Œuvres complètes de Saint Augustin (Raulx)
Œuvres complètes de Saint Augustin (Raulx)
TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE PREMIER VOLUME.
PAR M. POUJOULAT.
Chapitre premier. — L’enfance et la jeunesse de saint Augustin jusqu’à son voyage à Rome.
— XXV. — Saint Paulin et Thérasie. — Inquiétudes de saint Augustin sur les législations pénales. — Son intervention en faveur des Donatistes. — Nouvelles instances de Nectarius de Calame et réponse de l’évêque d’Hippone. — Tendre admiration de Sévère, évêque de Milève. — Les invasions des Barbares. — Dioscore et saint Augustin. — Les païens de Madaure. — Longinien.
— XLV. — Autorité de saint Augustin établie par les plus illustres témoignages. — Les sept livres des Locutions et les sept livres des Questions sur les sept premiers livres de l’Écriture. — Les quatre livres contre les deux Épîtres des Pélagiens. — Contre Gaudentius et contre le mensonge. — Lettre à Optat. — Contre l’adversaire de la loi et des prophètes. — Durée et transformation diverses du manichéisme.
— LIV. — Réconciliation du comte Boniface avec l’impératrice Placidie. — Correspondance de saint Augustin avec Darius. — Lettre à Honoré sur les devoirs des prêtres dans les calamités publiques. — Peinture de la dévastation de l’Afrique par les Vandales. — L’ouvrage imparfait contre Julien. — Mort de saint Augustin.
— LV. — Hommage rendu à saint Augustin par Théodose le Jeune. — Boniface ; sa fin. — Levée du siège d’Hippone ; évacuation et ruine de cette ville. — Comment Salvien expliquait l’invasion des Vandales. — Bélisaire et la fin de la domination des Vandales en Afrique. — Un mot sur la chute rapide de l’Église d’Afrique. — Les reliques de saint Augustin. — Dernière appréciation de saint Augustin.
LES RÉTRACTATIONS.
traduction de m. de riancey.
305
Chapitre premier. — Contre les Académiciens. — Trois livres
307
— II. — De la Vie bienheureuse. — Un livre.
309
— III. — De l’Ordre. — Deux livres.
309
de l’ordre. — deux livres
— IV. — Les deux livres des Soliloques.
310
— V. — De l’immortalité de l’âme. — Un livre.
311
— VI. — Livres des arts libéraux.
311
— VII. — Des mœurs de l’Église catholique et des mœurs des Manichéens. — Deux livres.
312
— VIII. — De la grandeur de l’âme.
313
— IX. — Du Libre Arbitre. — Trois livres.
314
— X. — De la Genèse contre les Manichéens. — Deux livres.
317
— XI. — Les six livres de la musique.
318
— XII. — Du Maître. — Un livre.
320
— XIII. — De la vraie religion. — Un livre.
320
— XIV. — De l’utilité de la Foi. — Un livre à Honorat.
322
— XV. — Des deux âmes, contre les Manichéens. — Un livre.
324
— XVI. — Actes contre Fortunat, manichéen. — Un livre.
327
— XVII. — De la Foi et du Symbole. — Un livre.
327
— XVIII. — Commentaire littéral sur la Genèse. — Un livre incomplet.
328
— XIX. — Du sermon sur la montagne. — Deux livres.
328
— XX. — Cantique contre le parti de Donat.
331
— XXI. — Contre la lettre de l’hérétique Donat. — Un livre.
331
— XXII. — Contre Adimante, disciple de Manès. — Un livre.
332
— XXIII. — Exposition de quelques propositions tirées de l’Épître de saint Paul aux Romains.
333
— XXIV. — Exposition de l’Épître aux Galates. — Un livre.
335
— XXV. — Exposition commencée de l’Épître aux Romains. — Un livre.
336
— XXVI. — De quatre-vingt-trois questions diverses. — Un livre.
336
— XXVII. — Sur le Mensonge. — Un livre.
340
Chapitre premier. — Les deux livres à Simplicien.
341
— II. — Contre la lettre appelée du fondement. — Un livre.
342
— III. — Du combat chrétien. — Un livre
342
— IV. — De la doctrine chrétienne. — Quatre livres.
342
— V. — Contre le parti donatiste. — Deux livres.
342
— VI. — Les treize livres des Confessions.
343
— VII. — Contre Faustus, manichéen. — Trente-trois livres.
343
— VIII. — Contre Félix, manichéen. — Deux livres.
344
— IX. — De la nature du bien. — Un livre.
344
— X. — Contre Sécondinus, manichéen. — Un livre.
344
— XI. — Contre Hilaire. — Un livre.
344
— XII. — Questions évangéliques. — Deux livres.
344
— XIII. — Annotations au livre de Job. — Un livre.
345
— XIV. Le catéchisme des ignorants. — Un livre.
345
— XV. — De la Trinité. — Quinze livres.
345
— XVI. — De la concorde des Évangélistes. — Quatre livres.
346
— XVII. — Contre la lettre de Parménien. — Trois livres.
346
— XVIII. — Du Baptême. — Sept livres.
