Livre:Froissart - Les Chroniques de Sire Jean Froissart, revues par Buchon, Tome III, 1835.djvu

TitreLes Chroniques de Sire Jean Froissart Voir l'entité sur Wikidata
VolumeIII
AuteurJean Froissart Voir l'entité sur Wikidata ; anonyme.
ÉditeurJ. A. C. Buchon Voir l'entité sur Wikidata
Année d’édition1835
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger
SérieTome ITome IITome III

Pages

- - - - - - 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 459 460 461 462 463 464 465 466 467 468 469 470 471 472 473 474 475 476 477 478 479 480 481 482 483 484 485 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 498 499 500 501 502 503 504 505 506 507 508 509 510 511 512 513 514 515 516 517 518 519 520 521 522 523 524 525 526 527 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 540 541 542 543 544 545 546 547 548 549 550 551 552 553 554 555 556 557 558 559 560 561 562 563 564 565 566 567 568 569 570 571 572 573 574 575 576 577 578 579 580 581 582 583 584 585 586 587 588 589 590 591 592 593 594 595 596 597 598 599 600 601 602 603 604 605 606 607 608 609 610 611 612 613 614 615 616 617 618 619 620 621 622 623 624 625 626 627 628 629 630 631 632 633 634 635 636 637 638 639 640 641 642 643 644 645 646 647 648 649 650 651 652 653 654 655 656 657 658 659 660 661 662 663 664 665 666 667 668 669 670 671 672 673 674 675 676 677 678 679 680 681 682 683 684 685 686 687 688 689 690 691 692 693 694 695 -

TABLE DES CHAPITRES
CONTENUS DANS CE VOLUME.

Séparateur


LIVRE IV.

