius.
—XXI. — Première règle de Tichonius.
—XXXII. — Deuxième règle.
—XXXIII. — Troisième règle.
—XXXIV. — Quatrième règle.
—XXXV. — Cinquième règle.
—XXXVII. — Septième règle.
LIVRE IV.
de l’orateur chrétien.
Chapitre premier. — Il n’est pas ici question de préceptes de rhétorique.
—II. — Le docteur chrétien doit se servir de l’art de la rhétorique.
—III. — À quel âge et de quelle manière il convient d’apprendre la rhétorique.
—IV. — Devoirs du docteur chrétien.
—V. — La sagesse préférable à l’éloquence dans l’orateur chrétien.
—VI. — La sagesse jointe à l’éloquence dans les auteurs sacrés.
—VII. — Traits d’éloquence tirés de l’Écriture.
—VIII. — L’obscurité des auteurs sacrés n’est pas à imiter.
—IX. — Manière de traiter les sujets difficiles et obscurs.
—X. — Importance de la clarté dans le discours.
—Chapitre XI. — Instruire clairement et agréablement.
—XII. — L’orateur doit instruire, plaire et toucher.
—XIII. — Il faut parvenir à toucher l’auditeur.
—XIV. — L’art de plaire ne doit pas nuire à la vérité ni à la gravité.
—XV. — Avant de parler l’orateur doit prier.
—XVI. — Les règles de l’éloquence ne sont pas inutiles, quoique Dieu lui-même fasse les docteurs.
—XVII. — Trois genres d’éloquence.
—XVIII. — L’orateur chrétien n’a que des sujets relevés à traiter.
—XIX. — Il faut cependant varier le style.
—XX. — Exemples tirés de l’Écriture pour chaque genre de style.
—XXI. — Exemples tirés des docteurs de l’Église.
—XXII. — On doit varier le discours par les différents genres de style.
—XXIII. — Manière d’allier les trois genres de style.
—XXIV. — Effets du sublime.
—XXV. — But que se propose le style tempéré.
—XXVI. — Dans chaque genre l’orateur doit se faire entendre avec clarté, avec plaisir et avec docilité.
—XXVII. — Puissance de l’orateur dont la vie répond à ses discours.
—XXVII. — L’orateur doit plus s’attacher à la vérité qu’à la forme.
—XXIX. — L’orateur peut se servir d’un discours composé par un autre.
—XXX. — L’orateur doit prier avant de parler.
—XXXI. — Augustin s’excuse sur la longueur de ce livre.
DE LA GENÈSE CONTRE LES MANICHÉENS.
TRADUCTION DE M. L’ ABBÉ TASSIN.
LIVRE PREMIER.
de la création.
Chapitre premier. — Pour défendre l’ancienne Loi contre les Manichéens, le saint Docteur écrira d’un style qui soit à la portée des moins habiles.
—II. — Que faisait Dieu avant la création du monde, et d’où lui est venu soudainement la volonté de le créer.
—III. — Le chaos et la lumière.
—IV. — Les ténèbres ne sont rien.
—V. — L’Esprit de Dieu porté sur les eaux.
—VI. — La matière informe tirée du néant.
—VII. — La matière informe désignée sons différents noms.
—VIII. — Dieu approuve la lumière.
—IX. — Noms donnés par Dieu à la lumière et au ténèbres.
—X. — Le matin et le soir.
—XI. — Les eaux divisées par le firmament.
—XII. — Réunion ou formation des eaux.
—XIII. — Pourquoi la terre produit-elle des plantes et des choses nuisibles ?
—XIV. — Le soleil et les astres.
—XV. — Les poissons et les oiseaux.
—XVI. — Animaux nuisibles.
—XVII. — L’homme créé à l’image de Dieu.
—XVIII. — Puissance de l’homme sur les animaux.
—XIX. — Union spirituelle.
—XX. — Sens allégorique de la domination de l’homme sur les animaux.
—XXI. — Beauté de l’univers.
—XXII. — Sens allégorique du repos du septième jour.
—XXIII. — Les sept jours de la création et les sept âges du monde.
—XXIV. — Inégalité des âges du monde.
—XXV. — Allégorie plus profonde des sept jours de la création.
LIVRE SECOND.
du paradis terrestre.
Chapitre premier. — Texte à expliquer dans le second livre.
Chapitre II. — La Genèse peut être partout interprétée à la lettre.
—III. — Que signifient les productions verdoyantes.
—IV. — Pluie mystérieuse.
—VII. — L’argile du corps humain.
—VIII. — Le souffle de vie.
—IX. — Les délices du Paradis.
—X. — Les quatre fleuves.
—XI. — Occupation de l’homme dans le Paradis ; formation de la femme.
—XII. — Le sommeil d’Adam.
—XIII. — Union spirituelle.
—XIV. — Eve et le serpent.
—XV. — Marche de la tentation.
—XVI. — Préludes du jugement d’Adam et d’Eve.
—XVII. — Excuses d’Adam et d’Eve. — Châtiment du serpent.
—XVIII. — Inimitié du serpent et d’Eve.
—XIX. — Peine infligée à la femme.
—XX. — Châtiment de l’homme.
—XXI. — Nom donné à Eve après son péché. — Les tuniques de peaux.
—XXII. — Adam hors du paradis.
—XXIII. — Le Chérubin et son glaive.
—XXIV. — Adam et Eve ; le Christ et l’Église.
—XXV. — Les Manichéens et le serpent.
—XXVI. — Encore les Manichéens et le serpent.
—XXVII. — Chute et châtiment d’Adam.
—XXVIII. — Résumé et réfutation des impostures Manichéennes.
DE LA GENÈSE AU SENS LITTÉRAL.
OUVRAGE INACHEVÉ.
TRADUCTION DE M. CITOLEUX.
Chapitre premier. — Abrégé de la foi catholique.
—II. — Divers sens de l’Écriture.
—III. — Que signifient le premiers mots de la Genèse.
—IV. — Second verset de la Genèse.
—V. — Création de la lumière.
—VI. — Noms donnés à la lumière et aux ténèbres.
—VIII. — Création du firmament.
—IX. — Dieu agit en dehors du temps.
—X. — La terre séparée des eaux.
—XI. — Création des végétaux.
—XII. — Le jour et la nuit.
—XIV. — Création de l’eau.
—XV. — Animaux sortis des eaux.
—XVI. — Animaux terrestres. — Création de l’homme.
DE LA GENÈSE AU SENS LITTÉRAL.
TRADUCTION DE M. CITOLEUX.
LIVRE PREMIER.
création primitive.
Chapitre premier. — Divers sens de l’Écriture. — Premiers mots de la Genèse.
—II. — Fiat lux : Dieu a-t-il prononcé cette parole par l’entremise d’une créature ou par son Verbe.
—III. Qu’est-ce que la lumière ? Pourquoi Dieu n’a-t-il pas dit : Fiat cælum comme il a dit : Fiat lux ?
—IV. — Autre réponse à la même question.
—V. — La créature intelligente reste informe, si elle ne se perfectionne en prenant pour fin le Verbe de Dieu. — Pourquoi l’Esprit porté sur les eaux, avant
le Fiat lux ?
—VI. — La Trinité apparaît dans la création primitive comme dans le développement des êtres.
—VII. — Pourquoi dit-on que l’Esprit de Dieu était porté sur les eaux.
—VIII. — L’amour de Dieu est la cause qui fait naître et subsister les créatures.
—IX. — La parole divine : « Fiat lux » a-t-elle été prononcée dans le temps ou en dehors du temps ?
—X. — Différentes manières d’expliquer la durée du premier jour : contradictions ou difficultés qu’elles renferment.
—XI. — Rôle du soleil : nouvelle difficulté dans l’hypothèse précédente.
—XII. — Nouvelle difficulté que présente la succession des trois jours et des trois nuits qui précèdent la création du soleil. — Comment les eaux se rassemblèrent-elles ?
—XIII. — À quel moment ont été créés l’eau et la terre.
—XIV. — Ce qui fait entendre, dans le premier verset de la Genèse, que la matière était informe.
—XV. — La substance précède le mode, non en date, mais en principe.
—XVI. — Nouvelle manière d’expliquer la succession des jours et des nuits par l’émission ou l’affaiblissement de la lumière : Qu’elle est peu satisfaisante.
—XVII. — Hypothèse de la lumière intellectuelle ; difficultés qu’elle entraîne ; comment elle sert à expliquer le soir et le matin, la séparation de la lumière d’avec les ténèbres.
—XVIII. — De l’activité divine.
—XIX. — Il faut s’interdire toute assertion hasardée dans les passages obscurs des saints Livres.
—XX. — But de l’auteur en expliquant la Genèse à divers point de vue.
—XXI. — Avantage d’un commentaire qui exclut toute proposition hasardée.
LIVRE II.
création du firmament.
Chapitre premier. — Que signifie le firmament au milieu des eaux ? — L’eau peut-elle, d’après les lois de la physique, séjourner au-dessus du ciel étoilé.
—II. — L’air est plus léger que la terre.
—III. — Le feu est plus léger que l’air.
—IV. — De l’opinion suivant laquelle le firmament ne serait que l’atmosphère.
—V. — L’eau suspendue au-dessus du ciel étoilé.
—VI. Faut-il voir dans le passage : « et Dieu fit le firmament, » etc. l’intervention directe du Fils.
—VII. — Continuation du même sujet.
—VIII. — Pourquoi l’expression : « et fecit Deus, » n’a-t-elle
pas été reproduite après la création de la lumière ?
—IX. — De la configuration du ciel.
—X. — Du mouvement du ciel.
—XI. — Que faut-il entendre par l’état informe de la terre.
—XII. — Pourquoi la formule « et cela se fit ainsi, » est-elle employée spécialement pour les plantes et les arbres.
—XIII. — Pourquoi les luminaires n’ont-ils été formés que le quatrième jour ?
—XIV. — Comment les luminaires du ciel servent-ils à marquer le temps, les jours, les années.
—XVI. — De la lumière relative dés astres.
—XVII. — Révélation de l’astrologie.
—XVIII. — Qu’il est difficile de savoir si les astres sont gouvernés et animés par des esprits.
LIVRE III.
les êtres vivants.
Chapitre premier. — Pourquoi la création des poissons précède-t-elle,
dans le récit sacré, celle des oiseaux ? — Affinité entre l’eau et l’air, l’air, et le ciel.
—II. — Les cieux primitifs ont été abîmés dans les eaux du déluge, et l’airs est transformé en eau.
—III. — Opinions des savants sur la transformation des éléments. L’air n’est point omis dans la Genèse.
—IV. — Des rapports qui existent entre les quatre éléments et les cinq sens.
—V. — De la sensibilité de l’âme.
—VI. — L’air n’a point été omis par l’auteur de la Genèse.