346
— XIX. — Contre les écrits donatistes apportés par Centurius. — Un livre.
347
— XX. — Sur les demandes de Janvier. — Deux livres.
347
— XXI. — Du travail des moines. — Un livre.
347
— XXII. — Du bien conjugal. — Un livre.
348
— XXIII. — De la sainte virginité. — Un livre.
348
— XXIV. — De la Genèse au sens littéral. — Douze livres.
348
— XXV. — Contre les lettres de Pétilien. — Trois livres.
349
— XXVI. — À Cresconius, grammairien du parti de Donat. — Quatre livres.
349
— XXVII. Preuves et témoignages contre les Donatistes. — Un livre.
349
— XXVIII. — Contre un donatiste inconnu. — Un livre.
350
— XXIX. — Avertissement aux Donatistes, sur les Maximianistes. — Un livre.
350
— XXX. — De la divination des démons. — Un livre.
351
— XXXI. — Exposition des six questions contre les païens.
351
— XXXII. — Exposition de l’épître de saint Jacques aux douze tribus.
351
— XXXIII. — Des peines et de la rémission des péchés, ainsi que du baptême des petits enfants. — Trois livres à Marcellin.
351
— XXXIV. — D’un seul baptême, à Constantin contre Pétilien. — Un livre.
352
— XXXV. — Des Maximianistes contre les Donatistes. — Un livre.
352
— XXVI. — De la grâce du Nouveau Testament à Honorat. — Un livre.
352
— XXXVII. — De l’esprit et de la lettre, à Marcellin. — Un livre.
353
— XXXVIII. — De la foi et des œuvres. — Un livre.
353
— XXXIX. — Abrégé de la conférence avec les Donatistes. — Trois livres.
353
— XL. — Contre les Donatistes, après la conférence. — Un livre.
354
— XLI. — De la vue de Dieu. — Un livre.
354
— XLII. — De la nature et de la grâce. — Un livre.
354
— XLIII. — De la cité de Dieu. — Vingt-deux livres.
354
— XLIV. — À Orose, contre les Priscillianistes et les Origénistes. — Un livre.
355
— XLV. — Deux livres à Jérôme, prêtre, l’un sur l’origine de l’âme, l’autre sur un passage de saint Jacques.
355
— XLVI. — À Émérite, évêque des Donatiste, après notre conférence. — Un livre.
356
— XLVII. — Des actes du procès de Pélage. — Un livre.
356
— XLVIII. — Du châtiment des Donatistes. — Un livre.
356
— XLIX. — De la présence de Dieu ; à Dardanus. — Un livre.
356
— L. — Contre Pélage et Céleste, sur la grâce de Jésus-Christ et sur le péché originel, à Albina, Pinianus et Mélanie. — Deux livres.
356
— LI. — Actes de la conférence avec Émérite, donatiste. — Un livre.
356
— LII. — Contre le discours des Ariens. — Un livre.
357
— LIII. — Du mariage et de la concupiscence, au comte Valère. — Deux livres.
357
— LIV. — Sept livres de locutions.
357
— LV. — Sept livres de questions.
357
— LVI. — De l’âme et de son origine. — Quatre livres.
358
— LVII. — À Pollentius, sur les mariages adultères. — Deux livres.
359
— LVIII. — Contre un adversaire de la loi et des prophètes — Deux livres.
359
— LIX. — Contre Gaudence, évêque des Donatistes. — Deux livres.
359
— LX. — Contre le mensonge. — Un livre.
359
— LXI. — Contre deux lettres des Pélagiens. — Quatre livres.
360
— LXII. — Six livres contre Julien.
360
— LXIII. — À Laurentius, sur la foi, l’espérance et la charité. — Un livre.
360
— LXIV. — À l’évêque Paulin, du soin à prendre des morts. — Un livre.
360
— LXV. — Des huit questions de Dulcitius. — Un livre.
360
— LXVI. — À Valentin et à ses moines, sur la grâce et le libre arbitre. — Un livre.
360
— LXVII. — Aux mêmes, sur la réprimande et la grâce. — Un livre.
360
LES CONFESSIONS.
traduction de m. moreau.
Chapitre premier. — Grandeur de Dieu.
363
— II. — Dieu est en l’homme ; l’homme est en Dieu.
363
— III. — Dieu est tout entier partout.
364
— IV. — Grandeur ineffable de Dieu.
364
— V. — « Dites à mon âme : Je suis ton salut. »
364
— VI. — Enfance de l’homme ; Eternité de Dieu.
365
— VII. — L’enfant est pécheur.
366
— VIII. — Comment il apprend à parler.
367
— IX. — Aversion pour l’étude ; horreur des châtiments.
367
— X. — Amour du jeu.
368
— XI. — Malade, il demande le baptème.
368
— XII. — Dieu tournait à son profit l’imprévoyance même qui dirigeait ses études.
368
— XIII. — Vanité des fictions poétiques qu’il aimait.
369
— XIV. — Son aversion pour la langue grecque.
370
— XV. — Prière.
370
— XVI. — Contre les fables impudiques.
370
— XVII. — Vanité de ses études.
