Livre:Œuvres complètes de Jean-Jacques Rousseau - II.djvu

TitreŒuvres complètes de J.-J. Rousseau Voir l'entité sur Wikidata, tome II : La Nouvelle Héloïse Voir l'entité sur Wikidata. Émile Voir l'entité sur Wikidata. Lettre à M. de Beaumont
AuteurJean-Jacques Rousseau Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionA. Houssiaux
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1852-1853
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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inclus:


TABLE

DES

MATIÈRES CONTENUES DANS CE VOLUME.

Pages.
LA NOUVELLE HÉLOISE ([* 1])
Préface 
 3
Seconde préface 
 4
PREMIÈRE PARTIE
Lettre première, à Julie 
 13
Son maître d’études, devenu amoureux d’elle, lui témoigne les sentiments les plus tendres. Il lui reproche le ton de cérémonie en particulier, et le ton familier devant tout le monde.
Lettre II, à Julie 
 15
L’innocente familiarité de Julie devant tout le monde avec son maître d’études retranchée. Plaintes de celui-ci à cet égard.
Lettre III, à Julie 
 16
Son amant s’aperçoit du trouble qu’il lui cause, et veut s’éloigner pour toujours.
Premier billet de Julie 
 ibid.
Elle permet à son amant de rester, et de quel ton.
Réponse 
 ibid.
L’amant persiste à vouloir partir.
Second billet de Julie 
 17
Elle insiste sur ce que son amant ne parte point.
Réponse 
 ibid.
Désespoir de l’amant.
Troisième billet de Julie 
 ibid.
Ses alarmes sur les jours de son amant. Elle lui ordonne d’attendre.
Lettre IV, de Julie 
 ibid.
Aveu de sa flamme. Ses remords. Elle conjure son amant d’user de générosité à son égard.
Lettre V, à Julie 
 18
Transport de son amant. Ses protestations du respect le plus inviolable.
Lettre VI, de Julie à Claire 
 19
Julie presse le retour de Claire, sa cousine, auprès d’elle, et lui fait entrevoir qu’elle aime.
Lettre VII. Réponse 
 20
Alarmes de Claire sur l’état du cœur de sa cousine, à qui elle annonce son retour prochain.
Lettre VIII, à Julie 
 21
Son amant lui reproche la santé et la tranquillité qu’elle a recouvrées, les précautions qu’elle prend contre lui, et ne veut plus refuser de la fortune les occasions que Julie n’aura pu lui ôter.
Lettre IX, de Julie 
 22
Elle se plaint des torts de son amant, lui explique la cause de ses premières alarmes, et celle de l’état présent de son cœur ; l’invite à s’en tenir au plaisir délicieux d’aimer purement. Ses pressentiments sur l’avenir.
Lettre X, à Julie 
 24
Impression que la belle âme de Julie fait sur son amant. Contradictions qu’il éprouve dans les sentiments qu’elle lui inspire.
Lettre XI, de Julie 
 25
Renouvellement de tendresse pour son amant, et en même temps d’attachement à son devoir. Elle lui représente combien il est important pour tous deux qu’il s’en remette à elle du soin de leur destin commun.
Lettre XII, à Julie 
 26
Son amant acquiesce à ce qu’elle exige de lui. Nouveau plan d’études qu’il lui propose, et qui amène plusieurs observations critiques.
Lettre XIII, de Julie 
 28
Satisfaite de la pureté des sentiments de son amant, elle lui témoigne qu’elle ne désespère pas de pouvoir le rendre heureux un jour ; lui annonce le retour de son père, et le prévient sur une surprise qu’elle veut lui faire dans un bosquet.
Lettre XIV, à Julie 
 29
État violent de l’amant de Julie. Effet d’un baiser qu’il a reçu d’elle dans le bosquet.
Lettre XV, de Julie 
 30
Elle exige que son amant s’absente pour un temps, et lui fait tenir de l’argent pour aller dans sa patrie afin de vaquer à ses affaires.
Lettre XVI. Réponse 
 31
L’amant obéit ; et par un motif de fierté, lui renvoie son argent.
Lettre XVII. Réplique 
 ibid.
Indignation de Julie sur le refus de son amant. Elle lui fait tenir le double de la première somme.
Lettre XVIII, à Julie 
 32
Son amant reçoit la somme, et part.
Lettre XIX, à Julie 
 ibid.
Quelques jours après son arrivée dans sa patrie, l’amant de Julie lui demande de le rappeler, et lui témoigne son inquiétude sur le sort d’une première lettre qu’il lui a écrite.
