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TABLE DES MATIÈRES
XXVIII. — 
Voici une page d’histoire que j’invente 
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XXIX. — 
Hier soir, la grande ourse 
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XXX. — 
Chacun a pu voir ces jours-ci 
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XXXI. — 
Sur la plage et comme la mer se retirait 
 51
XXXII. — 
Rien ne se perd, rien ne se crée 
 52
XXXIII. — 
Tout s’écroule, dit l’un, tout périra 
 54
XXXIV. — 
Quelques minutes après les premières rafales 
 55
XXXV. — 
Comme une fleurette bleue 
 56
XXXVI. — 
Comme je lisais de merveilleux récits 
 58
XXXVII. — 
Lorsque le ver à soie 
 59
XXXVIII. — 
Les barques pontées 
 60
XXXIX. — 
On sait que les vignes de Bourgogne 
 61
XL. — 
Comme je relisais Darwin 
 63
XLI. — 
J’admire les naïfs prophètes 
 64
XLII. — 
Ce bateau qui se penche au souffle des vents 
 65
XLIII. — 
Imaginez un bai brun dans toute sa force 
 66
XLIV. — 
Si quelqu’accident vous enlève un peu de peau et de chair 
 68
XLV. — 
Il n’est pas inutile de réfléchir sur les Folies Circulaires 
 69
XLVI. — 
On ne comprend pas bien la force des passions 
 71
XLVII. — 
Un homme de six pieds 
 72
XLVIII. — 
Chacun connaît la force d’âme des Stoiciens 
 73
XLIX. — 
Les feuilles poussent, bientôt la galéruque 
 74
L. — 
Quelquefois on rencontre sur la route 
 76
LI. — 
Le bonheur et le malheur sont impossibles à imaginer 
 77
LII. — 
Dès qu’un homme cherche le bonheur 
 78
LIII. — 
Un préfet de police 
 79
LIV. — 
Vous voulez savoir, me dit Jim 
 81
LV. — 
J’observais hier un joli piège 
 82
LVI. — 
Il y a pourtant assez de mots réels 
 83
LVII. — 
Je suis forcé de la constater 
 84
LVIII. — 
Il y a une politesse de courtisans 
 86
LIX. — 
En reprochant à l’amour de devenir souvent aveugle 
 87
LX. — 
Il y a deux espèces d’hommes 
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LXI. — 
Agenor a manqué le bateau 
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