Correspondance de Voltaire/Jan-1752-Fev-1753
Mars 1749 à Décembre 1751
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Œuvres complètes de Voltaire, tome 37
Correspondance : Janvier 1752 — Février 1753, Texte établi par Condorcet, Garnier, .
Correspondance : Janvier 1752 — Février 1753, Texte établi par Condorcet, Garnier, .
1752
2316.
Formey, 2 janvier 1752. — « J’ai lu toute la nuit l’Histoire du Manichéisme. »
B.
2317.
Le cardinal Querini. Berlin, 7 gennajo. — « La morte del conte di Rottembourg. »
B.
2318.
Le président Hénault. Berlin, 8 janvier. — « Une des plus grandes obligations. »
B.
2319.
Le comte d’Argental. Berlin, 8 janvier. — « Article par article, mon cher ange. »
B.
2320.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Votre Majesté peut savoir. »
B.
2321.
Mme Denis. Berlin, 18 janvier. — « Nous avons perdu. »
B.
2322.
Formey. Le 19 janvier. — « Je vous renvoie ce petit livre. »
B.
2323.
Formey. Le 20 janvier. — « Je vous souhaite toutes les commodités de la vie. »
B.
2324.
Le duc de Richelieu. Berlin, 27 janvier. — « J’envoie à mon héros des folies. »
B.
2325.
Falkener. Berlin, 27 janvier. — « Dear sir, my Louis XIV is on the Elbe. »
C. et F.
2326.
Le président Hénault. Berlin, 28 janvier. — « Je vous dois de nouveaux remerciements. »
B.
2327.
Frédéric II, roi de Prusse. 30 janvier. — « Quant à Pascal, je vous supplie. »
B.
2328.
Le président Hénault. Berlin, 1er février 1752. — « J’apprends que vous avez été malade. »
B.
2329.
Le comte d’Argental. Berlin, 6 février. — « L’état où je suis ne me laisse guère. »
B.
2330.
Frédéric II, roi de Prusse. (Février.) — « Je mets aux pieds de Votre Majesté. »
B.
2331.
La princesse Ulrique, reine de Suède. Berlin, 9 février. — « Votre Majesté est accoutumée. »
V. Adv.
2332.
La duchesse de Saxe-Gotha. Berlin, 10 février. — « Je me suis accoutumé à présenter des hommages. »
B. et F
2333.
Darget. Berlin, 11 février. — « Je n’ai pu encore envoyer au roi. »
B.
2334.
Le comte d’Argenson. Berlin, 15 février. — « Votre très-ancien courtisan a été bien souvent, »
B.
2335.
Frédéric II, roi de Prusse. Dimanche, 20 février. — « J’espérais venir mettre hier. »
B.
2336.
De la duchesse de Brunsivick. 20 février. — « J’ai reçu avec toute la satisfaction possible. »
B.
2337.
Formont. Berlin, 25 février. — « Je suis à peu près comme Mme du Deffant. »
B.
2338.
Darget. Berlin, 27 février, dimanche, jour où vous allez à la messe. — « Je comptais pouvoir. »
B.
2339.
Darget. Berlin, février. — « Je mettrai aux pieds du roi. »
B.
2340.
De Frédéric. Février. — « J’ai cru d’un jour à l’autre. »
Pr.
2341.
Mme Denis. Potsdam, 3 mars 1752. — « J’ai réchappé de tous les maux. »
B.
2342.
Lekain. Potsdam, 5 mars. — « Une maladie assez longue. »
C. et F.
2343.
Cideville. Potsdam, 10 mars. — « Ce n’est pas l’ivresse passagère du public. »
B.
2344.
Le marquis d’Argens. — « Cher frère, la Discipline militaire. »
C. et F.
2345.
Le comte d’Argental. Potsdam, 11 mars. — « Mme d’Argental était donc là en grande loge. »
B.
2346.
Le duc de Richelieu. Potsdam, 14 mars. — « Mon héros, je suis fort en peine. »
B.
2347.
La comtesse d’Argental. Potsdam, 14 mars. — « Bénie soit votre Rome. »
B.