Lettre XX, de Julie 
 33
Elle tranquillise son amant sur ses inquiétudes par rapport au retard des réponses à ses lettres. Arrivée du père de Julie. Rappel de son amant différé.
Lettre XXI, à Julie 
 34
La sensibilité de Julie pour son père louée par son amant. Il regrette néanmoins de ne pas posséder son cœur tout entier.
Lettre XXII, de Julie 
 35
Étonnement de son père sur les connoissances et les talents qu’il lui voit. Il est informé de la roture et de la fierté du maître. Julie fait part de ces choses à son amant, pour lui laisser le temps d’y réfléchir.
Lettre XXIII, à Julie 
 36
Description des montagnes du Valais. Mœurs des habitants. Portraits des Valaisannes. L’amant de Julie ne voit qu’elle partout.
Lettre XXIV, à Julie 
 40
Son amant lui répond sur le paiement proposé des soins qu’il a pris de son éducation. Différence entre la position où ils sont tous deux par rapport à leurs amours et celle où se trouvoient Héloïse et Abélard.
Lettre XXV, de Julie 
 41
Son espérance se flétrit tous les jours ; elle est accablée du poids de l’absence.
Billet 
 42
L’amant de Julie s’approche du lieu où elle habite, et l’avertit de l’asile qu’il s’est choisi.
Lettre XXVI, à Julie 
 ibid.
Situation cruelle de son amant. Du haut de sa retraite, il a continuellement les yeux fixés sur elle. Il lui propose de fuir avec lui.
Lettre XXVII, de Claire 
 45
Julie à l’extrémité. Effet de la proposition de son amant. Claire le rappelle.
Lettre XXVIII, de Julie à Claire 
 45
Julie se plaint de l’absence de Claire ; de son père, qui veut la marier à un de ses amis ; et ne répond plus d’elle-même.
Lettre XXIX, de Julie à Claire 
 ibid.
Julie perd son innocence. Ses remords. Elle ne trouve plus de ressource que dans sa cousine.
Lettre XXX. Réponse 
 46
Claire tâche de calmer le désespoir de Julie, et lui jure une amitié inviolable.
Lettre XXXI, à Julie 
 48
L’amant de Julie, qu’il a surprise fondant en larmes, lui reproche son repentir.
Lettre XXXII. Réponse 
 49
Julie regrette moins d’avoir donné trop à l’amour que de l’avoir privé de son plus grand charme. Elle conseille à son amant, à qui elle apprend les soupçons de sa mère, de feindre des affaires qui l’empêchent de continuer à l’instruire, et l’informera des moyens qu’elle imagine d’avoir d’autres occasions de se voir tous deux.
Lettre XXXIII, de Julie 
 50
Peu satisfaite de la conduite des rendez-vous publics, dont elle craint d’ailleurs que la dissipation n’affoiblisse les feux de son amant, elle l’invite à reprendre avec elle la vie solitaire et paisible dont elle l’a tiré. Projet qu’elle lui cache, et sur lequel elle lui défend de l’interroger.
Lettre XXXIV. Réponse 
 51
L’amant de Julie, pour la rassurer sur la diversion dont elle lui a parlé, lui détaille tout ce qui s’est fait autour d’elle dans l’assemblée où il l’a vue, et promet de garder le silence qu’elle lui a imposé. Il refuse le grade de capitaine au service du roi de Sardaigne, et par quels motifs.
Lettre XXXV, de Julie 
 52
De la justification de son amant Julie prend occasion de traiter de la jalousie. Fût-il amant volage, elle ne le croira jamais ami trompeur. Elle doit souper avec lui chez le père de Claire. Ce qui se passera après le souper.
Lettre XXXVI, de Julie 
 54
Les parents de Julie obligés de s’absenter. Elle sera déposée chez le père de sa cousine. Arrangements qu’elle prend pour voir son amant en liberté.
Lettre XXXVII, de Julie 
 55
Départ des parents de Julie. Etat de son cœur dans cette circonstance.
Lettre XXXVIII, à Julie 
 ibid.
Témoin de la tendre amitié des deux cousines, l’amant de Julie sent redoubler son amour. Son impatience de se trouver au chalet, rendez-vous champêtre que Julie lui a assigné.
Lettre XXXIX, de Julie 
 56
Elle dit à son amant de partir sur l’heure pour

aller demander le congé de Claude Anet, jeune garçon qui s’est engagé pour payer les loyers de sa maîtresse, qu’elle protégeoit auprès de sa mère.