Chapitre premier. — Ci commence le quart livre de maître Jean Froissart, qui parle des guerres et nobles faits d’armes et advenues de France, d’Angleterre et des pays d’entour, leurs conjoints et adhérens, depuis l’an Nostre Seigneur mil trois cent quatre vingt et neuf, et primes de la noble fête qui fut faite à Paris à l’entrée et venue de la roine Isabelle de France, femme au roi Charles le Bien-Aimé, et aussi des joutes qui y furent faites et des présens de ceux de Paris.
1
Chap. ii. — Comment le seigneur de Châteaumorant, lequel le comte de Saint-Pol avoit laissé en Angleterre, retourna en France de-lez le roi et son conseil et montra la chartre de la trève qui étoit accordée et scellée du roi Richard et de ses oncles, laquelle devoit durer trois ans par terre et par mer.
11
Chap. iii. — Du mariage du roi Louis, fils du duc d’Anjou, à la fille du roi Piètre d’Arragon, et comment il alla avec la roine de Naples sa mère, en Avignon, voir le pape Clément.
Ib.
Chap. iv. — Comment le jeune roi de France eut volonté d’aller visiter les lointaines marches de son royaume, et comment il alla premièrement en Bourgogne et en Avignon pour voir le pape Clément.
13
Chap. v. — Comment messire Pierre de Courtenay vint en France pour faire armes à l’encontre messire Guy de la Trémouille. Comment le sire de Clary le reconvoya, et pour quelle ochoison il fit armes à lui ès marches de Calais.
18
Chap. vi. — Comment les joutes de Saint Inghelberth furent emprises et les faits d’armes par messire Regnauld de Roye, messire Boucicault le jeune et le sire de Saint-Py.
22
Chap. vii. — De l’accusation faite au roi du peuple de Languedoc en la ville de Beziers sur un nommé Betisac, trésorier au duc de Berry, pour les grandes extorsions qu’il avoit faites au peuple, et de sa confession, et comme il fut cruellement justicié en ladite ville.
24
Chap. viii. — Comment, le roi de France, lui étant à Toulouse, manda comte de Foix, et comment le dit comte y vint ; et comme grandement ; et comment il fit hommage au roi de France de la comté de Foix.
28
Chap. ix. — De l’attine qui fut faite entre le roi et le duc de Touraine son frère pour plutôt venir de Montpellier à Paris, chacun un seul chevalier en sa compagnie.
31
Chap. x. — Du trépas du pape Urbain de Rome que on disoit antipape, et comment le pape Clément en escripsit au roi, à ses oncles et à l’université ; et de l’élection du pape Boniface des cardinaux de Rome.
32
Chap. xi. — De la rendation et prise du fort châtel de Mont-Ventadour en Limousin que souloit tenir Geoffroy Tête-Noire.
34
Chap. xii. — Des armes de Saint-Inghelberth, et comment les trois chevaliers dessus nommés se maintinrent trente jours à l’encontre de tous venans des pays d’Angleterre et d’ailleurs, et chacun trois lances.
40
Chap. xiii. — De l’entreprise et du voyage des chevaliers de France et d’Angleterre et du duc de Bourbon qui fut chef de l’armée, à la requête des Gennevois, pour aller en Barbarie assiéger la forte ville d’Affrique.
57
Chap. xiv. — De un capitaine robeur, nommé Aimerigot Marcel, qui tenoit un fort châtel ès marches de Rouergue, nommé la Roche de Vendais, et comme il fut assiégé du vicomte de Meaux, et la prise du dit châtel et comment depuis ledit Aimerigot fut pris et mené à Paris.
60
Chap. xv. — Comment les seigneurs chrétiens et gennevois, étant en l’île de Comminières à l’ancre, se mirent hors pour aller mettre le siége devant la ville d’Afrique en Barbarie, et comme ils s’y maintinrent.
79
Chap. xvi. — De une noble fête et joutes qui fut faite en la ville de Londres, et comment elle fut publiée par tous pays.
94
Chap. xvii. — Comment, et par quelle incidence, le siége fut levé de devant la forte ville d’Affrique, et comment chacun s’en r’alla en son lieu.
99
Chap. xviii. — Des chevaliers anglois qui furent envoyés à Paris devers le roi d’Angleterre et ses oncles sur forme de paix.
103
Chap. xix. — De la mort du roi Jean de Castille et du couronnement du roi Henry son fils.
106
Chap. xx. — De l’armée du jeune comte Jean d’Armignac et du voyage qu’il fit en Lombardie, et comme il mourut au siége devant la ville d’Alexandrie.
107
Chap. xxi. — De messire Pierre de Craon, et comment il enchéy en l’indignation du roi de France et du duc de Touraine son frère, et depuis fut recueilli du duc de Bretagne.
115
Chap. xxii. — De la mort du jeune comte Louis de Chastillon, fils au comte Guy de Blois.
118
Chap. xxiii. — De la mort soudaine du comte Gaston de Foix, et comment le vicomte de Chastelbon vint à l’héritage.
119