2348.
Le marquis de Thibouville. Potsdam, 14 mars. — » Me trouvant un peu indisposé. »
B.
2349.
Mme Denis. 16 mars, au soir. — « Nous saurons, dans la vallée de Josaphat. »
B.
2350.
Mme de Fontaine. Berlin, 18 mars. — « Pardon, ma chère nièce ; je griffonne. »
B.
2351.
Formey. Potsdam, 21 mars. — « Je vous remercie, monsieur. »
B.
2352.
Falkener. Berlin, 27 mars. — « My dear and beneficent friend. »
C. et F.
2353.
Walther. 27 mars. — « On m’a envoyé de Paris. »
B.
2354.
La margrave de Baireuth. Berlin, 28 mars. — « Frère malingre, frère hibou, frère griffonneur. »
Rev. Fr.
2355.
De Longchamp. 30 mars. — « Je viens de recevoir la lettre. »
Longc. et Wagn.
2356.
Le comte d’Argental. Potsdam, 1er avril 1752. — « Plus ange que jamais, puisque vous m’envoyez. »
B.
2357.
Walther. 2 avril. — « Il serait important pour vous. »
B.
2358.
Darget. Potsdam, 3 avril. — « J’ai reçu votre lettre de Strasbourg. »
B.
2359.
Cideville. Potsdam, 3 avril. — « En vous remerciant, mon cher et ancien ami. »
B.
2360.
La Condamine. Potsdam, 3 avril. — « Grand merci, cher La Condamine. »
B.
2361.
Walther. Potsdam, 8 avril. — « J’ai ouï dire que Son Altesse royale. »
B.
2362.
La margrave de Baireuth. Potsdam, 10 avril. — « Je n’avais point eu de nouvelles. »
Rev. Fr.
2363.
M. Bagieu. Potsdam, 10 avril. — « Si jamais quelque chose m’a sensiblement touché. »
B.
2364.
Le marquis de Thibouville. Potsdam, 15 avril. — « Le duc de Foix vous fait mille compliments. »
B.
2365.
Un membre de l’Académie de Berlin. Potsdam, 15 avril. — « Je réponds à toutes vos questions. »
B.
2366.
De la margrave de Baireuth. 20 avril. — « La pénitence que vous vous imposez. »
B.
2367.
Mme Denis. Potsdam, 22 avril. — « Voilà une plaisante idée qu’a Dumolard. »
B.
2368.
Formey. — « Je m’attendais à des Remarques. »
B.
2369.
M. Vannucchi. Potsdam, 23 avril. — « Dans le temps précisément que l’astre. »
B.
2370.
Formont. Potsdam, 28 avril. — « On croirait presque que je suis laborieux. »
B.
2371.
La Condamine. Potsdam, 29 avril. — « Eh ! morbleu, c’est dans le pourpris. »
B.
2372.
Darget. Potsdam, 29 avril. — « Les mondains oublient volontiers les moines. »
B.
2373.
Le comte d’Argental. Potsdam, 3 mai 1752. — « Il faut que Je passe mon temps. »
B.
2374.
Formey. Potsdam. — « J’attendrai ici. »
B.
2375.
Formey. Potsdam. — « Vous aviez si bien orthographié. »
B.
2376.
Formey. Potsdam, 12 mai. — « Si vous avez quatre jours à vivre. »
B.
2377.
Mme Denis. Potsdam, 22 mai. — « Je vous écris par le jeune Beausobre. »
B.
2378.
Darget. Berlin, 23 mai. — « Je respecte les médecins. »
B.
2379.
L’abbé d’Olivet. Potsdam, 23 mai. — « Vous souvenez-vous encore de moi. »
B.
2380.
La margrave de Baireuth. (Fin de mai.) — « Je n’ai point encore reçu. »
Rev. Fr.
2381.
Le comte d’Argental. Potsdam, 3 juin 1752. — « Me voilà plus que jamais. »
B.
2382.
La margrave de Baireuth. Potsdam, 5 juin. — « Frère Voltaire qui n’en peut plus. »
Rev. Fr.
2383.