—VII. — Il est probable que les oiseaux tirent leur origine de l’eau.
—VIII. — Pourquoi les poissons ont-ils été appelés reptiles à âmes vivantes.
—IX. — De la classification des êtres selon l’élément où ils vivent.
—X. — On peut accorder que les démons habitent l’air, sans contredire le récit où l’Écriture nous révèle que les poissons sont sortis des eaux. — Des météores.
—XI. — Des diverses espèces d’animaux créés de la terre.
—XII. — La formule « selon leur espèce, » n’est point employée pour l’homme.
—XIII. — Pourquoi la bénédiction divine n’a-t-elle été donnée qu’aux animaux tirés des eaux et à l’homme ?
—XIV. — De la création des insectes.
—XV. — Des animaux venimeux.
—XVI. — Pourquoi des espèces sont-elles ennemies ?
—XVII. — Pourquoi certains animaux dévorent-ils les cadavres.
—XVIII. — À quel moment et dans quel but ont été créés les chardons, les épines et, en général, les plantes stériles ?
—XIX. — Pourquoi le mot « faisons, » n’a-t-il été prononcé que dans la création de l’homme ?
—XX. — En quoi l’homme est-il fait à l’image de Dieu ? — Que la formule « il en fut ainsi, » n’est pas employée dans la création de l’homme ; et pourquoi.
—XXI. — Difficulté de concevoir l’immortalité jointe à la nécessité de se nourrir.
—XXII. — De l’opinion qui rapporte la création du corps et de l’âme à deux moments distincts.
—XXIII. — Du sens de la formule : « Cela se fit. »
—XXIV. — Pourquoi la création de l’homme n’a-t-elle pas été spécialement approuvée ?
LIVRE IV.
les jours de la création.
Chapitre premier. — Que faut-il entendre par les six jours.
—II. — Que le nombre 6 est un nombre parfait.
—III. — Explication du passage de la sagesse : « Dieu à tout disposé avec poids, nombre et mesure. »
—IV. — En Dieu la mesure, le nombre, le poids subsistent indépendamment du nombre, du poids, de la mesure.
—V. — C’est en Dieu qu’existe l’idée de mesure, de poids et de nombre qui préside à la disposition des objets.
—VI. — Comment Dieu voyait-il ces rapports.
—VII. — Comment découvrons-nous la perfection du nombre 6.
—VIII. — Du repos de Dieu le septième jour : quel sens faut-il attacher à ce mot ?
—IX. — Suite du chapitre précédent. — Le principe de la tristesse est quelquefois excellent.
—X. — Peut-on concevoir le repos en Dieu ?
—XI. — Le repos de Dieu au septième jour se concilie avec son activité continue.
—XII. — Nouvelle explication sur le même sujet.
—XIII. De l’observation du Sabbat. — Sabbat chrétien.
—XIV. — Pourquoi Dieu est-il sanctifié le jour de son repos ?
—XV. — Réponse à la question posée ci-dessus.
—XVI. — Du repos de Dieu le septième jour.
—XVII. — Du repos de l’homme en Dieu.
—XVIII. — Pourquoi le septième jour s’ouvre-t-il par le matin sans finir par le soir ?
—XIX. — Nouvelle explication du même sujet.
—XX. — Le septième jour est-il une création spéciale ?
—XXI. — De la lumière avant la création des astres.
—XXII. — Explication de la succession du jour et de la nuit dans l’hypothèse ou la lumière serait la création spirituelle.
—XXIII. — De la connaissance fort différente qu’on a des choses selon qu’on les voit en Dieu ou en elles-mêmes.
—XXIV. — Du mode de la pensée chez les Anges.
—XXV. — Pourquoi le mot nuit n’est-il pas ajouté aux six jours ?
—XXVI. — Comment faut-il compter les six jours ?
—XXVII. — Les jours de la semaine ne ressemblent pas aux jours de la Genèse.
—XXVIII. — Cette explication de la lumière et du jour n’est point une allégorie.
—XXIX. — Du jour, du matin, du soir en tant qu’opérations intellectuelles des Anges.
—XXX. — La science des Anges n’est pas rabaissée parce qu’elle devient tour-à-tour plus obscure ou plus vive.
—XXXI. — Au début de la création, le jour, le soir et le matin apparurent successivement aux anges.
—XXXII. — La simultanéité de ces idées n’en excluerait pas l’ordre successif.
—XXXIII. — La création a-t-elle été simultanée ou successive.
—XXXIV. — La création est simultanée, sans cesser d’être divisée en six époques.
—XXXV. — Résumé de la théorie des six jours.
LIVRE V.
tout créé en même temps.
Chapitre premier. — Les six ou sept premiers jours peuvent être regardés comme le retour périodique d’un jour primitif.
—II. — Pourquoi l’Écriture a-t-elle ajouté l’expression : « toute la verdure de ta terre ? »
—III. — La création a été simultanée ; preuve tirée de ce passage comparé au récit précédent.
—IV. — En quel sens est-il dit que l’herbe fut faite avant de pousser ?
—V. — L’ordre des créations divines pendant les six jours n’est pas chronologique : c’est un enchaînement de causes et d’effets.
—VI. — Peut-on inférer, de ce qu’il n’avait point encore plu sur la terre, que la végétation est simultanée ?
—VII. — De la source qui arrosait la surface de la terre.
—VIII. — Pourquoi suppléer par des conjectures au silence des Livres saints ?
—IX. — Il est difficile de concevoir une source capable d’arroser la terre entière.
—X. — Comment peut-on expliquer ce phénomène ?
—XI. — La création fut instantanée, le gouvernement du monde ne peut l’être.
—XII. — Du triple point de vue sous lequel on doit considérer les œuvres de Dieu.
—XIII. — Avant d’être créés, tous les êtres étaient dans la sagesse de Dieu.
—XIV. — Examen du texte : Quod factum est, in illo erat vita.
—XV. — Comment les choses ont-elles vie en Dieu ?
—XVI. — Dieu est plus facile à connaître que les créatures.
—XVII. — Des expressions : avant le siècle ; depuis le siècle, dans le siècle.
—XVIII. — De l’ignorance ou nous sommes d’une foule de créatures. Comment sont-elles connues de Dieu et des Anges ?
—XIX. — Les Anges ont connu dès l’origine des siècles le mystère du royaume des cieux.
—XX. — Que Dieu agit aujourd’hui même.
—XXI. — La divine providence gouverne tout.
—XXII. — Preuves du gouvernement de la providence.
—XXIII. — Comment peut-on concilier la simultanéité de la création avec le gouvernement actuel de la providence ?
LIVRE VI.
le corps humain.
Chapitre premier. — Les mots : « Dieu forma l’homme du limon de la terre. » ont-ils trait à la formation primitive de l’homme le sixième jour, ou bien indiquent-ils une formation postérieure et successive.
—II. — Vérification de l’hypothèse d’après l’ensemble du passage de l’Écriture.
—III. — Examen du même sujet d’après d’autres passages de l’Écriture.
—IV. — Plantation du Paradis terrestre au même point de vue.
—VI. — L’auteur formule son opinion avec toute la netteté dont il est capable, de peur d’être mal compris.
—VII. — L’âme a-t-elle été créée avant le corps chez l’homme ? Impossibilité d’une pareille hypothèse.
—VIII. — Comment concevoir que Dieu ait tenu un discours à l’homme le sixième jour ?
—IX. — Comment Dieu connut-il Jérémie avant qu’il fut formé dans le sein de sa mère ? — Mérite ou démérite des hommes avant leur naissance.
—X. — De l’existence sous ses différents modes.
—XI. — Comment les œuvres divines au sixième jour sont-elles à la fois complètes et inachevées ?
—XII. — La création de l’homme a-t-elle été spéciale ?
—XIII. — De l’âge et de la taille d’Adam, quand il fut formé.
—XIV. — Des causes déposées dans le monde à son origine.
—XV. — La formation de l’homme fut la conséquence des causes primitives où il était contenu.
—XVI. — Un être possible par essence ne peut exister que par la volonté de Dieu.
—XVII. — Des choses futures : quelles sont celles qui doivent se réaliser.
—XVIII. — Que la formation d’Adam ne fut point en dehors des causes primordiales.
—XIX. — Le corps d’Adam tel que Dieu le forma, n’était pas spirituel, mais animal.
—XX. — Formé d’abord avec un corps animal, Adam a-t-il revêtu un corps spirituel dans le Paradis.
—XXI. — Réfutation de cette hypothèse.
—XXII. — On ne peut soutenir qu’Adam après le péché a été condamné à la mort de l’âme plutôt qu’à celle du corps.
—XXIII. — Nouvelle réfutation de l’hypothèse précédente.
—XXIV. — Comment l’homme en se régénérant recouvre-t-il le privilège perdu par Adam ?
—XXV. — Le corps d’Adam était à la fois mortel et immortel.
—XXVI. — Différence du corps d’Adam au nôtre.
—XXVII. — Comment pouvons-nous retrouver les privilèges qu’Adam a perdus.
—XXVIII. — Adam, quoique spirituel à l’extérieur, eut un corps animal, même dans le Paradis.
—XXIX. — Sujet du livre suivant.
LIVRE VII.
l’âme humaine.
Chapitre premier. — Préliminaires de ce livre.
—II. — La substance de l’âme n’est pas la même que celle de Dieu.
—III. — Suite du même sujet.
—IV. — Dieu n’a fait sortir l’âme ni de son essence, ni des éléments.
—V. — L’âme est-elle tirée du néant ?
—VI. — Y a-t-il eu pour l’âme une substance préexistante, de même que pour le corps ?
—VII. — Qu’il est impossible de déterminer les qualités de cette force primitive.
—VIII. — Que cette matière de l’âme était incapable de bonheur.
—IX. — Que cette matière ne peut être une âme dépourvue de raison.
—X. — L’analogie des mœurs entre l’homme et l’animal n’est pas une preuve en faveur de la métempsycose.
—XI. — Des illusions qui font croire à la métempsycose. L’erreur des Manichéens plus impie que celle des Philosophes.
—XII. — L’âme n’a point pour principe un élément matériel.
—XIII. — De l’opinion des médecins sur le corps de l’homme.
—XIV. — L’âme est distincte des éléments
—XV. — L’âme est immatérielle.
—XVI. — Du sens des expressions : « l’homme fut fait âme vivante. »
—XVII. — Pourquoi Dieu souffla-t-il sur la face de l’homme ?
—XVIII. — Des trois parties principales du cerveau.
—XIX. — Supériorité de l’âme sur la matière.
—XX. — Distinction de l’âme et des organes.
—XXI. — L’âme ne peut sortir de la matière, ni être un corps.
—XXII. — La cause virtuelle de l’âme a-t-elle été créé dans la période des six jours ?
