Le Zend-Avesta (trad. Darmesteter)/Volume III/Corrections


 
Traduction de James Darmesteter

Édition : Musée Guimet. Publication : Ernest Leroux, Paris, 1893.
Annales du Musée Guimet, Tome 24.


Corrections et additions



CORRECTIONS ET ADDITIONS

_______
PREMIER VOLUME

Page ix, ligne 7. Supprimer les mots : « qui probablement ne fait que reproduire l’historien des guerres de Philippe, Théopompe ».

P. lv, note 1, ligne 2. Au lieu de Gâyômart, lire Shâhmart (Gâyômart n’est pas employé dans l’onomastique). Dans la même ligne, peut-être au lieu de fils du Magûpat Ormazdyâr, faut-il lire : fis de Magûpat, fils d’Ormazdyâr (Mobad est employé comme nom propre d’homme).

P. lvi, note. — Sotion, au iie siècle avant notre ère, signale le vêtement blanc des Mages (Windischmann, Zoroastriche Studien, p. 287).

P. lxxi, n. 2. — Au lieu de vol. II, Fragments, lire : Appendice, Fragments VI, §§ 72-79.

P. lxxiv, I. 22, après Nirangistân, ajouter : § 74.

P. lxxvi, n. 1, ajouter en tête : Yt. XI, 4.

P. lxxvi, même note, après Nirangistân, ajouter : § 67.

P. lxxvii, n. 1, ajouter : et Nirangistân, § 48.

P. lxxviii, notes, 1. 2, remplacer Rasmie par Qadîmie.

P. lxxxv, l. 20, après Nirangistân, ajouter : (§ 69, n. 6).

P. xcix, notes, I. 3, ajouter : XLIII, 6, cité Vp. II, 5, imité Yt. XXIV, 14 ; XLIII, 10. cité Afrîngàn Rapithwin, 3.

P. ci, n. 5, ajouter : jâgerebushtarô jivàk ( ) griftârtar (Vd. IV, 48, 134).

P. cviii, n. 3 ; au lieu de Khshatkrem, lire Khshathrem.

P. cxviii, au lieu de âzhi, lire azhi.

P. 8, n. 8 : au lieu de « notre image corporelle », lire : « le corps et l’image » : cf. vol. II, 500, n. 5.

P. 9, n. 11, ajouter : gaush aêvôdâta s’oppose à gaush pouru-saredha (Sirôza II. 12).

P. 9, n. 14, I. 3, ajouter : et Vp. VIII, 1, n. 3.

P. 9, n. 14, après la formule du ms. K 2, ajouter : « Cette formule est usitée dans le service du Vîshtâsp Yasht (Vol. II, 663) ». Remplacer les mots avec les commandements, par les mots : qui appartient au Hadha-mâthra, le Vîshtâsp-sâst Nask appartenant au groupe du Hadha-màthra. Remplacer la première phrase du dernier alinéa par : « Le Vishtâsp Yasht est un Vendidad où la conversation révélatrice a lieu entre Zoroastre et Vishtâsp au lieu de se faire entre Auhrmazd et Zoroastre. »

P. 13, l. 11, supprimer les mots, où le froid règne, qui appartiennent au Vp. I, 2.

P. 16, n. 60. — Cf. vol. II, 317 et Afrîngàn Dahmân.

P. 16, n. 54. — Cf. vol. II, 306.

P. 17, n. 63. Ecrire hvadhàtanàm.

P. 19. Au lieu de § 22, lire § 23.

P. 25, n. 2. gâh, gâs, moment du jour, n’est point identique avec gâh, gâs, lieu (du perse gâthu), mais avec gâh, gâs, la Gâtha : hâvan gâs est proprement « [le temps où l’on célèbre] les Gàtbas de Hâvani » (Nirangistân, 46 ;. Le nom des gâhânbâr a la même origine, car « célébrer les Gâhânbârs » se dit « chanter les Gâthas » (v. Nirang., § 41, n. 2 ; § 42, n. 2, etc.).

