Correspondance de Voltaire/1731-1735

1721 à 1730

1731 — 1735

1736 à Septembre 1738
Correspondance de Voltaire
Œuvres complètes de Voltaire, tome 33
Correspondance : 1731-1735Garnier.

1731

206. 
Cideville. 10 janvier 1731. — « Je ne l’ai plus, aimable Cideville. » 
 B.
207. 
Cideville (à vous seul). 30 janvier. — « Vous m’avez toujours un peu aimé. » 
 B.
208. 
Cideville. 3 février 1731. — « Je suis enchanté, pénétré. » 
 B.
209. 
Cideville. 16 février. — « M. le premier président. » 
 B.
210. 
Cideville. 2 mars. — « Comme je vis ici. » 
 B.
211. 
M. Favières. 4 mars. — « Je vous suis très-obligé. » 
 B.
212. 
Thieriot. 1er mai. — « Je vous écris enfin. » 
 B.
213. 
Formont. — « qu’entre Cideville et vous. » 
 B.
214. 
Thieriot. 1er juin. — « Je t’écris d’une main. » 
 B.
215. 
Thieriot. 30 juin. — « J’ai reçu votre lettre. » 
 B.
216. 
Aux auteurs du Nouvelliste du Parnasse. — « On m’a fait tenir à la campagne. » 
 B.
217. 
Cideville. — « Vous n’avez point ici de maîtresse. » 
 B.
218. 
Formont. — « Je serais un homme bien ingrat. » 
 B.
219. 
Cideville. 5 août 1731. — « Je vous remercie, mon cher ami » 
 B.
220. 
Cideville. 13 août. — « Voici donc tout simplement. » 
 B.
221. 
Cideville. 19 août 1731. — « Comment va votre santé ? » 
 B.
222. 
Cideville. 3 septembre. — « J’ai été bien malade. » 
 B.
223. 
Formont. septembre. — « Les beaux-arts sont perdus. » 
 B.
224. 
Formont. 8 septembre. — « Je reçois trois de vos lettres. » 
 B.
225. 
Cideville. 27 septembre. — « La mort de M. de Maisons. » 
 B.
226. 
Cideville. 2 octobre. — « La mort de M. de. Maisons. » 
 B.
227. 
Formont. Octobre. — « Le courrier va partir. » 
 C. et F.
228. 
Formont. Octobre 1731. — « Eh ! bien, mon cher Formont ! » 
 B.
229. 
Cideville. 2 novembre. — « Mon cher et aimable Cideville. » 
 B.
230. 
Formont. 21 novembre. — « Il y a quelques jours. » 
 C. et F. (suppl.)
231. 
Brossette. 25 novembre 1731. — « Il n’y apersonne, monsieur. » 
 B.
232. 
Cideville. Nov. 1731. — « D’où vient donc, mon cher Cideville. » 
 B.
233. 
Thieriot. 1er décembre. — « Je viens enfin de voir tout à l’heure. » 
 B.
234. 
Formont. 10 décembre. — « Grand merci de la prudence. » 
 B.
235. 
Cideville. — « Eriphyle et ma machine malade. » 
 B.
236. 
Thieriot. — « Je viendrai dîner mort ou vif. » 
 C. et F.
237. 
Formont. 26 décembre 1731. — « J’ai reçu votre lettre par les mains de Thieriot » 
 B.

1732

238. 
Moncrif. Janvier 1732. — « Vous savez peut-être. » 
 C. et F.
239. 
Moncrif. — « Je suis si malade ce matin. » 
 C. et F.
240. Cideville. 3 février 1732. — « Enfin, mon cher Cideville, Ériphyle. » 
 B.
241. Cideville. 27 février 1732. — « La beauté qu’en secret. » 
 B.
242. La princesse de Guise. Mars. — « Mon petit voyage à Arcueil. » 
 B.
243. Cideville. 8 mars. — « Il faut vous donner les prémices. » 
 B.
244. Cideville. 17 mars 1732. — « Voici M. de Linant. » 
 B.