Au rédacteur de la Bibliothèque impartiale(Formey). Potsdam, 5 juin. — « On vient d’imprimer je ne sais où. »
B.
2384.
Mme Denis. Potsdam, 9 juin. — « Je suis fâché que cette plaisanterie innocente. »
B.
2385.
Le duc de Richelieu. Potsdam, 10 juin. — « Mon héros, vos bontés m’ont fait éprouver. »
B.
2386.
De la margrave de Baireuth. 12 juin. — « Le marquis d’Adhémar n’est point encore arrivé. »
B.
2387.
Formey. — « J’avais en effet, ouï dire. »
B.
2388.
Mme de Fontaine. Potsdam, 17 juin. — «Vous avez perdu votre fils.»
B.
2389.
La margrave de Baireuth. Potsdam, 17 juin. — « Frère Voltaire ne sait ce qu’il dit. »
Rev. Fr.
2390.
Darget. Potsdam, 1er juillet 1752. — « Il faut que je vous fasse ma confession. »
B.
2391.
Le cardinal Querini. Potsdam, 4 juglio. — « Io ho ricevuto i nuovi. »
B.
2392.
Le comte d’Argental. Potsdam, 11 juillet. — « Nous autres, bons chrétiens, nous pouvons. »
B.
2393.
Le marquis de Thibouville. Sans-Souci, 15 juillet. — « Sans-Souci est le contraire. »
B.
2394.
Formey. Sans-Souci, 15 juillet. — « Recevez mes remerciements. »
B.
2395.
Le marquis d’Argens. — « Mon cher frère, vous êtes plus heureux. »
B.
2396.
Le comte d’Argental. Potsdam, 22 juillet. — « On m’a mandé que vos volontés célestes. »
B.
2397.
Frédéric II, roi de Prusse. (Juillet). — « Vous contâtes hier l’histoire de Gustave Vasa. »
Pr.
2398.
Mme Denis. Potsdam, 24 juillet. — « Vous avez la plus grande raison, »
B.
2399.
Darget Potsdam, 25 juillet. — « Je vous plains et je vous félicite. »
B.
2400.
Le président Hénault. Potsdam, 25 juillet. — « Je suis aussi charmé de votre lettre. »
B.
2401.
Le maréchal de Noailles. Potsdam, 28 juillet. — « Monseigneur, vous me pardonnerez. »
B.
2402.
Formey. Potsdam, 29 juillet. — « Je ne peux vous rendre trop de grâces. »
B.
2403.
Le maréchal de Belle-Isle. Potsdam, 4 août 1752. — « Je reconnais à la lettre. »
B.
2404.
La margrave de Baireuth. (Août.) — « Frère Voltaire, comme voit Votre Altesse royale. »
Rev. Fr.
2405.
Le comte d’Argental. Potsdam, 5 août. — « Voilà donc le pays de Foix. »
B.
2406.
Le marquis d’Argens. Potsdam, août. — « Ou je me trompe fort. »
B.
2407.
Mme Denis. Potsdam, 19 août. — « L’abbé de Prades est enfin arrivé. »
B.
2408.
Le marquis d’Argens. — « En vous remerciant, chère frère. »
B.
2409.
Formey. — « M. Mallet demande peu de chose. »
B.
2410.
Le marquis d’Argens. — « Très-cher et révérend père en diable. »
B.
2411.
Le marquis d’Argens. — « Je ne sais pourquoi, mon cher marquis. »
B.
2412.
Le marquis d’Argens. — « Cher frère, il me semble que je n’ai point dit. »
B.
2413.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Vos réflexions valent bien mieux. »
B.
2414.
Le marquis d’Argens. — « Frère équitable, vous avez lu. »
B.
2415.
Falkener Potsdam, 22 août. — « Je ne vous écrirai aujourd’hui. »
C. et F.
2416.
De d’Alembert. 24 août, — « J’ai appris tout ce que vous avez bien voulu faire. »
B.
2417.
La princesse Ulrique, reine de Suède. Potsdam, 25 août. — « Louis XIV ne savait pas. »
V. Adv.
2418.
