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le pli mélancolique de sa bouche, son regard pénétrant et plein de feu, l’harmonie et le calme de ses mouvements, lui prêtaient un charme irrésistible[1]. » De fait, personne ne conteste l’impression favorable et sympathique faite par le jeune

  1. Comte de Prokesch-Osten, Mes relations avec le duc de Reichstadt... ; déjà cit., p. 84.