Livre:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIII.djvu
Titre | Toute la lyre |
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Volume | Œuvres complètes, 34 |
Auteur | Victor Hugo ![]() |
Maison d’édition | Ollendorf |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1935 |
Bibliothèque | University of Toronto -> Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série | Romans : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 • Poésie : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 • Théâtre : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 • En voyage : 1 - 2 • Histoire : 1 - 2 • Choses vues : 1 - 2 • Actes et Paroles : 1 - 2 - 3 - • Philosophie : 1 - 2 - • Correspondance : 1 - 2 - 3 - 4 |
Pages
TABLE.
I.À Louis B. 11
II. Admire, enfant ! souvent aux marins de Messine 13
III. A UNE RELIGIEUSE I ^
IV A cette heure indécise où le jour va mourir 15
V. La France, ô mes enfants, Reine aux tours fleuronnées 16
VI. L’Autre jour, ami cher, ami de vingt années 17
VIL Vous êtes bien des fois venus dans ma demeure 19
VIII.À OL 20
IX. Vénus rit toute nue au-dessus de mon lit 2 1
X. A cette heure de nuit où l’homme vague et trouble 2 2
XI. Le Couchant flamboyait à travers les bruines 23
XII. Virgile, en ce beau mois, je sens moins les douleurs 25
XIII. Le Bien germe parfois dans les ronces du mal 26
XIV. Mon Ame était en deuil ; c’était l’heure de l’ombre 28
XV. Je travaille 29
XVI. Tu me dis : Finis donc ton Livre des Misères 31
XVII. Quand je marche à mon but auguste 32
XVIII. Ô toi qui m’as maudit dans tes souffrances sombres 33
XIX. A un enfant 34
XX. Je marchais ; j’entendais, comme tombait la nuit 39
XXI. J’ai mené parfois dure vie 40
XXII. A deux ennemis amis 43
XXIII. D. G. D. G 46
XXIV. Un soir 52
XXV. Lettre de l’exilé arrivant dans le désert j 3
XXVI. Ô doux êtres ! ma joie et mon amour sacré ! 5 5
XXVII. A l’heure où le soleil se couche 56
XXVIII. J’aspire à m’ enfouir sous les arbres. Je suis 58
XXIX. A Jeanne 59
XXX. Si dans ce grand palais, ô charmante infirmière 6o POESIE. — XIII.
53o TABLE.
XXXI. Calomniée 6i
- XXXII. Souffrez, ô précurseurs ! 6z
XXXIII. L'aquilon change, et met la poupe où fut la proue 63
XXXIV.Ave, Dea ; moriturus te salutat 64
XXXV. Envoi 65
XXXVI. Pygmée et Myrmidon, c'est haine et calomnie 66
XXXVII. Je la revois, après vingt ans, l'Île où Décembre 68
XXXVIII. Je ne m'arrête pas, jamais je ne séjourne 70
XXXIX. Je vais dans la fureur du gouffre, dans l'Écume 71
XL. Un vieillard est souvent puni de sa vieillesse 73
XLI. A Madame d'A.-Sh 74
XLII. Vous qui, vainqueurs, avez mis depuis vingt-cinq ans 77
XLIII. Tu NOUS REGARDES, NUIT, GRANDE PASSANTE NOIRE 78
XLIV. Ah! vous faites du froid devoir votre bonheur! 80
XLV. La HAUTE honnêteté, c'est là toute ma gloire 81
XLVI. L'enfant est très petit et l'aïeul est très vieux 82
XL VII. Je suis enragé. J'aime et je suis un vieux fou 83
XLVIII. Échappé à l'erreur 84
XLIX. Après l'hiver 86
L. Qu’es-tu, pèlerin ? Je me nomme 87
LI. Le vieillard chaque jour dans plus d’ombre s’éveille 88
LII. Tu rentreras comme Voltaire 89
VI
I. LoRSQU,E MA MAIN FRÉMIT SI LA TIENNE l' EFFLEURE 93
II. Oh ! SI vous existez, mon ange, mon génie 9 j
III. ZJois-TU, mon ange, il faut accepter nos douleurs 96
- IV. Ce qu'en vous voyant si belle 97
V. Uous m'avez Éprouvé par toutes les éprewes 98
VI. Sais-tu ce que Dieu dit À l'enfant qui va naître ? 99
VIL Certe, elle n'Était pas femme et charmante en vain lOO
VIII. Roman en trois sonnets i o I
- IX. Chanson. {Il suffit de bien peu de chose. ..) 103
X. Hermina 1 04
- XL OhI LA femme et l'amour ! inventions maudites ! l O J
XII. J'ÉTAIS LE SONGEUR QUf. PENSE IO7
- XIII. L'amour vient en lisant 109
XIV. Elle vint que j 'étais en train de lire HoMkRE iil
- XV. UoUS NE LA FUYEZ PAS, OISEAUX, PETITS FAROUCHES 112
XVI. Commencement d'une illusion 113
- XVIL Trumeau 115
TABLE.