Lettre XL, de Fanchon Regard à Julie 57 Elle implore le secours de Julie pour avoir le congé de son amant. Sentiments nobles et vertueux de cette fille.

Lettre XLI. Réponse 58

Julie promet à Fanchon Regard, maîtresse de Claude Anet, de s’employer pour son amant.

Lettre XLII, à Julie ibid.

Son amant part pour avoir le congé de Claude Anet.

Lettre XLIII, à Julie ibid.

Générosité du capitaine de Claude Anet. L’amant de Julie lui demande un rendez-vous au chalet avant le retour de la maman.

Lettre XLIV, de Julie 59

Retour précipité de sa mère. Avantages qui résultent du voyage qu’a fait l’amant de Julie pour avoir le congé de Claude Anet. Julie lui annonce l’arrivée de milord Édouard Bomston, dont il est connu. Ce qu’elle pense de cet étranger.

Lettre XLV, à Julie 60

Où et comment l’amant de Julie a fait connoissance avec milord Édouard, dont il fait le portrait. Il reproche à sa maîtresse de penser en femme sur cet Anglois, et la somme du rendez-vous au chalet.

Lettre XLVI, de Julie 61

Elle annonce à son amant le mariage de Fanchon Regard, et lui fait entendre que le tumulte de la noce peut suppléer au mystère du chalet. Elle répond au reproche que son amant lui a fait par rapport à milord Édouard. Différence morale des sexes. Souper pour le lendemain, où Julie et son amant doivent se trouver avec milord Édouard.

Lettre XLVII, à Julie 62

Son amant craint que milord Édouard ne devienne son époux. Rendez-vous de musique.

Lettre XLVIII, à Julie 63

Réflexions sur la musique françoise et sur la musique italienne.

Lettre XLIX, de Julie 65

Elle calme les craintes de son amant, en l’assurant qu’il n’est point question de mariage entre elle et milord Édouard.

Lettre L, de Julie 66

Reproche qu’elle fait à son amant de ce qu’échauffé de vin au sortir d’un long repas il lui a tenu des discours grossiers, accompagnés de manières indécentes.

Lettre LI. Réponse 68

L’amant de Julie, étonné de son forfait, renonce au vin pour la vie.

Lettre LII, de Julie 69

Elle badine son amant sur le serment qu’il a fait de ne plus boire de vin, lui pardonne, et le relève de son voeu.

Lettre LIII, de Julie 70

La noce de Fanchon, qui devoit se faire à Clarens, se fera à la ville, ce qui déconcerte les projets de Julie et de son amant. Julie lui propose un rendez-vous nocturne, au risque d’y périr tous deux.

Lettre LIV, à Julie 71

L’amant de Julie dans le cabinet de sa maîtresse. Ses transports en l’attendant.

Lettre LV, à Julie 72

Sentiments d’amour, chez l’amant de Julie, plus paisibles mais plus affectueux et plus multipliés après qu’avant la jouissance.

Lettre LVI, de Claire à Julie 73

Démêlé de l’amant de Julie avec milord Édouard. Julie en est l’occasion. Duel proposé. Claire, qui apprend cette aventure à sa cousine, lui conseille d’écarter son amant pour prévenir tout soupçon. Elle ajoute qu’il faut commencer par vider l’affaire de milord Édouard, et par quels motifs.

Lettre LVII, de Julie 74

Raisons de Julie pour dissuader son amant de se battre avec milord Édouard, fondées principalement sur le soin qu’il doit prendre de la réputation de son amante, sur la notion de l’honneur réel et de la véritable valeur.

Lettre LVIII, de Julie à milord Édouard 79 Elle lui avoue qu’elle a un amant maître de son coeur et de sa personne. Elle en fait l’éloge, et jure qu’elle ne lui survivra pas.

Lettre LIX, de M. d’Orbe à Julie ibid. Il lui rend compte de la réponse de milord Édouard après la lecture de sa lettre.

Lettre LX, à Julie ibid.

Réparation de milord Édouard. Jusqu’à quel point il porte l’humanité et la générosité.

Lettre LXI, de Julie 82.

Ses sentiments de reconnoissance pour milord Édouard.

Lettre LXII, de Claire à Julie ibid.

Milord Édouard propose au père de Julie de la marier avec son maître d’études, dont il vante le mérite. Le père est révolté de cette proposition. Réflexions de milord Édouard sur la noblesse. Claire informe sa cousine de l’éclat que l’affaire de son amant a fait par la ville, et la conjure de l’éloigner.

