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TABLE.


LES SEPT CORDES.

I.À Louis B. 11

II. Admire, enfant ! souvent aux marins de Messine 13

III. A UNE RELIGIEUSE I ^

IV A cette heure indécise où le jour va mourir 15

V. La France, ô mes enfants, Reine aux tours fleuronnées 16

VI. L’Autre jour, ami cher, ami de vingt années 17

VIL Vous êtes bien des fois venus dans ma demeure 19

VIII.À OL 20

IX. Vénus rit toute nue au-dessus de mon lit 2 1

X. A cette heure de nuit où l’homme vague et trouble 2 2

XI. Le Couchant flamboyait à travers les bruines 23

XII. Virgile, en ce beau mois, je sens moins les douleurs 25

XIII. Le Bien germe parfois dans les ronces du mal 26

XIV. Mon Ame était en deuil ; c’était l’heure de l’ombre 28

XV. Je travaille 29

XVI. Tu me dis : Finis donc ton Livre des Misères 31

XVII. Quand je marche à mon but auguste 32

XVIII. Ô toi qui m’as maudit dans tes souffrances sombres 33

XIX. A un enfant 34

XX. Je marchais ; j’entendais, comme tombait la nuit 39

XXI. J’ai mené parfois dure vie 40

XXII. A deux ennemis amis 43

XXIII. D. G. D. G 46

XXIV. Un soir 52

XXV. Lettre de l’exilé arrivant dans le désert j 3

XXVI. Ô doux êtres ! ma joie et mon amour sacré ! 5 5

XXVII. A l’heure où le soleil se couche 56

XXVIII. J’aspire à m’ enfouir sous les arbres. Je suis 58

XXIX. A Jeanne 59

XXX. Si dans ce grand palais, ô charmante infirmière 6o POESIE. — XIII.