Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/62

Cette page n’a pas encore été corrigée

Le moyen de croire à l’anecdote rapportée en ces termes ? Cela paraît assez difficile, surtout à l’époque où on la situe. Ce que note, au mois de juillet 1817, la baronne du Montet sur son carnet, paraît plus probant. « Il rougit souvent, dit-elle ; ma belle-mère voulait le faire passer devant elle pour entrer au jardin. — Je sais trop ce que je dois aux dames, a-t-il répondu gentiment[1]. »

  1. Souvenirs de la baronne du Montet... ; déjà cit., p. 164.