245. Moncrif. Mars 1732. — « Je devrais venir vous remercier. » 
 C. et F.
246. Moncrif. Mars. — « Mon cher Valérius, votre consulat. » 
 B.
247. Moncrif. — « Mon cher Ahdérite. » 
 C. et F
248. Moncrif. — « La princesse Ériphyle est si charmée. » 
 B. et F.
249. Moncrif. — « Muse aimable, muse badine. » 
 B.
250. M. de La Préverie. 24 mars 1732. — « Vous m’avez engagé, monsieur. » 
 B. et F. (app. 1865.)
251. Moncrif. 13 avril 1732. — « M. de Moncrif est supplié. » 
 C. et F.
252. Brossette. 14 avril. — « Je suis bien flatté de plaire. » 
 B.
253. Bertin du Rocheret. 14 av. 1732. — « Je n’ai reçu que fort tard. » 
 Bull. bibl. 1859
254. Thieriot. 14 avril 1732. — « You are my friend. » 
 P. in. 1820.
255. Formont. — « Si je vous faisais des compliments. » 
 C. et F.
256. Cideville. 17 avril 1732. — « Je demande pardon à mon très-cher. » 
 B.
257. Formont. 29 avril. — « Formont, chez nous tant regretté. » 
 B.
258. Cideville. 2 mai. — « Jore est parti. » 
 B.
259. Formont. — « Vous m’avez écrit une lettre. » 
 C. et F. (suppl.)
260. Cideville. 8 mai. — « Mes chers Aristarques, je vous obéis. » 
 B.
261. Cideville. 9 mai. — « Mme  de Fontaine-Martel. » 
 B.
262. Thieriot. 13 mai 1732. — « I thank you. » 
 P. in. 1820
263. Cideville. 16 mai. — « J’ai reçu aujourd’hui Ériphyle. » 
 B.
264. Thieriot. 26 mai 1732. — « I am very sorry. » 
 P. in. 1820.
265. Cideville. 29 mai. — « Je lisais, ces jours passés. » 
 B.
266. Moncrif. — « Si je n’étais pas lutiné. » 
 C. et F.
267. Formont. 29 mai. — « Je viens demander. » 
 B.
268. Formont. 25 juin. — « Grand merci, mon cher ami. » 
 B.
269. Cideville. 27 juin. — « Un homme qui vient d’achever. » 
 B.
270. Thieriot. 9 juillet 1732. — « I have not written. » 
 P. in. 1820.
271. Cideville. 10 juillet. — « Oui, je vais, mon cher Cideville. » 
 B.
272. Formont. — « Je ne comptais pas vous écrire. » 
 B.
273. Cideville. 3 août 1732. — « Votre ami, M. de Lézean. » 
 B.
274. Tressan. 3 août. — « Tressan, l’un des grands favoris. 
 B.
275. Cideville. 9 août. — « Messieurs Formont et Cideville. » 
 B.
276. Cideville. 21 août. — « Je reçois dans l’instant. » 
 B.
277. M. de La Roque. — « Quoique pour l’ordinaire. » 
 B.
278. Cideville. 25 août. — « Mes chers et aimables critiques. » 
 B.
279. Cideville. 26 août. — « J’ai reçu l’aînée et la cadette » 
 B.
280. Formont. 26 août. — « Vous m’avez servi de bon ange. » 
 C. et F.
281. Cideville. 3 septembre. — « Je suis pénétré. » 
 B.
282. Formont. — « Je viens d’apprendre par notre cher Cideville. » 
 B.
283. M. Lefebvre. — « Votre vocation, mon cher Lefebvre. » 
 B.
284. Mademoiselle de Lubert. 29 octobre. — « Muse et Grâce. » 
 B.
285. Maupertuis. 30 octobre. — « Étant à la cour, monsieur. » 
 B.
286. Maupertuis, 3 novembre. — « Je ne vous avais demandé. » 
 B.
287. Maupertuis. — « Ah ! il me vient un scrupule. » 
 B.
288. Maupertuis. 8 nov. 1732. — « Pardon, monsieur, mes tentations. » 
 B.
289. La marquise du Deffant. — « Vous m’avez proposé, madame. » 
 B.