Chap. xxiv. — Comment traité se renouvela à Tours en Touraine entre le roi de France et le duc de Bretagne, et du mariage et alliance de la fille de France au fils du duc de Bretagne et de Jean de Bretagne, comte de Paintièvre, à la fille du dit duc de Bretagne.
131
Chap. xxv. — Comment le comte de Blois et Marie de Namur sa femme vendirent la comté de Blois et toutes leurs terres au duc de Touraine, frère au roi de France.
137
Chap. xxvi. — De l’exploit que messire Roger d’Espaigne et messire Espaing de Lion avoient fait devers le roi et son conseil pour le vicomte de Castelbon, et comment il l’eut et fut remis en la comté de Foix et de Béarn et de l’argent qu’il en paya.
140
Chap. xxvii. — De la grande assemblée qui se tint à Amiens du roi de France, de ses oncles et de son conseil, et des oncles et conseil du roi Richard d’Angleterre sur forme de paix.
Ib.
Chap. xxviii. — Comment messire Pierre de Craon, par haine et mauvais aguet, battit messire Olivier de Cliçon, dont le roi et ses consaux furent moult courroucés.
146
Chap. xxix. — De la grosse armée et du voyage que le roi de France voulait faire en Bretagne sur le duc de Bretagne, pour la cause que on disoit qu’il soutenoit messire Pierre de Craon ; et comment au dit voyage le roi devint malade, pourquoi le voyage fut rompu.
153
Chap. xxx. — Comment le duc de Berry et le duc de Bourgogne, oncles du roi, eurent le gouvernement du royaume ; et comment ils firent chasser et prendre ceux qui avoient eu le gouvernement du roi.
163
Chap. xxxi. — Comment les trèves furent rallongées entre France et Angleterre, et comment le roi étoit revenu en son bon sens.
174
Chap. xxxii. — L’aventure d’une danse faite en semblance de hommes sauvages, là où le roi fut en péril.
176
Chap. xxxiii. — Comment le pape Boniface et les cardinaux de Rome envoyèrent un frère, sage clerc, devers le roi de France et son conseil.
179
Chap. xxxiv. — Comment le mariage fut traité de messire Philippe d’Artois, comte d’Eu et madame Marie de Berry, veuve, fille au duc de Berry, et comment lui fut baillée la charge de la connétablie de France et ôtée à messire Olivier de Cliçon.
181
Chap. xxxv. — De la forme de la paix qui fut faite et octroyée entre les deux rois de France et d’Angleterre, et par le moyen des quatre ducs, oncles des deux rois.
185
Chap. xxxvi. — De la mort du pape Clément d’Avignon et de l’élection du pape Bénédict.
192
Chap. xxxvii. — De un clerc nommé maître Jean de Varennes.
194
Chap. xxxviii. — Comment le roi d’Angleterre et son conseil donnèrent au duc de Lancastre, pour lui et ses hoirs perpétuellement, la duché d’Aquitaine et toutes les terres et sénéchaussées appendantes à icelle ; et comment le roi s’ordonnoit et faisoit faire ses pourvéances pour aller en Irlande et le duc pour aller en Aquitaine.
195
Chap. xxxix. — Du trépas de la roine Anne d’Angleterre, fille au roi de Bohême et empereur d’Allemagne.
196
Chap. xl. — Comment sire Jean Froissart arriva en Angleterre et du don du livre qu’il fit au roi.
197
Chap. xli. — Du refus que ceux d’Aquitaine firent au duc de Lancastre, et comment ils envoyèrent en Angleterre pour remontrer au roi et à son conseil la volonté de tout le pays.
200
Chap. xlii. — La devise du voyage et de la conquête que le roi Richard fit en Irlande, et comment il mit en son obéissance quatre rois d’icelui pays.
207
Chap. xliii. — De l’ambassade que le roi d’Angleterre envoya en France devers le roi de France, pour traiter du mariage de dame Isabel, ains-née fille de France, et de l’amiable réponse qui leur fut faite.
213
Chap. xliv. — De un écuyer nommé Robert l’Ermite ; comment il fut mis ès traités de la paix et comment il s’en alla en Angleterre devers le roi et ses oncles.
216
Chap. xlv. — De la délivrance du seigneur de la Rivière et messire Jean le Mercier, comment ils furent mis hors de prison.
221
Chap. xlvi. — De la paix et accord entre le duc de Bretagne et messire Olivier de Cliçon.
222
Chap. xlvii. — Comment le roi de Honguerie escripsit au roi de France l’état de l’Amorath-Baquin, et comment Jean de Bourgogne, fils ains-né au duc de Bourgogne, fut chef de toute l’armée qui y alla.
226
Chap. xlviii. — Comment Guillaume de Hainaut, comte d’Ostrevant et fils au duc Aubert de Hollande, entreprit le voyage pour aller en Frise.
231
Chap. xlix. — De la sentence et arrêt de parlement qui fut prononcée pour la roine de Naples et de Jérusalem, duchesse d’Anjou, contre messire Pierre de Craon.
233
Chap. l. — Comment la conclusion du mariage fut prise à Paris du roi d’Angleterre et d’Isabelle de France, ains-née fille au roi de France, et comment le duc de Lancastre se remaria.
235
Chap. li. — Comment l’ordonnance des noces du roi d’Angleterre et de la fille de France se fit, et comment le roi de France lui livra en sa tente entre Ardre et Calais.