Lettre LXIII, de Julie à Claire 85 Emportement du père de Julie contre sa femme et sa fille ; et par quel motif. Suites. Regrets du père. Il déclare à sa fille qu’il n’acceptera jamais pour gendre un homme tel que son maître d’études, et lui défend de le voir et de lui parler de sa vie. Impression que cet ordre fait sur le coeur de Julie. Elle remet à sa cousine le soin d’éloigner son amant.

Lettre LXIV, de Claire à M. d’Orbe 88 Elle l’instruit de ce qu’il faut d’abord faire pour préparer le départ de l’amant de Julie.

Lettre LXV, de Claire à Julie ibid.

Détail des mesures prises avec M. d’Orbe et milord Édouard pour le départ de l’amant de Julie. Arrivée de cet amant chez Claire, qui lui annonce la nécessité de s’éloigner. Ce qui se passe dans son coeur. Son départ.


Lettre

Première, à Julie 93

Reproches que lui fait son amant en proie aux peines de l’absence.

Lettre II, de milord Édouard à Claire 94 Il l’informe du trouble de l’amant de Julie, et promet de ne point le quitter qu’il ne le voie dans un état sur lequel il puisse compter.

Fragments joints à la lettre précédente 96 L’amant de Julie se plaint que l’amour et l’amitié le séparent de tout ce qu’il aime. Il soupçonne qu’on lui a conseillé de l’éloigner.

Lettre III, de milord Édouard à Julie 97 Il lui propose de passer en Angleterre avec son amant pour l’épouser, et leur offre une terre qu’il a dans le duché d’Yorck.

Lettre IV, de Julie à Claire 99

Perplexités de Julie, incertaine si elle acceptera ou non la proposition de milord Édouard. Elle demande conseil à son amie.

Lettre V. Réponse 100

Claire témoigne à Julie le plus inviolable attachement, et l’assure qu’elle la suivra partout, sans lui conseiller néanmoins d’abandonner la maison paternelle.

Billet de Julie à Claire 102

Julie remercie sa cousine du conseil qu’elle a cru entrevoir dans la lettre précédente.

Lettre VI, de Julie à milord Édouard ibid. Refus de la proposition qu’il lui a faite.

Lettre VII, de Julie 104

Elle relève le courage abattu de son amant, et lui peint vivement l’injustice de ses reproches. Sa crainte de contracter des noeuds abhorrés et peut-être inévitables.

Lettre VIII, de Claire 106

Elle reproche à l’amant de Julie son ton grondeur et ses mécontentements, et lui avoue qu’elle a engagé sa cousine à l’éloigner et à refuser les offres de milord Édouard.

Lettre IX, de milord Édouard à Julie ibid. L’amant de Julie plus raisonnable. Départ de milord Édouard pour Rome. Il doit à son retour reprendre son ami à Paris, l’emmener en Angleterre, et dans quelles vues.

Lettre X, à Claire 107

Soupçons de l’amant de Julie contre milord Édouard. Suites. Eclaircissement. Son repentir. Son inquiétude causée par quelques mots d’une lettre de Julie.

Lettre XI, de Julie 109

Elle exhorte son amant à faire usage de ses talents dans la carrière qu’il va courir, à n’abandonner jamais la vertu, et à n’oublier jamais son amante ; elle ajoute qu’elle ne l’épousera point sans le consentement du baron d’Etange, mais qu’elle ne sera point à un autre sans le sien.

Lettre XII, à Julie 112

Son amant lui annonce son départ.

Lettre XIII, à Julie 113

Arrivée de son amant à Paris. Il lui jure une constance éternelle, et l’informe de la générosité de milord Édouard à son égard.

Lettre XIV, à Julie 114

Entrée de son amant dans le monde. Fausses amitiés. Idée du ton des conversations à la mode. Contraste entre les discours et les actions.

Lettre XV, de Julie 117

Critique de la lettre précédente. Prochain mariage de Claire.

Lettre XVI, à Julie 119

Son amant répond à la critique de sa dernière lettre. Où et comment il faut étudier un peuple. Le sentiment de ses peines. Consolation dans l’absence.

Lettre XVII, à Julie 122

Son amant tout-à-fait dans le torrent du monde. Difficultés de l’étude du monde. Soupers priés. Visites. Spectacles.

