Livre:Augustin - Œuvres complètes, éd. Raulx, tome XVI.djvu

TitreŒuvres complètes de Saint Augustin
VolumeXVI. Œuvres polémiques : Pélagiens
AuteurAugustin d’Hippone Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurRaulx
Maison d’éditionL. Guérin & Cie
Lieu d’éditionBar-le-Duc
Année d’édition1871
BibliothèqueUniversity of Toronto -> Internet Archive
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Série I  -  II  -  III  -  IV  -  V  -  VI  -  VII  -  VIII  -  IX  -  X  -  XI  -  XII  -  XIII  -  XIV  -  XV  -  XVI  -  XVII 

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TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE TOME SEIZIÈME.

ŒUVRES POLÉMIQUES.

CONTROVERSE PÉLAGIENNE.

REFUTATION DE DEUX LETTRES DES PÉLAGIENS
ADRESSÉE AU PAPE BONIFACE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
LIVRE PREMIER.
Chapitre premier. — Prééminence du pontife de Rome.
1
— II. Première calomnie de Julien. — Le libre arbitre n’a pas été détruit par le péché d’Adam.
2
— III. La grâce ne nous est pas donnée en vertu de nos mérites.
3
— IV. Les Pélagiens compromettent le libre arbitre.
4
— V. Seconde et troisième calomnies. — L’institution divine du mariage. Devoir conjugal.
4
— VI. Les Pélagiens proclament sans réserve l’innocence de l’union conjugale.
5
— VII. Quatrième accusation. — Les saints de l’Ancien Testament n’ont-ils pas été délivrés de leurs péchés ?
5
— VIII. Cinquième accusation. — Paul et les autres apôtres ont-ils été souillés par la concupiscence ?
6
— IX. On pèche par la volonté, quand c’est uniquement par la crainte du châtiment qu’on résiste au péché.
7
— X. Continuation du même sujet.
8
— XI. Nouvelle continuation du même sujet.
10
— XII. Sixième calomnie. — Soutenons-nous que Jésus-Christ n’a pas été exempt de tout péché ?
11
— XIII. Septième calomnie. — Soutenons-nous que tous les péchés ne sont pas remis dans le baptême ?
11
— XIV. Les crimes et les péchés véniels.
12
— XV. Julien et sa profession de foi anti-catholique. — Trois premiers articles.
13
— XVI. Adam et Eve s’aperçoivent et rougissent de leur nudité.
13
— XVII. La passion a-t-elle pu exister dans le paradis terrestre avant le péché ?
14
— XVIII. Quatrième antithèse de Julien.
15
— XIX. Le commencement de la bonne volonté est un don de la grâce.
15
— XX. Puissance de la grâce de Dieu.
16
— XXI. Cinquième calomnie de Julien : des justes de l’Ancien Testament.
17
— XXII. Sixième calomnie de Julien : De la grâce nécessaire à tous, et du baptême des enfants.
17
— XXIII. Septième calomnie : De l’effet du baptême.
18
— XXIV. Réponse à la conclusion de la lettre de Julien.
18
LIVRE DEUXIÈME.
Chapitre premier. — Pour les disciples de Pélage, les catholiques ne sont plus que des manichéens.
19
— II. En quoi les Manichéens et les Pélagiens se ressemblent et diffèrent.
19
— III. Calomnie des Pélagiens contre les clercs de l’Église romaine.
21
— IV. Continuation du même sujet.
22
— V. Qu’est-ce que le libre arbitre sans la grâce ?
23
— VI. Les partisans du destin, ce sont nos adversaires.
24
— VII. De l’acception des personnes.
25
— VIII. Le désir du bien même imparfait est un don de la grâce.
28
— IX. Interprétation légitime des textes faussés par les Pélagiens.
29
— X. Les élus sont appelés selon le décret de Dieu.
31
LIVRE TROISIÈME.
Chapitre premier. — Introduction.
33
— II. Les Pélagiens nous calomnient sur l’usage de l’ancienne loi.
33
— III. Les Pélagiens nous calomnient sur l’effet du baptême.
34
— IV. Les Pélagiens nous calomnient au sujet de l’Ancien Testament et des anciens justes.
36
— V. La justice des prophètes et des apôtres.
41
— VI. Un péché en Jésus-Christ.
42
— VII. De l’accomplissement des préceptes dans la vie future.
43
— VIII. Les trois points principaux de l’hérésie pélagienne.
48
— IX. La doctrine catholique tient le milieu entre le manichéisme et le pélagianisme, et les réfute.
49
— X. La question de l’origine de l’âme inutilement interjetée par les Pélagiens.
50
LIVRE QUATRIÈME.
Chapitre premier. — Les Cinq mystérieuses retraites des Pélagiens.
51
— II. Éloges donnés par les Pélagiens à la créature, au mariage, à la loi, au libre arbitre, aux saints.
51
— III. La doctrine catholique condamne à la fois les Pélagiens et les Manichéens.
52
— IV. La nature humaine devant les Pélagiens et les Manichéens.
53
— V. Du mariage.
56
— VI. Du libre arbitre. — Question insoluble.
58
— VII. Éloges donnés aux saints.
61
— VIII. Les Pélagiens réfutés par la tradition.
62
— IX. Doctrine de saint Cyprien sur la grâce de Dieu.
65
— X. Doctrine de saint Cyprien sur l’imperfection de notre justice.
67
— XI. Les Pélagiens réfutés par la doctrine de saint Ambroise sur le péché originel, sur la grâce de Dieu et sur l’imperfection de la justice ici-bas.
69
— XII. L’hérésie pélagienne bien postérieure à saint Ambroise. Les assemblées synodales ne sont pas toujours nécessaires pour condamner les hérésies.
73

