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Il n’avait de consistance que par le fils de celui qui avait été l’étonnement du monde ; de manière que, pour le passé, il parlait aux imaginations, et, pour le présent, il était présumé avoir l’appui d’un monarque puissant. Sans l’Autriche, le parti bonapartiste n’était rien. Ce parti, réduit aux autres membres de la famille de Bonaparte, n’a plus même une existence nominale. Il a fini, et il n’en reste que des souvenirs.

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