Livre:Augustin - Œuvres complètes, éd. Raulx, tome I.djvu
Titre | Œuvres complètes de Saint Augustin |
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Auteur | Augustin d’Hippone |
Éditeur | Poujoulat et Raulx |
Maison d’édition | L. Guérin & Cie |
Lieu d’édition | Bar-le-Duc |
Année d’édition | 1864 |
Bibliothèque | University of Toronto -> Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | I - II - III - IV - V - VI - VII - VIII - IX - X - XI - XII - XIII - XIV - XV - XVI - XVII |
Pages
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TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE PREMIER VOLUME.
PAR M. POUJOULAT.
Chapitre premier. — L’enfance et la jeunesse de saint Augustin jusqu’à son voyage à Rome.
— XXV. — Saint Paulin et Thérasie. — Inquiétudes de saint Augustin sur les législations pénales. — Son intervention en faveur des Donatistes. — Nouvelles instances de Nectarius de Calame et réponse de l’évêque d’Hippone. — Tendre admiration de Sévère, évêque de Milève. — Les invasions des Barbares. — Dioscore et saint Augustin. — Les païens de Madaure. — Longinien.
— XLV. — Autorité de saint Augustin établie par les plus illustres témoignages. — Les sept livres des Locutions et les sept livres des Questions sur les sept premiers livres de l’Écriture. — Les quatre livres contre les deux Épîtres des Pélagiens. — Contre Gaudentius et contre le mensonge. — Lettre à Optat. — Contre l’adversaire de la loi et des prophètes. — Durée et transformation diverses du manichéisme.
— LIV. — Réconciliation du comte Boniface avec l’impératrice Placidie. — Correspondance de saint Augustin avec Darius. — Lettre à Honoré sur les devoirs des prêtres dans les calamités publiques. — Peinture de la dévastation de l’Afrique par les Vandales. — L’ouvrage imparfait contre Julien. — Mort de saint Augustin.
— LV. — Hommage rendu à saint Augustin par Théodose le Jeune. — Boniface ; sa fin. — Levée du siège d’Hippone ; évacuation et ruine de cette ville. — Comment Salvien expliquait l’invasion des Vandales. — Bélisaire et la fin de la domination des Vandales en Afrique. — Un mot sur la chute rapide de l’Église d’Afrique. — Les reliques de saint Augustin. — Dernière appréciation de saint Augustin.
LES RÉTRACTATIONS.
traduction de m. de riancey.
Chapitre premier. — Contre les Académiciens. — Trois livres
de l’ordre. — deux livres
Chapitre premier. — Les deux livres à Simplicien.
— XLIII. — De la cité de Dieu. — Vingt-deux livres.
LES CONFESSIONS.
traduction de m. moreau.
Chapitre premier. — Grandeur de Dieu.
— II. — Dieu est en l’homme ; l’homme est en Dieu.
— III. — Dieu est tout entier partout.
— IV. — Grandeur ineffable de Dieu.
— V. — « Dites à mon âme : Je suis ton salut. »
— VI. — Enfance de l’homme ; Eternité de Dieu.
— VII. — L’enfant est pécheur.
— VIII. — Comment il apprend à parler.
— IX. — Aversion pour l’étude ; horreur des châtiments.
— X. — Amour du jeu.
— XI. — Malade, il demande le baptème.
— XII. — Dieu tournait à son profit l’imprévoyance même qui dirigeait ses études.
— XIII. — Vanité des fictions poétiques qu’il aimait.
— XIV. — Son aversion pour la langue grecque.
— XV. — Prière.
— XVI. — Contre les fables impudiques.
— XVII. — Vanité de ses études.
— XVIII. — Hommes plus fidèles aux lois de la Grammaire qu’aux Commandements de Dieu.
— XIX. — Fautes des enfants ; vices des hommes.
— XX. — Il rend grâces à Dieu des dons qu’il a reçus de lui dans son enfance.
Chapitre premier. — Désordres de sa jeunesse.
— II. — Ses débauches à seize ans.
— III. — Vices de son éducation.
— IV. — Larcin.
— V. — On ne fait point le mal sans intérêt.
— VI. — Il se trouve dans les péchés une imitation fausse des perfections divines.
