Correspondance de Voltaire/1752/Lettre 2368
Correspondance de Voltaire/1752
Correspondance : année 1752, Texte établi par Condorcet, Garnier, , Œuvres complètes de Voltaire, tome 37 (p. 415-416).
2368. — À M. FORMEY.
Je m’attendais à des Remarques[1] plus historiques, plus instructives, plus dignes d’un philosophe. Beausobre ne réussit pas si bien avec Jésus qu’avec Manès[2].
Si vous avez quelque histoire des papes où l’on trouve leur naissance, faites-moi le plaisir de me l’envoyer ; je serai bien aise de voir combien de pauvres diables sont devenus vice-dieu. Te amplector.