M. de Chenevières. Potsdam, 25 août. — « Vous m’avez bien rendu justice. »
C. et F.
2419.
Le marquis d’Argens. — « Vous avez raison, frère. »
B.
2420.
Le marquis de Ximenès. Potsdam, 29 août. « — Je vous aurais très-bien reconnu. »
B.
2421.
Le comte d’Argental. Potsdam, 1er septembre 1752. — « Puisqu’il faut toujours de l’amour. »
B.
2422.
Darget. À Potsdam, dont je ne sors plus, 2 septembre. — « Mon cher duc de Foix, une tragédie. »
B.
2423.
Le maréchal de Belle-Isle. Potsdam, 5 septembre. — « Après avoir eu l’honneur de répondre. »
B.
2424.
Le comte de Choiseul. Potsdam, 5 septembre. — « Vos bontés constantes me sont bien plus précieuses. »
B.
2425.
D’Alembert. Potsdam, 5 septembre. — « Vraiment, c’est à vous à dire. »
B.
2426.
Frédéric II, roi de Prusse. À Potsdam, 5 septembre. — « Votre pédant en points et en virgules. »
B.
2427.
Le comte d’Argental. Potsdam, 8 septembre. — « Le premier tome du Siècle. »
B.
2428.
Mme Denis. Potsdam, 9 septembre. — « Je commence, ma chère enfant, à sentir. »
B.
2429.
De Frédéric. 10 septembre 1752. — « J’ai reçu votre poëme philosophique. »
Pr.
2430.
Formey. Potsdam, 12 septembre. — « Je crois vous avoir mandé. »
B.
2431.
La Condamine. Potsdam, 16 septembre. — « Mon cher arpenteur du zodiaque. »
B.
2432.
Réponse d’un académicien de Berlin à un académicien de Paris. Berlin, 18 septembre. — « Voici l’exacte vérité qu’on demande. »
B.
2433.
La marquise du Deffant. Potsdam, 23 septembre. — « M. l’envoyé de Suède m’a dit. »
B.
2434.
Formey. Ce 26. — » Les impertinences des libraires. »
B.
2435.
Le cardinal Querini. Potsdam, 29 di settembre. — « Che dira l’Eminenza Vostra. »
B.
2436.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Je mets à vos pieds Abraham. »
B.
2437.
De Frédéric. (1752.) — « J’ai lu votre premier article. »
Pr.
2438.
Mme Denis. Potsdam, 1er octobre 1752. — « Je vous envoie hardiment l’Appel au public. »
B.
2439.
Formey. — « Le triste état de ma santé. »
B.
2440.
Le comte d’Argental. Potsdam, 3 octobre. — « Le Siècle (c’est-à-dire la nouvelle édition.) »
B.
2441.
Le comte d’Argenson. Potsdam, 3 octobre. — « Monsieur Le Bailli, mon camarade chez le roi. »
B.
2442.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Votre Majesté m’a favorisé. »
B.
2443.
De Frédéric. (1752). — « Si vous continuez du train dont vous allez. »
Pr.
2444.
De Frédéric. (1752.) — « Cet article me parait très-beau. »
Pr.
2445.
Le marquis de Thibouville. Potsdam, 7 octobre. — « Je souffre beaucoup aujourd’hui. »
B.
2446.
M. Devaux. Potsdam, 7 octobre. — « Ce n’est point ma paresse. »
B.
2447.
La Condamine. Potsdam, 12 octobre. — « Je vous remercie, mon cher philosophe errant. »
B.
2448.
M. Roques. — « Si ceux qui font des critiques. »
B.
2449.
Mme Denis. Potsdam, 15 octobre. — « Voici qui n’a point d’exemple. »
B.
2450.
De Frédéric. (1752.) — « La nature, pour moi plus marâtre que mère. »
Pr.
2451.
Le chevalier de La Touche. Jeudi (18 octobre). — « Monsieur l’envoyé de France est très-humblement supplie. »
Th. F.
2452.
De Frédéric. Octobre 1752. — « Si je n’avais pas eu hier une terrible colique. »
Pr.