— VII. — Actions de grâce.
— VIII. — Ce qu’il avait aimé dans ce larcin.
— IX. — Liaisons funestes.
— X. — Elan vers Dieu.
Chapitre premier. — Amour impurs.
— II. — Théâtres.
— III. — Insolence de la jeunesse de Carthage.
— IV. — Il se passionne pour la sagesse, à la lecture de l’Hortensius de Cicéron.
— V. — Son mépris pour l’Écriture.
— VI. — Il tombe dans l’erreur des Manichéens.
— VII. — Folie des Manichéens.
— VIII. — Ce que Dieu commande devient permis.
— IX. — Dieu juge autrement que les hommes.
— X. — Folie des Manichéens.
— XI. — Prières et larmes de sa mère.
— XII. — Parole prophétique d’un évêque.
Chapitre premier. Neuf années d’erreur.
— II. — Il enseigne la rhétorique ; son commerce illégitime avec une femme ; il rejette les offres d’un devin.
— III. — Sa passion pour l’astrologie.
— IV. — Mort d’un ami.
— V. — Pourquoi les larmes sont-elles douces aux affligés ?
— VI. Violence de sa douleur.
— VII. — Il quitte Thagaste.
— VII. — Sa douleur diminue avec le temps.
— IX. — L’amitié n’est vraie qu’en Dieu.
— X. — L’âme ne peut trouver son repos dans les créatures.
— XI. — Les créatures changent ; Dieu seul est immuable.
— XII. — Les âmes trouvent en Dieu le repos et l’immutabilité.
— XIII. — D’où procède l’amour. Livre qu’il avait écrit sur la beauté et la convenance.
— XIV. — Il avait dédié ce livre à l’orateur Hiérius. Estime pour les absents ; d’où vient-elle ?
— XV. — Son esprit, obscurci par les images sensibles, ne pouvait concevoir les substances spirituelles.
— XVI. — Génie de saint Augustin.
Chapitre premier. — « Que mon âme vous loue, Seigneur, pour vous aimer ! »
— II. — Où fuit l’impie en fuyant Dieu ?
— III. — Faustus. Aveuglement des philosophes.
— IV. — Malheur à la science qui ignore Dieu !
— V. — Folie de Manès.
— VI. — Eloquence de Faustus et son ignorance.
— VII. — Il se dégoûte des dorlrines manichéennes.
— VIII. — Il va à Rome malgré sa mère.
— IX. — Il tombe malade ; prières de sa mère.
— X. — Il s’éloigne du manichéisme dont il retient encore plus d’une erreur.
— XI. — Ridicules réponses des Manichéens.
— XII. — Déloyauté de la jeunesse romaine.
— XIII. — Il se rend à Milan pour enseigner la rhétorique. Saint Ambroice.
— XIV. — Il rompt avec les Manichéens et demeure catéchumène dans l’Église.
Chapitre premier. — Sainte Monique suit son fils à Milan.
— II. — Elle se rend à la défense de saint Ambroise.
— III. — Occupations de saint Ambroise.
— IV. — Assiduité d’Augustin aux sermons de saint Ambroise.
— V. — Nécessité de croire ce que l’on ne comprend pas encore.
— VI. — Misère de l’ambition.
— VII. — Son ami Alypius.
— VIII. — Alypius entraîné aux sanglants spectacles du cirque.
— IX. — Alypius soupçonné d’un larcin.
— X. — Intégrité d’Alypius. Ardeur de Nébridius à la recherche de la vérité.
— XI. — Vives perplexités d’Augustin.
— XII. — Ses entretiens avec Alypius sur le mariage et le célibat.
— XIII. — Sa mère n’obtient de Dieu aucune révélation sur le mariage de son fils.
— XIV. — Projet de vie en commun avec ses amis.
— XV. — La femme qu’il entretenait étant retournée en Afrique, il en prend une autre.
— XVI. — Sa crainte de la mort et du jugement.
Chapitre premier. — Il ne pouvait concevoir Dieu que comme une substance infiniment étendue.
— II. — Objection de Nébridius contre les Manichéens.
— III. — Peine qu’il éprouve à concevoir l’origine du mal.
— IV. — Dieu étant le souverain bien, est nécessairement incorruptible.
