Livre:Dante - L’Enfer, t. 1, trad. Rivarol, 1867.djvu
Titre | L’Enfer (Traduction de Rivarol) |
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Auteur | Dante Alighieri |
Traducteur | Antoine de Rivarol |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1867 |
Publication originale | 1785 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | 1, 2 |
Pages
couv. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 couv.
TABLE DES MATIÈRES
DU PREMIER VOLUME
Avertissement | |
De la vie et des poèmes de Dante | 1 |
Vue générale de l’Enfer | 43 |
Chant premier. — À la chute du jour, le poëte s’égare dans une forêt. — Il y passe la nuit, et se trouve au lever du soleil devant une colline où il essaye de monter, mais trois bêtes féroces lui en défendent l’approche. — C’est alors que Virgile lui apparaît et lui propose de descendre. |
45 |
Chant ii. — Le jour dont la naissance est indiquée dans le premier chant tire vers sa fin. Le poëte hésite sur le point de descendre aux Enfers ; mais son guide le rassure, en lui apprenant que Béatrix est descendue du ciel pour l’envoyer à lui. Alors ils s’avancent tous deux vers les souterrains. |
55 |
Chant iii. — Les deux poëtes arrivent à une immense porte ouverte en tous temps. — Après avoir lu l’inscription, ils passent dans la première enceinte de l’Enfer, que le fleuve Achéron partage en deux moitiés. — Description du premier supplice. — Discours de Caron. |
63 |
Chant iv. — Dante se réveille au delà du fleuve, sur le bord des limbes qui forment le premier cercle des Enfers. — Il y voit les enfants morts sans baptême et les hommes qui n’ont suivi que la loi naturelle. |
73 |
Chant v. — on trouve le juge des Enfers à l’entrée de ce deuxième cercle, où sont punies les âmes que l’amour a perdues. — Description de leur supplice. — Aventure de François d’Arimino. |
81 |
Chant vi. — Troisième cercle, où sont punis les Gourmands. — Cerbère, emblème de la gourmandise. — Prédiction sur les affaires du temps. — Entretien sur la vie future. |
91 |
Chant vii. — Quatrième cercle, dans lequel Pluton ou Plutus, emblème des richesses, veille sur les avares et les prodigues. — Description de leurs supplices. — Entretien sur la Fortune. — Passage au cinquième cercle, où les Vindicatifs sont plongés dans le Styx. |
99 |
Chant viii. — Suite du cinquième cercle, où on trouve Phlégias, emblème des vindicatifs. — Passage du Styx. — Première entrevue des démons. |
107 |
Chant ix. — Les deux poëtes sont toujours en présence de la cité. — Apparition des Furies. — Un ange vient ouvrir les portes de la cité. — Sixième cercle, où sont punies les âmes infectées d’hérésies. |
115 |
Chant x. — Suite du sixième cercle. — Dante apprend les malheurs dont il est menacé. — Entretien sur l’état des morts. |
123 |
Chant xi. — Dernier coup d’œil sur les hérétiques. — Les deux poëtes marchent vers le septième cercle. — Division générale de tout l’Enfer, tant de ce qu’on a vu que des trois cercles qui restent à voir. |
133 |
Chant xii. — Premier donjon du septième cercle, où sont punis les violents contre le prochain. — Le Minotaure qui se nourrissait de chair humaine, emblème des tyrans et des assassins. — Les Centaures. |
141 |
Chant xiii. — Deuxième donjon, où sont punis les violents contre eux-mêmes, tant les suicidés que ceux qui se font tuer. — Description de leur supplice. — Les harpies et les chiennes noires, double emblème des peines qui donnent le dégoût de la vie. |
149 |
Chant xiv. — Troisième donjon, dans lequel sont punies trois sortes de violences. — Celle contre Dieu, ou l’impiété ; celle contre nature, ou la sodomie ; et celle contre la société, ou bien l’usure. — Description du supplice des impies. — Allégorie sur le temps et sur les fleuves d’Enfer. |
157 |
Chant xv. — Suite du troisième donjon. — Supplice des violents contre nature, c’est-à-dire des sodomistes. — Entretien de Dante et de son précepteur. |
165 |
Chant xvi. — Suite du troisième donjon, et des violents contre nature. — On a vu dans le chant précédent les littérateurs : ce sont ici les militaires atteints du même vice. — Chute de Phlégéton dans le huitième cercle. |
173 |
Chant xvii. — Description du monstre de la fraude, nommé Gérion. — Il porte les deux poëtes sur son dos au fond du huitième cercle : mais avant de quitter le septième, Dante jette un coup d’œil sur ce qui lui reste à voir dans le troisième donjon, et y trouve les usuriers, qu’il nomme violents contre la société. |
181 |