Livre:Richepin - Mes paradis, 1894, 2e mille.djvu

Titre	Mes paradis
Auteur	Jean Richepin
Lieu d’édition	Paris
Année d’édition	1894
Bibliothèque	Internet Archive
Fac-similés	djvu
Avancement	À valider

Pages

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TABLE DES MATIÈRES

À Maurice Bouchor

VIATIQUES

I.

II.

III.

La prisonnière

IV.

V.

VI.

VII.

VIII.

IX.

X.

XI.

L’incarnation du diable

XII.

XII.

XIV.

DANS LES REMOUS

I.

Au gouffre mouvant

II.

Mets donc le nez dans un livre

III.

Pauvre bougre, encore un livre

IV.

Notre immortalité n’est qu’une emphythéose

V.

Puis il ne s’agit pas d’éterniser ton nom

VI.

Ballade paresseuse

VII.

VIII.

Le premier avait faim. Le deuxième avait faim

IX.

Si tu pensais aux gueux qui n’ont rien à manger

X.

Va-t’en, tu n’es qu’un chien, si tu fais ton régal

XI.

Bien des bonheurs sont morts dont j’ai cuvé l’ivresse

XII.

Ballade à manger

XIII.

Ballade de la faim

XIV.

Du bon vieux roi Soleil aventureux dauphin

XV.

Je sais les soirs d’ivresse où l’on perd la mémoire

XVI.

Ivrogne, ta crapule est un vice de lâche

XVII.

Tais-toi donc, sobre, avec ton nez couleur de rave

XVIII.

Ballade à boire

XIX.

Ballade pour ne trop boire

XX.

Que tu sois putain ou pucelle

XXI.

À l’âge où je ne serai plus

XXII.

On a connu l’amour à plein corps, à plein cœur

XXIII.

« Soit ! dit-elle, je cède et me voici clémente

XXIV.

Ballade du ciel de lit

XXV.

Ballade pour faire peur du chat

XXVI.

Si l’on veut avoir chaud, il faut dormir à deux

XXVII.

Ô maîtresses d’un soir, figures abolies

XXVIII.

Ils croyaient que l’amour fini se recommence

XXIX.

Je connais deux vieillards qui se disent « je t’aime »

XXX.

Ballade des amours nouveaux

XXXI.

Ballade de l’hirondelle

XXXII.

J’ai vécu. Voici mon avis

XXXIII.

Autre conseil, au temps des fleurs

XXXIV.

Ô fatigue de vivre ! Encore une journée

XXXV.

Tes guêtres ! Ton bâton ! Ton sac ! Ouvre ta porte

XXXVI.

Ballade de la reine des fleurs

XXXVII.

Ballade de la chimère

XXXVIII.

Si tu veux arriver (comme on dit), prends modèle

XXXIX.

Mais des succès d’un jour si tu n’es point rapace

XL.

On t’appelle jongleur, virtuose, acrobate

XLI.

Mais reste simple. L’œuvre est grande et magistrale

XLII.

XLIII.

Ballade au détriment des lois

XLIV.

Oh ! de quels beaux pays vous voilà revenus

XLV.

Passager toujours prêt à reprendre passage

XLVI.

Clos-toi dans ton orgueil comme un loup dans son antre

XLVII.

Solitude, manoir de Belle au bois dormant

XLVIII.

Ballade à la gloire des humbles

XLIX.

Ballade de l’orgueil

L.

Laisse donc aux faiseurs d’embarras, aux messieurs

LI.

Frappe et l’on t’ouvrira. C’est le conseil du sage

LII.

« Vous saignez ! Je mettrai mes doigts dans la blessure

LIII.

Ne va pas t’indigner, mon cœur. Cela t’enseigne

LIV.

Ballade fraternelle

LV.

Ballade de la guerre

LVI.

Une Majesté, toi ! Tu n’en as que la mine

LVII.

Ô jeunesse, c’est toi qu’il faut que l’on vénère

LVIII.

Ne nous faisons donc pas meilleurs que nous ne sommes

LIX.

Quand mon heure viendra d’être dans les partants

LX.

Ballade des sales vieux

LXI.

Ballade des bons vieux

LXII.

Salut, Terre ! Salut, mère ! Salut, nourrice !

LXIII.

Ô pain qui nous fais vivre et dont nous crèverons

LXIV.

Soir de Noël ! Je meurs de faim. Autrui se gave

LXV.

Dans la cave un rayon de soleil ! Le serpent

LXVI.

Ballade du bon pain

LXVII.

Ballade de la rose

LXVIII.

Poète, ne sois pas clairon ; mais cornemuse

LXIX.

Assez chanté pour eux de ces lâches chansons

LXX.

On a de ces jours-là, pourtant ! Adieu devoir

LXXI.

Il est bon que parfois vous vous exterminiez

LXXII.

Ballade de la force

LXXIII.

Ballade du droit

LXXIV.

Qui donc n’a pas rêvé d’être un Napoléon

LXXV.

La vie ! Une chambrée. On ne peut à l’écart

LXXVI.

De la dame de pique à l’œil faux de catin

LXXVII.