—XXIII. — La cause virtuelle de l’âme humaine a-t-elle été disposée dans les esprits angéliques ?
—XXIV. — L’âme a-t-elle été créée avant d’être associée aux organes ?
—XXV. — L’âme, en supposant qu’elle ait existé hors du corps, s’est-elle spontanément associée aux organes ?
—XXVI. — L’âme volontairement unie au corps n’a-t-elle eu aucune connaissance de l’avenir ? — Du libre arbitre.
—XXVII. — Du penchant naturel qui attache l’âme au corps.
—XXVIII. — Des objections contre l’opinion selon laquelle l’âme et le corps d’Adam ont été simultanément créés.
LIVRE II.
le paradis terrestre.
Chapitre premier. — Le Paradis terrestre est tout ensemble une réalité et un symbole.
—II. — Pourquoi des explications allégoriques dans le traité de la Genèse contre les Manichéens ?
—III. — De la création des arbres dans le Paradis. Retour sur la création des plantes le troisième jour.
—IV. — De l’arbre de vie : qu’il est tout ensemble un arbre réel et le symbole de la sagesse.
—V. — Suite du chapitre précédent.
—VI. — L’arbre de la science du bien et du mal.
—VII. — Des fleuves qui arrosaient le paradis terrestre.
—VIII. — L’homme placé dans le Paradis terrestre pour s’y livrer à l’agriculture.
—IX. — Enseignement que donne la culture de la terre.
—X. — Sur le sens attaché aux mots cultiver et garder.
—XI. — L’autorité de Dieu rappelée à l’homme.
—XII. — De impuissance de l’homme à faire le bien sans le secours de Dieu.
—XIII. — Pourquoi l’arbre de la science du bien et du mal a-t-il été interdit à l’homme.
—XIV. — Du mal : L’homme en a fait l’expérience en violant le précepte de Dieu.
—XV. — Pourquoi l’arbre de la science du bien et du mal a-t-il été appelé ainsi ?
—XVI. — L’homme a pu avoir l’idée du mal avant de le connaître en réalité.
—XVII. — La défense fut-elle faite à Adam et à Eve en même temps ?
—XVIII. — Comment Dieu a-t-il parlé à l’homme ?
—XIX. — De l’activité divine dans la créature, et d’abord de Dieu même.
—XX. — Le corps se meut dans le temps et l’espace, l’âme ne se meut que dans le temps : Dieu est en dehors de cette double modification.
—XXI. — Comment Dieu est-il à la fois immuable et principe du mouvement ?
—XXII. — Dieu est sûrement et absolument immuable.
—XXIII. — Que Dieu fait tout sortir de son repos.
—XXIV. — Des créatures soumises aux Anges.
—XXV. — Des lois générales et particulières selon les-quelles Dieu gouverne tout.
—XXVI. — Dieu gouverne tout sans cesser d’être immuable.
—XXVII. — Comment Dieu parla-t-il à Adam ?
LIVRE IX.
création de la femme.
Chapitre premier. — Du sens attaché aux expressions : « Dieu fit encore de la terre toutes les bêtes des « champs, » et au mot terre.
—II. — Comment Dieu prononça-t-il les paroles : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ? »
—III. — La femme donnée à l’homme pour assurer la reproduction de l’espèce.
—IV. — De la raison qui aurait empêché nos premiers parents de s’unir dans l’Éden.
—V. — La femme n’a été donnée à l’homme pour compagne qu’en vue de la propagation de l’espèce.
—VI. — Comment les générations se seraient-elles succédées sans le péché d’Adam.
—VII. — Rôle de la femme. — Mérite de la virginité et du mariage. — Triple avantage des unions légitimes.
—VIII. — La fuite d’un défaut fait souvent tomber dans un autre.
—IX. — La femme était destinée à être mère lors même que le péché n’eût pas entraîné à la mort.
—X. — La concupiscence est une maladie née du péché.
—XI. — Si l’homme n’avait pas péché, la génération se serait faite sans passion.
—XII. — Les animaux devant Adam.
—XIII. — La formation de la femme est à la fois réelle et symbolique.
—XIV. — Comment les animaux furent-ils présentés à Adam ?
—XV. — La formation de la femme n’a eu que Dieu pour auteur.
—XVI. — L’esprit humain incapable de comprendre les œuvres de Dieu.
—XVII. — Le principe dont la femme devait sortir était-il renfermé dans la création virtuelle au sixième jour ?
—XVIII. — La formation de la femme a eu une cause symbolique.
—XIX. — De l’extase d’Adam.
LIVRE X.
l’origine des âmes.
Chapitre premier. — L’âme de la femme est-elle formée de celle de l’homme.
—II. — Résumé des considérations faites dans les livres précédents sur l’origine de l’âme.
—III. — Trois hypothèses sur l’origine de l’âme.
—IV. — De quelques principes incontestables à propos de la nature et de l’origine de l’âme.
—V. — L’âme n’est une émanation ni des Anges, ni des éléments, ni de la substance divine.
—VI. — Textes de l’Écriture qui peuvent s’entendre de la création successive et de la transmission des âmes.
—VII. — D’un passage de la Sagesse : À quelle hypothèse est-il favorable ?
—VIII. — D’un passage du Psalmiste ; Qu’il ne contrarie aucune de ces hypothèses.
—IX. — D’un passage de l’Ecclésiaste : Qu’il s’applique indifféremment aux deux hypothèses.
—X. — Il est difficile de résoudre la question de l’origine de l’âme avec les textes de l’Écriture.
—XI. — Du passage de Saint Paul relatif au péché originel, et du baptême des enfants.
—XII. — La concupiscence de la chair tient à l’âme et à la chair tout ensemble.
—XIII. — De l’avantage qu’on trouve à comprendre ainsi la concupiscence. — Du péché chez les enfants.
—XIV. — L’existence du péché chez les enfants et le baptême prouvent-ils la propagation des âmes ?
—XVI. — Même sujet encore.
—XVII. — Discussion du texte de la Sagesse cité plus haut.
—XVIII. — De l’âme du Christ : Le texte précédent la concerne-t-il ?
—XIX. — L’âme du Christ n’était point dans Abraham ; elle n’est point venue par transmission.
—XX. — Réponse qu’on pourrait faire dans l’hypothèse de la transmission des âmes.
—XXI. — Il serait impossible que le Christ n’eût pas payé la dime, s’il avait été renfermé avec son âme dans la personne d’Abraham.
—XXII. — D’un passage de saint Jean : peut-il s’expliquer dans les deux hypothèses ?
—XXIII. — Quelle est l’hypothèse la plus vraisemblable ? De la coutume où est l’Église de baptiser les enfants.
—XXIV. — Conséquence que doivent éviter les partisans de la propagation des âmes.
—XXV. — Erreur de Tertullien sur la nature de l’âme.
—XXVI. — De l’accroissement de l’âme d’après Tertullien.
LIVRE XI.
chute et châtiment d’adam.
Chapitre premier. — Citation du texte ; Préliminaires.
—II. — De la finesse du serpent ; d’où vient-elle ?
—III. — Il n’a été permis au démon de tenter l’homme que sous la figure du serpent.
—IV. — Pourquoi Dieu a-t-il permis que l’homme fut tenté ?
—V. — La chute de l’homme vient de l’orgueil.
—VI. — Pourquoi Dieu a-t-il permis la tentation ?
—VII. — Pourquoi l’homme n’a-t-il pas été créé avec la volonté de ne pécher jamais ?
—VIII. — Pourquoi Dieu a-t-il créé les méchants tout en prévoyant leur malice ?
—IX. — Réfutation de la même objection.
—X. — Dieu pourrait tourner au bien la volonté des méchants ; pourquoi ne le fait-il pas ?
—XI. — Le châtiment des méchants ne constitue point une nécessité pour Dieu : c’est un moyen pour lui d’opérer le salut des bons.
—XII. — Pourquoi Dieu a-t-il permis que la tentation se fît par l’organe du serpent ?
—XIII. — Erreur des Manichéens sur l’origine du démon.
—XIV. — Cause de la chute des Anges. De l’orgueil et de l’envie.
—XV. — L’orgueil et l’amour-propre, principe de tous les maux. — Deux cités. — L’auteur annonce son ouvrage sur la cité de Dieu.
—XVI. — À quel moment s’est accomplie la chute de Satan ?
—XVII. — Le déni on a-t-il été heureux avant son péché ?
—XVIII. — Du bonheur de l’homme avant le péché.
—XIX. — Hypothèse sur la condition des Anges.
—XX. — Le démon a-t-il été créé méchant ?
—XXI. — Réfutation de cette opinion.
—XXII. — Suite du même sujet : Analyse du texte précité.
—XXIII. — Le démon n’est pas resté dans la vérité.
—XXIV. — Passage d’Isaïe qui s’applique au corps dont le démon est la tête.
—XXV. — Passage d’Ézéchiel : Qu’il s’applique au corps de Satan. L’Église est le Paradis.
—XXVI. — De la création et de la chute du démon en général.
—XXVII. — De la tentation par l’organe du serpent et de la femme.
—XXVIII. — Le serpent a-t-il compris le sens des paroles qu’il prononçait ?
—XXIX. — De la prudence du serpent.
—XXX. — Entretien du serpent avec la femme.
—XXXI. — Comment et sur quoi leurs yeux s’ouvrirent-ils ?
—XXXII. — Du principe de la mortalité et de la concupiscence.
—XXXIII. — De la voix de Dieu quand il se promenait dans le jardin.
—XXXIV. — De l’interrogatoire que Dieu fit subir à Adam.
—XXXV. — Excuses d’Adam et d’Ève.
—XXXVI. — Malédiction du serpent.
—XXXVII. — Du châtiment infligé à la femme.
—XXXVIII. — Châtiment infligé à l’homme. Du nom qu’il donna à la femme.
—XXXIX. — Des robes de peaux : condamnation de l’orgueil.
—XL. — Adam et Ève chassés du Paradis. — Excommunication.
—XLI. — Hypothèses sur la nature du péché d’Adam.
—XLII. Adam a-t-il ajouté foi aux paroles du serpent ? Du motif qui l’a fait pécher.
LIVRE XII.
le paradie et le troisième ciel.
Chapitre premier. — Du passage de saint Paul relatif au Paradis.
—II. — L’Apôtre a pu ignorer s’il avait vu le Paradis indépendamment de son corps.
—III. — L’Apôtre atteste qu’il a vu le troisième ciel sans savoir comment.
—IV. — De l’existence du troisième ciel ou l’Apôtre fut ravi. — Objection.
—V. — Réfutation de l’objection.
—VI. — Trois manières de voir les choses.
—VII. — De la vision sensible, spirituelle, rationnelle. La première suppose un objet réel ou une métaphore : la seconde s’exerce de plusieurs manières.