256
Chap. lii. — Comment le siége que les François avoient mis devant la forte ville de Nicopoli en Turquie fut levé par l’Amorath-Baquin, et comment ils y furent déconfits et tués, et comment les Hongrès s’enfuirent.
260
Chap. liii. — Comment les nouvelles de la bataille de Honguerie furent sçues en l’hôtel du roi de France.
272
Chap. liv. — Comment la duchesse d’Orléans, fille au duc de Milan, fut soupçonnée de la maladie du roi.
278
Chap. lv. — Comment le duc de Bourgogne et madame sa femme prenoient grand’diligence pour trouver manière pour la rédemption du comte de Nevers, leurs fils, et des autres prisonniers étants en Turquie.
279
Chap. lvi. — Comment le duc de Glocestre subtilloit et quéroit les manières pour détruire le roi d’Angleterre, son nepveu.
283
Chap. lvii. — Comment le duc de Glocestre fut pris par le comte Maréchal au commandement du roi.
292
Chap. lviii. — De la manière de la rédemption du comte de Nevers et ses complices et comment elle fut trouvée.
293
Chap. lix. — Comment le seigneurs prisonniers en Turquie retournèrent par mer jusques à Venise, et des îles qu’ils y trouvèrent.
299
Chap. lx. — Comment les dessus dits seigneurs prisonniers retournèrent en France, et comment, depuis leur venue, le roi entendit à la union de sainte Église.
306
Chap. lxi. — De la mort du duc de Glocestre et du comte Arondel, et comment les oncles du roi d’Angleterre, c’est à savoir le duc de Lancastre et le duc d’Yorch et les Londriens s’en contentèrent.
308
Chap. lxii. — De la grand’assemblée qui fut faite en la ville de Rheims, tant de l’empire d’Allemagne comme du royaume de France sur l’état et union de sainte Église.
312
Chap. lxiii. — Comment le comte Maréchal appela de gage à outrance le comte Derby, fils au duc de Lancastre, en la présence du roi et de tout son conseil, dont depuis plusieurs maux vinrent en Angleterre.
315
Chap. lxiv. — Comment le roi Richard d’Angleterre rendit sa sentence par laquelle il bannit du pays dessus dit le comte Derby dix ans et le comte Maréchal à toujours.
320
Chap. lxv. — Comment Derby se partit d’Angleterre et de la ville de Londres pour venir en France.
321
Chap. lxvi. — Comment messire Guillaume, comte d’Ostrevant, envoyé devers le comte Derby ses messages, et comment il y fut reçu.
323
Chap. lxvii. — Comment grand’assemblée se fit en la ville de Reims de l’empereur d’Allemagne et du roi de France pour mettre union en sainte Église.
324
Chap. lxviii. — De la réponse que le duc de Lancastre fit au chevalier envoyé de par son fils le comte Derby, et comment le duc de Lancastre mourut.
331
Chap. lxix. — Du traité du mariage entre le comte Derby et la fille au duc de Berry, et comment le roi Richard le fit empêcher par le comte Salsebery.
334
Chap. lxx. — Comment le roi Richard s’ordonna et fit son mandement pour aller sur les marches d’Irlande.
337
Chap. lxxi. — Comment l’archevêque de Cantorbie fut envoyé devers le comte Derby de par les Londriens et aucuns grands consaux d’Angleterre pour faire revenir le dit comte.
340
Chap. lxxii. — Comment le comte Derby prit congé au roi de France et s’en vint en Bretagne devers le duc son cousin.
342
Chap. lxxiii. — Comment le comte Derby arriva de Bretagne en Angleterre et comment il fut reçu des citoyens de Londres.
344
Chap. lxxiv. — Comment nouvelles vinrent au roi Richard de la venue du comte Derby, et comme il venoit à puissance sur lui, et comment il s’en pourvéit.
346
Chap. lxxv. — Comment le roi Richard se rendit au comte Derby pour venir à Londres.
347
Chap. lxxvi. — De l’état de la roine Isabel d’Angleterre, et comment on lui bailla nouvelles gens et comment le roi fut mis dedans la grosse tour de Londres.
351
Chap. lxxvii. — Comment le roi relégua sa couronne et son royaume en la main du comte Derby, duc de Lancastre.
354
Chap. lxxviii. — Comment le roi Henry, duc de Lancastre, fut couronné du consentement de tout le commun d’Angleterre et de la manière de la fête.
355
Chap. lxxix. — Comment les nouvelles de la prise du roi Richard furent sçues en France par la venue de la dame de Coucy, et comment le roi en fut courroucé.
359
Chap. lxxx. — Comment aucuns seigneurs d’Angleterre mirent sus une armée pour délivrer le roi Richard et détruire le roi Henry, et comment ils en moururent.
363
Chap. lxxxi. — Comment le roi de France mit une grosse armée pour envoyer sur les frontières d’Angleterre.
366
Chap. lxxxii. — De la mort du roi Richard d’Angleterre, et comment les trèves furent ralongées entre France et Angleterre et aussi de la déposition du pape Bénédict.
367
FIN DE LA TABLE DES CHAPITRES CONTENUS DANS CE VOLUME.