Lettre XVIII, de Julie 128

Elle informe son amant du mariage de Claire, prend avec lui des mesures pour continuer leur correspondance par une autre voie que celle de sa cousine ; fait l’éloge des François ; se plaint de ce qu’il ne lui dit rien des Parisiennes ; invite son ami à faire usage de ses talents à Paris ; lui annonce l’arrivée de deux épouseurs, et la meilleure santé de madame d’Etange.

Lettre XIX, à Julie 131

Motif de la franchise de son amant vis-à-vis des Parisiens. Par quelle raison il préfère l’Angleterre à la France pour y faire valoir ses talents.

Lettre XX, de Julie 132

Elle envoie son portrait à son amant, et lui annonce le départ des deux épouseurs.

Lettre XXI, à Julie ibid.

Son amant lui fait le portrait des Parisiennes.

Lettre XXII, à Julie 139

Transports de l’amant de Julie à la vue du portrait de sa maîtresse. Lettre XXIII, de l’amant de Julie à madame d’Orbe 140 Description critique de l’Opéra de Paris.

Lettre XXIV, de Julie 145

Elle informe son amant de la manière dont elle s’y est prise pour avoir le portrait qu’elle lui a envoyé.

Lettre XXV, à Julie ibid.

Critique de son portrait. Son amant le fait réformer.

Lettre XXVI, à Julie 147

Son amant conduit, sans le savoir, chez des femmes du monde. Suite. Aveu de son crime. Ses regrets.

Lettre XXVII, de Julie 149

Elle reproche à son amant ses sociétés et sa mauvaise honte comme les premières causes de sa faute ; lui conseille de remplir sa fonction d’observateur parmi le bourgeois et même le bas peuple ; se plaint de la différence entre les relations frivoles qu’il lui envoie, et celles beaucoup meilleures qu’il adresse à M. d’Orbe.

Lettre XXVIII, de Julie 153

Les lettres de son amant surprises par sa mère.

ir, comme elle fait, aux sentimens d’une amitié fidelle, et lui demande son consentement pour avouer à son époux sa conduite passée. xxx

Lettre XIX. Réponse. Sentimens d’admiration et de fureur chez l’Ami de Julie. Il s’informe d’elle si elle est heureuse, et la dissuade de faire l’aveu qu’elle médite. xxx

Lettre XX. de Julie. Son bonheur avec M. de Wolmar, dont elle dépeint à son Ami le caractère. Ce qui suffit entre deux époux pour vivre heureux. Par quelle considération elle ne fera pas l’aveu quelle méditait. Elle rompt tout commerce avec son Ami ; lut permet de lui donner de ses nouvelles par Mde. d’Orbe dans les occasions intéressantes, et lui dit adieu pour toujours. xxx

Lettre XXI. de l’Amant de Julie à Milord Édouard. Ennuyé de la vie, il cherche à justifier le suicide. xxx

Lettre XXII. Réponse. Milord Édouard réfute avec force les raisons alléguées par l’Amant de Julie pour autoriser le suicide. xxx

Lettre XXIII. de Milord Édouard à l’Amant de Julie. Il propose à son ami de chercher le repos de l’âme, dans l’agitation d’une vie active. Il lui parle d’une occasion qui se préfente pour cela ; et sans s’expliquer davantage, lui demande sa réponse. xxx

Lettre XXIV. Réponse. Résignation de l’Amant de Julie aux volontés de Milord Édouard. xxx

Lettre XXV. de Milord Édouard à l’Amant de Julie. Il a tout disposé pour l’embarquement de son ami en qualité d’Ingénieur sur un Vaisseau d’une Escadre Angloise qui doit faire le tour du monde. ibid.

Lettre XXVI. de l’Amant de Julie à Mde. d’Orbe. Tendres adieux à Mde. d’Orbe et à Mde. de Wolmar.

QUATRIÈME PARTIE


Lettre Premiere de Mde. de Wolmar de à Mde. d’Orbe. Elle presse le retour de sa cousine, à par quels motifs. Elle désire que cette amie vienne demeurer pour toujours avec elle et sa famille. 1

Lettre II. Réponse de Mde. d’Orbe à Mde. de Wolmar. Projet de Mde. d’Orbe, devenue veuve, d’unir un jour sa fille au fils aîné de Mde. de Wolmar. Elle lui offre et partage la douce espérance d’une parfaite réunion. xxx

Lettre III. — De l’amant de Julie à Mme d’Orbe. Il lui annonce son retour, lui donne une légère idée de son voyage, lui demande la permission de la voir, et lui peint les sentimens de son cœur pour Mme de Wohnar. xxx

Lettre IV. — De M. de Wolmar à l’amant de Julie. Il lui apprend que sa femme vient de lui ouvrir son cœur sur ses égaremens passés, et il lui offre sa maison. Invitation de Julie. xxx

Lettre V. — De Mme d’Orbe à l’amant de Julie. Dans cette lettre étoit incluse la précédente. Mme d’Orbe joint son invitation à celle de M. et de Mme de Wolmar, et veut que le nom de Saint-Preux qu’elle avoit donné précédemment devant ses gens à l’amant de Julie, lui demeure au moins dans leur société.