P. 26. Voir les subdivisions naturelles de la journée, vol. II, Vd. XXI, n. 9.

P. 26, n. 5. Cf. uz-irô, l'après-midi, de uz et ayar.

P. 30, 4e ligne à partir du bas. Remplacer les mots v. Introduction au Vendidad par la note suivante Maçoudi, II, 156 ; Agathias, II ; Lettre de Tansar :

P. 31. On voit par la lettre de Tansar que chacune des quatre classes avait un instructeur, un mu'allim, chargé d’instruire les enfants de cette classe aux métiers et aux sciences qui lui sont propres. Par exemple, il y avait un mu'allimi asdvîrat, chargé d’aller dans les villes et les villages pour y initier les gens de guerre au port d’armes et aux différents exercices de leur métier.

P. 33, n. 1. L’almanach cappadocien donne une forme encore plus fidèle : τεθευσία.

P. 37, n. 8. Ajouter : cf. Yt. XIII, 86.

P. 40. Étendre la boucle de Hama jusqu’à Mihr ; abaisser le commencement de celle de Zayana à Abàn. — Sous Hamaspathmaêdaya, remplacer 15-20, par 11-20, ou 16-20 (selon que l’on fait durer la fête cinq ou dix jours : cf. vol. II, 503, note 11).

P. 42, n. 1. Lire âyêsê.

P. 50, n. 12. Sur gâm baoiryûm, voir Nirangistân, § 66, n. 5 : cf. Yt. V, 130, n. 170.

P. 54, § 20. Au lieu de « qui brandit l’arme », lire : « à l’arme étourdissante » (cf. Yasna LVII, n. 4).

P. 57, § 2. Au lieu de 2 (10), lire 2 (4).

P. 58, § 8. Au lieu de « pureté », lire « sainteté ».

P. 74. Mettre 27 devant Yênhê hâtâm. Ajouter : 28. yathâ ahû vairyô.

P. 76, n. 7, l. 1. Ajouter après les guillemets les mots (le Myazda réservé aux fidèles).

P. 83, l. 3. Lire : « c’est à lui du moins que le Dînkart attribue… ».

P. 88, dernière ligne du texte : au lieu de « souillée », lire « bouillonnante » ; remplacer la note 37 par les mots : « Voir vol. III, p. 21, §§ 32-33 et note ; et p. 59, § 32 et note 1. »

P. 89, n. 38. Cf. le Livre des Rois, tr. Mohl (éd. in-8o), IV 7, 495.

P. 89, n. 39. Cf. Dâdistàn, XLVIII, 16 ; Zàd Sparam, XCI, 10, note.

P. 90, n. 45, ajouter : cf. vol. II, 319, § 28.

P. 90, n. 49, ajouter : cf. Yt. XXIV, 39. P. 93, l. 5, au lieu de sagesse, lire : sagacité. — Cf. Yasna LXII, n. 9.

P. 94, n. 78. Cf. Yt. X, 90.

P. 95, n. 84. Cf. ces mots du Dînkart IX, 24, 5 : mânâki old-î pun garân màn shadîtûnt tir, « comme une flèche lancée avec fureur ».

P. 96, n. 90. Lire 37 au lieu de 31.

P. 99, n. 9, ajouter : c’est-à-dire où l’on passe aisément, plat.

P. 100, n. 22, l. 2. Lire maidhyâonhô : cf. Nirang., § 29.

P. 103, n. 37. Lire mayàbyò.

P. 104, n. 40, ll. 1-2, au lieu de usâm, lire usnäm.

P. 105, n. 45, l. 1. Au lieu de zanyôish, lire janyôish.

— l. 2, au lieu de pan, lire pun.