— V. — Ses doutes sur l’origine du mal.
— VI. — Vaines prédictions des astrologues.
— VII. — Tourments de son esprit dans la recherche de l’origine du mal.
— VIII. — Dieu entretenait son inquiétude jusqu’à ce qu’il connût la vérité.
— IX. — Il avait trouvé la Divinité du Verbe dans les livres des Platoniciens, mais non pas l’humilité de son incarnation.
— X. — Il découvre que Dieu est la lumière immuable.
— XI. — Les créatures sont et ne sont pas.
— XII. — Toute substance est bonne d’origine.
— XIII. — Toutes les créatures louent Dieu.
— XIV. — Il s’éveille enfin à la vraie connaissance de Dieu.
— XV. — Toutes choses participent de la vérité et de la bonté de Dieu.
— XVI. — Ce que c’est que le péché.
— XVII. — Par quels degrés il s’élève à la connaissance de Dieu.
— XVIII. — Jésus-Christ seul est la voie du salut.
— XIX. — Il prenait Jésus-Christ pour un homme d’éminente sagesse.
— XX. — Les livres des Platoniciens l’avaient rendu plus savant, mais plus vain.
— XXI. — Il trouve dans l’Ecriture l’humilité et la vraie voie du salut.
Chapitre premier. — Augustin va trouver le vieillard Simplicianus.
— II. — Simplicianus lui raconte la conversion de Victorinus-le-Rhéteur.
— III. — D’où vient que l’on ressent tant de joie de la conversion des pécheurs.
— IV. — Pourquoi les conversions célèbres doivent inspirer une joie plus vive.
— V. — Tyrannie de l’habitude.
— VI. — Récit de Potitianus.
— VII. — Agitation de son âme pendant le récit de Potitianus.
— VIII. — Lutte intérieure.
— IX. — L’esprit commande au corps ; il est obéi : l’esprit se commande, et il se résiste !
— X. — Deux volontés ; un seul esprit.
— XI. — Derniers combats.
— XII. — Prends, lis ! Prends, lis !
Chapitre premier. — Actions de grâces.
— II. — Il renonce à sa profession.
— III. — Sainte mort de ses amis Nébridius et Vérécundus.
— IV. — Son enthousiasme à la lecture des Psaumes.
— V. — Il consulte saint Ambroise.
— VI. — Il reçoit le baptême avec Alypius, son ami, et Adéodatus, son fils. Génie de cet enfant. Sa mort.
— VII. — Découverte des corps de saint Gervais et de saint Protais.
— VIII. — Mort de sainte Monique. Son éducation.
— IX. — Vertus de sainte Monique.
— X. — Entretien de sainte Monique avec son fils sur le bonheur de la vie éternelle.
— XI. — Dernières paroles de sainte Monique.
— XII. — Douleur de saint Augustin.
— XIII. — Il prie pour sa mère.
Chapitre premier. — Elévation.
— II. — Confession du cœur.
— III. — Pourquoi il confesse ce que la grâce a fait de lui.
— IV. — Quel fruit il espère de cette confession.
— V. — L’homme ne se connaît pas entièrement lui-même.
— VI. — Ce qu’il sait avec certitude, c’est qu’il aime Dieu.
— VII. — Dieu ne peut être connu par les sens.
— VIII. — De la Mémoire.
— IX. — Mémoire des sciences.
— X. — Les sciences n’entrent pas dans la mémoire par les sens.
— XI. — Acquérir la science, c’est rassembler les notions dispersées dans l’esprit.
— XII. — Mémoire des mathématiques.
— XIII. — Mémoire des opérations de l’esprit.
— XIV. — Mémoire des affections de l’âme.
— XV. — Comment les réalités absentes se représentent à la mémoire.
— XVI. — La mémoire se souvient de l’oubli.
— XVII. — Dieu est au delà de la mémoire.
— XVIII. — Il faut conserver la mémoire d’un objet perdu pour le retrouver.
— XIX. — Comment la mémoire retrouve un objet oublié.
— XX. — Chercher Dieu, c’est chercher la vie heureuse.
— XXI. — Comment l’idée de la béatitude peut être dans la mémoire.
— XXII. — Dieu unique joie du cœur.