—VIII. — Pourquoi l’auteur appelle-t-il spirituelle la seconde vision.
—IX. — Que le nom de prophétie se rattache à la raison.
—X. — De la vision rationnelle.
—XI. — La vision sensible se rattache à la vision spirituelle et celle-ci à la vision rationnelle.
—XII. — Rapports entre la vision sensible et la vision spirituelle.
—XIII. — L’âme possède-t-elle une faculté de divination ?
—XIV. — La vision rationelle n’est jamais un leurre. L’illusion dans les deux autres n’est pas toujours dangereuse.
—XV. — Des songes impurs : qu’ils peuvent être innocents.
—XVI. — Les images des corps se forment dans l’esprit en vertu de sa propre activité.
—XVII. — D’où vient que les images empreintes dans l’esprit sont comme des démons. — De quelques visions surprenantes.
—XVIII. — Des différentes causes des visions.
—XIX. — D’où naissent les visions.
—XX. — Les visions qui naissent à l’occasion du corps, n’ont pas le corps pour véritable cause.
—XXI. — Que des visions analogues aux visions sensibles peuvent se traduire dans un transport, sans changer de nature.
—XXII. — Des visions comme causes occasionnelles de prédictions faites au hasard ou par un instinct secret : comment se produisent-elles.
—XXIII. — La faculté spirituelle où se forment les images, sous l’influence de causes si multiples, est en nous.
—XXIV. — Supériorité de la vision rationnelle sur la vision spirituelle et de celle-ci sur la vision sensible.
—XXV. — La vision rationnelle seule incapable de tromper.
—XXVI. — Deux sortes d’extases : spirituelle ou rationnelle.
— XXVII. — À quelle espèce de visions faut-il rapporter celle ou Moïse vit Dieu.
— XXVIII. — Le troisième ciel et le Paradis, dont parle l’Apôtre, peuvent s’entendre de cette troisième espèce de vision.
—XXIX. — Y a-t-il plusieurs degrés dans la vision spirituelle ou rationnelle, comme il y a plusieurs cieux ?
—XXX. — La vision spirituelle est tantôt inspirée tantôt naturelle.
—XXXI. — Dans la vision intellerctuelle, il faut distinguer entre les idées que l’âme conçoit et la lumière qui les éclaire. Dieu est la lumière de l’âme.
—XXXII. — Ou va l’âme dépouillée du corps.
—XXXIII. — De l’enfer. — Que l’âme est immatérielle. — Du sein d’Abraham.
—XXXIV. — Du Paradis et du troisième ciel où fut ravi saint Paul.
—XXXV. — La résurrection est nécessaire pour achever le bonheur des âmes justes.
—XXXVI. — Quel sera le caractère de cette triple vision dans la béatitude ?
—XXXVII. — De l’opinion de quelques docteurs sur le troisième ciel.
LOCUTIONS EMPLOYÉES DANS L’HEPTATEUQUE.
TRADUCTION DE M. L’ABBÉ LECLERC.
QUESTIONS SUR L’HEPTATEUQUE.
TRADUCTION DE M. L’ABBÉ POGNON.
LIVRE PREMIER.
Question première. — Comment Caïn a-t-il pu bâtir une ville ?
—II. — Est-il possible que Mathusalam ait vécu après le déluge ?
—III — Comment les Anges ont-ils pu avoir avec les filles des hommes un commerce impur ?
—IV. — Comment l’arche de Noé put-elle contenir tous les animaux qui y sont entrés, et leur nourriture ?
—V. — Comment une arche de dimensions si considérables a-t-elle pu être construite en un siècle par quatre hommes ?
—VI. — Que signifie cette parole : « Tu y feras un bas étage, une seconde et une troisième voûte ? »
—VII. — Comment les lions et les aigles, qui vivent de chairs, ont-ils pu se nourrir dans l’arche ?
—VIII. — Nombre inégal des animaux purs ou impurs.
—IX. — Que signifie : « Esprit de vie ? »
—X. — De l’élévation de l’eau au-dessus des montagnes pendant le déluge.
—XII. — Sur plusieurs particularités relatives à la fin du déluge.
—XIII. — Sur le corbeau sorti de l’arche.
—XV. — Caractères de l’ancien et du nouveau Testament.
—XVI. — Tous les hommes frères par l’unité d’origine.
—XVII. — Malédiction de Chanaan.
—XVIII. — Nembroth, premier des géants après le déluge.
—XIX. — Confusion des langues et division des peuples.
—XXII. — Trinité des personnes dans l’unité de la nature divine.
—XXIII. — Durée de la vie des hommes avant le déluge.
—XXIV. — Origine du nom des Hébreux.
—XXV. — Quand Abraham fut-il établi dans la terre de Chanaan ?
—XXVI. — Pourquoi Abraham cache aux Égyptiens que Sara est sa femme.
—XXVII. — Ce qu’était le Paradis.
—XXVIII. — Étendue de la promesse faite à Abraham.
—XXIX. — Pourquoi le surnom « qui est d’au-delà du fleuve » donné à Abraham.
—XXX. — Sur le trouble d’Abraham.
—XXXI. — Comment Dieu appelle éternel ce qui ne durera qu’un temps.
—XXXII. — Sur les rois issus d’Abraham.
—XXXIII. — Apparition des trois anges à Abraham.
—XXXIV. — Sur le repas qu’Abraham sert aux Anges.
—XXXV. — Comment Abraham eut, par miracle, un enfant de Sara.
—XXXVI. — Pourquoi Dieu reprend le rire de Sara, et non celui d’Abraham.
—XXXVII. — À quel signe Abraham et Sara reconnurent les Anges.
—XXXVIII. — Dieu promet de récompenser l’obéissance des enfants d’Abraham.
—XXXIX. — Dieu, parlant aux hommes, s’abaisse à leur langage.
—XL. — Dieu pardonne-t-il partout où il trouve dix justes ?
—XLI. — Sur l’apparition des anges à Loth.
—XLII. — Sur la conduite de Loth envers les Sodomites.
—XLIII. — Aveuglement des Sodomites.
—XLIV. — Sur les paroles que la peur inspire à Loth.
—XLV. — À quoi faut-il attribuer la délivrance de Loth ?
383
—XLVI. — De la montagne où Loth se réfugia.
383
—XLVII. — Sur le peu de foi de Loth.
384
—XLVIII. — Beauté de Sara.
384
—XLIX. — Paroles de Dieu à Abimélech.
384
—L. — Sur le festin que fit Abraham, quand on sevra son fils.
384
—LI. — Sur ces mots prophétiques : « Chassez cette servante et son fils etc. »
384
—LII. — Ismaël, enfant de la chair ; Isaac, enfant de la promesse.
384
—LIII. — Renvoi d’Agar et d’Ismaël.
384
—LIV. — Paroles de l’Ange à Agar : « Lève-toi et prends l’enfant etc. »
385
—LV. — Quand fut creusé le puits du serment.
385
—LVI. — Abraham ne possédait-il aucun domaine dans la terre de Chanaan.
385
—LVII. — Tentation d’Abraham.
385
—LVIII. — Sur ces mots : « Je connais maintenant que tu crains Dieu. »
386
—LIX. — Est-ce par égard pour l’ange, ou par égard pour Dieu, qu’Abraham était prêt à ne pas épargner son fils ?
386
—LX. — Sur Chamuel père des Syriens.
386
—LXI. — Sens du mot adorer.
386
—LXII. — Serment exigé par Abraham.
386
—LXIII. — En quoi la demande d’un prodige diffère de la consultation des augures.
387
—LXIV. — Des différences qui portent sur les mots, non sur les pensées.
387
—LXV. — Serment et malédiction.
387
—LXVI. — Sur la miséricorde et la justice.
387
—LXVII. — Réponse de Bathuel à Eliézer.
387
—LXVIII. — Adieux faits à Rébecca par ses frères.
388
—LXIX. — Exercice d’Isaac.
388
—LXX. — Sur la polygamie.
388
—LXXI. — Pourquoi les noms des enfants d’Ismaël d’après les noms de leurs générations ?
388
—LXXII. — Rébecca consulte le Seigneur.
389
—LXXIII. — Sens mystique de la réponse divine à Rébecca.
389
—LXXIV. — Sur ces mots : « Jacob était un homme simple. »
389
—LXXV. — Famine arrivée du temps d’Isaac.
389
—LXXVI. — Isaac béni par le Seigneur.
390
—LXXVII. — Sens du mot malédiction.
390
—LXXVIII. — Le nom de serment donné au puits creusé par Isaac.
390
—LXXIX. — Jacob béni à la place d’Esaü.
390
—LXXX. — Extase d’Isaac.
390
—LXXXI. — Comment Rébecca connut-elle les desseins meurtriers d’Esaü.
390
—LXXXII. — Ils n’étaient pas ignorés d’Isaac.
391
—LXXXIII. — Échelle de Jacob, figure du tabernacle.
391
—LXXXIV. — Pierre de Jacob.
391
—LXXXV. — Maison de Dieu.
391
—LXXXVI. — Il faut suppléer ce que l’Écriture ne dit point.
391
—LXXXVII. — Sur le baiser que Jacob donna à Rachel.
391
—LXXXVIII. — Comment Jacob trouvait court le temps de son service pour Rachel.
391
—LXXXIX. — Quand Jacob épousa-t-il Rachel ?
391
—XC. — Épouses et concubines.
392
—XCI. — Sur la Fortune.
392
—XCII. — Observer le sens des paroles de l’Écriture.
392
—XCIII. — Sur l’industrie de Jacob pour varier la couleur des troupeaux.
392
—XCIV. — Les dieux nommés pour la première fois.
393
—XCV. — Sur la conduite de Laban envers Jacob relativement aux troupeaux.
393
—XCVI. — Pourquoi on élevait des pierres dont on faisait des monuments ?
393
—XCVII. — Morceau de pierres élevé par Laban et Jacob.
393
—XCVIII. — Ordre interverti.
394
—XCIX. — Que signifie : « Personne n’est avec nous ? »
394
—C. — La crainte d’Isaac.
394
—CI. — Le camp de Dieu.
394
—CII. — Crainte de Jacob devant Esaü.
394
—CIII. — Les présents de Jacob à Esaü.
394
—CIV. — Jacob boiteux et béni.
394
—CV. — Sur ces paroles : « J’ai vu ton visage, comme quand on voit le visage de Dieu. »
395
—CVI. — Promesse inexécutée.
395
—CVII. — Comment l’Écriture donne le nom de vierge à Dina déshonorée par Sichem.
395
—CVIII. — Comment les enfants de Jacob ont pu faire tant de mal aux Sichamites.
395
—CIX. — Nombre des personnes de la suite de Jacob.