290. Cideville. — « J’ai envoyé, mon très-aimable. » 
 B.
291. Cideville. 15 novembre. — « J’arrive de Fontainebleau. » 
 B.
292. Formont. — « Il y a mille ans. » 
 B.
293. M. Clément, receveur des tailles, à Dreux. — « Les vers aimables que vous avez bien voulu. » 
 B.
294. Cideville. 8 décembre. — « Je vous envoyai l’autre jour. » 
 B.
295. Cideville. 15 décembre. — « Vous daignez vous abaisser. » 
 B.
296. Maupertuis. — « J’ai lu ce matin, monsieur. » 
 B.
297. Cideville. — « Il est deux heures après midi. » 
 B.
298. Formont. — « Je vous adressai avant-hier. » 
 B.
299. Moncrif. — « M. Rouillé a dû vous envoyer. » 
 C. et F.
300. Clément de Dreux. 25 décembre. — « J’étais à Versailles, monsieur. » 
 B.
301. Mlle  de Launai. Décembre 1732. — « J’ai été extrêmement flatté. ». 
 H.-B
302. Formont. — « Vos confitures ont été reçues. » 
 B.
303. L’abbé d’Olivet. 1732. — « Je vous regarderai toute ma vie. » 
 B.
304. Cideville. 30 décembre. — « Lorsque je vous écrivis. » 
 B.
305. Maupertuis. — « Je devrais être chez vous. » 
 B.
306. Moncrif. — « Il faut se lever de bon matin. » 
 B.
307. Moncrif. — « On a imprimé malgré moi. » 
 C. et F.
308. Moncrif. — « D’un prince aimable aimable secrétaire. » 
 C. et F.

1733

309. Cideville. 4 janvier 1733. — « Ma santé est pire que jamais. » 
 B.
310. M. Josse. 6 janvier. — « Quoique je n’aie jamais reçu. » 
 B.
311. Formont. 27 janvier. — « Les confitures que vous aviez envoyées. » 
 B.
312. Cideville. 27 janvier. — « J’ai perdu, comme vous savez peut-être. » 
 B.
313. Thieriot. 24 février. — « Voulez-vous savoir. » 
 B.
314. Cideville. 25 février. — « Pourquoi faut-il que je sois si indigne. ». 
 B.
315. Cideville. 17 mars. — « Formont est arrivé. » 
 B.
316. Cideville. 25 mars, — « Au nom de Dieu, mon cher Cideville. » 
 B.
317. Cideville. 25 mars. — « Autre nouvelle : le Temple du Goût. » 
 B.
318. Cideville. 2 avril. — « Je n’ai que le temps de vous dire. » 
 B.
319. Moncrif. 10 avril 1733. — « Il m’est absolument impossible. » 
 B.
320. Moncrif. — « On a montré le Temple du Goût. » 
 C. et F.
321. Moncrif. 11 avril. — « Du dieu du Goût j’ai le temple pollu. » 
 B.
322. Cideville. 12 avril. — « Ce Temple du Goût, cet amas. » 
 B.
323. Moncrif. — « Mon cher ami, le père de Rhadamiste. » 
 B.
324. Cideville. — « Si Jore croit que le retardement. » 
 B.
325. Moncrif. 15 avril. — « Il n’y a que vous au monde. » 
 C. et F.
326. Moncrif. — « Je suppose, mon cher ami. » 
 C. et F.
327. Cideville. 21 avril. — « Voici, au net et en bref. » 
 B.
328. Thieriot. 1er mai. — « J’ai donc achevé Adélaïde. » 
 B.
329. Cideville. 6 mai. — « Je vous écris au milieu des horreurs. » 
 B.
330. L’abbé Du Resnel. — « Je fus bien étonné. » 
 B.
331. Thieriot. 15 mai. — « Je quitte aujourd’hui » 
 B.
332. Cideville. 15 mai. — « Je suis enfin vis-à-vis ce beau portail ». 
 B.
333. Cideville. 19 mai. — « Je voudrais bien pouvoir. » 
 B.
334. Cideville. 21 mai 1733. — « Vous avez vu sans doute. » 
 B.
335. MM. de Sade. — « Trio charmant que je remarque. » 
 B.
336. Thieriot. — « J’ai donné aujourd’hui un petit paquet. » 
 C. et F.
337. Cideville. 29 mai. — « Mille remerciements. » 
 B.
338. M. de Mairan. — « Le goût extrême que vous avez. » 
 C. et F.
339. Formont. Juin. — « Rempli de goût, libre d’affaire. » 
 B.
340. Cideville. 10 juin. — « Voilà deux lettres que je reçois. » 
 B.
 Recueil Serieys, 1802.
342. Cideville. 19 juin. — « J’ai été, tous ces jours-ci. » 
 B.
343. À un premier commis. 20 juin. — « Puisque vous êtes, monsieur. » 
 B.
344. Cideville. 1er juillet. — « Je viens, mon cher ami. » 
 B.
345. Cideville. 3 juillet. 
 — « Je vous donne, mon cher ami, plus de soins. »
346. La duchesse de Saint-Pierre. — « Les lettres charmantes que vous écrivez. » 
 B.
347. M. Bainast. 9 juillet. — « J’ai senti assurément plus de joie. » 
 B.
348. Cideville. 14 juillet. — « Les vingt-quatre Lettres sont déjà imprimées. » 
 B.
349. Thieriot. 14 juillet. — « Je reçois, mon cher ami, votre lettre. » 
 B.
350. Comte de Caylus. Juillet. — « Je vais vous obéir avec exactitude. » 
 B.
351. Thieriot. 24 juillet 1733. — « Je ne suis pas encore tout à fait logé. » 
 B.
352. M. de Forcalquier. — « Je vous obéis, monsieur, trop heureux que vous daigniez » 
 C. et F. (suppl.)
353. Cideville. 26 juillet. — « J’aurais dû répondre plus tôt. » 
 B.
354. Forment. 26 juillet. — « Je compte, mon cher Formont. » 
 B.
355. Thieriot. 28 juillet. — « Je reçois, ce mardi 28 juillet. » 
 B.
356. Cideville, 28 juillet. — « Je reçois votre lettre, charmant ami. » 
 B.
357. Cideville. 2 août. — « Vous m’avez cru peut-être embastillé. » 
 B.
358. Thieriot. 5 août. — « Je vous regarderais comme l’homme. » 
 B.
359. Formont. — « Philosophe aimable, à qui il est permis. » 
 B.
360. Cideville. 14 août. — « Il y a bien longtemps, mon cher ami. » 
 B.
361. L’abbé de Sade. 29 août. — «Ainsi donc vous quittez Paris. » 
 B.
362. M. Jacob Vernet. 14 septembre. — « Votre conversation, monsieur. » 
 B.
363. Cideville. 15 septembre. — « Eh bien, mon cher ami. » 
 B.
364. Le marquis de Caumont. 15 septembre. — « Je ne dirai pas, monsieur, désormais. » 
 B.
365. Cideville. 26 septembre. — « J’aime fort Linant. » 
 B.
366. Cideville. 2 octobre. — « L’autre jour l’Amitié. » 
 B.
367. M. Berger. Octobre 1733. — « Je suis trés-fâché, monsieur. » 
 B.
368. Cideville. Octobre. — « Mais quand pourrai-je donc ? » 
 B.
369. Le comte de Sade. — « Voilà une fort mauvaise copie. » 
 B.
370. Le marquis de Caumont. 25 octobre. — « J’avais mis, monsieur, à la diligence. » 
 B.
371. Cideville. 27 octobre. — « Aujourd’hui est partie par le coche. » 
 B.
372. M. Berger. — « J’ai reçu à la fois trois lettres de vous. » 
 B.
373. Moncrif. 1er novembre. — « Aimable Moncrif, ami tendre. » 
 C. et F.
374. Moncrif. — « L’auteur de l’Empire de l’Amour. » 
 C. et F.
375. L’abbé de Sade. 13 novembre. — « Vous m’avez écrit, monsieur, en arrivant. » 
 B.
376. Cideville. 6 novembre. — « Aimable ami, aimable critique. » 
 B.
377. La duchesse de Saint-Pierre. — « Moi qui, dans mes amusements. » 
 B.
378. Cideville. 15 nov. — « Voyez, mon cher ami, combien je suis docile. » 
 B.
379. M. de La Préverie. 16 novembre. — « J’ai reçu votre lettre du 12 novembre. » 
 B. et F. (App. 1865.)
382. Cideville. 26 novembre. — « Il y a cinq jours, mon cher ami. » 
 B.
383. Cideville. 5 décembre. — « J’ai été bien malade. » 
 B.
384. Cideville. 27 décembre. — « Mon aimable Cideville, les c… » 
 B.
385. Moncrif. — « Je vous envoyai, mon cher ami. » 
 B.
386. Maupertuis. — « J’ai lu votre manuscrit. » 
 B.
387. M. Clément (de Dreux). — « J’ai reçu, j’ai goûté. » 
 B.

1734

388. La duchesse d’Aiguillon. 1734. — « On dit, madame, que Minerve. » 
 B.
389. La duchesse d’Aiguillon. — « Vous ne voulez, » 
  Dern. Vol. 1861
390. M. de Mairan. 1er février 1734. — « Adélaïde et moi nous sortons de l’agonie. » 
 B.
391. M. Clément (de Dreux) 19 février. — « Vous m’accablez toujours. » 
 B.
392. Formont. Février. — « J’ai vu après mon agonie. » 
 C. et F
393. Cideville. 27 février. — « Mon tendre et aimable ami, j’ai été. » 
 B.
394. Moncrif. — « Je suis très-flatté, je vous assure. » 
 B.
395. Le marquis de Caumont. 2 avril. — « Une longue maladie, monsieur. » 
 B.
396. Cideville. 7 avril. — « Je pars pour être témoin d’un mariage. » 
 B.
397. Rameau 1734. — Le mariage de M. le duc de Richelieu. » 
 C. et F.
398. Cideville 24 Avril 1734. — «J’étais ici tranquille.» 
 B.
399. Formont. 25 avril. — « On ne peut, cher Formont, vous écrire. » 
 B.
400. L’abbé d’Olivet. 25 avril. — « Je compte toujours sur votre amitié. » 
 B.
401. Maupertuis.29 avril. — « Votre géomètre, monsieur. » 
 B.
402. Moncrif.6 mai. — « Je compte sur votre amitié. » 
 B.
403. Berger.— « Vous, monsieur, qui êtes le très-digne. » 
 B.
404. Le comte d’Argental.Mai. — « On dit qu’après avoir été mon patron. » 
 B.
405. Cideville.8 mai. — « Votre protégé Jore m’a perdu. » 
 B.
406. Cideville.11 mai. — « Je n’ai que le temps de vous écrire. » 
 B.
407. Cideville.20 mai. — « Par des lettres que je viens de recevoir. » 
 B.
408. Cideville. — « Eh bien ! est-il possible que vous vous soyez. » 
 B.
409. Le comte d’Argental – « Encore une importunité.» 
 B.
410. La duchesse d’Aiguillon. – « Si vous êtes encore à Paris.» 
 B.
411. La marquise du Deffant. 23 mai. — « Vraiment, madame, quand j’eus l’honneur. » 
 B.
412. Cideville. 1er juin. — « La dernière lettre que je vous écrivis. » 
 B.
413. M. Hérault, lieutenant général de police. — « Je vois avec surprise et avec douleur. » 
 L. Led.
414. Formont. — « J’ai reçu votre lettre, mon cher ami. » 
 B.
415. Mme de Champbonin. — « Je ne me porte pas trop bien. » 
 B.
416. Cideville. — « Je reçois, mon cher et judicieux. » 
 B.
417. La Condamine. 22 juin. — « Si la grand’chambre était composée. » 
 B.
418. Formont. — « Si ceux qui me font l’honneur de me persécuter. ». 
 B.
419. La comtesse de La Neuville. 1er juillet. — « J’ai eu l’honneur, madame, de rendre les lettres. » 
 B.
420. L’abbé du Resnel. 21 juillet. — « Si vous ne craignez point. » 
 B.
421. Cideville. 24 juillet. — « Je reviens à mon gîte. » 
 B.
422. Formont. 24 juillet. — « Ah ! que j’aime votre leçon. » 
 B.
423. La comtesse de La Neuville. — « Je suis pénétré. » 
 B.
424. La comtesse de La Neuville. — « Si je reviendrai. » 
 B.
425. La comtesse de La Neuville. — « Des terrasses, des remises. » 
 B.
426. La comtesse de La Neuville. — « En vous remerciant de vos pêches. » 
 B.
427. Mme  de Champbonin. — « Ne soyez donc plus malade. » 
 B.
428. La comtesse de La Neuville. — « Je vous envoie, madame, cette épître. » 
 B.
429. Le comte d’Argental. Septembre. — « J’avais, ô adorable ami, complètement abandonné. » 
 B.
430. Mme  de Champbonin. — « Vos laines sont arrivées. » 
 B.
431. À M.*** 1734. — « J’ai eu l’honneur de vous écrire. » 
 B.
432. Maupertuis. Octobre. — « Que tous les tourbillonniers. » 
 B.
433. Formont. — « Depuis que nous ne nous sommes écrit. 
 B.
434. Le comte d’Argental 4-6 novembre. — « Dans un cabaret hollandais. » 
 B.
435. Cideville. 5 novembre. — « Auprès de Bruxelles. » 
 B.
436. Le comte d’Argental. — « J’ai mené une vie un peu errante. » 
 B.
437. Mme  de Champbonin. — « Mme  du Châtelet est ici. » 
 B.
438. La comtesse de La Neuville. — « Eh ! bien, il me semble qu’il y a un siècle. » 
 B.
439. Mme  de Champbonin. — « Mon aimable Champenoise. » 
 B.
440. Mme  de Champbonin. — « Que mon aimable Champenoise entend-elle ? » 
 B.
441. Le marquis d’Ussé. — « La fille d’un de vos meilleurs amis. » 
 B.
442. Mme  de Champbonin. — « Ma charmante Champenoise, il y a un lutin. » 
 B.
433. Mme  de Champbonin. — « Ce n’est pas seulement moi qui vous ècris. » 
 B.
444. La comtesse de La Neuville. — « Je maudis, madame, tous tapissiers. » 
 B.
445. Mme  de Champbonin. « Faisons ici trois tentes. » 
 B.
446. M. Berger. 2 décembre. — « Je ne sais point, monsieur, partager les profits. » 
 B.
447. Le comte d’Argental. — « Je vous envoie, mon charmant ami. » 
 B.
448. M. Berger. 1734. — « Oui, mon cher monsieur, je rends justice. » 
 B.
449. M. Berger. — « J’ai eu réponse, monsieur. » 
 B.
450. Le comte d’Argental. 18 décembre. — « Je ne crois pas que mes sauvages. » 
 B.
451. Cideville. — « Quoi ! Gilles Maignard s’est séparé tout à fait. » 
 B.
452. La comtesse de La Neuville. — « Cela est plaisant, madame ! » 
 B.
453. Thieriot. 1734. — « My dear friend, your letter. » 
 P. in. 1820.

1735

454. L’abbé Prévost à M. Thieriot. 1735. — « I rereived your magazines. » 
 P. in. 1820.
455. Thieriot. Cirey 1735. — « My dear friend, I received. » 
 P. in. 1820.
456. Le comte d’Argental. 4 janvier 1735. — « Je n’ose me flatter. » 
 B.
457. La comtesse de La Neuville. Janvier 1735. — « Quoi ! femme respectable. » 
 B.
458. M. Berger. 12 janvier. — « Vous ne sauriez croire, monsieur. » 
 B.
459. La comtesse de La Neuville. — « Si je n’étais, madame, accablé d’ouvriers. » 
 B.
460. Formont. 26 janvier. — « L’extrême plaisir que j’ai eu. » 
 B.
461. Cideville. février. — « Allez, mes vers, aux rivages de Seine. » 
 B.
462. Mme  du Deffant. — « J’ai reçu, madame, une lettre charmante. ». 
 B.
463. Du cardinal Albéroni. 10 févr. 1735. — « Il m’est arrivé assez tard. » 
 B.
464. M. Desforges-Maillard. — « Dona puer solvit. » 
 B.
465. L’abbé de Breteuil. — « Vénus et le dieu de la table. » 
 B.
466. Formont. 13 février. — « Si Mme  du Deffant. » 
 B.
467. M. Berger. 26 février. — Je vous supplie, monsieur. » 
 B.
468. Du lieutenant de police. 2 mars 1735. — « Son Éminence et M. le garde des sceaux. » 
 L. Led
469. Au lieutenant de police. 30 mars. — « Ma reconnaissance et mon cœur 
 L. Led
470. Cideville (Mme du Châtelet et Voltaire à). 31 mars 1735. — « Je dérobe à votre ami. » 
 B.
471. Formont. 1er avril 1735. — « Je n’ai que le temps » 
 C. et F.
472. Cideville. 12 avril. — « Je suis à Paris. » 
 B.
473. Thieriot. — « Je vous prie, mon cher Thieriot. » 
 B. et F.
474. Cideville. 16 avril. — « Vraiment, mon cher ami, je ne vous ai pas. » 
 B.
475. Formont. 17 avril. — « Vous me pardonnerez si vous voulez. » 
 B.
476. Marquis de Caumont. 19 avril. — « Il y a peu de choses, monsieur. » 
 B.
477. M. Desforges-Maillard. — « Les fréquentes maladies. » 
 B.
478. Cideville. 29 avril. — « Linant n’a encore que la parole. » 
 B.
479. Cideville. 6 mai. — « Non, mon cher ami, je n’ai jamais. » 
 B.
480. Formont. 6 mai. — « Je pars, mon cher ami. » 
 B.
481. L’abbé Asselin, proviseur du collège d’Harcourt. — « En me parlant de tragédie. » 
 B.
482. Thieriot. Lunéville, 15 mai. — « Mon cher correspondant, me voici dans une cour. » 
 B.
483. L’abbé Asselin. 24 mai. — « Que devient Jules César. » 
 C. et F.(suppl.)
484. Desforges-Maillard. Juin. — « De longues et cruelles maladies. » 
 B.
485. Thieriot. Lunéville, 12 juin. — « Oui, je vous injurierai. » 
 B.
486. Formont. 25 juin 1735. — « Eh bien, mon cher philosophe. » 
 B.
487. Cideville. Vassy en Champagne, 26 juin. — « En voici bien d’une autre ! » 
 B.
488. L’abbé d’Olivet. — « Mon ancien maître, qui l′êtes. » 
 B.
489. Thieriot. Cirey, juin. — « Je suis revenu à Cirey. » 
 B.
490. Thieriot. 15 juillet. — « Je n’ai point été intempérant. » 
 B.
491. La comtesse de La Neuville. — « Une santé à laquelle vous daignez. » 
 B.
492. M. le cardinal Albéroni. — « Monseigneur, la lettre dont Votre Éminence  » 
 B.
493. Cideville. Cirey par Vassy, 3 août. — « Lorsque la divine Émilie. » 
 B.
494. M. Berger. 4 août. — « Vous me mandez, monsieur. » 
 B.
495. M. de Roncières. 4 août. — « J’apprends une nouvelle charmante. » 
 C. et F.
496. Thieriot. — « Je vous envoie, mon cher ami, ma réponse. » 
 B.
497. L’abbé d’Olivet. Cirey, 24 août. — « Mon cher abbé, savez-vous. » 
 B.
498. M. Berger. Cirey, 24 août. — « Vos lettres ajoutent un nouveau charme. » 
 B.
499. M. de Caumont. Vassy en Champagne, 24 août. — « Eh bien ! monsieur, avez-vous trouvé. » 
 B.
500. M. l’abbé Asselin. 24 août 1735. — « Je voudrais bien, monsieur. » 
 B.
501. M. M***, médecin. 27 août. — « Je vous suis très-obligé. » 
 B.
502. Au P. Tournemine, jésuite, 1735. — « J’ai toujours aimé la vérité. » 
 B.
503. Au P. Tournemine. — « L’inaltérable amitié dont vous m’honorez. » 
 B.
504. Thieriot. Cirey, 1er septembre. — « Il faut toujours que de près ou de loin. » 
 B.
505. À M. X***. — « Vous savez, monsieur, quel bruit. » 
 C. et F.
506. À l’abbé Desfontaines. Cirey, 7 septembre. — « Je m’amusai, il y a quelques années. » 
 B.
507. Thieriot. Cirey, 11 septembre. — « Vos lettres me font un plaisir extrême. » 
 B.
508. Falkener. 18 septembre. — « My dear frieiid, your new title. » 
 C. et F.
509. Cideville. 20 septembre. — « Que devient mon cher Cideville. » 
 B.
510. Formont. Cirey, par Vassy, 22 septembre 1735. — « Martin Lefranc, qui barbouilla Didon. » 
 C. et F.
511. Thieriot. Cirey, 24 septembre. — « Depuis que je vous ai écrit. » 
 B.
512. Le duc de Richelieu. Cirey, 30 septembre. — « Vous attendez apparemment » 
 B.
513. M. Berger. — « Vous savez le plaisir. » 
 B.
514. Thieriot. Cirey, 4 octobre. — « Je vous avoue, mon cher ami. » 
 B.
515. L’abbé d’Olivet. Cirey, par Vassy. — « Quel procédé est-ce là. » 
 B.
516. L’abbé Asselin. 4 octobre. — « Vous voyez, ce qui arrive.» 
 C. et F.
517. Thieriot. 13 octobre. — « Vous êtes de ceux. » 
 B.
518. L’abbé Asselin. Cirey, 24 octobre 1735. — « M. Demoulin, monsieur, a dû vous remettre. » 
 B.
519. Cideville. 3 novembre. — « La divine Émilie, mon cher ami. » 
 B.
520. Thieriot. Cirey, 3 novembre. — « Ami des arts, sage voluptueux. » 
 B.
521. L’abbé Asselin. 4 novembre. — « Demoulin a bien mal fait. » 
 B.
522. L’abbé Franchini. 10 novembre. — « Votre ami qu’en tout genre. » 
 P. in 1820
523. M. de La Place. 11 novembre. — « J’ai reçu, monsieur, à la campagne. » 
 B.
524. L’abbé Desfontaines. 14 nov. 1735. — « Si l’amitié vous a dicté. » 
 B.
525. Formont. 15 novembre. — « Pourquoi vous rebuter. » 
 B.
526. Cideville. Cirey, 28 novembre. — « Que dites-vous, mon cher Cideville, des scélérats. » 
 B.
527. Thieriot. 30 novembre. — « Vos fenêtres donnent donc à présent. » 
 B.
528. L’abbé d’Olivet. 30 novembre. — « Je vous prie, mon cher maître en Apollon. » 
 B.
529. Messieurs les comédiens français. — « Je ne sais, messieurs, si vous avez lu. » 
 B.
530. P. Tournemine. — « L’estime et la respectueuse amitié. » 
 B.
531. De l’abbé Desfontaines. Novembre 1735 
 Rev. rétr.
532. M. Berger. 1er décembre. — « Au nom de Rameau, ma froide veine. » 
 B.
533. Thieriot. 8 décembre 4 heures du matin. — « La date vous fera voir. » 
 B.
534. Thieriot. 17 décembre. — « Vous êtes le plus aimable ami. » 
 B.
535. De l’abbé Desfontaines. 17 décembre 1735 
 Rev. rétr.
536. M. Berger. 22 décembre. — « Vous êtes un ami charmant. » 
 B.
537. Thieriot. 25 décembre. — « Je suis toujours d’avis. » 
 B.
538. Thieriot. 26 décembre. — « J’ai reçu à la fois. » 
 B.
539. Thieriot. 28 décembre. — « Je n’ai jamais parlé de l’abbé Prévost» 
 B.