TABLE DES CHAPITRES
CONTENUS DANS CE VOLUME.

Séparateur


Livre des faits du bon messire Jean le Maingre, dit Bouciquaut, mareschal de France et gouverneur de Jennes. 
567

PARTIE I.
Chapitre premier. Cy dit par quel mouvement ce présent livre fut fait. 
568
Chap. II. Cy dit de quieulx parens fut le mareschal Bouciquaut, et de sa naissance et enfance. 
Ib.
Chap. III. Encore de l’enfance du dict Bouciquaut. 
569
Chap. IV. Cy dit de la première fois que Bouciquaut prist à porter armes. 
570
Chap. V. Cy dit comment en jeune âge Bouciquaut voulut poursuivre les armes, et se prist à aller en voyages. 
671
Chap. VI. Cy devise les essais que Bouciquaut faisoit de son corps pour soy duire aux armes. 
572
Chap. VII. Cy parle d’amour en démonstrant par quelle manière les bons doivent amer pour devenir vaillans. 
Ib.
Chap. VIII. Cy dit comme amour et desir d’estre aimé, creust en Bouciquaut courage et volonté d’estre vaillant et valeureux. 
574
Chap. IX. Cy dit comment Bouciquaut fut faict chevalier, et des voyages de Flandres. 
575
Chap. X. Comment Bouciquaut fut la première fois en Prusse, et, puis comment la deuxiesme fois il y retourna. 
576
Chap. XI. Comment messire Bouciquaut après le retour de Prusse alla avec le duc de Bourbon devant Taillebourg et devant Bertueil, qui furent pris, et autres chasteaux en Guyenne. 
577
Chap. XII. Cy dict comment le duc de Bourbon laissa messire Bouciquaut ès frontières son lieutenant, et comment il jousta de fer de glaive à messire Sicart de la Barde. 
578
Chap. XIII. Comment messire Bouciquaut jousta de fer de glaive à un Anglois appelé messire Pierre de Courtenay, et puis à un autre nommé messire Thomas de Clifort. 
579
Chap. XIV. Comment messire Bouciquaut alla en Espaigne, et comment au retour le seigneur de Chasteauneuf Anglois entreprist à faire armes à luy, vingt contre vingt, et puis ne le voult ou n’osa maintenir. 
580
Chap. XV. Comment messire Bouciquaut alla outre mer où il trouva le comte d’Eu prisonnier. 
582
Chap. XVI. De l’emprise que messire Bouciquaut fait luy troisiesme de tenir champ trente jours à la jouste à tous venans, entre Boulongne et Calais, au lieu que on dict Sainct-Inghelbert. 
583
Chap. XVII. Comment messire Bouciquaut alla la troisiesme fois en Prusse y et comment il voult venger la mort de messire Guillaume de Duglas. 
585
Chap. XVIII. Comment messire Bouciquaut fut fait mareschal de France. 
586
Chap. XIX. Comment le mareschal Bouciquaut alla avec le roy a Boulongne, au traicté ; et la charge que le roy lui bailla après pour aller en plusieurs voyages, et comment il prist le Roc du Sac. 
588
Chap. XX. Comment le mareschal alla en Guyenne, et les forteresses qu’il y prit. 
Ib.
Chap. XXI. Cy commence à parler du voyage de Hongrie, comment le comte d’Eu admonesta le mareschal d’y aller. 
589
Chap. XXII. Comment le comte de Nevers, qui ores est duc de Bourgongne, voulut aller au voyage de Hongrie, et comment il fut faict chevetaine de toute la compaignie des François qui là allèrent. 
590
Chap. XXIII. De plusieurs villes que le roy de Hongrie prist sur les Turcs, par l’aide des bons François : et comment le vaillant mareschal Bouciquaut entre les autres bien s’y porta. 
591
Chap. XXIV. De la fière Bataille que on dict de Hongrie, qui fut des chrestiens contre les Turcs. 
593
Chap. XXV. De la grande pitié du martyre que on faisoit des chrestiens devant Bajazet, et comment le mareschal fut respité de mort. 
596
Chap. XXVI. Comment les nouvelles vindrent en France de la dure desconfiture de nos gens et le dueil qui y fut mené. 
597
Chap. XXVII. Comment le comte de Nevers fut emmené prisonnier à Burse, et plusieurs autres barons. Et de la rançon que on envoya à Bajazet, et du bien faict du mareschal. 
598
Chap. XXVIII. Comment, après le retour de Hongrie, le roy envoya le mareschal en Guyenne, à belle compaignie de gens d’armes sur le comte de Pierregort qui s’estoit rebellé contre luy. Si le prit et amena prisonnier au roy. 
600
Chap. XXIX. Cy dict comment l’empereur de Constantinoble envoya requérir secours au roy contre les Turcs, et il y envoya le mareschal à belle compaignie (1399). 
601
Chap. XXX. Comment le mareschal s’en alla par mer à belle compaignie, et l’affaire qu’il eut aux Sarrasins. 
602
Chap. XXXI. La grand chère et joye que l’empereur fait au mareschal et à sa compaignie, et comment ils allèrent courir tost sus aux Sarrasins. 
603
Chap. XXXII. Des villes et chasteaux que l’empereur, le mareschal et leur compaignie prirent sur Sarrasins. 
604
Chap. XXXIII. Comment après que l’empereur, avec l’aide du mareschal et des François, eut tout environ soy descombré de Sarrasins s’en voult venir en France pour demander aide au roy, pour ce que argent et vivres leur failloient ; et comment le mareschal, qui s’en venoit avec luy, laissa en la garde de Constantinoble le seigneur de Chasteaumorant, atout cent hommes d’armes, bons et esprouvez, bien garnis de trait. 
606
Chap. XXXIV. Comment le seigneur de Chasteaumorant fit bien son debvoir de garder Constantinoble, et la famine qui y estoit, et le remède qui y fut mis. 
607

