Page:Fleischmann - Le Roi de Rome et les femmes, 1910.djvu/23

Cette page n’a pas encore été corrigée

point cabrée, et que la nuit de sa prison n’ait pu être illuminée brusquement du fauve et fulgurant éclair napoléonien. C’est tromper la sûre tendresse populaire que d’avoir, entre deux hypothèses, – car où une preuve ? – choisi la plus affligeante et écrasé sous son poids le fantôme du captif heurté aux barreaux de sa « Sainte-Hélène morale ».

H. F.