Ton bonheur dépendrait d’une carte qui sort !

LXXVIII.

Ballade de l’ours

LXXIX.

Ballade de la lyre

LXXX.

Ô mort, bon fantôme aux yeux creux

LXXXI.

Ce qui fait la félicité

LXXXII.

Dans le ciel de fournaise où flambe Thermidor

LXXXIII.

Ô feu, fils du soleil, feu rouge et radieux

LXXXIV.

Ballade des plaisirs

LXXXV.

Ballade de la peine

LXXXVI.

Arbre sans pied ni cime, aux branchages touffus

LXXXVII.

Mais il ne fleurit pas, Nature, ton printemps

LXXXVIII.

Heureux qui ne sait rien ! Pour lui tout est féerique

LXXXIX.

Heureux qui sait tout ! L’âme éparse dans les choses

XC.

Ballade métaphysique

XCI.

Ballade antimétaphysique

XCII.

Quoi ! Sonner la diane à ce peuple endormi

XCIII.

Mais qui leur chantera l’annonce des matins

XCIV.

Puisque tu n’as au dos que des embryons d’ailes

XCV.

Non, ce n’est pas encor la nuit et le silence

XCVI.

Ballade des méchantes étoiles

XCVII.

Ballade pour les étoiles quand même

XCVIII.

Qui que tu sois qui vis en moi, qu’on nomme l’âme

XCIX.

Et tandis que mon corps cherche le bien physique

C.

Ô moi, mon pauvre moi, parle, fais-toi connaître

CI.

Ah ! ce n’est pas deux moi qui sont en moi ! C’est dix

LES ÎLES D’OR

I.

À la fin j’ai compris vos voix

II.

Ainsi, vous fuirez, les îles

III.

Puis, que ces terres soient fuyardes, je l’accorde

IV.

Il en est aussi dont le sol

V.

Et celles qui n’étaient que des glaçons flottants

VI.

Ah ! celles dont les fontaines

VII.

Celle-ci, dont l’aspect fut moins miraculeux

VIII.

Et cette autre où, le dos vautré dans les élymes

IX.

Il en est qui sont des volcans

X.

Il en est où l’on fut ensemble et le César

XI.

Ô mots, dont j’ai loué si souvent le pouvoir

XII.

Une menotte vous serre

XIII.

Fleur sorcière dont le nom seul fait tressaillir

XIV.

Car vous avez beau dire, il faut que les pétales

XV.

Et donc sois d’ici proscrite

XVI.

Oui, femmes, notre corps au pourchas de votre âme

XVII.

Seins de neige, oreillers de fraîcheur et d’oubli

XVIII.

Tous les baisers, tous les baisers, premier baiser

XIX.

Amour au même nid fidèle

XX.

Ne vous arrogez pas ce droit

XXI.

Ne vous plaignez pas des alarmes

XXII.

Les plus folles images sont vaines

XXIII.

À la crête d’un flot deux gouttes écumant

XXIV.

Îles d’or vert

XXV.

Mais avant celles-là dont le net souvenir

XXVI.

Écoutez ! Là-bas ! Dans le matin

XXVII.

Qu’a donc le cher mignon à s’agiter ainsi ?

XXVIII.

Premiers pas en équilibre

XXIX.

Voilà que fleurit

XXX.

« Il était une fois… » On jouait ; on s’arrête

XXXI.

Joyeux réveils, messagers

XXXII.

Prismatique archipel des premiers livres lus

XXXIII.

Car c’est l’âme de mes vingt ans

XXXIV.

Vingt ans hier ! Vingt ans sonnés !

XXXV.

Ah ! pauvret, ta chanson rabâche

XXXVI.

Il en est. Je les dirai

XXXVII.

Et d’abord celles-ci, deux sœurs qui font la paire

XXXVIII.

Voici, certe, un miracle aussi miraculeux

XXXIX.

À table, les amis, à table ! Pas bien grande

LX.

Je n’en veux pas à qui se montre un peu trop fier

LXI.

Merci, toi qu’on se fait à ses propres dépens

LXII.

En quatre mouvements, deux temps, quelques avis

LXIII.

Ô sagesse avisée où je suis maintenant

LXIV.

De la musique ! Plus de paroles

LXV.

Ô lumière, couleurs, formes, fête des yeux

LXVI.

On a passé le jour en tracas, en manœuvres

LXVII.

Quel hiver peut faner vos rosiers remontants

LXVIII.

Santé des quarante ans, où semble que renaisse

LXIX.

Je les plains, les purs cerveaux

L.

Ne pas croire l’idée une plante de serre

LI.

Ô Douleur, hydre bicéphale

LII.

Hors, hors de ton château, la Belle au bois dormant

LIII.

Pardon, Métaphysique, oh ! pardon

LIV.

Loin, plus loin, par delà les ultimes Thulés

LV.

Îles de l’idéal qu’on bâtit pour les autres

LVI.

Et voilà qu’une fois encor

LVII.

Enivre-toi toujours, pleinement, follement

LVIII.

Enivre-toi quand même, et non moins follement

LIX.

Mais surtout, sois aimé, sois aimant, follement

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