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est attribuée à Metternich. Dans le drame qui se joue dans la « Sainte-Hélène morale[1] », il apparaît comme le traître, le mauvais génie, et si l’Empereur est quelquevois excusé et défendu, le chancelier est toujours voué à l’exécration de la postérité. Du rôle qu’il a joué dans la débâcle napoléonienne, il a acquis la haine française, qui ne l’épargne point depuis

  1. [Barthélemy], Le Voleur, 20 février 1829. — Jules Garson, Les Créateurs de la légende napoléonienne : Barthélemy et Méry ; Paris, 1899, in-8°, p. 39.