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grand-père, l’orphelin présentait, avec beaucoup de gravité, les armes à tous les gens de cour. Il s’évitait cette peine à l’égard des femmes. « Quelqu’un s’amusa à lui en faire des reproches. » « Je suis prêt, répondit-il avec vivacité, à présenter aux dames tout... excepté les armes[1]. »

  1. Comte P. de Suzor, Napoléon II, duc de Reichstadt ; troisième édition ; Bruxelles, 1841, in-18°, p. 121.