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autre de Bar-le-Duc, imprimerie de Pigault d’Olincourt ; la première de 1832, la seconde de 1833, toutes deux in-4o, 4 pages. Elle a été réimprimée sous divers titres : Discours du duc de Reichstadt avant sa mort à S. M. Louis-Philippe ; Draguignan, imprimerie de Bernard ; 1833, in-4o ; Lettre de Napoléon François, ex-roi de Rome, relative à son désir de venir tirer le sort à Paris ou d’y contracter un engagement volontaire ; Chartres, imprimerie de Labalte ; 1833, in-4o ; Lettre de feu Napoléon-François, relative au désir qu’il avait de faire partie d’un régiment de cavalerie ; Paris, imprimerie de Garson ; 1834, in-folio. ─ Cf. sur ces éditions, Gustave Davois, Les Bonaparte littérateurs ; essai bibliographique ; Paris, 1909, in-8o, p. 7.</ref>.}}}}


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Ce ne sont que des bribes, des échos, presque rien, et c’est de là que sort la Légende ; c’est de là qu’elle s’érige et se hausse, faite de foi, d’amour et de ferveur, et se trompant elle-même en ce qu’elle peut offrir de factice et de mensonger. Et qu’importe ? De ces illusions les Fidèles ne se sont-ils pas consolés jusqu’à la mort du Fils de celui qui, comme un soleil moribond, s’était enfoncé dans la nuit des tropiques ?