P. 105, n. 46. Ajouter : cf. upasma traduit ûnig (Yasna LXX, 46, éd. Sp. : Yp. I, n. 4).

P. 107, n. 61, fin, au lieu de note 9, lire : note 4.

P. 108, n. 67, au lieu de : p. 39, n. 89, lire : p. 89, n. 39.

P. 113, n. 24. Ajouter : cf. p. 289, n. 23. — A la fin de la note, au lieu de LIV (LIII), lire XLIV (XLIII).

P. 116. Préposer 16 à Fravarânê.

P. 119, n. 9. Cf. Yasna LXV, n. 23 (Nîrangistân, § 63).

P. 122, l. 3. Au lieu de déposer, lire baisser.

P. 129, avant-dernière ligne. Cf. cependant Yasna LIII, 3, n. 12.

P. 130, dernière ligne. Lire Artaxerxès Mnémon. Les Persans l’ont confondu avec Artaxerxès Longue-main.

P. 133, l. 6. Supprimer le renvoi.

P. 137, l. 4. Lire : repousse le nœud de l’Evanghin (cf. Yt. LIX, 28).

P. 138, l. 1-2. Lire : nous donne le bien en retour de notre sainteté.

P. 143, n. 14. Cf. Yt. XVIII, 1.

P. 156, n. 15. Cf. Atash Nyâyish, n. 13.

P. 161, premier vers. Lire ashâإcît.

P. 163, 2e ligne à partir du bas. Lire Yt. VII, 1 et 28. — Lire Atravakhsha.

P. 164, n. 12. D’après le Varshtmânsar (Dînkart IX, 24, 4), la question du Râspi fut prononcée par Zoroastre naissant et la réponse du Zôt par Ahura.

P. 165, n. 17, l. 11. Lire : car bagha s’oppose à ratu. Ajouter à la fin de la phrase les mots : par opposition à Zarathushtra invoqué seulement comme ratu.

P. 166, n. 28. Litt. « profonde » ou « épaisse ».

P. 166, n. 30, l. 5. Lire : à un sanscrit * svas.

P. 170, n. 65, l. 4 Lire sàsnâosca.

P. 175, n. 1. Sur les Amshaspands féminins, cf. Yt. LX, n. 14.

P. 176. l. 12. Lire : nous donne le bien, en retour de notre sainteté. — A la fin de l’Introduction : comme résumant le sacrifice, le Yêñhé hâtâm est désigné sous le nom de yasnô-kereti (Yt. LVII, 22).