2453.
Formey. Potsdam. — « J’ai depuis quelque temps tous les journaux. »
B.
2454.
La margrave de Baireuth. 27 octobre. — « Frère Voltaire, mort au monde. »
Rev. Fr.
2455.
Le comte d’Argental. Potsdam, 28 octobre. — « Vous êtes le dieu des jansénistes. »
B.
2456.
De la margrave de Baireuth. 1er novembre 1752. — « Il faudrait avoir plus d’esprit. »
B.
2457.
M. Roques. Potsdam, 17. — « Je suis pénétré de reconnaissance. »
B.
2458.
Kœnig. Potsdam, 17 novembre. — « Le libraire qui a imprimé. »
B.
2459.
Walther. Potsdam, 18 novembre. — « J’ai oublié de vous prier. ».
B.
2460.
Le chevalier de La Touche. Potsdam, 19 novembre. — « Je sais très-bien que le rogaton. »
Th. F.
2461.
Le cardinal Querini. Potsdam. 21 di novembre. — « L’ Eminenza Vostra adorna. »
B.
2462.
Le comte d’Argental. Potsdam, 22 novembre. — « Quoique les vers ne soient pas actuellement. »
B.
2463.
M. Roques. — « Pour répondre à vos bontés conciliantes. »
B.
2464.
Le comte d’Argenson. Potsdam, 24 novembre. — « Quand je revis ce que j’ai tant aimé. »
B.
2465.
Le duc de Richelieu. Potsdam, 25 novembre. — « Je fais partir par la voie. »
Suisse illust.
2466.
Leurs Excellences Messieurs du Conseil suprême de Berne. Potsdam, novembre. — « Quoique j’appartienne à deux rois. ».
B.
2467.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Vous avez perdu plus que vous ne pensez.»
B.
2468.
Falkener ; Potsdam, 28 novembre. — « I hope, my dear and worthy friend. »
B. et F.
2469.
Formey. — « Je suis venu hier. »
B.
2470.
Roques. — « J’ai lu enfin l’édition. »
B.
2471.
Frédéric II — « J’avais écrit ce matin. »
B.
2472.
De Frédéric. — « Votre efrontrie m’étone. »
B.
2473.
Frédéric II, roi de Prusse. — « Ah mon Dieu sire dans l’état où je suis »
B.
2474.
Frédéric II, roi de Prusse. Potsdam 27 novembre. — « Je promets à Sa Majesté. »
Pr.
2475.
Le marquis de Ximenés. Potsdam, 1er décembre 1752. — « Les personnes qui ont l’honneur. »
B.
2476.
Darget. Potsdam, 4 décembre. — « Vous m’allez prendre pour un paresseux. »
B.
2477.
Walther. 6 décembre. — « J’apprends, à l’instant du départ de la poste. »
Desv.
2478.
De Frédéric II, roi de Prusse, à Mautpertuis. 10 décembre 1752. — « Ne vous embarrassez de rien. »
B.
2479.
De M. Lerber, au nom des avoyers de Berne, 15 décembre. — « Voltaire, il est bien doux sans doute. »
Suisse illust.
2480.
Le duc de Richelieu. Berlin, 16 décembre. — Vous avez dû recevoir. »
B.
2481.
Roques, 16 décembre. — « On ne peut être plus sensible. »
B.
2482.
Le président Hénault. Berlin, 18 décembre. — « Voici, mon cher et illustre confrère.»
B.
2483.
Formey. — « J’ai eu du monde jusqu’à présent. »
B.
2484.
Le comte d’Argental. Berlin, 18 décembre. — « Je ne peux pas plus à présent changer de climat. »
B.
2485.
Mme Denis. Berlin, 18 décembre. — « Je vous envoie les deux contrats. »
B.
2486.
Le marquis de Thibouville. Berlin, 18 décembre. — « Mon cher duc de Foix, il faut donc. »
B.
2487.
Formey. — « En vérité, je ne vous croyais pas Suisse. »
B.
2488.
Bagieu. Berlin, 19 décembre. — « Votre lettre, vos offres touchantes. »
B.