396
—CX. — Apparitions de Dieu à Jacob.
396
—CXI. — Amulettes des idoles.
396
—CXII. — Comment Dieu agit sur l’esprit des hommes.
396
—CXIII. — Changement de noms.
396
—CXIV. — Sur le nom d’Israël donné à Jacob.
396
—CXV. — Que signifie : « des peuples et des multitudes de peuples ? »
396
—CXVI. — Jacob imitait-il les idolâtres en élevant des monuments ?
396
—CXVII. — Benjamin naquit-il en Mésopotamie.
396
—CXVIII. — Comment est-il parlé de la postérité d’Esaü après le récit de la mort d’Isaac.
398
—CXIX. — Comment Esaü se retira deux fois sur le mont Sérr.
398
—CXX. — Sur le pays d’Édom, autrement l’Idumée.
398
—CXXI. — Sur les rois d’Édom.
398
—CXXII. — À la mort d’Isaac, Joseph avait dix-sept ans.
399
—CXXIII. — Songe de Joseph ?
399
—CXXIV. — Les Madianites nommés Ismaélites.
400
—CXXV. — Filles de Jacob.
400
—CXXVI. — Quel est l’enfer dont parle Jacob.
400
—CXXVII. — Qu’était-ce que Pétéphrès.
400
—CXXVIII. — Question chronologique.
400
—CXXIX. — Sur les vêtements des veuves.
401
—CXXX. — Transition.
401
—CXXXI. — Que contenaient les trois corbeilles du panetier.
401
—CXXXII. — Que veut dire : « Il semblait à Pharaon qu’il fut sur le fleuve ? »
401
—CXXXIII. — L’abondance promise.
401
—CXXXIV. — L’esprit de Dieu.
401
—CXXXVI. — Sur Pétéphrès, beau-père de Joseph.
401
—CXXXVII. — Que signifie : « Car il n’y avait plus de nombre ? »
402
—CXXXVIII. — Sur l’accomplissement des songes de Joseph.
402
—CXXXIX. — Sur le serment de Joseph « par le salut de Pharaon. »
402
—CXL. — Sur ce passage : « Ils ignoraient que Joseph les entendait, car il y avait un interprète entre eux. »
403
—CXLI. — Réticence.
403
—CXLII. — Encore sur l’enfer.
403
—CXLIII. — Sur l’argent des frères de Joseph.
403
—CXLIV. — Que signifie : « s’enivrer ? »
403
—CXLV. — Sur la science divinatoire de Joseph.
403
—CXLVI. — Pourquoi Joseph diffère de se faire connaître à ses frères ?
404
—CXLVII. — Narration erronée de Juda.
404
—CXLVIII. — Que signifie : « les restes de la grande race de Jacob ? »
404
—CXLIX. — Que signifie : « ses filles et les filles de ses filles ? »
404
—CL. — Que faut-il entendre par les âmes sorties de Jacob ?
404
—CLI. — Sur les trente-trois âmes nées de Lia en Mésopotamie.
405
—CLII. — Sur le nombre des personnes qui accompagnèrent Jacob en Égypte.
405
—CLIII. — Pourquoi l’Écriture loue dans les Patriarches la profession de pasteurs de troupeaux ?
405
—CLIV. — Les Égyptiens, figure du monde présent.
406
—CLV. — Répétition.
406
—CLVI. — La vie de ce monde n’est qu’une demeure passagère.
406
—CLVII. — Le pays de Ramessès est-il le même que celui de Gessen ?
407
—CLVIII. — Jacob n’a point adoré Joseph.
407
—CLIX. — Probité de Joseph.
407
—CLX. — Disette de grains, abondance de pâturages.
407
—CLXI. — Recommandation de Jacob relativement à sa sépulture.
407
—CLXII. — Sur la manière d’adorer de Jacob.
408
—CLXIII. — En quel sens Dieu promet à Jacob qu’il sera le chef d’une multitude de nations.
408
—CLXIV. — Sur Manassés et Ephrem, fils de Joseph.
408
—CLXV. — Pourquoi Jacob indique à Joseph le lieu où il ensevelit Rachel, sa mère ?
408
—CLXVI. — Jacob bénit le plus jeune des fils de Joseph, de préférence à l’ainé.
409
—CLXVII. — Sur le don que fait Jacob à Joseph du pays de Sichem.
409
—CLXVIII. — Que signifie : « Il fut réuni à son peuple ? »
409
—CLXIX. — Sur les quarante jours consacrés à la sépulture.
409
—CLXX. — Sur le sépulcre de Jacob.
410
—CLXXI. — Raison mystérieuse du chemin qu’on suivit pour aller ensevelir Jacob.
410
—CLXXII. — Sur le nombre sept.
410
—CLXXIII. — Comment il y eut soixante-quinze personnes qui descendirent avec Jacob en Égypte.
411
LIVRE II.
Question première. — Sur le mensonge des sages-femmes.
—II. — Moïse tue un Égyptien : en vertu de quel droit ?
412
—III. — Est-ce un Ange ou le Christ qui apparut à Moïse dans le buisson ardent ?
412
—IV. — Sur la terre promise.
412
—V. — Sur le cri des Israélites.
412
—VI. — Sur l’ordre que Dieu donna aux Hébreux de dépouiller les Égyptiens.
412
—VII. — Moïse est convaincu que Dieu peut tout-à-coup lui délier la langue.
412
—VIII. — Sur ces mots : « C’est Dieu qui fait le muet etc. »
412
—IX. — Le commencement même de la volonté est l’œuvre de la grâce.
412
—X. — Sur la colère de Dieu.
413
—XI. — Sur la rencontre de Moïse avec l’Ange qui veut le mettre à mort.
413
—XII. — Contradiction apparente.
414
—XIII. — Dieu n’ordonne que ce qu’il veut qu’on fasse.
414
—XIV. — Prière de Moïse lorsque les Hébreux, ses frères, sont persécutés.
414
—XV. — Généalogie de Moïse.
414
—XVI. — Moïse s’accuse sur la faiblesse de sa voix.
414
—XVII. — Moïse appelé le Dieu de Pharaon, et Aaron le prophète de Moïse.
415
—XVIII. — Endurcissement du cœur de Pharaon.
415
—XIX. — Rôle d’Aaron.
415
—XX. — Sur la verge de Moïse et d’Aaron.
415
—XXI. — Changement des verges en serpents.
415
—XXII. — Motif de l’endurcissement du cœur de Pharaon.
416
—XXIII. — Comment les magiciens purent imiter Moïse et Aaron après la 2e et la 3e plaie.
416
—XXIV. — Sur la patience de Dieu.
416
—XXV. — Les magiciens ne peuvent produire des moucherons ; pourquoi ?
417
—XXVI. — Les plaies d’Égypte ne s’étendaient pas sur la terre de Gessen.
417
—XXVII. — Permission dérisoire.
417
—XXVIII. — Les sacrifices des Israélites abominables aux Égyptiens.
418
—XXIX. — L’endurcissement de Pharaon volontaire dans son principe.
418
—XXX. — Progrès de l’endurcissement de Pharaon.
418
—XXXI. — Sur le rôle de Moïse et d’Aaron dans l’opération des miracles.
418
—XXXII. — Patience de Dieu à l’égard de Pharaon.
418
—XXXIII. — Sur la grêle.
419
—XXXIV. — Une seconde fois Moïse élève sa main vers le ciel.
419
—XXXV. — Sur la crainte de Pharaon.
419
—XXXVI. — Encore sur la patience de Dieu.
419
—XXXVII. — Le pécheur abuse des bienfaits et de la patience de Dieu.
419
—XXXVIII. — Puissance de Moïse.
420
—XXXIX. — Sur l’emprunt des vases et des habits fait par les Hébreux aux Égyptiens.
420
—XL. — Dieu se sert de la malice de Pharaon.
420
—XLI. — Que restait-il à brûler de l’Agneau pascal.
420
—XLII. — Sur l’agneau pascal.
420
—XLIII. — Sur le mot éternel.
421
—XLIV. — Sur la mort des premiers-nés.
421
—XLV. — Répétition relative à l’emprunt fait par les Hébreux des vases et des habits des Égyptiens.
421
—XLVI. — Sur le sang de l’Agneau.
421
—XLVII. — Nombre des Israélites à la sortie de l’Égypte, et durée de leur servitude.
421
—XLVIII. — Sur la foi et les œuvres.
424
—XLIX. — Il faut écarter les obstacles au bien.
424
—L. — Que faut-il entendre par génération ?
424
—LI. — Sur le sens de ces paroles : « Vous ne verrez plus jamais les Égyptiens. »
424
—LII. — Sur le cri du cœur.
425
—LIII. — Sur la verge de Moïse.
425
—LIV. — Comment Moise dit que « la terre à dévoré les Égyptiens. »
425
—LV. — Sur le Saint-Esprit.
425
—LVI. — Sur le nom de Merra.
425
—LVII. — Sur le bois qui adoucit les eaux de Merra.
425
—LVIII. — Sur la tentation qui vient de Dieu.
426
—LIX. — Sur ces mots : « Que sommes-nous ? »
426
—LX. — Ce qui est signifié sur les pains et les chairs que Dieu envoie à son peuple.
426
—LXI. — La mesure de manne placée devant Dieu.
426
—LXII. — De la manne.
426
—LXIII. — Quelle est cette Phénicie dont parle l’Exode.
427
—LXIV. — Supériorité de Moise sur Aaron.
428
—LXV. — Sur la verge de Dieu.
428
—LXVI. — Que signifie devant Dieu.
428
—LXVII. — Éternité de la Loi de Dieu.
428
—LXVIII. — Excellent conseil de Jéthro à Moïse.
428
—LXIX. — Même sujet.
428
—LXX. — Sur les cinquante jours écoulés entre la Pâque et la publication de la Loi.
429
—LXXI. — Division des préceptes du Décalogue.
429
—LXXII. — Emploi du verbe voir.
431
—LXXIII. — La crainte, caractère principal de l’ancien Testament ; l’amour, caractère Nouveau.
432
—LXXIV. — Dieu éprouve son peuple par la terreur.
432
—LXXV. — Comment Dieu se manifeste à Moise dans la nuée.
432
—LXXVI. — Sur les idoles.
432
—LXXVII. — Sur la loi relative aux esclaves.
432
—LXXVIII. — Sur la loi relative aux filles esclaves.
433
—LXXIX. — Sur l’homicide volontaire et involontaire.
433
—LXXX. — Sur l’avortement d’une femme provenant d’une rixe entre deux hommes.
434
—LXXXI. — Le taureau qui aura attaqué de la corne et tué un homme sera lapidé.
434
—LXXXII. — Sur le taureau qui blesse et tue un autre taureau.
435
—LXXXIII. — Loi relative aux veaux et aux brebis.