P. 177, dernière ligne. Lire : tout bon sacrifice 10.

P. 178, l. 1. Cf. Shâyast-lâ-Shâyast, 313, n. 8.

P. 179, n. 2. Lire Vp. IX, 1.

P. 188, 9. Cf. Yt. IV, n. 5. P. 194, 1. 1. Lire : de forme.

P. 194, n. 6. Cf. Vd. XXII, n. 7.

P. 495, n. 18. Cf. Yt. X, n. 195.

P. 197, n. 2. Pour dad au sens de prendre, voir Y. XXXIII, n. 42.

P. 202. Préposer 12 à Fravarânê.

P. 204. Préposer 13 à Yathâ ahû vairyô. 14 à Ashem vohû, 15 à Nous offrons le sacrifice.

P. 205. Préposer xxviii, 0 à Bénie est la pensée.

P. 215, l. 2. Lire : assurez-moi donc bon traitement.

P. 215, l. 3. Allusion à ce vers au Hâ XLVI, 9 d.

P. 222, n. 24. Cf. Yt. VIII, 24.

P. 224, n. 39. Sur ainiti, v. Yt. LVIII, n. 18.

P. 231, n. 54, 1. 5. Lire : xxxii, 40, n. 38.

P. 242, § 45, n. 60. Cf. Yt. LIII, 6, n. 32.

P. 248, § 42. Les §§ 12-44 servent de début à l’Atash Nyâyish.

P. 248, u. 54. Lire paurvatâtem.

P. 252, § 4. Forme le § 18 de l’Atash Nyâyish.

P. 254, § 42, l. 2. Lire : en fait de sacrifice 32.

P. 255, n. 42. Voir p. 336, n. 49.

P. 255. n. 45. Lire : xxxvi, n. 10.

P. 258, § 5 Lire : 5 (13) 10. Hukhshathrôtemâi.

P. 258, n. 10. Lire : Thrishâmrûta au lieu de Bishàmrûta.

P. 259, l. 2. Ajouter : (A répéter 3 fois).

P. 270, n. 4, l. 1. Ajouter : cf. vîvénghatû, vandishn vandèt (Yt. LIII, 5).

P. 275. Le ms. Pt4 a, en tête de ce Hâ, le titre : aparvârak haft hât yast îzishnîg.

P. 280, n. 19. Ajouter : imité Yt. XXIV, 14.

P. 280, n. 20. Ajouter : imité Vp. II, 5, 10.

P. 281, n. 21, fin. Ajouter : cf. Yt. X, 24, n. 41.

P. 282, § 10, n. 35. Ajouter : cité dans l’Afringân Rapithwin, 3.

P. 289, § 8, fin. Lire : la joie du bien.

P. 297, § 4, fin. Cf. Yt. I, 18.

P. 298, n. 22. Cf. Uzirin Gâh, 6.

P. 304, n. 26. Cité Yt. LXX. 43.

P. 306, n. 47. Lire : Vers imité Vd. V. 4 et XIII, 8-9.

P. 307, n. 58. Cf. Yt. LI, 14 ; LXXI, 43.

P. 309, n. 80. Cf. Nîrang., § 41 (âsta, anîtîh).

P. 313, § 6, n. 20. Il semble que Zoroastre lui-même s’est soumis au Var nirang cf. Dînkart VII.

P. 316, n. 19, fin. Ajouter : et en enterrant les cheveux (Vd. XVII, 5).

P. 328, n. 32. Ajouter : Yt. LXV, 14 (60).

P. 335, n. 40. L’analyse est inexacte : caratascâ est correct et répond à pun ravishn, aodereshcâ à sart (cf. Nirang., § 28, où aodra sarmâ ; aodra serait-il pour * aotra, de aota, froid), zôishenû à bajak-âyîn.

P. 335, n. 42, fin. Lire : Vd. V, 4 et 7 ; XIII, 8-9.

P. 338, § 27. Lire : nous donne le bien en retour de notre sainteté. P. 347, n. 35. Cf. Dînkart, IX, 17, 5, qui confirme la traduction de âzhu : madam pâtfrâs-i ol nêshâ man tan pun zanih ol gabrâ î ahlav yahbûnêt, ajash lakhvâr yâtûnêt : cîgûn amatash zûzak bàstàn pun hakht dar-vaztàn aê u-barâ yàlûn aê : « sur le châtiment de la femme qui se donne en mariage à un fidèle et qui le trahit : comment un hérisson (zûzak) lui entre et lui sort constamment par le hakht ».

P. 348, § 9, fin. Ajouter : (A répéter 3 fois).

P. 350, n. 5. Cf Hâvan Gâh, 6 (vol. II, 712), n. 7.

P. 354, l. 5. Lire : « les attendant ». A la n. 6 : c’est-à-dire attendant toujours le temps de revenir à eux. paitishmar ûmîtînitan (Y. XXIII, 3, n. 10).