2489.
Le chevalier de La Touche. 21 décembre — « Le malade V. présente ses respects. »
Th. F.
2490.
Formey. 23 décembre. — « On dit que vous avez fait fourrer. »
B.
2491.
Formey. 23 décembre — « Puisque ainsi est. »
B.
2492.
Le chevalier de La Touche. 28 décembre 1752. — « Ce n’est pas sans raison, monsieur. »
Th. F.
1753
2493.
Frédéric II, roi de Prusse. 1er janvier 1753. — « Pressé par les larmes et les sollicitations. »
Th. F.
2494.
Le chevalier de La Touche. 1er janvier. — « J’ai l’honneur de vous confier. »
Th. F.
2495.
Le marquis de Courtivron. 2 janvier. — « Je vous remercie des éclaircissements. »
B.
2496.
Le chevalier de La Touche. 2 janvier. — « À vous seul. Voici une aventure. »
Th. F.
2497.
Frédéric II, roi de Prusse. 2 janvier. — « Ce n’est sans doute que dans la crainte. »
B.
2498.
Le chevalier de La Touche. 5 janvier. — « Je prends la liberté. »
Th. F.
2499.
Formey. 7 janvier. — « Venir chez vous m’est d’une impossibilité.»
B.
2500.
Le chevalier de La Touche. — « Vous aurez dû vous apercevoir. »
Th. F.
2501.
Mme Denis. Berlin. 13 janvier. — « J’ai renvoyé au Salomon du Nord, »
B.
2502.
Falkener. Berlin, 16 janvier. — « I have reaped benefid enough. »
C. et F.
2503.
Formey. 17 janvier. — « Est-ce vous qui avez fait l’extrait. »
B.
2504.
Formey. 17 janvier. — « Justifiées par les passages des lettres. »
B.
2505.
Formey. 17 janvier. — « Billets sont conversation. »
B.
2506.
Le marquis d’Argens. — « Mon cher Isaac, il est vrai. »
B.
2507.
À M. le secrétaire principal du Conseil souverain de Berne. Berlin, 26 janvier. — « Je me flatte que Leurs Excellences. »
Suisse illust.
2508.
À Leurs Excellences Messieurs du Conseil suprême de Berne. Berlin, 26 janvier. « — Très-puissants et très-magnifiques seigneurs. ».
Suisse illust.
2509.
Le chevalier de La Touche. (27 janvier). — « J’ai l’honneur de vous faire part.»
Th. F.
2510.
Le marquis de Thibouville. 28. — « J’ai reçu la lettre du 12 janvier. »
B.
2511.
M. de La Virotte, Berlin, 28 janvier. — « Je fais trop de cas de votre jugement. »
B.
2512.
M. de Voyer. — « Je ne sais ce que vous entendez. »
B.
2513.
Le chevalier de La Touche. — « Vous vous doutez bien. »
Th. F.
2514.
Falkener. 1er février 1753. — « I have wrote to you already. »
C. et F.
2515.
Walther. Berlin, 1er février. — « L’ouvrage que je vous envoie. »
B.
2516.
Mme de Fontaine. Berlin, le 7 février. — « Ma très-chère nièce, je suis bien malade. »
B.
2517.
Le chevalier de La Touche. — « La fièvre m’a empêché. »
Th. F.
2518.
Le marquis d’Argens. — « Cher frère, je vous renvoie Locke. »
B.
2519.
Le comte d’Argental. 10 février. — « J’ai été bien malade. »
B.
2520.
Le marquis d’Argens. Berlin, 16 février. — « Je me meurs, mon cher marquis. »
B.
2521.
Le marquis d’Argens. — « Cher frère, vous êtes assurément. »
B.
2522.
À Mme *** Berlin. — « Je me sers des correspondants. »
B.
2523.
De M. Gross, chancelier de la République de Berne. 21 février. — « On m’a remis la lettre. »
Suisse illust.
2524.
Le marquis d’Argens. — « Frère Paul, je vous attendais. »
B.
2525.
Le comte d’Argental. Berlin, 26 février. — « J’ai été très-malade.»
B.