Même, toi, le pape romain,
Et rien n’est agréable comme
Quand on a du poil dans la main.
Eh ! laisse là ton attirail
Et l’affreux devoir qui te somme
De te meurtrir tant le poitrail.
Tout ça ne vaut pas une pomme.
De ta sueur sois économe,
Et couche-toi sur le chemin,
Puisque tout chemin mène à Rome
Quand on a du poil dans la main.
ENVOI
Prince, ma ballade t’assomme ?
Et moi !… C’est dur, jusqu’à demain
De chercher des rimes en omme,
Quand on a du poil dans la main.