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troisième volume
Préface de l'auteur. 1
De la jurisprudence et de la science du partage des successions, qui en est le complément
De la science qui a pour objet le partage des successions (eïlm el-feraid)
Des bases de la jurisprudence et de ce qui s’y rattache, c’est-à-dire la science des matières controversées et la dialectique
Les matières controversées
La dialectique (djedl)
La théologie scolastique (eilm el-kelam)
Éclaircissements au sujet des motachabeh (passages et termes de signification obscure) qui se trouvent dans le Coran et la Sonna.
Du soufisme
La science de l’interprétation des songes
Des sciences intellectuelles (ou philosophiques) et de leurs diverses classes
Les sciences relatives aux nombres
L’art du calcul (l’arithmétique pratique)
L’algèbre
Les transactions (commerciales et autres)
Le partage des successions (feraid)
Les sciences géométriques
La géométrie spéciale des figures sphériques et des figures coniques
La géométrie pratique (mesaha)
L’optique
L’astronomie
Les tables astronomiques
La logique
La physique
La médecine
L’agriculture
La métaphysique (El-ilahiya)
La magie et la science des talismans
Les propriétés occultes des lettres de l’alphabet
Observations du traducteur sur la zaîrdja d’Es-Sibti
L’alchimie
La philosophie est une science vaine en elle-même et nuisible dans son application.
La vanité de l’astrologie démontrée.
La permutation des métaux est impossible. — La pierre philosophale ne saurait exister. — L’étude de l’alchimie est pernicieuse
Indication des sujets qu’il convient de traiter dans des ouvrages, et de ceux qu’il faut laisser de côté
Trop d’ouvrages sur un même sujet nuisent à l’acquisition de la science dont ils traitent
Le trop grand nombre d’abrégés scientifiques nuit aux progrès de l’instruction
De la direction qu’il faut imprimer à l’enseignement afin de le rendre vraiment utile
En traitant des sciences qui servent uniquement à l’acquisition d’autres sciences, il ne faut pas pousser trop loin ses spéculations.
Sur l’instruction primaire et sur les différences qui existent entre les systèmes d’enseignement suivis dans les divers pays musulmans
Trop de sévérité dans l’enseignement des élèves leur est nuisible
Les voyages entrepris dans le but d’augmenter ses connaissances et de travailler sous les professeurs d’autres pays servent à compléter l’éducation d’un étudiant.
De tous les hommes, les savants s’entendent le moins à l’administration politique et à ses procédés
La plupart des savants, chez les musulmans, ont été de naissance étrangère
Si un individu a contracté, dans sa jeunesse, l’habitude de parler une langue non arabe, ce défaut rend l’acquisition des sciences (arabes) moins facile pour lui.
Les sciences qui se rapportent à la langue arabe
La grammaire (nahou)
La lexicologie (logha)
La science de l’exposition ou rhétorique
La littérature (adeb)
Le langage est une faculté qui s’acquiert comme celle des arts
La langue actuelle des Arabes (Bédouins) est un idiome spécial, différent de ceux des descendants de Moder el des Himyarites
La langue des Arabes domiciliés et des habitants des villes est une langue particulière et sui generis, différente de la langue de Moder
Comment on peut apprendre la langue de Moder
La faculté de parler la langue de Moder ne doit pas être confondue avec (la connaissance de) la grammaire. On peut l’acquérir sans le secours de cet art
Les études grammaticales en Espagne
Sur la signification que le mot goût comporte dans le langage des rhétoriciens. La faculté désignée par ce terme ne se trouve presque jamais chez les étrangers qui se sont arabisés
Les habitants des villes, en général, ne peuvent acquérir qu’imparfaitement cette faculté (de bien parler) qui s’établit dans l’organe de la langue et qui est le fruit de l’étude.
Le discours peut se présenter sous deux formes : celle de la poésie et celle de la prose
Il est rare de pouvoir composer également bien en prose et en vers
Sur l’art de la poésie et la manière de l’apprendre
Dans l’art de composer (avec élégance) en vers et en prose, on ne s’occupe pas des pensées, mais des paroles
La faculté poétique s’acquiert à force d’apprendre par cœur beaucoup de vers, et sa bonté dépend de celle des morceaux dont on se sera orné la mémoire
Sur le discours (ou style) naturel (simple) et le discours artificiel (orné).
Du dédain que les personnages haut placés montrent pour la culture de la poésie.
Sur la poésie contemporaine chez les Arabes (nomades) et les habitants des villes.
Sur les odes (mowascheha) et les chansons (ou ballades, zedjel), poëmes propres à l’Espagne
NOTES ADDITIONNELLES. 467
Liste des termes expliqués par l'auteur ou le traducteur. 471
INDEX GÉNÉRAL DES PROLÉGOMÈNES D'IBN KHALDOUN. 481