CONTRE JULIEN DÉFENSEUR DU PÉLAGIANISME.
Traduction de M. l’abbé BUBLERAUX.
LIVRE PREMIER.
Saint Augustin y réfute, par le témoignage des saints Docteurs, l’impudence de Julien qui l’accusait de manichéisme pour avoir soutenu l’existence du péché originel. Dans la dernière partie de ce même livre, Augustin prouve que Julien lui-même professe des opinions favorables aux Manichéens.
75
LIVRE DEUXIÈME.
Les cinq principaux arguments des Pélagiens contre le péché originel, réfutés par l’autorité et le témoignage de dix évêques catholiques et du prêtre Jérôme.
101
LIVRE TROISIÈME.
Augustin entreprend de réfuter Julien par le raisonnement et en suivant l’ordre qui lui est tracé par l’ouvrage de son adversaire. Dans ce troisième livre, il réfute donc le premier livre de Julien et s’attache spécialement à prouver que la concupiscence est mauvaise, quoique Dieu soit réellement le créateur de l’nomme, et quoique le mariage soit légitime et d’institution divine.
125
LIVRE QUATRIÈME.
Saint Augustin répond au deuxième livre de Julien ; il y prouve que les vertus des infidèles ne sont pas des vertus véritables, et que les Gentils ont toujours regardé la concupiscence comme un mal.
154
LIVRE CINQUIÈME.
Saint Augustin y réfute le troisième livre de Julien. Répulsion des Chrétiens pour cette nouvelle hérésie. Le péché peut être le châtiment d’un péché précédent. La concupiscence est un vice et devient un crime pour ceux qui consentent à ses mouvements désordonnés. Le mariage véritable, en dehors de toute relation charnelle. Différence entre la chair de Jésus-Christ et celle des autres hommes.
191
LIVRE SIXIÈME.
Réponse au quatrième livre de Julien et à toutes ses arguties contre le traité du Mariage et de la Concupiscence. Existence du péché originel, prouvée par le baptême conféré aux enfants, par les paroles de saint Paul aux Romains et aux Corinthiens, et par le rite de l’exorcisme. Comparaison tirée de l’olivier franc et de l’olivier sauvage. Le péché originel, volontaire dans nos premiers parents, nous arrive par voie de transmission. Sanctification conférée par le baptême à l’âme et au corps. Témoignage tiré d’Ezéchiel.
223
DE LA GRÂCE ET DU LIBRE ARBITRE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
Chapitre premier. — Introduction.
268
— II. L’homme est doué du libre arbitre.
268
— III. La volonté requise, même pour connaître la loi.
270
— IV. La glace nécessaire à la volonté pour faire le bien.
271
— V. La grâce essentiellement gratuite.
273
— VI. En couronnant nos mérites. Dieu couronne ses dons.
275
— VII. La grâce, principe de tous nos mérites.
276
— VIII. La vie éternelle est une grâce.
277
— IX. La grâce pour la grâce.
278
— X. La loi et la grâce.
279
— XI. La loi n’est point la grâce.
280
— XII. La justice de la loi et la justice de la grâce.
280
— XIII. La nature n’est point la grâce.
281
— XIV. Si la grâce nous est donnée selon nos mérites.
282
— XV. Il faut vouloir et pouvoir.
284
— XVI. Dieu nous donne la volonté et l’action.
284
— XVII. Éloge et importance de la charité.
285
— XVIII. La charité vient de Dieu.
287
— XIX. La charité et la science.
289
— XX. Dieu tient dans ses mains le cœur et la volonté des méchants.
284
— XXI. Dieu agit sur le cœur des hommes pour incliner leur volonté.
291
— XXII. Les jugements de Dieu sont incompréhensibles.
292
— XXIII. Dieu fait miséricorde à qui il veut.
293
— XXIV. Conclusion.
294
DE LA CORRECTION ET DE LA GRÂCE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
Chapitre premier. — De la liberté pour le bien et pour le mal.
295
— II. Nous ne pouvons avoir que ce qui nous a été donné.
296
— III. Le précepte, le reproche et la prière.
296
— IV. Objection.
297
— V. Utilité de la correction.
297
— VI. La persévérance est un don de Dieu.
298
— VII. Les appelés et les élus.
300
— VIII. La volonté obtient la liberté par la grâce.
303
— IX. Les vrais enfants de Dieu.
304
— X. Le libre arbitre dans les anges et le premier homme.
307
— XI. Le premier homme avant sa chute.
309
— XII. Que celui qui se glorifie se glorifie dans le Seigneur.
311
— XIII. Le nombre des élus est déterminé.
314
— XIV. Dieu seul peut rendre la correction efficace et salutaire.
316