— XXIII. — Amour naturel des hommes pour la vérité ; ils ne la haïssent que lorsqu’elle contrarie leurs passions.
— XXIV. — Dieu se trouve dans la mémoire.
— XXV. — Dans quelle partie de la mémoire trouvons-nous Dieu ?
— XXVI. — Dieu est la vérité que les hommes consultent.
— XXVII. — Ravissement de cœur devant Dieu.
— XXVIII. — Misère de cette vie.
— XXIX. — La grâce de Dieu est notre seul appui.
— XXX. — Triple tentation de la volupté, de la curiosité et de l’orgueil.
— XXXI. — De la volupté dans les aliments.
— XXXII. — Plaisir de l’odorat.
— XXXIII. — Plaisir de l’ouïe. Du chant de l’Église.
— XXXIV. — Volupté des yeux.
— XXXV. — Curiosité.
— XXXVI. Orgueil.
— XXXVII. — Disposition de son âme touchant le blâme et la louange.
— XXXVIII. — Vaine gloire, poison subtil.
— XXXIX. — Complaisance en soi-même.
— XL. — Coup d’œil sur tout ce qu’il a dit.
— XLI. — Ce qui le rejetait loin de Dieu.
— XLII. — Égarement des superbes qui ont eu recours aux anges déchus comme médiateurs entre Dieu et les hommes.
— XLIII. — Jésus-Christ, seul médiateur.
Chapitre premier. — La confession de nos misères dilate notre amour.
— II. — Il demande à Dieu l’intelligence des Écritures.
— III — Il implore la Vérité qui a parlé par Moise.
— IV. — Le ciel et la terre nous crient qu’ils ont été créés.
— V. — L’univers créé de rien.
— VI. — Comment Dieu a parlé.
— VII. — Le Verbe divin, Fils de Dieu, coéternel au Père.
— VIII. — Le Verbe éternel est notre unique Maître.
— IX. — Le Verbe parle à notre cœur.
— X. — La volonté de Dieu n’a pas de commencement.
— XI. — Le temps ne saurait être la mesure de l’éternité.
— XII. — Ce que Dieu faisait avant la création du monde.
— XIII. — Point de temps avant la création.
— XIV. — Qu’est-ce que le temps ?
— XV. — Quelle est la mesure du temps ?
— XVI. — Comment se mesure le temps ?
— XVII. — Où est le passé ? où est l’avenir ?
— XVIII. — Comment le passé et l’avenir sont présents.
— XIX. — De la prescience de l’avenir.
— XX. — Quels noms donner aux différrences des temps ?
— XXI. — Comment mesurer le temps ?
— XXII. — Il demande à Dieu la connaissance de ce mystère.
— XXIII. — Nature du temps.
— XXIV. — Le temps est-il la mesure du mouvement ?
— XXV. « Allumez ma lampe, Seigneur ; éclairez mes ténèbres ! »
— XXVI. — Le temps n’est pas la mesure du temps.
— XXVII. — Comment nous mesurons le temps.
— XXVIII. — L’esprit est la mesure du temps.
— XXIX. — De l’union avec Dieu.
— XXX. — Point de temps sans œuvre.
— XXXI. — Dieu connaît autrement que les hommes.
Chapitre premier. — La recherche de la vérité est pénible.
— II. — Deux sortes de cieux.
— III. — Des ténèbres répandues sur la surface de l’abime.
— IV. — Matière primitive.
— V. — Sa nature.
— VI. — Comment il faut la concevoir.
— VII. — Le ciel est plus excellent que la terre.
— VIII. — Matière primitive faite de rien.
— IX. — Le ciel du ciel.
— X. — Invocation.
— XI. — Ce que Dieu lui a enseigné.
— XII. — Deux ordres de créatures.
— XIII. — Créatures spirituelles ; matière informe.
— XIV. — Profondeur des Écritures.
— XV. — Vérités constantes, malgré la diversité des interprétations.
— XVI. — Contre les contradicteurs de la vérité.
— XVII. — Ce que l’on doit entendre par le ciel et la terre.
— XVIII. — On peut donner plusieurs sens à l’Écriture.
— XIX. — Vérités incontestables.
— XX. — Interprétations diverses des premières paroles de la Genèse.