Chap. XXXV. Comment l’empereur vint en France, et comment le mareschal y arriva devant. 
608
Chap. XXXVI. Cy devise comment l’empereur de Constantinoble eut paix avec Bajazet ; et comment le Tamburlan l’en vengea ; et de la mort de Tamburlan. 
Ib.
Chap. XXXVII. Cy dit comment le mareschal eut grand pitié de plusieurs dames et damoiselles qui se complaignoient de plusieurs torts que on leur faisoit, et nul n’entreprenoit leurs querelles, et pour ce entreprit l’ordre de la Dame-Blanche à l’escu verd. Par lequel luy treiziesme portant celle devise, s’obligea à la deffence d’elles. 
609
Chap. XXXVIII. Le contenu des lettres d’armes par lesquelles se obligeoient les treize chevaliers à défendre le droict de toutes gentils femmes à leur pouvoir qui les requerroient. 
610

PARTIE II.
Chapitre premier. — Cy commence la seconde partie de ce présent livre, laquelle parle du sens et prudence du mareschal de Bouciquaut, et des vaillans et principaux, biens-faits que il fit depuis le temps que il fut gouverneur de Jennes jusques au retour de Syrie. Premièrement parle de l’ancienne coustume qui court en Italie des Guelphes et des Guibelins. 
612
Chap. II. — Cy dit de la cité de Jennes, et de la tribulation où elle estoit avant que le maréchal en fust gouverneur. 
613
Chap. III. — Cy dit comment la cité de Jennes se donna au roy de France. 
614
Chap. IV. — Cy dit comment vertu plus que autre chose doibt estre cause de l’exaucement de l’homme. 
Ib.
Chap. V. — Cy dit comment le mareschal, pour sa vertu et vaillance, fut eslu et establi pour estre gouverneur de Jennes. 
615
Chap. VI. — Cy dit comment le mareschal alla à Jennes, et comment il y fut receu. 
616
Chap. VII. — Cy dit comment le mareschal parla saigement aux Genevois au conseil. 
617
Chap. VIII. — Cy dit les saiges établissemens et ordonnances que le mareschal fit à Jennes. 
618
Chap. IX. — Cy dit comment le saige mareschal fit édifier deux forts chasteaux, l’un sur le port de Jennes, l’autre autre part ; et comment il reprint à remettre en estat les choses ruineuses et perdues. 
619
Chap. X. — Cy dit comment après que le mareschal eut mis la cité de Jennes en bon estat, il y fit aller sa femme, et comment elle y fut reçue. 
620
Chap. XI. — Cy dit comment nouvelles vindrent au mareschal que le roy de Cypre avoit mis le siége devant Fagamouste, laquelle cité est aux Genevois, et comment il se partit de Jennes à grand armée pour y aller. 
Ib.
Chap. XII. — Cy dit de l’ancien contens qui est comme naturel entre les Genevois et les Vénitiens. 
621
Chap. XIII. — Comment le mareschal donna secours à l’empereur de Constantinoble pour s’en retourner en son pays. 
623
Chap. XIV. — Comment le mareschal arriva à Rhodes, et comment le grand maistre de Rhodes le reçut, et le pria qu’il allast en Cypre pour traicter paix. 
624
Chap. XV. — Cy dit comment le mareschal alla en Turquie devant une grosse cité que on nomme Lescandelour. 
Ib.
Chap. XVI. — Cy dit comment le mareschal assaillit Lescandelour par belle ordonnance. 
625