435
—LXXXIV. — Sur les voleurs qui s’attaquent aux maisons.
435
—LXXXV. — Sur le parjure dévoilé par Dieu lui-même.
435
—LXXXVI. — Que signifie : les Dieux ?
435
—LXXXVII. — Le mauvais exemple du grand nombre n’excuse pas du péché.
435
—LXXXVIII. — Sur la miséricorde et la justice.
435
—LXXXIX. — Sur le repos de la terre pendant la septième année.
436
—XC. — L’agneau ne doit par être cuit dans le lait de sa mère.
436
—XCI. — Sur l’Ange conducteur des Hébreux.
437
—XCII. — Sur les récompenses temporelles.
437
—XCIII. — Sur les guêpes dont Dieu fait précéder son peuple dans la terre promise.
437
—XCIV. — Sur le service et l’adoration dus à Dieu.
437
—XCV. — Sur les ordonnances du Seigneur.
438
—XCVI. — Sur ces paroles : « Nous ferons et nous écouterons. »
438
—XCVII. — De l’autel élevé par Moïse au pied du Sinaï.
438
—XCVIII. — Sur ce mot : « la victime du salut. »
438
—XCIX. — Premier sacrifice offert dans le désert.
438
—C. — Nouvelle répétition.
438
—CI. — Dieu apparaît sous une forme sensible.
438
—CII. — Sur les élus d’Israël.
439
—CIII. — Sur Jésus, fils de Navé.
439
—CIV. — Des cymaises et des anneaux d’or de l’Arche d’alliance.
439
—CV. — Sur le Propitiatoire.
440
—CVI. — Sur les anneaux de l’Arche.
440
—CVII. — Du Tabernacle.
440
—CVIII. — Sur les onze couvertures de poils de chèvres etc.
440
—CIX. — Sur les coins qui assujétissaient les colonnes du Tabernacle.
441
—CX. — Base et chapiteaux des colonnes.
441
—CXI. — Sur les huit colonnes dressées derrière le Tabernacle.
441
—CXII. — Sur le Saint et le Saint des Saints.
441
—CXIII. — Sur l’autel des holocaustes.
441
—CXIV. — Sur l’esprit d’intelligence et les vêtements sacerdotaux.
442
—CXV. — De certaines particularités dans les vêtements sacerdotaux.
442
—CXVI. — Sur le Rational.
442
—CXVII. — Sur l’Ourim et le Thoummim.
442
—CXVIII. — Sur l’Éphod.
442
—CXIX. — Sur les sonnettes du vêtement sacerdotal.
443
—CXX. — Sur la lame d’or de la tiare.
443
—CXXI. — Sur les mots : « Tu rempliras leurs mains etc. »
443
—CXXII. — Sur les caleçons des prêtres.
444
—CXXIII. — Sur les cidares des prêtres.
444
—CXXIV. — Sur la durée du sacerdoce d’Aaron.
444
—CXXV. — Sur le pouvoir sacerdotal.
444
—CXXVI. — Suite du précédent.
444
—CXXVII. — Sur les sacrifices de bonne odeur.
444
—CXXVIII. — Sur la part du Grand-Prêtre dans les sacrifices.
444
—CXXIX. — La part des prêtres leur est due par un droit perpétuel.
444
—CXXX. — Sur la consécration de l’autel des sacrifices.
445
—CXXXI. — Sur les anneaux de l’autel des parfums : difficulté littérale.
445
—CXXXII. — Même sujet.
446
—CXXXIII. — Destination de l’autel des parfums.
446
—CXXXIV. — Sur le dénombrement du peuple.
446
—CXXXV. — Sur l’huile des onctions.
446
—CXXXVI. — Sur la composition de l’encens.
447
—CXXXVII. — En quel lieu devait brûler l’encens.
447
—CXXXVIII. — Sur l’esprit dont fut rempli Béséléel.
447
—CXXXVIX. — De l’observation du sabbat.
447
—CXL. — Sur les deux tables de la Loi.
448
—CXLI. — Sur le veau d’or.
448
—CXLII. — Pensée interprétée.
448
—CXLIII. — Quand Dieu fait du mal il n’est pas méchant, il est juste.
448
—CXLIV. — Moïse brise les deux tables de la Loi.
448
—CXLV. — Excuse d’Aaron.
448
—CXLVI. — Aaron responsable de la faute du peuple.
449
—CXLVII. — Prière et dévouement de Moïse.
449
—CXLVIII. — Aaron pardonné.
449
—CXLIX. — La colère de Dieu apaisée par l’amour de Moïse envers son peuple.
449
—CL. — Dieu, par miséricorde, s’éloigne de son peuple et lui envoie un Ange.
450
—CLI. — Apparition de Dieu il Moïse.
450
—CLII. — En quel sens dit-on que Dieu connaît et ignore ?
450
—CLIII. — L’Écriture n’a pas rapporté toutes les révélations de Dieu à Moïse.
451
—CLIV. — Interprétation prophétique de ces mots : « Je passerai devant toi. »
451
—CLV. — Que signifier purifier ?
453
—CLVI. — Dieu mécontent des Hébreux refuse de les appeler son peuple.
453
—CLVII. — Sur la défense de faire alliance avec les habitants de la terre promise.
453
—CLVIII. — De l’idolâtrie.
453
—CLIX. — Que signifie : paraître devant Dieu, et, sans avoir les mains vides ?
454
—CLX. — Sur l’observation du sabbat.
454
—CLXI. — Dieu promet que, pendant les trois fêtes solennelles, nul ennemi n’attaquera son peuple.
454
—CLXII. — L’agneau pascal et les azymes.
454
—CLXIII. — Explication grammaticale.
454
—CLXIV. — En quoi consiste la fidélité de l’histoire ?
454
—CLXV. — Second jeûne de Moïse.
454
—CLXVI. — Moïse chargé d’écrire les dix commandements sur les nouvelles tables de la Loi.
455
—CLXVII. — Dieu agit avec nous.
456
—CLXVIII. — Sur les offrandes volontaires des enfants d’Israël.
456
—CLXIX. — Encore sur Béséléel, l’esprit dont il est rempli, et ses travaux.
456
—CLXX. — Sur les ouvriers employés aux travaux du Tabernacle.
456
—CLXXI. — Probité des ouvriers.
456
—CLXXII. — Sur le Sabbat.
457
—CLXXIII. — Sur les objets sanctifiés par l’onction.
457
—CLXXIV. — Sur les tapis du Tabernacle
457
—CLXXV. — Sur l’emplacement de l’autel des holocaustes.
457
—CLXXVI. — Sur la nuée qui couvrait le Tabernacle.
458
—CLXXVII. — Du Tabernacle.
458
Question première. — De l’obligation de dénoncer un parjure.
—II. — Lois touchant le sacrifice pour le délit.
470
—III. — Difficultés littérales sur le même sujet.
471
—IV. — Offrande du pauvre dans le sacrifice pour le débit.
472
—v. — Le mot âme synonyme du mot homme dans le langage de l’écriture.
472
—vi. — Loi relative au sacrifice pour le péché d’ignorance dans les choses saintes.
472
—vii. — Loi relative au sacrifice pour le péché de négligence involontaire à l’égard des prescriptions cérémonielles.
472
—viii. — L’exception en faveur des pauvres doit-elle s’étendre à tous les cas ?
473
—ix. — Difficultés littérales touchant un des sacrifices pour le délit.
474
—x. — L’holocauste de chaque jour.
474
—xi. — Sur les cendres de l’holocauste.
474
—xii. — Le feu perpétuel.
474
—xiii. — Encore pour l’holocauste de chaque jour.
474
—xiv. — Sur l’offrande du Grand-Prêtre au jour de sa consécration.
475
—xv. — Suite.
475
—xvi. — Continuation.
475
—xvii. — Idem.
475
—xviii. — Sur la Loi de l’hostie pour le péché.
475
—xix. — Continuation.
476
—xx. — Sur le péché et le délit.
476
—xxi. — Sur la défense touchant la graisse et le sang.
478
—xxii. — Sur les sacrifices pacifiques.
478
—xxiii. — Sur le sacrifice pour le péché du Grand-Prêtre, et en particulier, celui qui fut offert, à la consécration d’Aaron et de ses fils.
479
—xxiv. — Comment faut-il entendre le mot s’asseoir.
479
—xxv. — Sur les anciens d’Israël.
480
—xxvi. — Sur les premiers sacrifices d’Aaron.
480
—xxvii. — Suite.
480
—xxviii. — Comment le Grand-Prêtre pouvait-il atteindre à l’autel.
482
—xxix. — Sur la traduction du mot εξεστη.
482
—xxx. — D’où vint la flamme qui dévora les victimes ?
482
—xxxi. — Dieu veut être sanctifié dans ses prêtres et glorifié dans son peuple.
482
—xxxii. — Sur la défense faite aux prêtres de pleurer la mort de Nadabet d’Abiu.
483
—xxxiii. — Sur la défense faite aux prêtres d’user de vin dans l’exercice de leur ministère.
483
—xxxiv. — Noms donnés aux portions de la victime appartenant aux prêtres.
484
—xxxv. — Des sacrifices pacifiques.
484
—xxxvi. — Sur la part réservée dans les sacrifices aux membres de la famille du Grand-Prêtre.
484
—xxxvii. — De l’impureté contractée par un vase de terre.
486
—xxxviii. — Sens du mot vivificantia :
486
—xxxix. — Quel est ce sanctuaire où les femmes pouvaient entrer ?
486
—xl. — De l’impureté des femmes en couches.
486
—xli. — Sur la lèpre de l’homme.
488
—xlii. — Le prêtre déclarait impur l’homme atteint de la lèpre.
488
—xliii. — Sur les signes de la lèpre.
488
—xliv. — Sur le signe qu’il n’y a pas de lèpre.
488
—xlv. — Encore sur ce signe de la lèpre.
488
—xlvi. — Même sujet.
489
Question xlvii. — De la lèpre invétérée et de celle qui couvre tout le corps.
