Livre:Burckhardt - La civilisation en Italie au temps de la Renaissance. Tome 2.djvu
Titre | La civilisation en Italie au temps de la Renaissance. Tome 2 |
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Auteur | Jacob Burckhardt |
Traducteur | Louis Schmitt |
Maison d’édition | Plon |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1906 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | Tome I — Tome II |
Pages
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DU TOME SECOND.
LA DÉCOUVERTE DU MONDE ET DE L’HOMME.
COLOMB.
La cosmographie et les voyages.
LA SCIENCE DE LA NATURE EN ITALIE.
Tendances empiriques. — Dante et l’astronomie. — Immixtion de l’Église. — influence de l’humanisme. — La botanique ; les jardiniers. — La zoologie ; les collections d’animaux exotiques. — La suite d’Hippolyte de Médicis.
DÉCOUVERTE DE LA BEAUTÉ DE LA CAMPAGNE.
La campagne au moyen âge. — Pétrarque et les ascensions de montagnes. — Le Ditiamondo d’Uberti. — L’école de peinture flamande. — Sylvius Ænéas et ses descriptions.
DÉCOUVERTE DE L’HOMME ; LA PEINTURE MORALE DANS LA POÉSIE.
Expédients psychologiques ; les tempéraments. — Valeur des vers blancs. — Valeur du sonnet. — Dante et sa Vita nuova, — Sa Divine Comédie. — Pétrarque, peintre de l’âme. — Boccace et la Fiammetta. — Faible développement de la tragédie. — La pompe de la représentation considérée comme ennemie du drame. — Intermèdes et ballet. — Comédie ordinaire et comédie de masques. — Le spectacle complété par la musique. — L’épopée romantique. — Subordination nécessaire des caractères. — Pulci et Bojardo. — La loi intérieure de leur composition. — L’Arioste et son style. — Folengo et la parodie. — Contraste formé par le Tasse.
LES BIOGRAPHIES.
Progrès des Italiens comparativement au moyen âge. — Biographes toscans. — Autres contrées de l’Italie. — L’autobiographie ; Sylvius Ænéas. — Benvenuto Cellini. — Girolamo Cardano. — Luigi Cornaro.
LE CARACTERE DES PEUPLES ET DES VILLES.
Le Dittamondo. — Portraits du seizième siècle.
DESCRIPTION DE L’HOMME EXTÉRIEUR.
La beauté dans Boccace. — L’idéal de la beauté dans Firenzuola. — Ses définitions générales.
DESCRIPTION DE LA VIE ACTIVE.
Sylvius Ænéas et d’autres. — Bucolique conventionnelle depuis Pétrarque. — Manière vraiment poétique de traiter la vie champêtre. — Battista Mantovano, Laurent le Magnifique, Pulci. — Ange Politien. — L’humanité et l’idée de l’homme.
CINQUIÈME PARTIE
LA SOCIABILITÉ ET LES FÊTES.
LE NIVELLEMENT DES CLASSES.
Contraste avec le moyen âge. — La confusion des rangs dans les villes. — Négation théorique de la noblesse. — Conduite de la noblesse suivant le pays. — son attitude vis-à-vis de la culture. — Influence de l’Espagne sur la vie. — La chevalerie depuis le moyen âge. — Les tournois et leurs caricatures. — La noblesse exigée des courtisans.
RAFFINEMENTS EXTÉRIEURS DE LA VIE.
Habillement et modes. — Moyens de parure des femmes — La propreté. — Galateo et les bonnes manières. — Commodité et élégance.
LA LANGUE CONSIDÉRÉE COMME BASE DE LA SOCIABILITÉ.
Formation d'une langue idéale. — Sa propagation au loin. — Les puristes exagérés — Leur peu de succès. — La conversation.
LA FORME SUPÉRIEURE DE LA SOCIABILITÉ.
