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ANNALES DU MUSÉE GUIMET
Le Zôt et le Râspi ensemble :
Yathâ ahû vairyô (10 fois).

Ashem vohû (10 fois).

Nous sacrifions à l’Ahuna vairya.

Nous sacrifions à l’Ashem très bon, très beau, immortel, bienfaisant.

Nous sacrifions au Fshûshô-mâthra du Hadhaokhta 10[1].

Nous sacrifions à tout l’ensemble des Staota yêsnya 11[2].

Nous sacrifions aux Staota yêsnya, créés au début du monde.

Yênhê hâtâm.

Yathâ ahû vairyô (2 fois).

En récitant ces deux Ahuna vairya, le Zôt défait deux des nœuds qui lient l’Evanghin au Mâhrû.

Le Zôt.
Yathâ ahù vairyô. Le désir du Seigneur... que le Zaotar me le dise !
Le Râspî.
Le désir du Seigneur... que ce prêtre Zaotar me le dise !
Le Zôt.
C’est la règle du bien. Que l’homme de bien qui la connaît la proclame !





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  1. 10. Fshùshò-màthrem hadhaokhtem, Fshûsh-mânsar hàtôkhtîg. Cf. l'introduction
    du Hâ LVIII et Vispéred I, note 48.
  2. 11. Voir page 352. C’est ici la dernière invocation des Staota yêsnya et c’est ici probablement qu’ils finissent : ils ont commencé au Hâ XIV.