Lettre VI. — De Saint-Preux à milord Édouard. Réceptinn que M. et Mme de Wolmar foni à Saint-Preux. Différons mouvemens dont son cœur est agité. Résolution qu’il prend de no jamais manquer à son devoir. xxx

Lettre VII. — De Mme de Wolmar à Mme d’Orbe. Elle l’instruit de l’état de son cœur, de la conduite de Saint-Preux, de la bonne opinion de M. de Wolmar pour son nouvel hôte, et de sa sécurité sur la vertu de sa femme, dont il refuse la confidence. xxx

Lettre VIII. — Réponse de Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Elle lui représente le danger qu’il pourroit y avoir à prendre son mari pour confident, et exige d’elle qu’elle lui envoie Saint-Preux pour quelques jours. xxx

Lettre IX. — De Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Elle lui renvoie Saint-Preux, dont elle loue les façons, ce qui occasionne une critique de la politesse maniérée de Paris. Présent qu’elle fait de sa petite fille à sa cousine. xxx

Lettre X. — De Saint-Preux à milord Édouard. Il lui détaille la sage économie qui regne dans la maison de M. de Wolmar relativement aux domestiques et aux mercenaires, ce qui amène plusieurs réflexions et observations critiques. xxx

Lettre XI. — De Saint-Preux à milord Édouard. Description d’une agréable solitude, ouvrage de la nature plutôt que de l’art, où M. et Mme de Wolmar vont se récréer avec leurs eufans, ce qui donne lieu à des réflexions critiques sur le luxe et le goût bizarre qui régnent dans les jardins des riches. Idée des jardins de la Chine. Ridicule enthousiasme des amateurs de fleurs. La passion de Saint-Preux pour Mme de Wolinar se change tout a coup en admiration pour ses vertus. xxx

Lettre XII. — De Mme de Wolmar à Mme d’Orbe. Caractère de M. de Wolmar, instruit même avant son mariage de tout ce qui s’est passé entre sa femme et Saint-Preux. Nouvelles preuves de son entière confiance en leur vertu. M. de Wolmar doit s’absenter pour quelque temps. Sa femme demande conseil à sa cousine pour savoir si elle exigera ou non que Saiut-Preux accompagne son mari. xxx

Lettre XIII. — Réponse de Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Elle dissipe les alarmes de sa cousine au sujet de Saint-Preux, et lui dit de prendre contre ce philosophe toutes les précautions superflues qui lui auroient été jadis si nécessaires. xxx

Lettre XIV. — De M. de Wolmar à Mme d’Orbe. Il lui annonce son départ, et l’instruit du projet qu’il a de confier l’éducation de ses enfans à Saint-Preux ; projet qui justifie sa conduite singulière à l’égard de sa femme et de son ancien Amant. Il informe sa cousine des découvertes qu’il a faites de leurs vrais sentiments, et des raisons de l’épreuve à laquelle il les met par son absence. xxx

Lettre XV. De Saint-Preux à Milord Édouard. Affliction de Mme de Wolmar. Secret fatal qu’elle révèle à Saint-Preux, qui ne peut pour le présent en instruire son ami. xxx

Lettre XVI. De Mme Wolmar à son mari. Elle lui reproche de jouir durement de la vertu de sa femme. xxx

Lettre XVII. De Saint-Preux à Milord Édouard. Danger que courent Mme de Wolmar et Saint-Preux sur le lac de Genève. Ils parviennent à prendre terre. Après le dîner, Saint-Preux mène Mme de Wolmar dans la retraite de Meillerie, où jadis il ne s’occupoit que de sa chère Julie. Ses transports à la vue des anciens monumens de sa passion. Conduite sage et prudente de Mme de Wolmar. Ils se rembarquent pour revenir à Clarens. Horrible tentation de Saint Preux. Combat intérieur qu’éprouve son amie. Ibid.

