Page:Burnat-Provins - Le Livre pour toi, 1907.pdf/16

Cette page a été validée par deux contributeurs.

TABLE DES MATIÈRES

(ne fait pas partie de l’ouvrage original)

1

I.

3

II.

Parce que l’amour a noué nos corps…

5

III.

J’ai regardé ton corps debout…

7

IV.

Cette nuit, tu as pris ma tête entre tes doigts…

9

V.

Je suis restée pâle de tes caresses

11

VI.

Mes yeux sont auréolés d’une ombre chaude

13

VII.

Dors, ma pensée te berce

15

VIII.

Pendant cette nuit où tu étais loin de moi

19

IX.

Les branches abaissées des coudres

21

X.

Les fruits que tu me donnes

23

XI.

Tu m’as dit, et ta voix tremblait

25

XII.

Mets tes deux mains sur mes deux mains étendues

27

XIII.

Ô Sylvius, je t’ai désiré dans le vent

29

XIV.

Ta voix m’est plus douce

31

XV.

Pendant cette minute inoubliable

33

XVI.

J’ai peigné mes cheveux emmêlés

35

XVII.

Il faisait noir, intensément noir

37

XVIII.

Sylvius, tes mains près de ma bouche

39

XIX.

Laisse mes doigts traîner sur ta peau blonde

41

XX.

Écouter et ne rien entendre.

43

XXI.

Il y a ce matin dans ma poitrine

45

XXII.

Tu m’as dis

47

XXIII.

Il y a dans tes cheveux blonds

49

XXIV.

Tu m’as demandé

51

XXV.

Tandis que tu reposais sur mon bras

53

XXVI.

Il est midi, Sylvius

55

XXVII.

J’ai tenu ta tête sous mon regard ému

57

XXVIII.

Dans le chemin libre de mes années

59

XXIX.

Après t’avoir tout donné

61

XXX.

Longtemps après le coucher du soleil

63

XXXI.

Ta bouche, dans l’ombre propice à la volupté

65

XXXII.

Il est resté dans ma chambre

67

XXXIII.

Tu m’as dit : Viens…

69

XXXIV.

Tandis que la lune montait

71

XXXV.

Éros, te voici debout devant ma porte

73

XXXVI.

J’ai plongé mon bras dans l’eau glacée

75

XXXVII.

Le crépuscule atteint les pentes

77

XXXVIII.

Parfois, quand mes pieds aventureux étaient las

79

XXXIX.

Ô Sylvius, bénissons les heures effervescentes

81

XL.

Que mon âme murmure autour de ton âme

83

XLI.

Une araignée tisse sa toile auprès de moi

85

XLII.

Regarde, dans les vergers opulents

87

XLIII.

En te quittant

89

XLIV.

Demeure auprès de moi

91

XLV.

Ô Sylvius, lorsque tes pas t’entraînent

93

XLVI.

J’ai souffert, mes dents claquaient

95

XLVII.

Tu ne me diras pas Non

97

XLVIII.

Maintenant, je puis marcher légère

99

XLIX.

Les mots que tu m’as dits sont des oiseaux jaseurs

L.

Tu ne dis rien.

LI.

Me taire, te regarder.

LII.

Sylvius, les fleurs que tu as regardées

LIII.

Tu descends dans le sommeil

LIV.

Je me suis couché dans un pré jauni

LV.

J’ai mis entre mes lèvres une tige d’absinthe grise

LVI.

J’ai des coussins moëlleux et des robes soyeuses

LVII.

Je ne sais pas de chant plus suave

LVIII.

Je ne te dirai plus combien je t’aime

LIX.

J’aime ces plis profonds et passionnés

LX.

Je ne sais pas si tu es venu

LXI.

Oh ! être dans tes mains

LXII.

Je rends grâce à la vie

LXIII.

Je veux regarder en toi comme dans le ruisseau découvert

LXIV.

Tu m’as dit « Je ne suis pas digne »

LXV.

Sur la terre grise des champs

LXVI.

Écoute, j’ai regardé mourir

LXVII.

Nous avons marché dans l’herbe déjà froide

LXVIII.

J’ai quitté ma maison douce, sur le coteau

LXIX.

Avant de m’en aller vers d’autres contrées

LXX.

Maintenant de longues distances nous séparent

LXXI.

Dans la ville inconnue

LXXII.

Je dois te dire, Sylvius, où je portai mes pas

LXXIII.

Je suis assise dans l’hémicycle désolé

LXXIV.

J’ai gravi la colline qui domine la ville

LXXV.

Près de la maison où je reposais

LXXVI.

J’entends le marteau du forgeron sur l’enclume

LXXVII.

Ô terre d’argent où croît l’antique olivier !

LXXVIII.

Le fleuve ce soir, est rouge

LXXIX.

T’aimer comme le mistral souffle

LXXX.

À mesure que les rives du fleuve

LXXXI.

Le gerfaut plane

LXXXII.

Les arènes sont vides et blanches au soleil

LXXXIII.

Sylvius, plus que jamais je t’aime

LXXXIV.

Devant ma fenêtre s’élève un fusain

LXXXV.

J’ai traversé cette plaine

LXXXVI.

En longeant le faîte des murailles épaisses

LXXXVII.

Me voici allongée au bord de la grève

LXXXVIII.

Les taureaux s’avancent dans le soir

LXXXIX.

L’automne s’éloigne comme une femme douloureuse

XC.

Lorsque j’aurai quitté la robe poudreuse du voyage

XCI.

J’ai marché sur d’autres routes

XCII.

Qu’y a-t-il au fond des landes tristes

XCIII.

Que disent les sirènes au fond des ports

XCIV.

XCV.

Pourquoi du soleil aujourd’hui sur l’eau verte

XCVI.

Dans un coin de cette place

XCVII.

XCVIII.

XCVIX.

Ma maison abandonnée s’est engourdie dans la froidure

C

Sylvius, il n’y a pas d’hiver où tu respires

Récupérée de « https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Page:Burnat-Provins_-_Le_Livre_pour_toi,_1907.pdf/16&oldid=14179221 »