— XXI. — Explications différentes de ces mots : « La terre était invisible. »
— XXII. — Plusieurs créations de Dieu passées sous silence.
— XXIII. — Deux espèces de doutes dans l’interprétation de l’Écriture.
— XXIV. — Difficulté de déterminer le vrai sens de Moïse entre plusieurs également vrais.
— XXV. — Contre ceux qui cherchent à faire prévaloir leur sentiment.
— XXVI. — Il est digne de l’Écriture de renfermer plusieurs sens sous les mêmes paroles.
— XXVII — Abondance de l’Écriture.
— XXVIII — Des divers sens qu’elle peut recevoir.
— XXIX. — De combien de manières une chose peut être avant une autre.
— XXX. — L’Écriture veut être interprétée en esprit de charité.
— XXXI. — Moïse a pu entendre tous les sens véritables qui peuvent se donner à ses paroles.
— XXXII. — Tous les sens véritables prévus par le Saint-Esprit.
Chapitre premier. — Invocation. Gratuite munificence de Dieu.
— II. — Toute créature tient l’être de la pure bonté de Dieu.
— III. — Tout procède de la grâce de Dieu.
— IV. — Dieu n’avait pas besoin des créatures.
— V. — De la Trinité.
— VI. — Comment l’Esprit de Dieu était porté au-dessus des eaux.
— VII. — Effets du Saint-Esprit.
— VIII. — L’union avec Dieu, unique félicité des êtres intelligents.
— IX. — Pourquoi il est dit, seulement du Saint-Esprit, qu’il était porté sur les eaux.
— X. — Bonheur des pures intelligences.
— XI. Image de la Trinité dans l’homme.
— XII. — Dieu procède dans l’institution de l’Église comme dans la création du monde.
— XIII. — Notre renouvellement n’est jamais parfait en cette vie.
— XIV. — L’âme est soutenue par la foi et l’espérance.
— XV. L’Écriture sainte comparée au firmament, et les anges aux eaux supérieures.
— XVI. Nul ne connaît Dieu comme Dieu se connaît lui-même.
— XVII. Comment on peut entendre la création de la mer et de la terre ?
— XVIII. Les justes peuvent être comparés aux astres.
— XIX. Voie de la perfection.
— XX. Sens mystique de ces paroles : « Que les eaux produisent les reptiles et les oiseaux. »
— XXI. Interprétation mystique des animaux terrestres.
— XXII. Vie de l’âme renouvelée.
— XXIII. De quoi l’homme spirituel peut juger.
— XXIV. Pourquoi Dieu a béni l’homme, les poissons et les oiseaux.
— XXV. Les fruits de la terre figurent les œuvres de piété.
— XXVI. — Le fruit des œuvres de miséricorde est dans la bonne volonté.
— XXVII. — Signification des poissons et des baleines.
— XXVIII. — Pourquoi Dieu dit que ses œuvres étaient très-bonnes.
— XXIX. — Comment Dieu a vu huit fois que ses œuvres étaient bonnes.
— XXX. — Rêveries manichéennes.
— XXXI. — Le fidèle voit par l’Esprit de Dieu, et Dieu voit en lui que ses œuvres sont bonnes.
— XXXII. — Vue de la création.
— XXXIII. — Dieu a créé le monde d’une matière créée par lui au même temps.
— XXXIV. — Sens mystique de la création.
— XXXV. — « Seigneur, donnez-nous votre paix. »
— XXXVI. — Le septième jour n’a pas eu de soir.
— XXXVII. — Comment Dieu se repose en nous.
— XXXVIII. — Différence entre la connaissance de Dieu et celle des hommes.
LES LETTRES.
TRADUCTION DE M. POUJOULAT.
— II. Augustin à Zénobe. — Saint Augustin adresse à son ami Zénobe quelques mots de philosophie et d’amitié. Il avait commencé avec lui une discussion philosophique qu’il avait fallu interrompre. Il lui exprime le désir de reprendre d’aussi utiles entretiens.
— III. Augustin à Nébride. — Saint Augustin parle à son ami Nébride de la vie heureuse et de ce qui fait le vrai bonheur.