P. 365, n. 39. Voir la définition de frashna et tkaêsha au Vp. I, 9, n. 49.

P. 366, n. 46. Cf. Yt. X, 68.

P. 367, § 31. Cf. Vd. XVIII, 14.

P. 369, Introd. Le Hà LVIII reçoit ce nom de Fshùsha-mathra dans le Nîrangistân, § 22, n. 3.

P. 378, n. 10, l. 2. Lire : n. 48.

P. 383, § 1, l. 1. Lire : « Nous envoyons l’Ahuna vairya ». N. 1 : voir Fragments Tahmuras, 34, n. 2.

P. 388, l. 3. Lire : « au pied ferme ». En note : Cf. Yt. X, 61, n. 100.

P. 388, n. 14, l. 3. Lire : Vd. IV, 45, 123.

P. 389, n. 26. Cf. Yt. XXIV, 26.

P. 390 n. 29. Ajouter : Yt. XIV, 55.

P. 402, l. 4. Lire : qui multiplie ses dons 4.

P. 417, § 6, l. 5. Remplacer canaux par rivières.

P. 418, § 11 (32) Ajouter : ahmâi raêshca.

P. 421, § 21, l. 3. Lire : mrûmaidê) 35.

P. 430, § 3, l. 5. Lire : méritant au lieu de méritoire. — Les §§ 2-3 forment des parties communes à tous les Gàhs.

P. 435, § 23, fin. Lire : aux Fravashis des saints. — Cf. vol. II, 501. — Les §§ 23-24 sont communs à tous les Gàhs.

P. 441, l. 4. kerfe muzda. Voir la forme correcte de la formule au Yt. I, fin.

P. 453, n. 1. Ajouter : Voir Yt. XXIV, 15.

P. 467, n. 5, 1. 2. Lire : section II.

P. 477, l. 6-7. Lire : à la conviction fervente, à l'âme dévouée.

P. 477, n. 4. Ajouter : cf. Vd. XVIII, 51 ; Aîrang., § 84.

P. 481, § 3, l. 1. Lire : nous donne le bien.

VOLUME II

P. 5. Voir le § 2 au IIIe vol., Fragments, pp. 33-34.

P. 5, n. 3. asô est défini en pehlvi le lieu non habité, shôithra le lieu habité.

P. 17, l. 9. Lire : Thraêtaona. P. 20, n. 13. Lire : l'Introduction du III e volume, lvdi, lx.

P. 21, n. 4, fin. Ajouter : cf. dâtô, créateur (Yt. I, 8, n. 26).

P. 27, 1. 7. Lire : ni lépreux 50 qu’il faut isoler 51 .

P. 42, n. 49. Cf. Yt. XXIV, 35.

P. 51, n. Il. Lire : hadha.

P. 54, 1. 4. Il faut sans doute corriger le texte zend et lire : au sixième Aredush. Cf. § 28.

P. 54, n. 15. Cf. Fragment 60 du Farhang (vol. III, 25).

P. 55, § 20. Sans avoir expié. Litt. « sans avoir défait ».

P. 66, vi. Lire : Farg. VII, 6-9.

P. 74, n. 49. nisrita signifie peut-être fait par procuration, dont on a fait commande.

P. 97, n. 2 ereghant arag, dit de l’enfer, semble traduit dans l’Aogemaidê, § 28 > ananta, « sans fin ».

P. 105, n. 47, 1. 4. Lire : Vd. XIII, 10.

P. 136,1. 6. Lire : 74. Ahura...

P. 149, n. 16, 1. 6. Lire : sari gar u-rdsdk (lire u-valâk) u-dalâ.

P. 162, 1. 13. Lire : 1 1. Ensuite...

P. 173, fin. Cf. Nirangistân, §§ 34-36.

P. 196, 1. 4. Lire : les deux chiens.

P. 196, 1. 7. Lire : pénétrant dans la propriété.

P. 203, § 38, 1. 3. Remplacer canal par rivière.

P. 221. Remplacer la note 2 comme il suit : Peshôtanu n’a point ici son sens juridique (passible 200 coups de fouet) et a le sens général de criminel : voir p. xvu, n. 3.

P. 232, n. 9. Ajouter : Cf. Fragments la/muras, 94, n.

P. 246, n. 35. Cf. Yt. VIII, 54.

P. 253, 63. Cf. la citation de Pline, p. xiv, n. 3.

P. 254, n. 69, 1. 3. Lire : ch. lxiti et sq.

P. 255, 1. 3. Remplacer canaux par rivières.

P. 260, n. 12. Ajouter : Cf. vol. III, Fragments ad Vd. V, 2 (p. 44).

P. 261, n. 43. Cf. Nirangistân, § 90.

P. 269, 1. 9. Lire : pour le méchant et pour le juste.

P. 271, 1. 7. Lire : le lac Haosravanha (cf. Yt. XIX, 56).

P. 271, n. 93. Il faut sans doute lire dût. au lieu de dôst et parsuite traduire astô ashtak, par « messager ; » ce qui concorde mieux avec la fonction de Néryosengh (cf. p. 311, § 31).

P. 299, n. 24. Corriger en : Peut-être « Les Gloires des Aryens » : cf. les trois Gloires de Zamvàt (n. 2 de l’Introd. au Yt. XVIII).