—xlviii. — Sur la lèpre de tête.490
—xlix. — Sur la lèpre des vêtements.490
—l. — Sur la lèpre qui s’attache à une peau.490
—li. — Suite.491
—lii. — Sur la gonorrhée.491
—liii. — Sur ces mots : il priera tous les saints.491
—liv. — Difficulté sur l’adjectif saint.492
—lv. — Sur les deux boues, et encore sur la prière du grand-prêtre.492
—lvi. — Sur la défense d’offrir des sacrifices en dehors du tabernacle.492
—lvii. — Sur la vie du corps et la vie de l’âme.493
—lviii. — Sur la défense de contracter mariage à divers degrés de parenté : 1o avec la mère et la belle-mère.494
—lix. — Idem. 2o avec les sœurs unilatérales.494
—lx. — Idem. 3o avec la femme de l’oncle paternel.495
—lxi. — Idem. 4o avec la belle-sœur.495
—lxii. — Idem. 5o avec la belle-fille.495
—lxiii. — Idem. 6o avec la petite-fille et avec la sœur de la femme.495
—lxiv. — Défense de s’approcher de la femme dans ses mois.495
—lxv. — De l’adultère.496
—lxvi. — Sur la défense d’adorer le prince (le démon.)496
—lxvii. — Sur les péchés infimes.496
—lxviii. — Sur le mensonge.496
—lxix. — Défense de nuire au prochain.497
—lxx. — Sur la correction fraternelle.497
—lxxi. — Sur les pratiques de deuil usitées parmi les païens.497
—lxxii. — Sur l’adoration des princes.498
—lxxiii. — Sur le châtiment des adultères.498
—lxxiv. — Sur le péché d’une femme qui se corrompt avec une bête.498
—lxxv. — Sur le péché commis avec une sœur unilatérale, et le châtiment de ce péché.498
—lxxvi. — Sur le mariage avec les parentes aux degrés prohibés.498
—lxxvii. — Sur la punition des devins.499
—lxxviii. — Sur le mariage des prêtres lévitiques.499
—lxxix. — Sur le nom du Grand-Prêtre et l’onction du sacerdoce.499
—lxxx. — Sur les vêtements du Grand-Prêtre.499
—lxxxi. — Sur la défense faite au Grand-Prêtre de prendre part au deuil de son père et de sa mère.499
—lxxxii. — Sur la loi qui interdisait au Grand-Prêtre de quitter le tabernacle pour assister à des obsèques.500
—lxxxiii. — Sur la succession du Grand-Prêtre.500
—lxxxiv. — Les Sacrements visibles ne sont d’aucune utilité sans la grâce invisible qui sanctifie ; mais non réciproquement.500
—lxxxv. — Sur la pureté des prêtres.501
—lxxxvi. — Sur l’impureté contractée au contact d’un mort.501
—lxxxvii. — Sur le blasphème.501
—lxxxviii. — Sur l’homicide.502
—lxxx. — Sur l’année sabbatique.502
—lxxx. — La terre ne doit pas être vendue à des profanes, où à perpétuité.503
Question xci. — Suite du même sujet.
—xcii. — Idem.503
—xciii. — De l’âme de Dieu, autrement de sa volonté.503
—xciv. — Sur le sens de ces paroles : le glaive vous anéantira.504
Question première. — Sur les chefs institués dans chaque tribu.
—ii. — Sur les nombres mystérieux 4 et 5.504
—iii. — De l’étranger dans le langage de l’Écriture.505
—iv. — Sur les veilles que les Lévites devaient observer autour du Tabernacle.505
—v. — Sur la loi qui punit de mort quiconque s’ingère dans les fonctions lévitiques.506
—vi. — Sur le rachat des premiers-nés.506
—vii. — Sur les pains de proposition.506
—viii. — Manière de couvrir l’autel, quand on décampait.506
—ix. — De la restitution pour certains péchés.506
—x. — Encore de la restitution.507
—xi. — De la malédiction prononcée sur la femme soupçonnée d’adultère.507
—xii. — La victime reçoit son nom de la fin pour laquelle elle est offerte.507
—xiii. — Règlement pour les Lévites.508
—xiv. — Suite du même sujet.508
—xv. — De la célébration de la Pâque pour ceux qui étaient obligés de la différer.508
—xvi. — Sur colonne de nuée.508
—xvii. — Sur l’usage des trompettes.510
—xviii. — Sur la participation des 70 vieillards à l’esprit de Moïse.511
—xix. — Moïse a-t-il manqué de confiance en Dieu.511
—xx. — La femme de Moïse, que l’Écriture qualifie d’Éthiopienne, est-elle la fille de Jéthro ?512
—xxi. — Des espions envoyés dans le pays de Chanaan.512
—xxii. — Peur des espions. 512
—xxiii. — Discours de Caleb et de Josué, pour rassurer le peuple.512
—xxiv. — Des péchés involontaires.513
—xxv. — Comment s’expient les péchés d’orgueil.513
—xxvi. — Sur la révolte de Dathan et d’Abiron.514
—xxvii. — Dieu sépare les bons des méchants, quand il punit.514
—xxviii. — Sur le sens de in visione.515
—xxix. — Que faut-il entendre par l’enfer où furent précipités Choré, Dathan et Abiron.515
—xxx. — Dieu veut que les encensoirs de Choré, Dathan et Abiron lui soient consacrés.515
—xxxi. — Le mot péché employé dans le sens de sacrifices pour les péchés.516
—xxxii. — Tous les premiers fruits présentés au Seigneur reviennent aux prêtres.516
—xxxiii. — Significations figuratives des prescriptions de la Loi relatives à la vache rousse et à l’eau d’expiation.516
—xxxiv. — Ce que l’Écriture entend par ces mots : un blessé. 520
Question XXXV. — De l’eau du rocher.
— XXXVI. — Même sujet.520
— xxxvii. — Mot sous-entendu.520
— xxxviii. — Sens de ces mots : in dextera neque in sinistra.520
— xxxix. — Les eaux de Contradiction appelées aussi eaux de malédiction.521
— XL. — Sur le vœu d’anathème.521
— XLi. — Même sujet.521
— XLii. — Sur les livres apocryphes.521
— XLiii. — Allusion de l’Écriture à un fait qu’elle n’a pas rapporté précédemment.521
— XLiv. — De la victoire des Israélites sur les Amorrhéens.522
— XLV. — De ceux qui proposaient des énigmes, ou des poètes.522
— xLvi. — Des Moabites et des Madianites.522
— XLvii. — De Balaam.522
— xLviii. — Sa cupidité et son endurcissement.523
— XLix. — Discussion grammaticale sur le mot differre.523
— L. — Balaam et son ânesse.524
— Li. — Factus est mis pour : factum est ut.524
— lii. — Punition exemplaire de l’idolâtrie et de la fornication de Phinées.524
— liii. — Moïse, Aaron et Josué, types de l’avenir.525
— Liv. — Pourquoi Josué est-il consacré.525
— Lv. — Josué associé à la gloire de Moïse.526
— Lvi. — Des vœux par lesquels on s’engage à se priver d’une chose permise par la Loi.526
— Lvii. — Des vœux de la jeune fille encore dans la maison de ses parents.526
— Lviii. — Sens de ces mots : « le Seigneur la purifiera. »527
— Lix. — Des vœux faits en différentes circonstances par la femme.527
— Lx. — Dans quel sens est employé le mot virtus ?528
— LXi. — Comment Balaam put-il être tué dans le combat des Israélites contre les Madianites ?528
— Lxii. — Encore sur le sens du mot virtus eorum.528
— Lxiii. — Conseil perfide de Balaam aux Madianites.528
— Lxiv. — À qui s’ouvraient les villes de refuge ?529
— Lxv. — Sur l’homicide convaincu judiciairement de meurtre volontaire.529
Question première. — Dieu venant en aide à l’homme demande son concours.
— II. — Sur l’endurcissement du cœur.529
— III. — Les Raphaïn où géants.530
— IV. — Sur ces deux expressions : image et ressemblance.530
— V. — En quel sens peut se prendre le mot terre dans l’Écriture.530
— VI. — Sur l’adoration des astres.531
— VII. — Encore sur ces expressions : image et ressemblance.530
— VIII. — Que veut dire : d’une extrémité du ciel jusqu’à l’autre ?531
— IX. — Qui sont ceux avec qui Dieu fit alliance. — Voir Dieu face à face.531
Question X. — Présence et ubiquité de Dieu.532
— XI. — L’ancienne alliance, gravée sur des tables de pierre ; la nouvelle gravée dans les cœurs.533
— XII. — Sur le serment.533
— XIII. — Quand Dieu éprouve son peuple ce n’est pas pour connaître, mais pour faire connaître ce qui est caché dans les cœurs.533
— XIV. — Il y avait des pécheurs parmi ceux qui entrèrent dans la terre promise, comme il y avait des justes parmi ceux qui n’y entrèrent pas.534
— XV. — Est-ce Dieu ou Moïse qui écrivit sur les secondes tables de la Loi.534
— XVI. — La tribu de Lévi, figure du sacerdoce royal de la loi nouvelle.536
— XVII. — Forme hyperbolique d’une recommandation faite par le Seigneur.536
— XVIII. — Une contradiction à expliquer.536
— XIX. — Pourquoi Dieu tente : explication littérale.536
— XX. — Explication de certains passages obscurs.537
— XXI. — Contre ceux qui ont la pensée cachée de ne pas prêter à l’approche de l’année de la remise.537
— XXII. — Un Hébreu acheté n’était pas rendu à la liberté l’année de la remise, mais la septième année après qu’il s’était vendu.537
— xxiii. — Différence essentielle entre enfanté et engendré.537
— XXIV. — Comment est-il ordonné d’immoler des bœufs à la Pâque.538
— xiv. — Comment se comptaient les sept semaines pour arriver à la Pentecôte.538
— xvi. — De la loi relative au roi qui doit s’élever.538
— xxvii. — Le roi n’aura pas un grand nombre de femmes.539
— xxviii. — Sur le droit des Lévites qui viennent servir dans la tabernacle.539
— XXIX. — Sur la nécessité de discerner les faux prodiges.539
— xxx. — Dans la vie spirituelle l’homme doit coopérer à la grâce.539
— XXXI. — Pourquoi la permission de retourner dans leurs foyers, donnée à quelques uns avant le combat.540
— XXXII. — La femme ne doit pas revêtir des vêtements de guerre.540
— XXXIII. — Infériorité relative de la femme à l’égard de son mari dans la Loi mosaïque.540
— XXXIV. — Punition de l’homme qui a déshonoré une vierge.540
— XXXV. — En quel sens l’Anmonite et le Moabite sont exclus à jamais du droit de cité parmi les Hébreux.541
— XXXVI. — Défense de livrer à son maître l’esclave qui se réfugiait en Israël.541
— XXXVII. — Sur la défense de la fornication.541
— XXXVIII. — Du prix de la prostitution : il ne peut être offert à Dieu.542
— xxxix. — Vous retrancherez le méchant ou le mal du milieu de vous : deux interprétations plausibles.542
— XL. — Les prêtres étaient tous Lévites, mais tous les Lévites n’étaient pas prêtres.542
Question xli. — Sur le gage demandé au débiteur par le créancier.
