Livre:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu
Titre | Le Roi de Rome et les femmes |
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Sous-titre | La Comtesse Napoleone Camerata, La Danseuse Fanny Elssler, La Cantatrice Péche...L'Archiduchesse Frédérique-Sophie de Bavière |
Auteur | Hector Fleischmann |
Maison d’édition | A. Méricant |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1910 |
Bibliothèque | |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
TABLE DES CHAPITRES
provisoire
Ce qu’ont été les femmes dans la jeunesse et dans la vie de Napoléon. — Son sentiment de mépris pour l’amour. — Dans quelle mesure y participent les femmes. — Son fils ne se trouve dans aucune de ces conditions. — Le rôle que jouent les femmes dans sa vie de 1811 à 1815. — Point de mère : l’Impératrice. — Ses rapports avec l’enfant. — La pitié féminine va vers lui à l’heure des catastrophes. — L’Autriche le sépare des femmes françaises. — On en fera un capucin. — Il est livré à des gouverneurs. — Sources des renseignements sur sa psychologie. — Prokesch, Marmont, Montbel, Barthélemy. — Le degré de créance que mérite chacun d’eux. — Ce qu’on sait de l’adolescence du captif. — Vis-à-vis de l’amour, est-ce un anormal ? — Ses confi -dences sur ce chapitre. — Attraction qu’il exerce sur les femmes. — Les raisons. — Est-il beau ? — C’est un romantique. — Notice complémentaire.
Ce qu’est la comtesse Napoléone Camerata. — Ses aventures. — Sa tentative prouve qu’elle est une vraie Napoléonide. — Conditions dans lesquelles elle arrive à Vienne. — Rencontre du duc dans l’escalier du baron d’Obenaus. — Sa lettre à son cousin. — Réponse du duc. — Suite et fin de l’aventure. — Ce qui en a pu paraître suspect. — Fragiles hypothèses de M. Frédéric Masson. — La lettre est-elle apocryphe ? — Raisons qui militent en sa faveur. — Le duc a-t-il trahi sa cousine ? — Comment l’affaire a été solutionnée par des étrangers. — Pourquoi le duc n’a pas répondu à l’appel de Napoléone.
Le duc fait ses débuts dans le monde. — Tentations qui l’y attendent. — Impression qu’il y fait. — La « haute société » de Vienne. — Libertés galantes que prend la noblesse. — Le scandale du palais Kaunitz. — Autre modèle de viveur : Gentz. — Son sybaritisme. — Les Elssler. — Liaison de Fanny Elssler avec Gentz. — Son second amant. — Contradictions sur le physique de la danseuse. — Deux articles de Théophile Gautier. — Origine de la légende qui fait de Fanny la maîtresse du duc de Reichstadt. — La légende en France. — On en exploite la publicité pour les débuts de Fanny. — Démenti qu’elle reçoit du Journal des Théâtres. — Cette liaison a-t-elle été possible ? — Motifs qui tendent à la réfutation du roman galant. — Prokesch le nie ; Fanny aussi. — Notice complémentaire.
Aventures galantes que Prokesch consent à avouer. — Celle à laquelle il était favorable. — Intrigue avec la comtesse Naudine Caroly, née princesse de Kaunitz. — Une fugue au bal masqué. — La lettre de la chanoinesse amoureuse. — La surveillance autrichienne a-t-elle pu être trompée par le duc ? — Par politique, a-t-on favorisé la débauche du duc ? — Accusations formelles de la légende. — Le « grossier Portugais ». — Rôle de l’Empereur d’Autriche. — Ses théories sur la vie amoureuse. — Singulières pudibonderies dans l’éducation des archiduchesses. — Le Roi de Rome amoureux dans les histoires romanesques. — Une scène de débauche romantique. — Duperie d’une correspondance d’amour apocryphe. — Palmyre, fils du duc de Reichstadt, roman. — L’Aiglon et ses amours au théâtre. — Contribution populaire à la légende.
Mariage de l’archiduchesse Frédérique-Sophie. — Sa vie cloîtrée à Schoënbrunn. — Pourquoi l’obscurité enveloppe encore les relations intimes qui ont pu exister entre elle et son cousin. — Origine du bruit de ces amours. — Réserves faites par les contemporains. — La psychologie récuse-t-elle la légende ? — L’archiduchesse est la dernière amie du duc de Reichstadt. — La compagne de son agonie. — Châtiments surnaturels frappant la Maison d’Autriche dans la descendance de l’archiduchesse. — Conclusions de cette enquête. — Ce qu’a de son père et de sa mère le Roi de Rome au regard de l’amour. — Quoique fausse et mensongère, il faut pardonner à la Légende.