{{table|nodots|titre= — XV. Dieu veut que tous les hommes soient sauvés. 318

— XVI. Conclusion.
319

DE LA PRÉDESTINATION DES SAINTS.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.
Chapitre premier. — Saint Augustin se rend au désir qui lui est manifesté.
321
— II. La foi est elle-même un don de Dieu.
322
— III. Erreur de saint Augustin sur cette matière avant son épiscopat.
324
— IV. Nous avons tout reçu de Dieu.
325
— V. La grâce seule discerne les hommes entre eux.
326
— VI. Les voies de Dieu sont impénétrables.
328
— VII. La foi et les œuvres.
328
— VIII. La parole et l’enseignement du père.
329
— IX. Saint Augustin justifie le langage tenu par lui à une autre époque.
331
— X. La foi est un don de Dieu.
333
— XI. C’est Dieu qui nous fait faire le bien.
334
— XII. Nous serons jugés sur nos œuvres réelles.
335
— XIII. Le baptême n’est pas donné dans la prévision de la pénitence.
336
— XIV. Les pélagiens condamnés par l’Écriture et la tradition.
337
— XV. L’humanité de Jésus-Christ prédestinée gratuitement.
339
— XVI. Les dons et la vocation de Dieu sont sans repentance.
340
— XVII. C’est Dieu qui le premier choisit les hommes.
342
— XVIII. Dieu nous a choisis afin que nous fussions saints et immaculés.
343
— XIX. Dieu opère en nous le commencement même de la foi.
344
— XX. Dieu agit surtout en vue de notre bonheur éternel.
346
— XXI. Conclusion.
347

