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de Gourbillon (Paris, Auffray, 1831, in-8o) divisée en tercets, comme l’original ; — d’Antony Deschamps, 20 chants choisis dans la Divine comédie (Paris, 1830, in-8o) ; — d’Aroux (Paris, Michaud, 1842, 2 vol. in-12) ; — de Mongis (1846), sans compter les fragments semés dans une foule de recueils de vers.

Parmi les traductions en prose, partielles ou complètes, il y a lieu de signaler :

Celles de Moutonnet de Clairfons (Paris, 1776, in-8o) ; — du comte d’Estouteville, revue par Sallior (Paris, 1796, in-8o) ; — de Rivarol (1783 ou 1785, Didot, in-8o) ; — d’Artaud (1811-1813, 3 vol. in-8o, Paris, Didot) ; — de G. Calemard de Lafayette (1835) ; — de Pier-Angelo Fiorentino (Paris, Gosselin, 1840, in-18, rééditée depuis en in-folio, grand luxe, avec les illustrations de Gustave Doré) ; — de Brizeux (Paris, Charpentier, 1841, in-18) ; — de Lamennais (Œuvres posthumes, Paris, Didier, in-18).

Maintenant que nous avons à peu près rempli notre humble emploi d’introducteur, nous sera-t-il permis de glisser ici une théorie personnelle à propos des tra-