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ANNALES DU MUSÉE GUIMET
22 73[8]. Celui et ceux dont le culte, Ahura Mazda le sait, nous donne le bien en retour de notre sainteté., à ces êtres, qui ont été et qui sont, je sacrifie par leurs noms et leur apporte mon service.
Zôt et Ràspî
23. Sur une royauté qui veut le bien, je confère toutes les faveurs de la fortune… (§ 1 ; 2 fois).
Ashem vohù (3 fois).
Nous sacrifions au Hâ Vohu khshathra.
Nous sacrifions à la Gâtha Vohu khshathra, sainte, maître de sainteté.
Nous sacrifions à l’ensemble de la Gâtha Vohu khshathra.
Yênhê hâtâm.
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- ↑ 66. Le gros du peuple.
- ↑ 67. « A qui les paroles [sont] Ârmaiti ! ».
- ↑ 68. mazdào rafedhrem cagedô, zak î Auhrmazd râmînîtârîh vakhdûnând mizd « pour qu’ils prennent la réjouissance d’Auhrmazd, c’est-à-dire la récompense qu’il donne ».
- ↑ 69. Litt. « l’homme d’Ârmaiti ».
- ↑ 70. Ashem spénvat.
- ↑ 71. Litt. « Khshathra avec Vohu Manô ». Piété parfaite, Asha, Royauté, Vohu Manô font les quatre premiers Amshaspands.
- ↑ 72. La récompense promise à la vertu (I, n. 56) et que le fidèle réclame en retour de sa piété envers les Amshaspands : cf. la strophe qui suit et le Hâ LII qui est une paraphrase de ce vers.
- ↑ 73. Source du Yêńhê hâtam ; voir plus haut, page 176 ; cf. Y. XV, 2. — La phrase commence par un singulier collectif yahyà : le pluriel paraît au second vers, yôî.
de Mazda et [fait] le bien dans [tous] les actes de sa vie » (Mazdào data mraot gayêhyà shyaothanâish vahyô).