— IV. Augustin à Nébride. — Saint Augustin parle à Nébride de ses progrès de solitaire dans la contemplation des choses éternelles.
— V. Nébride à Augustin. — Nébride déplore que les affaires des gens de Thagaste détournent trop souvent saint Augustin dans la contemplation.
— VI. Nébride à Augustin. — Nébride admire les lettres de saint Augustin. Il pose des questions sur la mémoire et l’imagination.
— VII. Augustin à Nébride. — Saint Augustin examine les deux questions proposées par Nébride.
— VIII. Nébride à Augustin. — Nébride demande à saint Augustin comment les puissances célestes peuvent nous envoyer, pendant le sommeil, des visions et des songes.
— IX. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à Nébride sur les questions précédentes.
— X. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à son ami qui l’accusait affectueusement de ne pas songer aux moyens de vivre ensemble.
— XI. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à son ami qui lui avait demandé pourquoi le Fils de Dieu s’est seul fait homme, tandis que les trois personnes divines sont inséparables.
— XII. Augustin à Nébride. — Saint Augustin revient à la question précédemment traitée.
— XIII. Augustin à Nébride. — Sur la question de savoir si quelque chose de corporel n’appartiendrait pas à l’âme.
— XIV. Augustin à Nébride. — Réponse à d’autres questions de Nébride. Belles pensées de saint Augustin sur le Christ et la création.
— XV. Augustin à Romanien. — Saint Augustin annonce à son ami Romanien son livre sur la Vraie Religion et l’exhorte à élever son âme au-dessus des biens temporels.
— XVI. Maxime de Madaure à Augustin. — Maxime de Madaure, qui était païen, défend le polythéisme, se moque de certains noms puniques, devenus des noms de saints, et adresse des reproches aux chrétiens et à leurs mystères.
— XVII. Augustin à Maxime de Madaure. — Saint Augustin mêle à de fines raillevies d’utiles leçons.
— XVII. Augustin à Cétestin. — Trois genres de natures.
— XIX. Augustin à Gaïus. — Saint Augustin envoie ses ouvrages à Gaïus qui n’était pas encore chrétien : il exprime l’espoir de le voir enfant de l’Église.
— XX. Augustin à Antonin. — Vœux exprimés pour qu’une même foi unisse une même famille. — Belles idées sur l’estime affectueuse qu’on témoigne à ceux qu’on croit gens de bien.
— XXI. Le prêtre Augustin à l’évêque Valère. — Saint Augustin ordonné prêtre malgré ses résistances, supplie le vieux Valère, évêque d’Hippone, de lui accorder un certain temps pour se préparer au saint ministère.
— XXII. Augustin, prêtre à Aurèle, évêque de Carthage. — Saint Augustin déplore des usages grossiers et coupables, sous apparence de religion, dans les cimetières et sur les tombeaux des martyrs.
— XXIII. Augustin, prêtre catholique, à Maximin, évêque donatiste. — Saint Augustin demande des explications à l’évêque Maximin qu’on accusait d’avoir rebaptisé un diacre catholique.
— XXIV. Paulin et Thérasie à l’évêque Alype. — Saint Paulin de Nôle parle de sa vie et demande à saint Alype lui-même l’histoire de sa vie et comment il est arrivé au christianisme.
— XIV. Paulin et Thérasie à Augustin. — Saint Paulin parle avec admiration d’un ouvrage de saint Augustin que saint Alype lui avait
envoyé.
— XXVI. Augustin à Licentius. — Saint Augustin exhorte au mépris du monde son jeune ami Licentius.
— XXVII. Augustin à Paulin. — Saint Augustin loue saint Paulin ; il lui parle de quelques uns ses meilleurs amis et parle de lui-même avec humilité.
— XXVIII. Augustin à Saint Jérôme. — Sur une nouvelle version des saintes Ecritures après les Septante. Le passage de l’Epitre aux Galates ; le mensonge officieux.
— XXIX. Augustin à Alype, évêque de Thagaste. Cette lettre renferme l’intéressant récit des efforts heureux de saint Augustin pour faire cesser les festins désordonnés qui se mêlaient à la célébration de la fête des saints.
— XXX. Paulin et Thérasie à Augustin. — Témoignage de respect et de pieuse affection pour saint Augustin.