— XLii. — Sur l’imputation des fautes.543
— xLili. — De la véritable veuve.543
— XLiv. — Sur la recommandation de laisser aux veuves les grains et les fruits oubliés après la récolte.544
— XLV. — Tout péché est une impiété plus ou moins grave.544
— XLVi. — De la loi sur le Lévirat. — Leurs généalogies.544
— XLVii. — Sur l’interdiction des repas funèbres.546
— XLViii. — La droite se prend dans un sens favorable.546
— xLix. — Le Deutéronome est la répétition de la Loi donnée sur le Sinai.547
— L. — Quand l’homme manque du secours de Dieu il y a de sa faute.547
— Li. — Les Israélites purent emporter un peu de vin à leur sortie d’Égypte.547
— Lii. — Menaces de Dieu contre Celui qui entraînera avec lui des innocents dans l’idolâtrie.548
— Liii. — Quand Dieu commande une chose il promet sa grâce.548
— Liv. — Les œuvres ne justifient pas sans la foi et la charité.548
— Lv. — Pécher devant Dieu ou pécher contre Dieu, sont deux choses différentes.549
— LVI. — Sur les bénédictions de Moïse.550
— lvii. — Joseph, type de Notre-Seigneur Jésus-Christ.551
Question première. — Dieu punit en ce monde certaines fautes légères qu’il trouve dans les saints.
— II. — Dans la conduite du peuple, Dieu laissa certaines choses à l’initiative de Moïse et de Josué.551
— III. — Sur le passage du Jourdain.552
— IV. — Comment le monument qui rappellera le passage du Jourdain sera-t-il éternel.552
— V. — L’ancien Testament gage du Nouveau.552
— VI. — L’ordre de circoncire de nouveau les Israélites n’autorise pas l’erreur des rebaptisants.553
— VII. — Sur l’apparition d’un ange à Josué.553
— VIII. — Sur le châtiment imposé au peuple, et cause de l’avarice d’Achar.553
— IX. — Sur la punition d’Achar.554
— X. — Quand la guerre est-elle juste.555
— XI. — Toute volonté de tromper constitue-t-elle un mensonge ?555
— XII. — Explication de quelques variantes.556
— XIII. — Sur le serment fait aux Gabaonites.556
— XIV. — Encore sur le même sujet.557
— XV. — Les Amorrhéens, nom générique des nations que les Hébreux devaient exterminer.557
— XVI. — Dieu justifié du reproche de cruauté envers les Chananéens.557
— XVII. — Aucune ville de la terre promise ne se rendit aux Hébreux sans combat.557
— xviii. — Dieu voulut que son peuple ne fit grâce à aucune des nations révoltées.557
— XIX. — Addition faite par les Septante, dont l’autorité est comparée à celle des Prophètes.558
— XX. — Motif pour lequel Dieu endurcit le cœur des Chananéens.559
— Question XXI. — Les Israélites possédèrent-ils réellement toute la terre promise.559
— XXII. — De quelle manière peut-on dire que nul ennemi n’osa résister aux Israélites.561
— XXIII. — Il n’y a qu’un Sauveur qui est Jésus-Christ.561
— XXIV. — Ce que c’est que mourir.561
— XV. — Toute la terre a été promise à Jésus-Christ et à l’Église.561
— XXVI. — En se retranchant derrière leurs remparts les habitants de Jéricho firent réellement la guerre aux Israélites.562
— XXVII. — Des guêpes envoyées par Dieu contre les ennemis d’Israël.562
— XXVIII. — Les Israélites présumèrent d’eux-mêmes, plutôt que de la miséricorde divine.562
— XXIX. — Défense de conserver les idoles.563
— XXX. — Significations mystérieuses de la pierre placée par Josué sous un térébinthe.563
Question première. — Introduction.
— II. — La tribu de Juda et de Siméon marchent seules contre les Chananéens.565
— III. — Événements racontés par anticipation.565
— IV. — Récits concordants du livre de Josué et du livre des Juges.566
— V. — Dieu éprouve les siens pour les préserver de l’orgueil.566
— VI. — Récapitulation.566
— VII. — Les anciens habitants de Jérusalem ne furent pas tous détruits.567
— viii. — Comment les Scythes ont-il pu bâtir une ville en Palestine.567
— IX. — Les villes fondées dans une métropole en sont appelées les filles.567
— X. — Un même fait raconté dans deux livres différents.567
— XI. — Encore un fait raconté deux fois.567
— XII. — Dieu reproche aux Israélites de n’avoir pas exterminé les Chananéens.567
— xiii. — Certains péchés se commettent par un effet de la colère divine.568
— XIV. — Nouvelle récapitulation.568
— XV. — Dieu se fait connaître par des prodiges.568
— XVI. — Baal et les Astarté ne diffèrent pas de Jupiter et des idoles de Junon.568
— XVII. — Les Israélites vendus et leurs ennemis rachetés par le sang de Jésus-Christ.569
— xviii. — Interversion.570
— xvix. — Longue paix en Israël.570
— XX. — Une parole à double sens est-elle un mensonge ? 570
— XXI. — Antiphrase.571
— XXII. — Encore une interversion.571
— XXIII. — Comment peut-on ouvrir avec une clef une porte qui n’avait pas été fermée à la clef.571
— XXIV. — Très longue paix.571
— XXV. — Sur la victoire de Samgar.571
— XXVI. — Sur le secours des Ange.571
— xxvii. — Dieu dirige les événements en agissant sur les cœurs.571
Question xxviii. — Sens de ces mots : il entra auprès d’elle.
— XXIX. — Phrase rendue obscure par une inversion.572
— XXX. — Sur la comparaison des faux dieux au pain d’orge.572
— XXXI. — Le nom d’homme et de prophète donné à un Ange.572
— XXXIi. — Explication grammaticale.572
— XXXIII. — L’Ange parle comme tenant la place de Dieu.572
— XXXIV. — Gédéon était-il un des Chiliarques ?573
— XXXV. — Gédéon n’offre pas son sacrifice à l’Ange, mais en sa présence et avec son aide.573
— XXXVi. — Dieu tolérait qu’on lui offrit des sacrifices ailleurs que dans le tabernacle. — L’eau et le feu symbole de l’Esprit-Saint.573
— XXXVII. — Les trois cents hommes de Gédéon, figure des fidèles.574
— XXXVIII. — Variantes.574
— XXXIX. — Le pain d’orge, symbole du choix que Dieu fait des petits pour confondre les superbes.574
— XL. — Cri de guerre des soldats de Gédéon.575
— XLi. — L’Ephod que fit faire Gédéon, était-il un vêtement575
Question XLii. — Est-ce après le péché de-Gédéon que le peuple jouit de quarante années de paix.576
— XLiii. — Après la mort de Gédéon le peuple tomba dans l’idolâtrie.576
— XLiv. — Allégorie.576
— XLV. — Dieu envoie-t-il ou laisse-il aller seulement l’esprit mauvais ?577
— xLvi. — Le matin et le lever du soleil sont des termes identiques.577
— XLvii. — Discussion grammaticale et généalogique.577
— XLviii. — Le Dieu des Ammonéens était-il capable réellement de posséder quelque chose ?578
— XLix. — Du vœu de Jephté.578
— L. — Recommandation de l’Ange à la mère Samson.587
— Li. — Samson appelé Nazaréen.587
— Lii. — Sur l’entretien de Manué avec l’Ange.587
— Liii. — Manué prit-il l’Ange pour Dieu lui-même ? 588
— Liv. — Sens de ces paroles : La jambe sur la cuisse. 588
— Lv. — L’usage seul peut apprendre le sens d’une locution.589
ANNOTATIONS SUR LE LIVRE DE JOB.
TRADUCTION DE M. L’ABBÉ JOYEUX.
Chapitre premier. — Prospérité de Job ; tentation du démon ; premières épreuves.
— Ii. — Nouveaux malheurs ; résignation.590
— Iii. — Cris arrachés par la douleur ; vanité des grandeurs humaines.590
— IV. — Eliphaz de Théman reproche à Job son peu de fermeté et l’injure qu’il fait à Dieu.591
— v. — Suite du discours précédent ; Dieu punit les méchants.590
— VI. — Paroles de Job ; sa justification.594
— VII. — Nouvelles preuves de son innocence ; grandeur de ses maux.595
— viii. — Paroles de Baldad de Sueh : Job doit confesser ses fautes.597
— IX. — Réponse de Job à Baldad.597
— X. — Plaintes et prière de Job.599
— XI. — Reproches outrageants de Sophar le Minéen .600
— XII. — Job à Sophar.601
— XIIi. — Faux raisonnements des accusateurs de Job. 602
— XIV. — Brièveté et misères de la vie humaine ; espoir de la résurrection.602
— XV. — Job accusé de blasphème par Eliphaz.603
— XVI. — Reproches de Job à ses consolateurs importuns ; il est innocent.604
— XVII. — Exhortation à ses faux amis ; la mort est l’objet de son désir.605
— XVIiI. — Nouveaux reproches de Baldad : les maux ne sont infligés qu’aux méchants.606
— XIX. — Job veut exciter ses accusations à la compassion et les convaincre de son innocence.606
— XX. — Sophar le Minéen sur le point d’être persuadé de l’innocence de Job retombe dans ses invectives.607
Chapitre XXi. — La conduite de Dieu étonne Job, mais ne saurait prouver sa culpabilité.609
— XXII. — Injures et calomnies d’Eliphaz à ce sujet.609
— xxiii. — Dieu seul connaît le cœur et les sentiments de Job.610
— XXIV. — Jugements de Dieu cachés aux hommes.611
— XXV. — Baldad taxe d’orgueil Job qui se dit pur aux yeux du Seigneur.612
— XXVI. — Job connaît la grandeur de Dieu ; ce n’est ni à lui ni à Baldad à donner des conseils au Tout-Puissant.612
— XXVII. — Grandes leçons de Job.613
— XXVIII. — L’homme méconnaît la vraie sagesse ; elle réside en Dieu.614
— XXIX. — Retour sur sa vie passée.616
— XXX. — Changement de fortune ; la vue de ses malheurs attendrira le Seigneur.617
— XXXI. — Job a observé toute la Loi.619
— XXXiI. Indignation d’Eliu de Buz en entendant la justification de Job.621
— XXXIII. — Autres reproches d’Eliu ; il excite Job à l’humilité et à l’aveu de ses fautes.621
— XXXIV. — Eliu indigné continue d’insulter Job ; il prie Dieu de ne le point épargner.622
— XXXV. — Leçons d’Eliu à Job blasphémateur et impie.622
— XXXVI. — Exhortation d’Eliu de Buz pour amener Job à des sentiments de pénitence.624
— XXXVII. — Description de la sagesse, de la grandeur et de la puissance de Dieu par Eliu de Buz.627
— XXXVIII. — Le Seigneur reproche à Job ses discours inconsidérés.628
— XXXIX. — Interrogations du Seigneur à Job sur la nature et les propriétés de certains animaux.636
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES