Correspondance de Voltaire/1736-Sep-1738

1731 à 1735

1736 – Septembre 1738

Octobre 1738 à 1740
Correspondance de Voltaire
Œuvres complètes de Voltaire, tome 34
Correspondance : 1736-Septembre 1738Garnier.

1736

540. L’abbé d’Olivet. Cirey, 6 janvier 1736. — « Je vous gronde de ne m’avoir point écrit. » 
 B.
541. Thieriot. Cirey. — « Je remercie aussi tendrement Pollion. » 
 C. et F.
542. Cideville. 8 janvier. — « Un orage bien cruel. » 
 B.
543. M. Berger. 10 janvier. — » Il n’y a aucune de vos lettres. » 
 B.
544. Thieriot. Cirey, 13 janvier. — « Vous croirez peut-être, mon cher ami. » 
 B.
545. Formont. Cirey, 13 janvier. — « Aimable philosophe, nous avons reçu. » 
 B.
546. Cideville. Cirey, 19 janvier. — « Je vous avais écrit. » 
 B.
547. Formont. — « Il est vrai que si l’on peut prouver. » 
 B.
548. Le comte d’Argental. — « Vous protégez une cause. » 
 C. et F.
549. Thieriot. Cirey, 22 janvier. — « J’ai passé toute la journée. » 
 B.
550. Thieriot. Cirey, 25 janvier. — « Nous avons joué notre tragédie. » 
 B.
551. M. Berger. Cirey. — « De ton Bernard. » 
 B.
552. L’abbé Asselin. Cirey, 29 janvier. — « Je fais trop de cas de votre estime. » 
 B.
553. Thieriot. Cirey, 2 février 1736. — « Quelque vivacité d’imagination. » 
 B.
554. M. Berger. Cirey. — « Le succès de nos Américains. » 
 B.
555. Thieriot. Cirey, 6 février. — « Vous m’avez écrit, non une lettre. » 
 B.
556. Thieriot. Cirey, 9 février. — « Je suis toujours un peu malade. » 
 B.
557. M. Pallu. intendant de Moulins. 9 février. — « Un peu de maladie. » 
 B.
558. M. Prault. Cirey, 9 février. — « Les prières de M. d’Argental. » 
 C. et F.
559. M. de La Roque. 10 février. — « Je suis bien fâché, monsieur. » 
 B.
560. L’abbé d’Olivet. 12 février. — « Si vous avez eu la goutte. » 
 B.
561. Thieriot. Cirey, 12 février 1736. — « Vous avez dû recevoir de moi d’énormes paquets. » 
 B. et F. App.1865
562. M. M***. Cirey, février. — « Ma santé, qui est devenue déplorable. » 
 B.
563. L´abbé Le Blanc. — « Je n´ai reçu qu´hier. » 
 B.
564. Cideville. 22 février. — « Mon aimable et respectable ami. » 
 B.
565. Thieriot. Cirey, 22 février. — « Je suis bien languissant. » 
 C. et F.
566. Le chevalier Falkener. Cirey, 22 février. — « Now the honest, the good. » 
 C. et F.
567. Le comte d´Argental. Cirey, 26 février. — « Ma destinée sera donc toujours. » 
 B.
568. Thieriot. Cirey, 26 février. — « Je ne me porte guère bien encore. » 
 B.
569. Thieriot. 1er mars 1736. — « Mme la marquise du Châtelet. » 
 B.
570. Thieriot. 4 mars. — « J´ai été malade ; Mme du Châtelet. » 
 B.
571. Thieriot. Cirey, 6 mars. — « Je suis bien malade, mon ami. » 
 B.
572. L´abbé Moussinot. 8 mars 1736. — « Je vous envoie, mon cher abbé. » 
 C.
573. Thieriot. Cirey, 10 mars. — « La galanterie de Mlle  Quoniam. » 
 B.
574. Thieriot. — «Je reçois votre lettre. » 
 B.
575. Mlle Quinault. — « Vous me connaissez bien peu. » 
 Éd. 1822.
576. M. de Lamare. Cirey, 15 mars. — « Je me flatte, monsieur, que quand vous ferez. » 
 B.
577. L´abbé Asselin. Cirey. — « J´avais recommandé, monsieur. » 
 C. et F.(suppl.)
578. Thieriot. Cirey, 16 mars. — « Vous avez bien gagné à mon silence. » 
 B.
579. Mlle Quinault. 16 mars 1730. — « Je reçus votre lettre le 22 février. » 
 Éd. 1822.
580. Thieriot. Cirey, 18 mars. — « Il faut, mon ami, vous rendre compte. » 
 B.
581. La marquise du Deffant. 18 mars. — « Une assez longue maladie. » 
 B.
582. Thieriot. Cirey, 20 mars. — « J´ai lu, mon cher plénipotentiaire. » 
 B.
583. L´abbé Moussinot. Cirey, 21 mars. — « J´aime mieux mille fois votre coffre-fort. » 
 C.
584. M. Jore, ancien libraire. 24 mars. — « Vous me mandez, monsieur. » 
 B.
585. L´abbé Moussinot. — «Grand merci, mon cher correspondant. » 
 C.
586. Cideville. Cirey, 25 mars. — « Vous avez toutes les vertus. » 
 B.
587. L´abbé Moussinot. — « Vous voilà sans doute revenu. » 
 C.
588. Mlle Quinault. 30 mars. — « Pour toute réponse à votre lettre. » 
 Éd. 1822.
589. L´abbé Moussinot. — « Pour vous punir, mon cher ami. » 
 C.
590. Mlle Quinault. 3 avril. — « Ah ! je suis perdu ! ah ! je suis sifflé. » 
 Éd. 1822..
591. Le comte d´Argental. 4 avril. — « Mon cœur vous adresse cette ode. » 
 B.
592. M. Berger. Cirey, 5 avril. — « Si je n´avais que la Henriade. » 
 B.
593. L´abbé Moussinot. 7 (avril). — « Vous avez grande raison d´être plus content. » 
 C.
594. L´abbé Moussinot. 13 (avril), à Cirey. — « Je vous supplie instamment. » 
 C.
595. Formont. Cirey, 16 avril. — « Je fais partir par la même poste. » 
 C. et F.
596. Maupertuis. Paris, 16 avril. — « Si vos liaisons avec Algarotti. » 
 B.
597. Maupertuis. Paris, 17 avril. — « N´écrivez point à Algarotti. » 
 B.
598. La Chaussée. 2 mai. — « Il y a huit jours que je fais chercher. » 
 B.
599. Le comte d´Argental. Paris. — « Il s´agit, mon aimable protecteur. » 
 B.
.  
 B.
600. Cideville. 6 mai 1736. — « Je suis accablé de maladies. » 
 B.
601. Formont. Paris, 11 mai. — « Je vous ai envoyé une Alzire » 
 C. et F.
602. Cideville. 30 mai. — « Point de littérature cette fois-ci. » 
 B.
603. Thieriot. — « Ma confiance et la bonté de mon cœur. » 
 C. et F.
604. M. le lieutenant général de police. 15 juin. — « Je vous supplie de vouloir bien. » 
 L. Led
605. M. le lieutenant général de police. — « Puisque vous voulez bien être médiateur. » 
 L. Led
606. Factum de Jore 9 juin 1736 
 Rev. rét.
607. M. ***. 20 juin 1736. — « M. Hérault s’est chargé. » 
 Rev. rét.
608. Cideville. 21 juin. — « Malgré les ordres précis. » 
 B.
609. De M. *** à Voltaire. Versailles, 22 juin 1736 
 Rev. rét.
610. M. le lieutenant général de police. 26 juin. — « Pardon de vous importuner encore. » 
 L. Led.
     Réponse de Voltaire au factum de Jore, adressée au lieutenant général de police.
 
       Preuves par écrit que le défendeur ne doit rien.
611. M. le lieutenant général de police. — « Je n’ai pu être encore assez heureux. » 
 L. Led..
612. Cideville. 27 juin. — « Dieu me préserve de m’accommoder. » 
 B.
613. M. le lieutenant général de police. — « J’ai supprimé le dernier Mémoire. » 
 L. Led.
614. M. le garde des sceaux. 28 juin 1736. — « Il n’est pas juste. » 
 Rev. rét.
615. M. le garde des sceaux. « Avant la publication du factum. » 
 L. Led.
616. M. le garde des sceaux. 1er juillet. — « M. Hérault ayant retiré. » 
 Rev. rét.
617. Cideville. 2 juillet. — « Le ministère a été si indigné. » 
 B.
618. M. le garde des sceaux. 3 juillet. — « Je me trouve enfin déshonoré. » 
 L. Led.
619. M. le lieutenant général de police. 1736. — « Il s’en faut beaucoup. » 
 L. Led.
620. M. le lieutenant général de police. — « Mon notaire n’est point à Paris. » 
 B.
621. M. Berger. Cirey, juillet 1736. — « Vous êtes le plus aimable. » 
 L. Led.
622. M. l’abbé Moussinot. Cirey, 16 juillet. — « J’écris, mon cher abbé, à M. Begon. » 
 C.
623. M. Berger. — « Je ne peux assez remercier M. Gonai. » 
 B.
624. M. l’abbé Moussinot. 30 juillet. — « Je reçois, mon cher abbé, votre lettre du 28. » 
 C.
625. M. Berger. Cirey. — « Il y a du malheur sur les paquets. » 
 B.
626. Cideville. Cirey. 5 août 1736. — « On vous a envoyé le Mondain. » 
 B.
627. M. de Caumont. Cirey, 5 août. — « Je n’ai eu longtemps que des procès. » 
 B.
628. Thieriot. 6 août. — « Eh bien ! vous souffrez qu’on imprime. » 
 B.
629. De Frédéric, prince royal de Prusse. 8 août. — « Quoique je n’aie pas la satisfaction. » 
 Pr.
630. Mlle  Quinault. 24… 1736. — « Eh ! mon Dieu ! charmante Thalie. » 
 Éd. 1822.
631. Frédéric, prince royal de Prusse. Paris ( ? ), 26 août. — « Il faudrait être insensible. » 
 B.
632. Thieriot. Cirey. — « Je suis très-inquiet de votre santé. » 
 C. et F.
633. Le duc d’Aremberg. Cirey, 30 août. — « Je n’ai pas voulu jusqu’à présent. » 
 B.
634. M. Pitot. Cirey, 31 août 1736. — « Je n’avais pu lire à Paris. » 
 C. et F.
635. L’abbé Moussinot. 31 (août). — « J’ai oublié, mon cher ami. » 
 C.
636. Le marquis d´Argens. Cirey, 4 septembre 1736. — « Je ne puis assez vous remercier, » 
 C. et F.
637. 5. septembre. — « J’ai reçu, mon cher ami, le prologue. » 
 B.
638. Mlle  Quinault. Cirey. 7 septembre. — « Je vous réitère toutes mes prières. » 
 Ed. 1822.
639. M. Berger. Cirey. — « J’ai reçu le paquet du 23. » 
 B.
640. De Frédéric. 9 septembre. — « C’est une épreuve bien difficile. » 
 Pr.
641. M. Berger. 10 septembre. — « Vous êtes l’homme le plus exact. » 
 B.
642. L’abbé d’Olivet. 12 … — « Il y a quelquefois, mon cher abbé. » 
 B.
643. M. Berger. Cirey, 18 septembre. — « . Je ne sais, mon cher éditeur. » 
 B.
644. Le marquis d’Argens. Cirey. — « Auriez-vous vu, monsieur, un libelle ? » 
 B. et F.
645. M. Berger. Cirey. — « Je peux vous assurer. » 
 B.
646. Aux auteurs de la Bibliothèque française. Cirey, 20 septembre. — « Un homme de bien nommé Rousseau. » 
 B.
647. Thieriot. Cirey, 23 septembre. — « J’avais ôté ce monstre subalterne. » 
 B.
648. M. Berger Cirey. — « Je vous prie, mon cher monsieur. » 
 B.
649. M. de La Faye. Septembre. — « On vous attend à Cirey. » 
 B.
650. Cideville. Cirey, 25 septembre. — « Je deviens bien paresseux. » 
 B.
651. M. Berger. Cirey. — « J’ai enfin reçu le paquet. » 
 B.
652. Thieriot. Septembre. — « J’ai reçu enfin ce paquet du prince royal. » 
 B.
653. M. Berger. Cirey, septembre. « Je vous envoie un petit ouvrage. » 
 B.
654. M. Thieriot. Octobre. — « Vous aurez incessamment. » 
 B.
655. Mlle  Quinault. Octobie. — « Il faut vous faire cent mille remerciements. » 
 Éd. 1822.
656. M. Berger. Cirey, 10 octobre. — « A l’égard de l’Enfant prodigue. » 
 B.
657. Mlle  Quinault. 13 octobre. — « Savez-vous bien, divine Thalie. » 
 Éd. 1822.
658. M. Berger. Cirey. — « Je devais plus que de la prose. » 
 B.
659. Thieriot. 15 octobre. — « Si vous êtes à Saint-Vrain. » 
 B.
660. M. Berger. Cirey, 18 octobre. — « Oui, je compte entièrement. » 
 B.
661. Le marquis d’Argens. Cirey, 18 octobre. — « Vos sentiments, monsieur, et votre esprit. » 
 B.
662. L’abbé d’Olivet. Cirey, 18 octobre. — « Fiet Aristarchus. » 
 B.
663. M. Pont-de-Veyle. Cirey, 19 octobre. — « J’apprends le détail des obligations. » 
 B.
664. Mlle  Quinault. Cirey, 19… — « Charmante Thalie, j’ai bien peur. » 
 B.
665. Le comte de Tressan. Cirey, 21 octobre. — « Tandis qu’aux fanges du Parnasse. » 
 B.
666. Thieriot. 21 octobre 1736. — « Le mensonge n’est un vice. » 
 B.
667. M. Berger. Cirey, 24 octobre. — « Je reçois votre lettre du 11. » 
 B.
668. M. Prault. 27 octobre. — « Le projet que vous avez. » 
 C. et F.
669. L’abbé du Resnel. — « Mon cher et grand abbé, je suis enchanté. » 
 B. et F.
670. Moncrif. — « Je reçois dans ce moment votre lettre du 18. » 
 B. et F.
671. Mme  de Champbonin. Cirey. — « Vous êtes trop bonne. » 
 B.
672. Mlle  Quinault. Cirey, ce 29… — « Je reçois, adorable Thalie, votre lettre du 25. » 
 Éd. 1822.
673. M. Dubreuil. Cirey, 29 octobre. — « En cas que l’abbé ne soit pas à Paris. » 
 C.
674. Le marquis d’Argens. Cirey, 6 novembre. — « Je ne sais, monsieur, si vous avez reçu. » 
 C. et F.
675. L’abbé Moussinot (commencement de novembre). — « Lisez attentivement ma lettre. » 
 C
676. De Frédéric. 7 novembre. — « Je suis infiniment sensible. » 
 Pr.
677. M. de Mairan. Cirey, 9 novembre. — « En partant de Paris. » 
 B.
678. L’abbé Moussinot. 10 (novembre). — « Le dernier article de ma lettre. » 
 C.
679. De Frédéric. 13 novembre. — « Voltaire, ce n’est point le rang et la puissance. » 
 Pr.
680. L’abbé Moussinot. 17 (novembre). — « J’ai envoyé à Troyes. » 
 C.
681. Thieriot. 18 novembre. — « Eh bien, quand on vous envoie. » 
 B.
682. Le marquis d’Argens, Cirey, 19 novembre. — « J’ai reçu, monsieur, votre lettre. » 
 B.
683. M. Berger. Cirey, novembre 1736. — « On me mande de Hollande. » 
 B.
684. M. de Brancas, comte de Forcalquier. — « Un solitaire, monsieur. » 
 C. et F.
685. M. l’abbé Moussinot. 24 novembre. — « Je suis depuis huit jours. » 
 C.
686. Thieriot. 24 novembre. — « On m’a mandé que le Mondain. » 
 B.
687. Mlle  Quinault. 26 novembre. — « On ne peut être plus touché. » 
 Éd. 1822.
688. Thieriot. Cirey, 27 novembre. « Assurément vous êtes le Père Mersenne. » 
 B.
689. M. Berger. 27 novembre. — « Voici le Mondain pour ce qu’il vaut. » 
 B.
690. L’abbé du Resnel. — « C’est bien mal reconnaître votre présent. » 
 B.
691. Le comte d’Argental. 1er décembre 1736. — « Votre ministère, à l’égard de Cirey. » 
 B.
692. M. de Mairan. Cirey, 1er décenabre. — « J’abuse de vos bontés. » 
 B.
693. De Frédéric. 3 décembre. — « J’ai été agréablement surpris. » 
 Pr.
694. L’abbé d’Olivet. Cirey. — « J’ai enfin reçu votre Prosodie. » 
 B.
695. Cideville. 8 décembre. — « Une comédie ; après une comédie. » 
 B.
696. Le comte de Tressan. 9 décembre. — « Il est certain que c’est M. le président Dupuy. » 
 B.
697. Le marquis d’Argens. Cirey. 10 décembre. — « J’attends avec bien de l’impatience. » 
 B.
698. M, Berger. Cirey, 12 décembre. — « Je reçois votre lettre du 8. » 
 B.
699. M. Berger. Cirey, décembre. — « Vous vous moquez de moi. » 
 B.
700. Le marquis d’Argens. 20 décembre. — « J’ai recu votre lettre du 10. » 
 B.
701. Le comte d’Argental. Décembre 1736. — « Votre amie a été d’abord bien étonnée. » 
 B.
702. Mme  de Champbonin. Givet, décembre. — « M. de Champbonin a un cœur. » 
 B.
703. La marquise du Châtelet. — « … J’écris à Mme  de Richelieu. » 
 B.
704. Frédéric, prince royal de Prusse. Leyde, décembre. — « Monseigneur, j’ai versé des larmes. » 
 B.
705. De Frédéric. Décembre. — « Je vous avoue que j’ai senti. » 
 Pr.
706. Thieriot. 24 décembre. — « Je ne vous écris point de ma main » 
 C. et F.

1737

707. M. Berger. Amsterdam, 3 janvier 1737. — « Je compte toujours, monsieur, sur votre amitié. » 
 B.
708. Frédéric, prince royal de Prusse. Leyde, janvier. — « Si j’étais malheureux, je serais bientôt consolé. » 
 B.
709. Thieriot. Leyde, 17 janvier. — « Il est vrai que j’ai été trés-malade. » 
 B.
710. De Frédéric. Janvier. — « Non, monsieur, je ne vous ai point envoyé.» 
 Pr.
711. Le marquis d’Argens. Leyde, 20 janvier 1737. — « Si les Lettres juives me plaisent. » 
 B.
712. Le comte d’Argental. Amsterdam, 27 janvier. — « Respectable ami, je vous dois compte. » 
 B.
713. Thieriot. 28 janvier. — « Il faut s’armer de patience. » 
 B.
714. Le marquis d’Argens. 28 janvier. — « Je n’ai pu achever la lecture. » 
 B.
715. De Frédéric. Février 1737. — « J’ai reçu avec beaucoup de plaisir la Défense du Mondain. » 
 Pr.
716. Le marquis d’Argens. Leyde, 2 février. — « Je crois, mon cher Isaac. » 
 B.
717. Thieriot. Leyde, 4 février 1737. — « J’ai fait ce que j’ai pu. » 
 B.
718. De Frédéric. 8 février. — « Ne vous embarrassez nullement du bruit. » 
 Pr.
719. Thieriot. Leyde, 14 février. — « Je reçois votre lettre du 7. » 
 B.
720. Cideville. Amsterdam, 18 février. — « J’ai reçu vos lettres. » 
 B.
721. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Je ne sais par où commencer. » 
 B.
722. Mlle  Quinault. 18 février. — « Dans quelque pays que je sois. » 
 Éd. 1822.
723. Le comte d’Argental. Leyde, 25 février. — « Je ne sais rien de rien. » 
 B.
724. Frédéric, prince royal de Prusse. Amsterdam, février. — « Les lauriers d’Apollon se fanaient sur la terre. » 
 B.
725. Mme  de Champbonin. Amsterdam. — « Rien ne peut me surprendre.» 
 B.
726. De Frédéric. Février. — « J’ai été agréablement surpris par les vers. » 
 B.
727. De M. Rousset de Missy. 7 mars 1737. — « Je joins mes tendres remerciements. » 
 B.
728. L’abbé Moussinot. 18 mars. — « M. le marquis du Châtelet vous rendra. » 
 C.
729. L’abbé Moussinot. 18 mars. — « Je vous écris encore un petit mot. » 
 C.
730. M. S’Gravesande. Cirey. — « Vous vous souvenez, monsieur. » 
 B.
731. Le comte de Saxe. — « Voici la Défense du Mondain. » 
 B.
732. Le comte d’Argental. Cirey. — « Je profite, mon cher et respectable ami. » 
 B.
733. L’abbé Moussinot. 26 mars. « J’ai reçu votre lettre où vous me parlez. » 
 C.
734. L’abbé Moussinot. 27 mars. — « Vous me mandez, mon cher ami, que l’on a reçu. » 
 C.
735. L’abbé Moussinot. 30 mars. — « Grand merci de votre lettre du 24. » 
 C.
736. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Deliciœ humani generis. » 
 B.
737. Duclos. Cirey, 3 avril. — « Si la personne, monsieur, que vous avez eu lu bonté. » 
 C. et F.
738. De Frédéric. 7 avril. — « Il n’y a pas Jusqu’à votre manière de cacheter. » 
 Pr.
739. L’abbé Moussinot. 13 avril. — « Je reçois votre lettre du 3 avril. » 
 C.
740. L’abbé Moussinot. 14 avril. — « Je reçois votre lettre du 6 avril. » 
 C.
741. Frédéric, prince royal de Prusse. Cirey. 17 avril. — « Voilà, mon seigneur, les réflexions. » 
 B.
742. L’abbé Moussinot. 20 avril. — « J’ai reçu votre lettre du 8 avril. » 
 C.
743. L’abbé Moussinot. 24 avril. — « Je vous envoyai par ma dernière. » 
 C.
744. L’abbé Moussinot. 7 ou 8 mai 1737. — « Après de nouvelles réflexions. » 
 C.
745. De Frédéric. 9 mai. — « Je viens de recevoir votre lettre. » 
 Pr.
746. L’abbé Moussinot. 11 mai. — « Si vous êtes encore à Paris. » 
 C.
747. M. Pitot. 17 mai. — « Vous m’aviez flatté, monsieur. » 
 B.
748. De Frédéric. 14 mai. — « Je vous demande excuse de l’injustice. » 
 Pr.
749. L’abbé Moussinot. 24 mai. — « En réponse à la lettre du 17. » 
 C.
750. De Frédéric. 25 mai 1737. — « Je viens de munir mon cher Césarion. » 
 Pr.
751. Frédéric, prince royal de Prusse. 27 mai. — « C’est sans doute un héros. » 
 B.
752. L’abbé Moussinot. 30 mai. — « En réponse à la vôtre du 26 mai. » 
 B.
753. Frédéric, prince royal de Prusse. Mai. — « J’ai reçu la lettre du prince philosophe. » 
 B.
754. M. Pitot. 29 mai. — « Cet ouvrage n’est guère fait. » 
 C. et F.
755. L’abbé Moussinot. 5 juin 1737. — « Je reçois votre lettre du 3. » 
 C.
756. L’abbé Moussinot. 5 juin. — « J’ai reçu votre lettre. » 
 C.
757. L’abbé Moussinot. 10 juin. — « En réponse à votre lettre du 7. » 
 C.
758. L’abbé Moussinot. 18 juin. — « Je vous traite, mon cher abbé. » 
 C.
759. M. Pitot. 20 juin. — « Vous devez avoir actuellement. » 
 B.
760. Le marquis d’Argens. 22 juin. — J’ai reçu vos Lettres. » 
 B.
761. L’abbé Moussinot. 23 juin. — « En réponse à votre lettre du 19. » 
 C.
762. L’abbé Moussinot. 27 juin. — « En réponse à celle du 24 de juin. » 
 C.
763. L’abbé Moussinot. 29 juin. — « Je reçois le paquet de M. Pitot. » 
 C.
764. De Frédéric. 6 juillet 1737. — « Si j’étais né poëte. » 
 Pr.
765. L’abbé Moussinot. 6 juillet. — « Je reçois votre lettre du 3 juillet. » 
 C.
766. L’abbé Moussinot. 8 juillet 1737. — « Chaque jour de poste, mon cher abbé. » 
 C.
767. Frédéric, prince royal de Prusse. Cirey, juillet. — « Je suis entouré de vos bienfaits. » 
 B.
768. L’abbé Moussinot. 15 juillet. — « En réponse à votre lettre du 12. » 
 C.
769. L’abbé Moussinot. 25 juillet. — « En réponse à la vôtre du 22. » 
 C.
770. L’abbé Moussinot. 30 juillet. — « J’ai été un peu malade. » 
 C.
771. Le baron de Keyserlingk. — « Favori d’un prince adorable. » 
 B.
772. L’abbé Moussinot. 5 auguste 1737. — « En réponse à la votre du 3. » 
 C.
773. De Frédéric. 16 août. — « Quoi ! sans cesse ajoutant merveilles sur merveilles. » 
 Pr.
774. L’abbé Moussinot. 17 auguste. — « En réponse à vos dernières du 9 et du 14. » 
 C.
775. L’abbé Moussinot. 19 Auguste. — « Il est parti aujourd’hui. » 
 C.
776. De Frédéric. — « Césarion m’a transporté. » 
 Pr.
777. L’abbé Moussinot. 17 septembre 1737. — « En réponse aux vôtre du 11 et du 12. » 
 C.
778. De Frédéric. 27 septembre. — « Si j’écrivais à un ingrat. » 
 Pr.
779. L’abbé Moussinot. 7 octobre 1737. — « J’ai reçu votre billet du 30 septembre. » 
 C.
780. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Il est bien douloureux que Cirey. » 
 B.
781. Frédéric, prince royal de Prusse. — « J’ai reçu la derniére lettre. » Sur la Liberté. 
 B.
782. Frédéric, prince royal de Prusse. Cirey, 24 octobre. — « L’admiration, le respect. » 
 B.
783. L’abbé Moussinot. 28 octobre. — « Je vous prie d’envoyer sur-le-champ. » 
 C.
784. L’abbé Moussinot. 30 octobre. — « Voilà notre chimiste qui s’en retourne. » 
 C.
785. Le comte d’Argental. Cirey, 2 novembre 1737. — « Tout mon chagrin est donc à présent. » 
 B.
786. Thieriot. Cirey, 3 novembre. — « N’osant vous écrire par la poste. » 
 B.
787. Thieriot. — « Je n’ai reçu qu’aujourd’hui » 
 B.
788. L’abbé Moussinot. 7 novembre. — « En réponse à celle du 3. » 
 C.
789. L’abbé Moussinot. 11 ou 12 novembre. — « En réponse à la votre du 8. » 
 C.
790. De Frédéric. 13 (12) novembre. — « Je vous avoue qu’il n’est rien de plus trompeur. » 
 Pr.
791. L’abbé Moussinot. 17 novembre. — «Je reçois la votre du 15. » 
 C.
792. De Frédéric. 19 novembre. — « Je n’ai pas été le dernier. » 
 Pr.
793. L’abbé Moussinot. 3 décembre. — « En réponse à votre lettre du 23 novembre. » 
 C.
794. Mme  de Champbonin Cirey, décembre 1737. — « Aimable amie, je n’ai point été libre. » 
 B.
795. Thieriot. Cirey, décembre. — « Je vois par votre lettre. » 
 B.
796. De Frédéric. 6 décembre 1737. — « Misérable inconstance humaine. » 
 Pr.
797. L’abbé Moussinot. 7 décembre. — « Je reçois votre lettre du 4. » 
 C.
798. L’abbé Moussinot. 10 décembre. " — « Je me hâte de répondre à votre lettre du 8. » 
 C.
799. L’abbé Moussinot. 13 décembre. — « Il y a plaisir, mon cher ami. » 
 C.
800. L’abbé Moussinot. 14 décembre. — « En réponse à votre lettre du 9. » 
 C.
801. Thieriot. Cirey, 15 décembre. — « J’ai reçu la lettre du prince. » 
 B. et F.
802. Frédéric, prince royal de Prusse. Cirey, 20 décembre. — « J’ai reçu le 12. » 
 B.
803. Thieriot. Cirey. 21 décembre. — « Je réponds en hâte à votre lettre. » 
 B.
804. Thieriot. 23 décembre. — « Je n’ai rien à ajouter. » 
 B.
805. Cideville. Cirey, 23 décembre. — « L’Amitié, ma déesse unique. » 
 B.
806. Formont. Cirey, 23 décembre. — » À mon très-cher ami Formont. » 
 B.
807. De Frédéric. 26 décembre. — « J’ai été richement dédommagé. » 
 Pr.
808. L’abbé Moussinot. 28 décembre. — « Voici deux papiers que je supplie. » 
 C.
809. L’abbé Moussinot. 29 décembre. — « Je viens de me faire informer. » 
 C.
1738
810. Mlle  Quinault. Cirey, 2 janvier 1738. — « Lorsque deux personnes qui ont. » 
 Éd. 1822.
811. L’abbé Moussinot. 4 janvier. — «Je reçois votre lettre du 1er. » 
 C.
812. L’abbé Moussinot. 10 janvier. — « En réponse à votre lettre du 6. » 
 C.
813. De Frédéric. 14 janvier. — « Vous me faites la plus jolie galanterie. » 
 Pr.
814. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Je reçois à la fois les plus agréables étrennes. » 
 B.
814. De Frédéric. 19 janvier. — « J’espère que vous avez reçu à présent. » 
 Pr.
816. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Votre Altesse royale a dû recevoir. » 
 B.
817. L’abbé Moussinot. 20 janvier. — « Je me recommande à vous. » 
 C.
818. Thieriot. Cirey, 22 janvier. — « Cette lettre et le paquet. » 
 B. et F. App. 1865.
819. Frédéric, prince royal de Prusse. 23 janvier. — « Je reçois de Berlin une lettre. » 
 C.
820. Thieriot. Cirey, 24 janvier. — « Je reçois un paquet de vous. » 
 B. et F.
821. L’abbé Moussinot. 23 janvier. — « En réponse à votre lettre du 22. » 
 C.
822. Thieriot. Cirey, 23 janvier. — « Je comptais vous envoyer. » 
 B.
823. Maupertuis. Cirey. — « Romulus et Liber pater. » 
 B.
824. De Frédéric. 4 février 1738. — « Je suis bien fâché que l’histoire. » 
 Pr.
825. Frédéric, prince royal de Prusse. 3 février. — « Prince, cet anneau magnifique. » 
 B.
826. Thieriot. Cirey, 7 février. — « Je vous envoie une lettre. » 
 B.
827. L’abbé Moussinot. 11 février. — « Je vous prie de joindre. » 
 C.
828. De Frédéric. 17 février. — « On vient de me rendre votre lettre. » 
 Pr.
829. De Frédéric. 19 février. — « Je viens de recevoir la lettre. » 
 Pr.
830. Jore au lieutenant général de police. — « Je suis trop pénétré. » 
 L. Led.
831. Le lieutenant général de police. 21 février. — « J’ai toujours eu une si grande confiance. » 
 L. Led.
832. Mlle Quinault. Cirey, 22 février. — « Charmante Thalie puisque vous voulez bien. » 
 Éd. 1822.
833. Thieriot. 22 février. — « J’ai reçu votre lettre et les paquets. » 
 C. et F.
834. Prault. Cirey, 24 février. — « J’ai reçu votre lettre du 20. » 
 B.
835. De Frédéric. 27 février. — « Vos ouvrages n’ont aucun prix. » 
 B.
836. M. Berger. — « Vous avez grande raison. » 
 B.
837. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Une maladie qui a fait le tour. » 
 B.
838. L’abbé Moussinot. 6 mars 1738. — « Vous verrez, par cette petite réponse » 
 C.
839. Le prince de Guise. — « Je reçois en même temps une lettre. » 
 B.
840. Thieriot. Cirey, 8 mars 1738. — « J’étais bien étonné. » 
 B.
841. Frédéric. prince royal de Prusse. 8 mars. — » Le plus zélé de vos admirateurs. » 
 B.
842. Thieriot. Cirey, 22 mars. — « Allez vous faire …. » 
 B.
843. M. Rameau. — « Je vous félicite beaucoup. » 
 B.
844. L’abbé Moussinot. 27 mars. — « En réponse à celle du 24. » 
 C.
845. De Frédéric. 28 mars. — « J’ai reçu votre lettre du 8. » 
 Pr.
846. Thieriot. 28 mars. — « Je vois que Maximien. » 
 B.
847. De Frédéric. 31 mars. — « Je suis obligé de vous avertir. » 
 Pr.
848. L’abbé Moussinot. 3 avril 1738. — « En réponse à celle du 31. » 
 C.
849. M. Berger. Cirey, avril. — « Mme  la marquise du Châtelet. » 
 B.
850. Thieriot. 10 avril. — « J’ai reçu le petit écrit. » 
 B.
851. De Frédéric. 19 avril. — « J’y perds de toutes les façons. » 
 Pr.
852. Thieriot. Cirey, 23 avril. — « Je reçois un paquet de notre prince. » 
 B.
853. Frédéric, prince royal de Prusse. — « J’ai reçu des nouveaux bienfaits.» 
 B.
854. Thieriot. — « Je reçois votre lettre du 25. » 
 B.
855. L’abbé Moussinot. 29 avril 1738. — « Je reçois votre lettre du 26. » 
 C.
856. Thieriot. Cirey, 1er mai 1738. — « Vous faites fort mal. » 
 B. et F.
857. Le comte d’Argental. 2 mai. — « Je vous importunerai. » 
 C. et F.
858. Le comte d’Argental. 4 mai. — « Je ne puis laisser partir. » 
 B.
859. Thieriot. Cirey, 5 mai. — « Je vous ai envoyé un chiffon. » 
 B.
860. L’abbé Moussinot. 5 mai. — « Je reçois votre lettre du 1er » 
 C.
861. L’abbé Moussinot. 9 mai. — « Je reçois la lettre du 5 mai. » 
 C.
862. Thieriot. Cirey, 9 mai. — « Voici un petit paquet. » 
 C. et F.
863. Le comte d’Argental. 9 mai. — « Puis-je ajouter un mot. » 
 C. et F.
864. Pont-de-Veyle. 10 mai. — « Je fais mon très-humble compliment. » 
 B.
865. Madame Denis à M. Thieriot. 10 mai. — « Je suis ici du 22 avril. » 
 P. in. 1820
866. Thieriot. 11 mai. — « Je reçois votre lettre du 7 mai. » 
 C. et F.
867. M. Berger. Cirey, 14 mai. — « Il y a longtemps qu’on m’impute. » 
 B.
868. M. Pitot. 18 mai. — « Mon cher philosophe, en vous remerciant. » 
 C. et F.
869. L’abbé Moussinot. 18 mai. — « Je reçois vos lettres. » 
 C.
870. Frédéric, prince royal de Prusse. 20 mai 1738. — « Vos jours de poste sont comme les jours de Titus. » 
 B.
871. Thieriot. Cirey, 21 mai. — « Quand Descartes était malade. » 
 B.
872. Maupertuis. 22 mai. — « Je viens de lire une histoire. » 
 B.
873. Thieriot. — « Père Mersenne, je reçois votre lettre du 9. » 
 B.
874. Maupertuis. Cirey, 25 mai. — « Voici une obligation que Cirey. » 
 B.
875. L’abbé Moussinot. 5 juin 1738. — « En réponse à celles des 31 mai et 2 juin. » 
 C.
876. Thieriot. 5 juin. — « Vous passez donc une partie de vos beaux jours. » 
 B.
877. De Frédéric. — « Mon cher ami, ce titre vous est du. » 
 Pr.
878. L’abbé Moussinot. 12 juin. — « En vous remerciant toujours de tous vos soins. » 
 C.
879. Le comte d’Argental. 12 juin. — « Mme  de Richelieu a dû vous remettre, » 
 B.
880. Maupertuis. Cirey, 15 juin. — « En vérité, M. le chevalier Isaac. » 
 B.
881. L’abbé Moussinot. 17 juin. — « En réponse à celle du 11 juin. » 
 C.
882. De Frédéric. 17 juin. — « C’est la marque d’un génie bien supérieur. » 
 Pr.
883. Frédéric, prince royal de Prusse. — « J’ai reçu une partie des nouvelles faveurs. » 
 B.
884. Thieriot. — « Voici un paquet pour le prince philosophe. » 
 B. et F.
885. M. R***. Cirey, 20 juin 1738. — « Quelques affaires Indispensables. » 
 B.
886. Thieriot. 23 juin. — « Je suis depuis quinze jours. » 
 B.
887. Thieriot. 23 juin. — « Il y a bien une autre omission. » 
 C. et F.(Suppl.)
888. Pont-de-Veyle. Cirey, 23 juin. — « Enfin nous avons lu. » 
 B.
889. L’abbé Moussinot. 28 juin. — « J’attends de vos nouvelles. » 
 C.
890. Frédéric, prince royal de Prusse. Cirey, juin. — « Quand j’ai reçu le nouveau bienfait. » 
 B.
891. M. Pitot. Juillet 1738. — « En vous remerciant, mon très-cher et très-éclairé philosophe. » 
 B.
892. M. Cousin. 3 juillet. — « J’ai reçu votre lettre du 30. » 
 C.
893. L’abbé Moussinot. Cirey, 3 juillet. — « Je reçois dans le moment deux lettres. » 
 C.
894. L’abbé Moussinot. 5 juillet. — « Je vous réitère toutes mes petites prières. » 
 C.
895. L’abbé Moussinot. 7 juillet. — « J’ai reçu votre lettre du 4. » 
 C.
896. MM. Ledet et Cie. 7 juillet. — « Vous avez, sans m’en avertir. » 
 B.
897. L’abbé Prévost. Sur les Éléments de Newton. — « Je viens de recevoir par la poste. » 
 B.
898. L’abbé Moussinot. 11 juillet. — « Vous m’aurez fait un très-sensible plaisir. » 
 C.
899. M. Berger. Cirey, juillet. — « Je serais fort aise que vous fussiez. » 
 B.
900. Thieriot. Juillet. — « Je vous adresse ce paquet. » 
 C. et F.
901. M. Berger. Cirey. — « J’ai reçu votre lettre. » 
 B.
902. L’abbé Moussinot. 14 juillet. — « Il n’y a qu’à renvoyer la montre. » 
 C.
903. Le comte d’Argental. 14 juillet. — « La route de Paris à Pont-de-Veyle. » 
 B.
904. Cideville. Cirey, 14 juillet. — « Malgré mon silence coupable. » 
 B.
905. M. Berger. — « Apparemment que vous n’avez pas reçu. » 
 B.
906. Maupertuis. Juillet. — « Voyez, notre maître à tous, si vous voulez. » 
 B.
907. L’abbé Moussinot. 21 juillet. — « En réponse à votre paquet. » 
 C.
908. De Frédéric. 24 juillet. — « Me voilà rapproché de plus de 60 lieues. » 
 Pr.
909. M. de Marville. 25 juillet. — « Je me donnerai bien de garde. » 
 B.
910. Maupertuis, Cirey, 26 juillet. — « Depuis feu saint Thomas. » 
 B.
911. L’abbé Moussinot. 2 auguste 1738. — « Je reçois une nouvelle bien agréable. » 
 C.
912. Thieriot. Cirey, 2 août. — « Je vous remercie bien tendrement. » 
 B.
913. L’abbé Moussinot. 4 auguste. — « Voici deux petites négociations. » 
 C.
914. M. Pitot. 4 août. — « Je ne veux pas croire, mon cher ami. » 
 C. et F.
915. Frédéric, prince royal de Prusse. 5 août. — « J’ai reçu la plus belle et la plus solide. » 
 B.
916. De Frédéric. 6 août. — « Je vous reconnais, je reconnais mon sang. » 
 Pr.
917. L’abbé Moussinot. 7 auguste 1738. — « Je n’ai donc nulle nouvelle de ma caisse. » 
 C.
918. Thieriot. 7 août. — « Je reçois votre lettre du 1er » 
 B.
919. Helvétius. 10 août. — « Je reçois dans ce moment. » 
 B.
920. Thieriot. Cirey, 11 août. — « Nous savons très-bien actuellement. » 
 C. et F.
921. De Demoulin. 12 août. — « Nous vous remercions très-humblement. » 
 B.
922. L’abbé Moussinot. 14 auguste. — « En réponse à vos deux lettres. » 
 C.
923. Thieriot. Cirey, 14 août. — « I thank you, my dear Tieriot. » 
 Pièces in. 1820
924. Mlle  Quinault. Cirey, 16 août. — « Vous voilà, charmante Thalie. » 
 C. et F.
925. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Votre Altesse royale me reproche. » 
 B.
926. L’abbé Moussinot. 18 auguste. — « En réponse à vos dernières. » 
 C.
927. Thieriot. Cirey, 20 août. — « Je reçois votre lettre du 15. » 
 C. et F.
928. Frédéric, prince royal de Prusse. — « Je suis presque ressuscité. » 
 B.
929. Au rédacteur de la Bibliothèque française Cirey. 30 août. — « J’ai reçu le petit écrit. » 
 B.
930. L’abbé Moussinot. 2 septembre 1738. — « J’ai été si mal. » 
 C.
931. Maupertuis. 10 septembre. — « Si je n’étais pas presque toujours malade. » 
 B.
932. De Frédéric. 11 septembre. — « Un voyage assez long. » 
 Pr.
933. M. de Mairan. Cirey, 11 septembre 1738. — « Le livre que j’ai eu l’honneur. » 
 B.
934. Helvétius. 11 septembre. — « Mon aimable ami, qui ferez honneur. » 
 B.
935. De Frédéric. 14 septembre. — « Je viens de recevoir dans ce moment. » 
 Pr.
936. De Frédéric. 30 septembre. — « Quoi ! des bords du sombre Élysée. » 
 Pr.
937. Frédéric, prince royal de Prusse. Cirey, septembre ou octobre 1738. — « Je vois toujours avec une satisfaction. » 
 B.