P. 309, n. 32. Lire : n. 17.

P. 311, n. 56. Lire : Cf. Yt. XIII, 83 et XIX, 16.

P. 312, 1. 7. Lire : Srôsh (Sraosha).

P. 317, n. 108. Ajouter : Cf. Yt. XIX, 51.

P. 333. Voir le commentaire du Ezh hamâ gunâh au Nîrang kosli, p. 685.

P. 338, n. 39. Ajouter : Cf. Vd. VIII, n. 27.

P. 339, § 18, 1. 2. Lire « détruira » au lieu de « blessera ». P. 340, 1. 2. Lire : le Kayadha.

P. 349, a. 9, 1. 2. Lire : dans le Nlrangistân, S 47 ; voir Fragments, p. Il0, 1. 13.

P. 379, n. 62. Ajouter : Cf. Nlrangistân, § 52 (careîïta écrit hvarenta).

P. 384, 1. 4. Lire : Thrita, fils de Sizhdra. — Même correction dans la note 84, lignes 2 et 7.

P. 384, n. 87. Ajouter : Une Asabana est femme de Pourudhâkhshti (Yt. XIII, 140) :1a légende se rapporte donc à une guerre de famille, de neveux aryens contre oncles touraniens.

P. 392, n. 137, 1. 2. Lire : doivent sortir les trois fils de Zoroaslre. — Supprimer les mots : « enfin Yaqût (Dictionnaire, p. 489) met le sacrifice sur le Kùr ».

P. 396, n. 170. Ajouter : cf. Nlrangistân, § 66.

P. 401, 1. 9. Lir eZlntgâb. Remplacer la note 24 par les mots : Le Zainigao du Yt. XIX, 9.

P. 438, n. 27, 1. 3. Lire : et il semble, par ce passage.

P. 439. Lire aux notes 33 et 34 au lieu de 34 et 35. A la dernière ligne, lire : voir l’Introduction au III e volume, lxxxiii-lxxxiv.

P. 472, n. 190, 11. 1-2. Lire : traduit par conjecture d’après l’allemand Schultermagen (Justi, Handbuch, s. v.). Le vieux droit germanique nommait les degrés de parenté d’après les membres du corps, et le Sac/isenspiegel (I, 3) compte sept degrés : tête, cou, épaule, coude, etc., les Nagelmagen ou parents de l’ongle, par exemple, sont ceux du dernier degré ; les Schultermagen sont les enfants de frères et de sœurs (communication de M. Chuquet). Les supti-dharenga sont donc « les parents à distance (7) d’épaule », les cousins.

P. 503, n. Il. Ajouter : Dans l’Inde la fête des Farvardagân s’appelle Muklâd, qui est la réduction de muktâtmanâm, traduction de Ashaonâm (fravashayo).

P. 535, n. 202. Voir Y Avestâi mârzadan dans les Fragments divers, p. 153.

P. 549, n. 275. Cf. Fragments Weslergaard, 2.

P. 583, n. 13, avant-dernière ligne. Lire : sanscrit (au lieu de : Nériosengh).

P. 592, 1. 9. Lire : Cista est, de nature, etc.

P. 595, n. 12. Ajouter : cf. Fragment ad Yasna, LXIV, 48 (éd. Sp.) : vol. II. 32

P. 602, n. 20. Lire : « courroies souples » (cf. Nlrangistân, §58), sscr., etc.

P. 607, n. 26. Voir le Fragment 48 du Farhang (vol. III, 23).

P. 625, n. 52, avant-dernière ligne. Lire Keresâspa.

P. 627, n. 65. Ajouter : lire apadisemnâi (?) dâuru, écartant la lance (?).

P. 664, n. 3, fin. Lire Y Errata à vol. I, p. 9, n. 14.

P. 694. n. 14. Ajouter : cf. Fragments Weslergaard, 5.

P. 717, n. 14. Lire : aparemca tkaêshem. Tir Andâz traduit kêshi àkhirîn, la loi des temps postérieurs : désigne les lois du temps présent, par opposition aux lois primitives, au paoiryô tkaêshô : voir la lettre du Tansar, dans ce volume, p. xxix.

P. 729. A l’Introduction à YAfrlngân Gâhânbdr ajouter les mots : L'Afrîn Gâhânbâr (vol. III, 182) cite YAfrlngân comme étant du Nask Hâdhôkht.

P. 733, 9 a, 1. 1. Lire Khshathra.

VOLUME III

P. vii, l. 4 en partant du bas. Au lieu de vingt livres, lire vingt et un livres.

P. xlvii, n. 2. Ajouter à la fin : Le Vendidad XI, 9, présente d’ailleurs un doublet de Bùiti resté beaucoup plus proche de l’original : Bûidhî.





_____________________