CINQUIÈME PARTIE.


Lettre Premiere de Milord Édouard à St-Preux. Conseils et reproches. Éloge d’Abauzit, citoyen de Genève. Retour prochain de Milord Édouard. xxx

Lettre II. De St-Preux à Milord Édouard. Il assure à son ami qu’il a recouvré la paix de l’âme ; lui fait un détail de la vie privée de M. et de Mme de Wolmar, et de l’économie avec laquelle ils font valoir leurs biens, et administrent leurs revenus. Critique du luxe de magnificence et de vanité. Le paysan doit rester dans sa condition. Raisons de la charité qu’on doit avoir pour les mendiants. Égards dus à la vieillesse. vieillesse. xxx

Lettre III. De Saint-Preux à milord Édouard. Douceur de recueillement dans une assemblée d’amis. Éducation des fils de M. et de Mme de Wolmar. Critique judicieuse de la manière dont on élève ordinairement les enfans. xxx

Lettre IV. De milord Édouard à Saint-Preux. Il lui demande l’explication des chagrins secrets de Mme de Wolmar, desquels Saint-Preux lui avoit parlé dans une lettre qui n’a pas été reçue. xxx

Lettre V. De Saint-Preux à milord Édouard. Incrédulité de M. de Wolmar, cause des chagrins secrets de Julie. xxx

Lettre VI. De Saint-Preux à milord Édouard. Arrivée de Mme d’Orbe avec sa fille chez M. de Wolmar. Transports et fêtes à l’occasion de cette réunion. xxx

Lettre VII. De Saint-Preux à milord Édouard. Ordre et gaielé qui régnent chez M. de Wolmar dans le temps des vendanges. Le baron d’Étange et Saint-Preux sincèrement réconciliés. xxx

Lettre VIII. De Saint-Preux à M. de Wolmar. Saint-Preux parti avec milord Édouard pour Rome. Il témoigne à M. de Wolmar la joie où il est d’avoir appris qu’il lui destine l’éducation de ses enfans. xxx

Lettre IX. De Saint-Preux à Mme d’Orbe. Il lui rend compte de la première journée de son voyage. Nouvelle foiblesse de son cœur. Songe funeste. Milord Édouard le ramène à Clarens pour le guérir de ses craintes chimériques. Sûr que Julie est en honne santé, Saint-Preux repart sans la voir. xxx

Lettre X. De Mme d’Orbe à Saint-Preux. Elle lui reproche de ne s’être pas montré aux deux cousines. Impression que fait sur Claire le rêve de Saint-Preux. xxx

Lettre XI. De M. de Wolmar à St-Preux. Il le plaisante sur son rêve, et lui fait quelques légers reproches sur le ressouvenir de ses anciennes amours. xxx

Lettre XII. De St-Preux à M. de Wolmar. Anciennes amours de milord Édouard. Motif de son voyage à Rome. Dans quel dessein il a emmené avec lui Saint-Preux. Celui-ci ne souffrira pas que son ami fasse un mariage indecent ; il demande à à ce sujet conseil à M. de Wolmar, et lui recommande le secret. xxx

Lettre XIII. De Mme de Wolmar à Mme d’Orbe. Elle a pénétré les secrets sentimens de sa cousine pour St. Preux ; lui représente le danger qu’elle peut courir avec lui, et lui conseille de l’épouser. xxx

Lettre XIV. D’Henriette à sa mère. Elle lui témoigne l’ennui où son absence amis tout le monde, loi demande des présens pour son petit midi, et ne s’oublie pas elle-même.

SIXIÈME PARTIE.


Lettre Première de Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Elle lui apprend son arrivée à Lausanne, où elle l’invite de venir pour la noce de son frère.

Lettre IL De Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Elle instruit sa cousine de ses sentiments pour Sainl-Prcux, Sa gaieté la mettra toujours à l’abri de tout danger. Ses raisons pour rester veuve.

Lettre II. De milord Édouard à M. de Wolmar. Il lui apprend l’heureux dénoûment de ses aventures, effet de la sage conduite de Saint-Preux, et accepte les offres que lui a faites M. de Wolmar de venir passer à Clarens le reste de ses jours.

Lettre IV. De M. de Wolmar à milord Édouard. Il l’invite de nouveau à venir partager, lui ei Saint-Preux, le bonheur de sa maison.

Lettre V. De Mme d’Orbe à Mme de Wolmar. Caractère, goûls et mœurs des habitants de Genève.

