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troisième volume

Préface de l'auteur. 1

De la jurisprudence et de la science du partage des successions, qui en est le complément 
 1
De la science qui a pour objet le partage des successions (eïlm el-feraid
 21
Des bases de la jurisprudence et de ce qui s’y rattache, c’est-à-dire la science des matières controversées et la dialectique 
 25
Les matières controversées 
 35
La dialectique (djedl
 38
La théologie scolastique (eilm el-kelam
 47
Éclaircissements au sujet des motachabeh (passages et termes de signification obscure) qui se trouvent dans le Coran et la Sonna
 64
Du soufisme 
 85
La science de l’interprétation des songes 
 114
Des sciences intellectuelles (ou philosophiques) et de leurs diverses classes 
 121
Les sciences relatives aux nombres 
 129
L’art du calcul (l’arithmétique pratique) 
 132
L’algèbre 
 135
Les transactions (commerciales et autres) 
 137
Le partage des successions (feraid
 138
Les sciences géométriques 
 140
La géométrie spéciale des figures sphériques et des figures coniques 
 142
La géométrie pratique (mesaha
 143
L’optique 
 144
L’astronomie 
 145
Les tables astronomiques 
 148
La logique 
 149
La physique 
 161
La médecine 
 163
L’agriculture 
 165
La métaphysique (El-ilahiya
 166
La magie et la science des talismans 
 171
Les propriétés occultes des lettres de l’alphabet 
 188
Observations du traducteur sur la zaîrdja d’Es-Sibti 
 200
L’alchimie 
 207
La philosophie est une science vaine en elle-même et nuisible dans son application. 
 227
La vanité de l’astrologie démontrée. 
 240
La permutation des métaux est impossible. — La pierre philosophale ne saurait exister. — L’étude de l’alchimie est pernicieuse 
 249
Indication des sujets qu’il convient de traiter dans des ouvrages, et de ceux qu’il faut laisser de côté 
 264
Trop d’ouvrages sur un même sujet nuisent à l’acquisition de la science dont ils traitent 
 271
Le trop grand nombre d’abrégés scientifiques nuit aux progrès de l’instruction 
 274
De la direction qu’il faut imprimer à l’enseignement afin de le rendre vraiment utile 
 275
En traitant des sciences qui servent uniquement à l’acquisition d’autres sciences, il ne faut pas pousser trop loin ses spéculations. 
 283
Sur l’instruction primaire et sur les différences qui existent entre les systèmes d’enseignement suivis dans les divers pays musulmans 
 285
Trop de sévérité dans l’enseignement des élèves leur est nuisible 
 290
Les voyages entrepris dans le but d’augmenter ses connaissances et de travailler sous les professeurs d’autres pays servent à compléter l’éducation d’un étudiant. 
 293
De tous les hommes, les savants s’entendent le moins à l’administration politique et à ses procédés 
 294
La plupart des savants, chez les musulmans, ont été de naissance étrangère 
 296
Si un individu a contracté, dans sa jeunesse, l’habitude de parler une langue non arabe, ce défaut rend l’acquisition des sciences (arabes) moins facile pour lui. 
 302
Les sciences qui se rapportent à la langue arabe 
 307
La grammaire (nahou
 308
La lexicologie (logha
 313
La science de l’exposition ou rhétorique 
 321
La littérature (adeb
 328
Le langage est une faculté qui s’acquiert comme celle des arts 
 331
La langue actuelle des Arabes (Bédouins) est un idiome spécial, différent de ceux des descendants de Moder el des Himyarites 
 334
La langue des Arabes domiciliés et des habitants des villes est une langue particulière et sui generis, différente de la langue de Moder 
 342
Comment on peut apprendre la langue de Moder 
 343
La faculté de parler la langue de Moder ne doit pas être confondue avec (la connaissance de) la grammaire. On peut l’acquérir sans le secours de cet art 
 345
Les études grammaticales en Espagne 
 348
Sur la signification que le mot goût comporte dans le langage des rhétoriciens. La faculté désignée par ce terme ne se trouve presque jamais chez les étrangers qui se sont arabisés 
 349
Les habitants des villes, en général, ne peuvent acquérir qu’imparfaitement cette faculté (de bien parler) qui s’établit dans l’organe de la langue et qui est le fruit de l’étude. 
 354
Le discours peut se présenter sous deux formes : celle de la poésie et celle de la prose 
 360
Il est rare de pouvoir composer également bien en prose et en vers 
 364
Sur l’art de la poésie et la manière de l’apprendre 
 365
Dans l’art de composer (avec élégance) en vers et en prose, on ne s’occupe pas des pensées, mais des paroles 
 383
La faculté poétique s’acquiert à force d’apprendre par cœur beaucoup de vers, et sa bonté dépend de celle des morceaux dont on se sera orné la mémoire 
 385
Sur le discours (ou style) naturel (simple) et le discours artificiel (orné). 
 392
Du dédain que les personnages haut placés montrent pour la culture de la poésie. 
 400
Sur la poésie contemporaine chez les Arabes (nomades) et les habitants des villes. 
 402
Sur les odes (mowascheha) et les chansons (ou ballades, zedjel), poëmes propres à l’Espagne 
 422


NOTES ADDITIONNELLES. 467


Liste des termes expliqués par l'auteur ou le traducteur. 471


INDEX GÉNÉRAL DES PROLÉGOMÈNES D'IBN KHALDOUN. 481