XVIII. Toute la vie d'un cœur. :
. Adolescence
. Printemps. Mai le de'crète et c'eJf officiel
. Puisque le gai printemps revient danser et rire
83 j. Promenade
840. Je ne laisserai pas se faner les pervenches
. •^* '^"^ ** homme ayant un projet sous les deux. . . .
- XIX. L'amouk n'est plus l'anti^e et menteur Cupido
XX. Or. nous cueillions e!<semble la pervenche
- XXI. Il Était une fois un caporal cipaye
XXII. Un coup de tjent passa^ souffle leste et charmant . . .
XXIII. Quinze-vingt
XXIV. J'ai toujours redouté d'aborder une femme
XXV. J^U^EST-CE £UE CETTE ANNÉe EMPORTE SUR SON AILE?
XXVI. Dans un vieux cloître
- XXVII. J'avais dans ma mansarde un buste de Platon
XXVIII. Virgile dans l'ombre
- XXIX. Ouij JE suis le regard et vous êtes l'Étoile
XXX. N'est-ce pas, mon amour, j^ue la nuit est bien lente
- XXXI. Je ne -viens pas vous voir le jour; voici pourquoi . . . .
XXXII. L'heure sonne. Un jour va naître
- XXXIII. A DEUX soeurs
XXXIV. Un jour qu'elle m'avait dit : Donnez-moi vos yeux. .
- XXXV. NiVEA NON FRIGIDA
XXXVI. À Madame la princesse Sophie Galitzine
- XXXVII. À Madame J. .
XXXVIII. Je ne sais pas pourquoi les femmes
- XXXIX. Pendant qu'elle dort
XL. La foret
XLI. Chanson. {Le prince de Joinville, ..)
XLII. J'Étais un lycéen honnête
- XLIII. FURENS FmMINA
XLIV. Cela la désennuie,- elle vit toute seule
XLV. Chanson de celle qui n'a pas parle
XL VI. TOI d'où ME VIENT MA PENSÉe
- XL VII. Danse en rond
XL VIII. Oh ! DiSj te souviens-tu de cet heureux dimanche ?. . .
XLIX. Garde A jamais dans ta mémoire
L. Ah ça mais ! quelle idée as-tu, capricieuse
LI. A UNE immortelle
LU. Horace, et toi, vieux La Fontaine
- LUI. Chanson. (Bon empereur, vous Êtes maître...)
LIV. A FORCE DE RÊVER ET DE VOIR DANS LA PLAINE
- LV. Les péripéties de l'idylle
532
TABLE.
LVI. Je pressais ton bras qui tremble i
LVII. Au bal I
LVIII. Nous étions, elle et moi, dans cet avril charmant ; i
LIX. Aujourd'hui Galatée aux lascives Épaules i
- LX. Danger d'aller dans les bois i
LXI. Tous deux, est-ce à Tibur ; est-ce à la ville d’Auvray ? I
LXII. L'Outrage peut être aussi dans la caresse i
LXIII. La Belle s'appelait Mademoiselle Amable ; quand deux cœurs en s’aimant ont doucement vieilli I
80
81
82
85
LXIV. (^UAND DEUX C<&URS EN s' AIMANT ONT DOUCEMENT VIEILLI I93
VII
I. La blanche Aminte 197
II. Le prince FAINEANT 1 99
III. Ce QUE Gemma pense d'Emma 202
IV. Vase de Chine 205
V. Mauvaises langues 2 06
VI. Danseuse, écoute-moi. Le Dieu du firmament 208
VII. Le porche de Saint-Luc 209
- VIII. Chanson. {L'hiver gronde et fait cent ^erelles.) 210
IX. Oui, fÔt-on Homère, il faut rire 212
X. En Afrique 213
XI. Quiconque est amoureux est esclave et s'abdique 214
XII. A L AGE DES bergeries 2l6
- XIII. Bruit de guitare 218
XIV. La lune 219
XV. Le mardis de Bade a deux cornes 220
XVI. UeUX-TU 'VIVRE, ÊTRE ADMIrÉ 222
XVII. Chaqjje smcLE a le sien 223
XVIII. Il avait le front bas, le rire d'un pirate 224
XIX. Messeigneurs , NOUS aurons pour lustre la Grande Ourse 225
XX. Fils, je 'veux dans ce conte, oh vont 'venir les fÉes 226
XXI. Quai de la ferraille 227
XXII. Comédies non jouables qui se jouent sans cesse :
i. La marquise Antoinette 230
Idylle 234
Idylle (Cocarde et Louchon) 236
Au Luxembourg 237
Le mendiant 2 40
EUe, c'eit le printemps j pluie et soleil; je l'aime 241
Idylle de la rue N.-D. de Lorette 244
viii. Uois-je point la dans l'ombre un homme titubant? 244
IX. Susurrant voces 246
II.