Convention et statuts. — Les nouvellistes et leur auditoire. — Les grandes dames et les salons. — La sociabilité à Florence. — Laurent décrivant son cercle.
L’HOMME DE SOCIÉTÉ ACCOMPLI.
Sa passion. — Ses aptitudes physiques et intellectuelles. — Les exercices du corps. — La musique. — Les instruments et les virtuoses. — Le dilettantisme dans la société.
SITUATION DE LA FEMME.
Son instruction toute masculine; ses poésies. — Sa personnalité devient complète. — La virago. — La femme dans la société. — La culture intellectuelle des courtisanes.
LA VIE D’INTÉRIEUR.
Contraste avec le moyen âge. — Agnolo Pandolfini. — La villa et la vie champêtre.
LES FÊTES.
Leurs formes principales ; mystères et processions. — Supériorité sur l’étranger. — L'allégorie dans l’art italien. — Représentants historiques des éléments généraux. — Les représentations de mystères. — La Fête-Dieu à Viterbe. — Représentations profanes. — Pantomimes et réceptions de princes. — Cortèges variés ; triomphes religieux. — Triomphes profanes. — Fêtes vénitiennes. — Le carnaval à Rome et à Florence.
MŒURS ET RELIGION.
LA MORALITÉ.
Limites du jugement. — Conscience de la démoralisation. — Le sentiment de l’honneur moderne. — Triomphe de l’imagination. — Amour du jeu et amour de la Ttngeance. — Adultère. — Position morale de la femme. — L’amour spiritualisé. — L’instinct du mal répandu partout. — Le brigandage. — Le
meurtre payé ; les empoisonnements. — Les criminels par instinct, — Rapport entre la moralité et l’individualisme.
LA RELIGION DANS LA VIE QUOTlDIENNE.
Absence de réformes. — Les Italiens et l’Église. — Haine contre la hiérarchie et le monachisme. — Les moines mendiants. — L’inquisition dominicaine. — Les ordres supérieurs. — On s’habitue à l’Église et à ses bénédictions. — Ceux qui prêchent la pénitence. — Girolamo Savonarole. — Le paganisme dans les
croyances populaires. — La croyance aux reliques. — Le service de Marie. — Vicissitudes du culte. — Grandes épidémies de pénitence. — Leur règlement parla police à Ferrare.
LA RELIGION ET L‘ESPRIT DE LA RENAISSANCE.
Subjectivité nécessaire, — Caractère mondain de l’esprit. — Tolérance à l’égard de l’islamisme. — Admission de toutes les religions. — Influence de l’antiquité. — Les épicuriens. — La théorie du libre arbitre. — Les humanistes pieux. — Juste milieu observé par les humanistes. — Débuts de la critique des
saints. — Fatalisme des humanistes. — Leur affectation de paganisme.
MÉLANGE DE SUPERSTITlONS ANTIQUES ET DE SUPERSTITIONS MODERNES.
L’astrologie. — Sa propagation et son influence. — Ses adversaires en Italie. — Réfutation de Pie et ses effets. — Différentes superstitions. — Superstitions des humanistes. — Revenants — Croyance aux démons. — La sorcière italienne. — Le pays des sorcières près de Norcia. — Invasion et limites de la sorcellerie du Nord. — Magie des courtisanes. — Le magicien et l‘exorciste. — Les démons sur la route de Rome. — Diverses espèces de sortilèges ; les tdesmata. — Magie employée lors de la pose de la première pierre. — Le nécromant chez les poètes. — Histoire magique de Benvenuto Cellini. — Décadence de la magie. — Espèces secondaires de magie : alchimie.
ÉBRANLEMENT DE LA FOI EN GÉNÉRAL.
La confession de Boscoli. — Confusion religieuse et scepticisme général. — Discussions sur l’immortalité. — Le ciel païen. — L’autre monde d’Homère. — Les doctrines chrétiennes se perdent. — Le théisme italien.
- APPENDICES
- INDEX ANALYTIQUE