Chap. XVII. — Les escarmouches que faisoient tous les jours les gens du mareschal aux Sarrasins, et comment ils les desconfirent et chassèrent. 
626
Chap. XVIII. — Comment la paix fut faicte entre le roy de Cypre et le mareschal, et comment il voult aller devant Alexandrie. 
627
Chap. XIX. — Comment les Vénitiens avoient faict sçavoir par les terres des Sarrasins que le mareschal alloit sur eulx ; et comment le dict mareschal alla devant Tripoli. 
628
Chap. XX. — La belle ordonnance du mareschal en ses batailles, et comment il desconfit les Sarrasins. 
629
Chap. XXI. — Cy dit comment on sceut certainement que les Vénitiens avoient fait sçavoir aux Sarrasins la venue du mareschal, et comment il print Botun et Barut. 
631
Chap. XXII. — Cy dit comment le mareschal alla devant Sayète, et la grande hardiesse et vaillance de luy contre les Sarrasins. 
632
Chap. XXIII. — Cy dit comment le mareschal alla devant la Liche, et les embusches que les Sarrasins avoient faites pour le surprendre. 
633
Chap. XXIV. — Comment le mareschal, pour ce que jà se tiroit vers l’hyver, s’en voult retourner à Jennes. 
634
Chap. XXV. — Comment les Vénitiens, pour avoir achoison de faire ce qu’ils firent après, se alloient plaiguans du mareschal de la prise de Barut. 
Ib.
Chap. XXVI. — Comment les Vénitiens assaillirent le mareschal, et la fière bataille qui y fut ; et comment le champ et la victoire luy en demeura. 
636
Chap. XXVII. — Comment le mareschal s’en alla à Jennes, irrité contre les Vénitiens ; et des prisonniers qui furent emmenés d’un costé et d’autre. 
638
Chap. XXVIII. — De la pitié des prisonniers françois. 
639
Chap. XXIX. — Comment les prisonniers mettoient peine par leurs lettres vers les seigneurs de France, que le mareschal ne fist guerre contre les Vénitiens, afin que leur délivrance n’en fust empeschée. 
Ib.
Chap. XXX. — Comment les Vénitiens s’envoyèrent excuser envers le roy de ce qu’ils avoient fait. 
640
Chap. XXXI. — Cy ensuit la teneur des lettres que le mareschal envoya aux Vénitiens. 
641

PARTIE III.
Chapitre premier. — Premièrement parle des seigneurs italiens qui désiroient avoir l’accointance du mareschal, pour les biens que ils oyoient dire de luy. 
646
Chap. II. — Comment le jeune duc de Milan entreprist guerre au mareschal, dont mal luy ensuivit. 
Ib.
Chap. III. — Comment le mareschal laboura, afin que il peust mettre paix en l’Église, que les Genevois se déclarassent pour nostre pape. 
647
Chap. IV. — Comment le mareschal assembla à conseil les plus saiges de Jennes, et les paroles que il leur dit sur le fait de l’Église. 
648
Chap. V. — Comment le mareschal tendoit que l’Église fust en union, soubs l’obéissance d’un seul pape esleu par concile générale. 
649
Chap. VI. — Cy commence à parler comment les Pisains se rebellèrent contre leur seigneur, et comment le mareschal se peina d’y mettre paix. 
651
Chap. VII. — Comment les Pisains firent entendre au mareschal par feintise que ils vouloient estre en l’obéissance du roy de France, et devenir ses hommes, et la mauvaistié qu’ils firent. 
652