III.
IV.
V.
VI.
VII.
TABLE. 533
XXII. Comédies non jouables qui se jouent sans cesse (Suite) :
- X. On prétend, Silvio, que toujours je uoiis aime 248
XI. Je te jure un amour étemel 249
XII. Entre le zist et le zest 250
XXIII. Chansons :
I. J'adore Suiett; 254
II. // était une fois ^5^
- III. Je suis Jean qui guette 257
IV. L'oiseau passe 2 60
V. Cancion 261
- VI. Chanson de Maglia 261
VII. Chanson en canot 262
VIII. La chanson du spectre 2 64
IX. Margot 2 66
X. Kien n 'eff comme il devrait étr; 267
- XI. Tourne-toi vers celle qui t'aime 270
XII. Chanson de bord 271
XIII. Dans la forêt 272
XIV. Ronde pour les enfants 273
- XV. Jean , Jeanne , Jeannot 274
XVI. Le chant du vieux berger 275
XVII. Chant des songes 278
XVIII. Hacquoil le marin 280
UienSj ô toi que j 'adore 281
Mai dans les bois recHe 283
XX. Chant du bol de punch 2 84
- XXI. Sérénade 286
XXII. Le château de l'Arbrelles 2 86
- XXIII. L^ joli page imberbe 288
XXIV. Chansons de Gavroche :
I JLï» tan plan ! 289
- II. ^uand Dalila, Paméla 290
III. I^a bourgeoisie elt un "veau 291
LA CORDE D'AIRAIN.
À LA France de 1872 295
I. Apres Sedan 301
II. A DES REGIMENTS DECOURAGES 3O3
III. Destruction de la colonne 305
IV. L.4 GRANDE RÉpUBL/^UE A DES GKIFFES FATALES 308
V. Apres l'Écroulement de l'homme 309
VI. L'orgie des meurtres 3^^
534 ^ TABLE.
vu. Oui, l'on a sauvé l'okdke et l'état, et je crois 314
■VIII. En Belgi^e — {et peut-ètke, hÉlas ! ailleurs encor!) 316
IX. A UN ROI DE TROISIEME ORDRE 318
X. Alsace et Lorraine 321
XL La LIBERATION DU TERRITOIRE 327
Xn. Le uonceau songeait,' il Était tout petit 335
XIII. ROYAUTÉ! TAS p'oMBRE ! AMAS p'hORREUR, d' EFFROI 337
XIV. „^£P^ DONC ! AVOIR POUR BUT CETTE lÂCHETÉ, PLAIRE ! 338
XV. Un grand sabre serait d'utilité publique 340
XVI. Aux HISTORIENS 343
XVII. Victoires et conquêtes de la religion 349
XVIII. NOMBRE FEMME, UN JOUR 35I
XIX. La question sociale 352
XX. Crois-tu donc qu'on sera César sans l'expier ? 3^4
XXI. Jeunes hommes éclos sous l'empire rapace 355
XXII. Rentrée dans la solitude 358
XXIII. PRINCES insensés ! QUOI ! NE TREMBLENT-ILS PAS 360
XXIV. Le POETE prend la parole 362
XXV. Grandes oreilles 363
XXVI. A DE CERTAINS MOMENTS, LHOMME JUSTE EST RISIBLE 364
XXVII. A vous tous 367
NOTES DE CETTE EDITION,
Les manuscrits de Toute la Lyre 373
I. Notes explicatives 373
II. Variantes et vers inédits 406
Notes de l'Editeur 479
I. Historique 479
IL Revue de la Critique 486
III. Notice bibliographique 503
IV. Notice iconographique 5 04
Illustration des Œuvres. — Reproductions et documents 505
Couverture de l'édition originale de Toute la Lyre (Dernière série). —
Hermina.
Fac-similés des manuscrits : toi qui m'as maudit dans tes soufrâmes
sombres... — Envoi. — Oh! si vous existe^, mon ange, mon génie...
- — ■ Ce qu'en vous voyant si belle. — Pendant qu'elle dort. — Danger
d'aller dans les bois. — Le Prince fainéant. — Le Château de l'A.rbreUes.
— A. la France de iSyz.