Lettre VI. De Mme de Wolmar à Saint-Preux. Elle lui fait part du dessein qu’elle a de le marier avec Mme d Orbe, lui donne des conseils relatifs à ce projet, et combat ses maximes sur la prière et la liberté.

Lettre VII, De Saint-Preux à Mme de Wolmar. Il se refuse au projet formé par Mme de Wolmar de l’unir à Mme u’Oibo, et par quels motifs. Il défend son sentiment sur la prière et sur la liberté.


Lett. VIII. De Mme de Wolmar à Saint-Preux

Elle lui fait des reproches dictés par l’amiiié, et à quello occasion. Douceur du désir, et charme de l’illusion. Douceurs de Julie, et quelles. Ses alarmes par rapport à l’incrédulité de son mari calmées, et par quelles raisons elle informe Saint-Preux d’une ])arlie qu’elle doit faire à Ghillon avec sa famille. Funeste pressentiment. Lett. IX. De Fanchon Anet à Saint-Preux 4

Mme de Wolmar se précipite dans l’eau, où elle voit tomber un de ses enfants. Lett. X. À Saint-Preux, commencée par Mme d’Orbe et achevée par M. de Wolmar

Mort de Julie. xxx


Lett. XLDe M. de Wolmar à Saint-Preux

Détail circonstancié de la maladie de Mme de Wolmar. Ses divcr.-î entretiens avec sa famille et avec un ministre sur les objets les plus importants. Retour de Claude Anet. Tranquillité d’âme de Julie au lit de mort. Elle expire entre les bras de sa cousine. On la croit faussement reudue à la vie. et à quelle occasion. Comment le rêve de Saint-P-eux est en quelque sorte accompli. Consternation de toute la maison Désespoir de Claire.


Lett. XII. De Julie à Saint-Preux

CcUe lellre éloil incluse dans la précédenle.

Julie regarde sa mort comme un bienfait du ciel, et par quel motif. Elle engage de nouveau Saint-Preux à épouser Mme d’Orbe, et le charge de l’éducation de ses enfants. Derniers adieux.


Lett. XIII. De Mme d’Orbe à Saint-Preux

Elle lui fait l’aveu de ses sentiments pour lui, et lui déclare en même temps qu’elle veut toujours rester libre. Elle lui représente l’importance des devoirs dont il est chargé ; lui annonce chez M. deWolmar des dispositions prochaines à abjurer son incrédulité ; l’invite, lui et milord Édouard, à se réunir à la famille de Julie. Vive peinture de l’amitié la plus tendre et de la plus araère douleur. Les amours de milord Édouard Bomston

Édouard fait connaisance à Romeavec une dame Napolitaine. Caractere de cette dame. Nature de leur liaison. Cette dame veut lui donner une maîtresse subalterne. Danger d’une situation qu’Édouard évite. Caractere de Laure : effet du véritable amour sur elle. Édouard la visite souvent sans l’aimer. Effet terrible de son assiduité auprès de Laure sur la marquise. Laure change de conduite, et se retire dans un couvent. La Marquise hors d’elle-même, divulgue sa propre intrigue. Situation singuliere d’Édouard. Entrepise funeste de la Marquise. Le Marquis meurt en Allemagne.

Édouard ne veut pas profiter de cet événement. Sa manière de vivre jusqu’au moment où il connut Julie.
Observations de J. J. Rousseau, etc. 
 386
Sujets d’Estampes pour la Nouvelle Héloïse 
 388


Avis de l’éditeur 
 393
 397
 399
 428
 492
 525
Profession de foi du vicaire Savoyard 
 566
Livre V. Sophie ou la femme 
 631
ÉMILE ET SOPHIE, ou les Solitaires.
Lettre I 
 723
Lettre II 
 738
Extrait d’une lettre du professeur Prévost de Genève sur la suite d’Émile ou les Solitaires. 
 745
MANDEMENT DE MONSEIGNEUR L’ARCHEVÊQUE DE PARIS 
 747
  1. La table et les sommaires qui en font partie ne se trouvent point dans les deux premières éditions d’Amsterdam et de Paris, 1761. Tout nous porte même à croire que ces sommaires ne sont point de Rousseau, et un passage de l’ouvrage de Dusaulx (De mes rapports avec J. J. Rousseau, p. 69) semble confirmer cette opinion. Cependant comme ces sommaires sont utiles et faits avec soin, et que tous les éditeurs des œuvres complètes les ont adoptés, c’étoit pour nous un devoir de les conserver dans cette édition. G. P.