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— XVIII. Les justes peuvent être comparés aux astres.
— XIX. Voie de la perfection.
— XX. Sens mystique de ces paroles : « Que les eaux produisent les reptiles et les oiseaux. »
— XXI. Interprétation mystique des animaux terrestres.
— XXII. Vie de l’âme renouvelée.
— XXIII. De quoi l’homme spirituel peut juger.
— XXIV. Pourquoi Dieu a béni l’homme, les poissons et les oiseaux.
— XXV. Les fruits de la terre figurent les œuvres de piété.
— XXVI. — Le fruit des œuvres de miséricorde est dans la bonne volonté.
— XXVII. — Signification des poissons et des baleines.
— XXVIII. — Pourquoi Dieu dit que ses œuvres étaient très-bonnes.
— XXIX. — Comment Dieu a vu huit fois que ses œuvres étaient bonnes.
— XXX. — Rêveries manichéennes.
— XXXI. — Le fidèle voit par l’Esprit de Dieu, et Dieu voit en lui que ses œuvres sont bonnes.
— XXXII. — Vue de la création.
— XXXIII. — Dieu a créé le monde d’une matière créée par lui au même temps.
— XXXIV. — Sens mystique de la création.
— XXXV. — « Seigneur, donnez-nous votre paix. »
— XXXVI. — Le septième jour n’a pas eu de soir.
— XXXVII. — Comment Dieu se repose en nous.
— XXXVIII. — Différence entre la connaissance de Dieu et celle des hommes.


LES LETTRES.
TRADUCTION DE M. POUJOULAT.
Lettre I. — Augustin à Hermogénien. — Il s’agit des philosophes désignés sous le nom d’Académiciens ; saint Augustin s’est occupé d’eux dans un de ses ouvrages ; il demande à son ami Hermogénien ce qu’il pense de ce qu’il en a dit.
— II. Augustin à Zénobe. — Saint Augustin adresse à son ami Zénobe quelques mots de philosophie et d’amitié. Il avait commencé avec lui une discussion philosophique qu’il avait fallu interrompre. Il lui exprime le désir de reprendre d’aussi utiles entretiens.
— III. Augustin à Nébride. — Saint Augustin parle à son ami Nébride de la vie heureuse et de ce qui fait le vrai bonheur.
— IV. Augustin à Nébride. — Saint Augustin parle à Nébride de ses progrès de solitaire dans la contemplation des choses éternelles.
— V. Nébride à Augustin. — Nébride déplore que les affaires des gens de Thagaste détournent trop souvent saint Augustin dans la contemplation.
— VI. Nébride à Augustin. — Nébride admire les lettres de saint Augustin. Il pose des questions sur la mémoire et l’imagination.
— VII. Augustin à Nébride. — Saint Augustin examine les deux questions proposées par Nébride.
— VIII. Nébride à Augustin. — Nébride demande à saint Augustin comment les puissances célestes peuvent nous envoyer, pendant le sommeil, des visions et des songes.
— IX. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à Nébride sur les questions précédentes.
— X. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à son ami qui l’accusait affectueusement de ne pas songer aux moyens de vivre ensemble.
— XI. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à son ami qui lui avait demandé pourquoi le Fils de Dieu s’est seul fait homme, tandis que les trois personnes divines sont inséparables.
— XII. Augustin à Nébride. — Saint Augustin revient à la question précédemment traitée.
— XIII. Augustin à Nébride. — Sur la question de savoir si quelque chose de corporel n’appartiendrait pas à l’âme.
— XIV. Augustin à Nébride. — Réponse à d’autres questions de Nébride. Belles pensées de saint Augustin sur le Christ et la création.
— XV. Augustin à Romanien. — Saint Augustin annonce à son ami Romanien son livre sur la Vraie Religion et l’exhorte à élever son âme au-dessus des biens temporels.
— XVI. Maxime de Madaure à Augustin. — Maxime de Madaure, qui était païen, défend le polythéisme, se moque de certains noms puniques, devenus des noms de saints, et adresse des reproches aux chrétiens et à leurs mystères.
— XVII. Augustin à Maxime de Madaure. — Saint Augustin mêle à de fines raillevies d’utiles leçons.
— XVII. Augustin à Cétestin. — Trois genres de natures.
— XIX. Augustin à Gaïus. — Saint Augustin envoie ses ouvrages à Gaïus qui n’était pas encore chrétien : il exprime l’espoir de le voir enfant de l’Église.
— XX. Augustin à Antonin. — Vœux exprimés pour qu’une même foi unisse une même famille. — Belles idées sur l’estime affectueuse qu’on témoigne à ceux qu’on croit gens de bien.