Chap. VIII. — Comment le mareschal se travailloit tousjours que ceulx de Pise se donnassent au roy de France. 
653
Chap. IX. — Comment le mareschal dit et manda aux Pisains que s’ils ne se donnoient au roy leur seigneur, les vendroit aux Florentins. 
654
Chap. X. — L’accord qui fut fait entre le mareschal et les Florentins du fait de Pise. 
655
Chap. XI. — Comment le mareschal envoya par escript au roy de France, à nosseigneurs et au conseil, l’accord qu’il avoit fait avec les Florentins du fait de Pise ; lequel le roy et nosseigneurs agréèrent par leurs lettres ; et comment depuis par feintise les Pisains se voulurent donner au duc de Bourgogne. 
656
Chap. XII. — Comment nosseigneurs les ducs d’Orléans et celuy de Bourgogne scurent mauvais gré au mareschal, pource qu’il n’avoit esté en l’ayde des Pisains contre les Florentins. 
658
Chap. XIII. — Cy devise par exemples comment les bons sont communément enviés. 
Ib.
Chap. XIV. — Cy preuve par exemples que on ne doit mie tousjours croire ne adjouster foy en paroles et opinions de peuple. 
659
Chap. XV. — Cy dit comment le mareschal par la vaillance de son couraige entreprit d’aller prendre Alexandrie, et des messagers qu’il envoya pour ceste cause au roy de Cypre. 
660
Chap. XVI. — Encore de ce mesme, de l’instruction que le mareschal bailla à ses ambassadeurs de ce que dire debvoient au roy de Cypre. 
662
Chap. XVII. — Cy devise la grande chère et belle réponse que le roy de Cypre fit aux ambassadeurs du mareschal. 
663
Chap. XVIII. — Cy devise comment le roy de Cypre s’excusa vers les messagers du mareschal de non aller sur Alexandrie. 
664
Chap. XIX. — Cy parle du fait de l’Église, et comment le mareschal voult empescher le roy Lancelot que il n’allast prendre Rome. 
665
Chap. XX. — De ce mesme, et comment Paul Ursain, Romain, mit le roy Lancelot à Rome par argent qu’il reçut. 
667
Chap. XXI. — Cy devise comment le mareschal en venant par mer de Jennes en provence, combattit quatre galées de Mores, où grande foison en y eut d’occis. 
669
Chap. XXII. — Cy devise comment messire Gabriel Marie, bastard du duc de Milan, cuida usurper au roy la seigneurie de Jennes, et comment il eut la teste couppée. 
670

PARTIE IV.
Chapitre premier. — Cy commence la quatriesme et dernière partie de ce livre, laquelle parle des vertus, bonnes mœurs et conditions qui sont au mareschal, et de la manière de son vivre, et devise le premier chapitre de la façon de son corps. 
672
Chap. II. — Cy dict de la dévotion que le mareschal a vers Dieu en œuvres de charité. 
Ib.
Chap. III. — La reigle que le mareschal tient au service de Dieu. 
673
Chap. IV. — Comment le mareschal se garde de trespasser la loy de Dieu et ses commandemens, mesmement en fait de guerre, et de la mesure que il y tient. 
675
Chap. V. — Comment le mareschal est hardy et sûr en ses saiges entreprises. 
677
Chap. VI. — Comment le mareschal est sans convoitise, et large du sien. 
Ib.
Chap. VII. — Comment la vertu de continence et de chasteté est au mareschal. 
678
Chap. VIII. — Comment le mareschal suit la reigle de justice. 
680
Chap. IX. — Comment avec ce que le mareschal est justicier, il est piteux et miséricordieux. Et preuve par exemples que ainsi doibt estre tout vaillant homme. 
681
Chap. X. — De la belle éloquence que le mareschal a. 
682
Chap. XI. — De l’ordonnance de vivre du mareschal. 
683
Chap. XII. — Cy conclut comment homme où tant y a de vertus doibt bien estre honnoré. 
681
Chap. XIII. Cy dict en parlant au mareschal, que pourtant ne se veuille fier en fortune, qui tost se change, et donne exemples. 
685
Chap. XIV. — La fin du livre où la personne qui l’a fait s’excuse vers le mareschal de ce que il l’a fait sans son sceu et commandement, et non si bien mis par escript que il appartiendroit. 
687
Chap. XV. — Exemples des grands hommes trespassez qui scurent bon gré a ceulx qui avoyent escript et enregistré leurs gestes, et leurs vaillans faits. 
688
FIN DE LA TABLE DES CHAPITRES CONTENUS DANS CE VOLUME.