Cette page n’a pas encore été corrigée
MŒURS ET RELIGION.
LA MORALITÉ.
Limites du jugement. — Conscience de la démoralisation. — Le sentiment de l’honneur moderne. — Triomphe de l’imagination. — Amour du jeu et amour de la Ttngeance. — Adultère. — Position morale de la femme. — L’amour spiritualisé. — L’instinct du mal répandu partout. — Le brigandage. — Le
meurtre payé ; les empoisonnements. — Les criminels par instinct, — Rapport entre la moralité et l’individualisme.
LA RELIGION DANS LA VIE QUOTlDIENNE.
Absence de réformes. — Les Italiens et l’Église. — Haine contre la hiérarchie et le monachisme. — Les moines mendiants. — L’inquisition dominicaine. — Les ordres supérieurs. — On s’habitue à l’Église et à ses bénédictions. — Ceux qui prêchent la pénitence. — Girolamo Savonarole. — Le paganisme dans les
croyances populaires. — La croyance aux reliques. — Le service de Marie. — Vicissitudes du culte. — Grandes épidémies de pénitence. — Leur règlement parla police à Ferrare.
LA RELIGION ET L‘ESPRIT DE LA RENAISSANCE.
Subjectivité nécessaire, — Caractère mondain de l’esprit. — Tolérance à l’égard de l’islamisme. — Admission de toutes les religions. — Influence de l’antiquité. — Les épicuriens. — La théorie du libre arbitre. — Les humanistes pieux. — Juste milieu observé par les humanistes. — Débuts de la critique des
saints. — Fatalisme des humanistes. — Leur affectation de paganisme.
MÉLANGE DE SUPERSTITlONS ANTIQUES ET DE SUPERSTITIONS MODERNES.
L’astrologie. ~ Sa propagation et son influence. — Ses adversaires en Italie. — Réfutation de Pie et ses effets. — Différentes superstitions. — Superstitions des humanistes. — Revenants — Croyance aux démons. — La sorcière italienne. — Le pays des sorcières près de Norcia. — Invasion et limites de la sorcel-