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XXVI. — Dieu gouverne tout sans cesser d’être immuable.
XXVII. — Comment Dieu parla-t-il à Adam ?


LIVRE IX.
création de la femme.
Chapitre premier. — Du sens attaché aux expressions : « Dieu fit encore de la terre toutes les bêtes des « champs, » et au mot terre.
II. — Comment Dieu prononça-t-il les paroles : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ? »
III. — La femme donnée à l’homme pour assurer la reproduction de l’espèce.
IV. — De la raison qui aurait empêché nos premiers parents de s’unir dans l’Éden.
V. — La femme n’a été donnée à l’homme pour compagne qu’en vue de la propagation de l’espèce.
VI. — Comment les générations se seraient-elles succédées sans le péché d’Adam.
VII. — Rôle de la femme. — Mérite de la virginité et du mariage. — Triple avantage des unions légitimes.
VIII. — La fuite d’un défaut fait souvent tomber dans un autre.
IX. — La femme était destinée à être mère lors même que le péché n’eût pas entraîné à la mort.
X. — La concupiscence est une maladie née du péché.
XI. — Si l’homme n’avait pas péché, la génération se serait faite sans passion.
XII. — Les animaux devant Adam.
XIII. — La formation de la femme est à la fois réelle et symbolique.
XIV. — Comment les animaux furent-ils présentés à Adam ?
XV. — La formation de la femme n’a eu que Dieu pour auteur.
XVI. — L’esprit humain incapable de comprendre les œuvres de Dieu.
XVII. — Le principe dont la femme devait sortir était-il renfermé dans la création virtuelle au sixième jour ?
XVIII. — La formation de la femme a eu une cause symbolique.
XIX. — De l’extase d’Adam.


LIVRE X.
l’origine des âmes.
Chapitre premier. — L’âme de la femme est-elle formée de celle de l’homme.
II. — Résumé des considérations faites dans les livres précédents sur l’origine de l’âme.
III. — Trois hypothèses sur l’origine de l’âme.
IV. — De quelques principes incontestables à propos de la nature et de l’origine de l’âme.
V. — L’âme n’est une émanation ni des Anges, ni des éléments, ni de la substance divine.
VI. — Textes de l’Écriture qui peuvent s’entendre de la création successive et de la transmission des âmes.
VII. — D’un passage de la Sagesse : À quelle hypothèse est-il favorable ?
VIII. — D’un passage du Psalmiste ; Qu’il ne contrarie aucune de ces hypothèses.
IX. — D’un passage de l’Ecclésiaste : Qu’il s’applique indifféremment aux deux hypothèses.
X. — Il est difficile de résoudre la question de l’origine de l’âme avec les textes de l’Écriture.
XI. — Du passage de Saint Paul relatif au péché originel, et du baptême des enfants.
XII. — La concupiscence de la chair tient à l’âme et à la chair tout ensemble.
XIII. — De l’avantage qu’on trouve à comprendre ainsi la concupiscence. — Du péché chez les enfants.
XIV. — L’existence du péché chez les enfants et le baptême prouvent-ils la propagation des âmes ?
XV. — Même sujet.
XVI. — Même sujet encore.
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XVII. — Discussion du texte de la Sagesse cité plus haut.
XVIII. — De l’âme du Christ : Le texte précédent la concerne-t-il ?
XIX. — L’âme du Christ n’était point dans Abraham ; elle n’est point venue par transmission.
XX. — Réponse qu’on pourrait faire dans l’hypothèse de la transmission des âmes.
XXI. — Il serait impossible que le Christ n’eût pas payé la dime, s’il avait été renfermé avec son âme dans la personne d’Abraham.
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XXII. — D’un passage de saint Jean : peut-il s’expliquer dans les deux hypothèses ?
XXIII. — Quelle est l’hypothèse la plus vraisemblable ? De la coutume où est l’Église de baptiser les enfants.
XXIV. — Conséquence que doivent éviter les partisans de la propagation des âmes.
XXV. — Erreur de Tertullien sur la nature de l’âme.
XXVI. — De l’accroissement de l’âme d’après Tertullien.


LIVRE XI.
chute et châtiment d’adam.
Chapitre premier. — Citation du texte ; Préliminaires.
II. — De la finesse du serpent ; d’où vient-elle ?
III. — Il n’a été permis au démon de tenter l’homme que sous la figure du serpent.
IV. — Pourquoi Dieu a-t-il permis que l’homme fut tenté ?
V. — La chute de l’homme vient de l’orgueil.
VI. — Pourquoi Dieu a-t-il permis la tentation ?
VII. — Pourquoi l’homme n’a-t-il pas été créé avec la volonté de ne pécher jamais ?
VIII. — Pourquoi Dieu a-t-il créé les méchants tout en prévoyant leur malice ?
IX. — Réfutation de la même objection.
X. — Dieu pourrait tourner au bien la volonté des méchants ; pourquoi ne le fait-il pas ?
XI. — Le châtiment des méchants ne constitue point une nécessité pour Dieu : c’est un moyen pour lui d’opérer le salut des bons.
XII. — Pourquoi Dieu a-t-il permis que la tentation se fît par l’organe du serpent ?
XIII. — Erreur des Manichéens sur l’origine du démon.