DU DON DE LA PERSÉVÉRANCE.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
Chapitre premier. — Ce qu’on entend ici par persévérance.
349
— II. La persévérance est un don de Dieu. Témoignages de saint Paul, de saint Pierre et de saint Cyprien, expliquant l’oraison dominicale.
349
— III. Troisième demande de l’oraison dominicale.
351
— IV. Quatrième demande.
352
— V. Dernières demandes.
352
— VI. On ne saurait perdre, mais on peut obtenir la persévérance.
353
— VII. Dieu veut qu’on lui demande la persévérance au nom de Jésus-Christ.
355
— VIII. Dieu donne aux uns la grâce parce qu’il est miséricordieux, il la refuse aux autres sans être injuste.
356
— IX. Les jugements de Dieu sont impénétrables.
358
— X. Pourquoi le Seigneur ne fit-il point ses grands miracles à Tyr et à Sidon ?
360
— XI. Du sort fait par Dieu aux petits enfants.
360
— XII. La grâce de Dieu purement gratuite.
362
— XIII. La grâce donnée absolument selon la volonté de Dieu.
365
— XIV. Le dogme de la prédestination ne saurait interdire la prédication.
366
— XV. On peut abuser du dogme de la prescience divine, comme du dogme de la prédestination.
369
— XVI. Quand on doit prêcher et quand on doit taire la vérité.
369
— XVII. Le dogme de la prédestination ne doit pas plus interdire l’exhortation à la vertu que le dogme de la grâce en général.
371
— XVIII. La prescience et la prédestination.
374
— XIX. La prédestination enseignée par saint Cyprien, saint Ambroise, saint Grégoire de Nazianze.
375
— XX. Avant même l’hérésie de Pélage, Augustin enseignait la prédestination.
377
— XXI. Quelle ingratitude de nier la grâce.
378
— XXII. Manière de prêcher au peuple la prédestination.
380
— XXIII. La prédestination dans les prières de l’Église.
382
— XXIV. Modèle de prédestination dans Jésus-Christ fait homme. — Conclusion.
384
CONTRE LA SECONDE RÉPONSE DE JULIEN,
OUVRAGE INACHEVÉ.
Traduction de M. l’abbé BARDOT.
LIVRE PREMIER.
Dieu est juste, avait dit Julien, il ne peut imputer à des enfants le péché d’autrui. De plus, le péché n’étant autre chose que le mauvais usage de la volonté, les enfants ne peuvent être coupables d’aucun péché, puisqu’ils ne peuvent faire aucun usage de leur volonté. Enfin le libre arbitre est le pouvoir de commettre le péché ou de s’en abstenir : c’est donc nier le libre arbitre que de nier l’existence du péché originel. Saint-Augustin, dans ce premier livre, réfute chacun de ces trois arguments.
386
LIVRE DEUXIÈME.
Julien, dans son second livre, avait soutenu que si, d’après saint Paul, un seul homme avait introduit le péché dans le monde, c’était uniquement par l’influence de son exemple. Saint Augustin prouve dans ce livre que le texte de saint Paul doit s’entendre de la transmission du péché originel.
467
LIVRE TROISIÈME.
Saint Augustin réfute ici le troisième livre de son adversaire. Julien y prétendait s’appuyer sur plusieurs passages de l’Écriture pour nier la transmission du péché originel : saint Augustin lui démontre comme il entend mal ces passages. Saint Augustin repousse aussi les attaques de Julien contre son livre du Mariage et de la Concupiscence.
566
LIVRE QUATRIÈME.
Réfutation du quatrième livre de Julien. Vainement il s’attaque au second livre du Mariage et de la Concupiscence. Saint Jean enseigne formellement que la « concupiscence de la chair ne vient pas du Père ». Si dans les brutes elle est naturelle, elle est pour l’homme un châtiment du péché d’origine, ce que prouve aussi le livre de la Sagesse.
655


FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.
Bar-le-Duc. — Typographie L. Guérin, rue de la Rochelle 49, 51