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TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE QUATRIÈME VOLUME.
COMMENTAIRES SUR L’ÉCRITURE.
DE LA DOCTRINE CHRÉTIENNE.
TRADUCTION DE M. L’ABBÉ HUSSENOT.
Prologue — Il n’est pas inutile d’enseigner à interpréter l’Écriture sainte.
LIVRE PREMIER.
Connaissance des choses..
Chapitre premier. — Pour traiter de l’Écriture, il faut savoir en découvrir et exposer le sens.
—II. — Les choses et les signes.
—III. — Division des choses.
—IV. — De là jouissance et de l’usage.
—V. — L’objet de notre jouissance est la sainte Trinité.
—VI. — Dieu ne peut se définir.
—VII. — Tous les hommes comprennent sous l’idée de Dieu l’être le plus excellent.
—VIII. — Dieu est la sagesse immuable et doit être préféré à tout.
—IX. — Tous les hommes portent le même jugement.
—X. — Pureté d’âme nécessaire pour voir Dieu.
—XI. — La sagesse incarnée nous apprend à purifier notre cœur.
—XII. — Comment la sagesse divine est venue à nous.
—XIII-XIV. — Comment la sagesse divine a guéri l’homme.
—XV. — La résurrection et l’ascension de J.-C. soutiennent notre foi ; le jugement la stimule.
—XVI. — Jésus-Christ purifie son Église.
—XVII. — La voie de la patrie ouverte dans le pardon des péchés.
—XVIII. — Les clefs confiées à l’Église.
—XIX. — Mort et résurrection du corps et de l’âme.
—XX-XXI. — Résurrection pour le châtiment.
—XXII. — Dieu seul objet de notre jouissance.
—XXIII. — L’homme s’aime naturellement. Quand cet amour est-il désordonné ?
—XXIV. — Personne ne hait sa propre chair, pas même celui qui la châtie.
—XXV. — Quel amour on doit à son corps.
—XXVI. — Du commandement qui prescrit l’amour de Dieu, du prochain et de soi-même.
—XXVII. — Ordre dans lequel on doit aimer.
—XXVIII. — Qui doit-on secourir de préférence.
—XXIX. — On doit tendre à ce que Dieu soit universellement aimé.
—XXX. — Tous les hommes et les Anges mêmes sont notre prochain.
—XXXI. — Dieu se sert de nous et n’en jouit pas.
—XXXII. — Comment Dieu se sert de l’homme.
—XXXIII. — Comment il faut jouir de l’homme.
—XXXIV. — Christ et la première voie qui mène à Dieu.
—XXXV. — L’amour de Dieu et du prochain est la plénitude et la fin de l’Écriture.
—XXXVI. — Ce qu’il faut penser d’une interprétation défectueuse de l’Écriture, si elle sert à édifier la charité.
—XXXVII. — On doit instruire un interprète qui se trompe.
—XXXVIII. — La charité demeure éternellement.
—XXXIX. — L’Écriture n’est point nécessaire à l’homme qui possède la foi, l’espérance et la charité.
—XL. — Dans quel esprit on doit lire l’Écriture.