371
— XVIII. — Hommes plus fidèles aux lois de la Grammaire qu’aux Commandements de Dieu.
371
— XIX. — Fautes des enfants ; vices des hommes.
372
— XX. — Il rend grâces à Dieu des dons qu’il a reçus de lui dans son enfance.
372
Chapitre premier. — Désordres de sa jeunesse.
373
— II. — Ses débauches à seize ans.
373
— III. — Vices de son éducation.
374
— IV. — Larcin.
375
— V. — On ne fait point le mal sans intérêt.
375
— VI. — Il se trouve dans les péchés une imitation fausse des perfections divines.
376
— VII. — Actions de grâce.
377
— VIII. — Ce qu’il avait aimé dans ce larcin.
377
— IX. — Liaisons funestes.
377
— X. — Elan vers Dieu.
378
Chapitre premier. — Amour impurs.
379
— II. — Théâtres.
379
— III. — Insolence de la jeunesse de Carthage.
380
— IV. — Il se passionne pour la sagesse, à la lecture de l’Hortensius de Cicéron.
381
— V. — Son mépris pour l’Écriture.
381
— VI. — Il tombe dans l’erreur des Manichéens.
381
— VII. — Folie des Manichéens.
382
— VIII. — Ce que Dieu commande devient permis.
383
— IX. — Dieu juge autrement que les hommes.
384
— X. — Folie des Manichéens.
385
— XI. — Prières et larmes de sa mère.
385
— XII. — Parole prophétique d’un évêque.
386
Chapitre premier. Neuf années d’erreur.
387
— II. — Il enseigne la rhétorique ; son commerce illégitime avec une femme ; il rejette les offres d’un devin.
387
— III. — Sa passion pour l’astrologie.
388
— IV. — Mort d’un ami.
389
— V. — Pourquoi les larmes sont-elles douces aux affligés ?
389
— VI. Violence de sa douleur.
390
— VII. — Il quitte Thagaste.
390
— VII. — Sa douleur diminue avec le temps.
391
— IX. — L’amitié n’est vraie qu’en Dieu.
391
— X. — L’âme ne peut trouver son repos dans les créatures.
391
— XI. — Les créatures changent ; Dieu seul est immuable.
392
— XII. — Les âmes trouvent en Dieu le repos et l’immutabilité.
392
— XIII. — D’où procède l’amour. Livre qu’il avait écrit sur la beauté et la convenance.
393
— XIV. — Il avait dédié ce livre à l’orateur Hiérius. Estime pour les absents ; d’où vient-elle ?
393
— XV. — Son esprit, obscurci par les images sensibles, ne pouvait concevoir les substances spirituelles.
394
— XVI. — Génie de saint Augustin.
395
Chapitre premier. — « Que mon âme vous loue, Seigneur, pour vous aimer ! »
397
— II. — Où fuit l’impie en fuyant Dieu ?
397
— III. — Faustus. Aveuglement des philosophes.
397
— IV. — Malheur à la science qui ignore Dieu !
399
— V. — Folie de Manès.
399
— VI. — Eloquence de Faustus et son ignorance.
399
— VII. — Il se dégoûte des dorlrines manichéennes.
400
— VIII. — Il va à Rome malgré sa mère.
401
— IX. — Il tombe malade ; prières de sa mère.
402
— X. — Il s’éloigne du manichéisme dont il retient encore plus d’une erreur.
403
— XI. — Ridicules réponses des Manichéens.
404
— XII. — Déloyauté de la jeunesse romaine.
404
— XIII. — Il se rend à Milan pour enseigner la rhétorique. Saint Ambroice.
404
— XIV. — Il rompt avec les Manichéens et demeure catéchumène dans l’Église.
405
Chapitre premier. — Sainte Monique suit son fils à Milan.
406
— II. — Elle se rend à la défense de saint Ambroise.
406
— III. — Occupations de saint Ambroise.
407
— IV. — Assiduité d’Augustin aux sermons de saint Ambroise.
408
— V. — Nécessité de croire ce que l’on ne comprend pas encore.
408
— VI. — Misère de l’ambition.
409
— VII. — Son ami Alypius.
410
— VIII. — Alypius entraîné aux sanglants spectacles du cirque.
411
— IX. — Alypius soupçonné d’un larcin.
411
— X. — Intégrité d’Alypius. Ardeur de Nébridius à la recherche de la vérité.
412
— XI. — Vives perplexités d’Augustin.
413
— XII. — Ses entretiens avec Alypius sur le mariage et le célibat.
414
— XIII. — Sa mère n’obtient de Dieu aucune révélation sur le mariage de son fils.
414
— XIV. — Projet de vie en commun avec ses amis.
415
— XV. — La femme qu’il entretenait étant retournée en Afrique, il en prend une autre.
415
— XVI. — Sa crainte de la mort et du jugement.
415
Chapitre premier. — Il ne pouvait concevoir Dieu que comme une substance infiniment étendue.
417
— II. — Objection de Nébridius contre les Manichéens.
418
— III. — Peine qu’il éprouve à concevoir l’origine du mal.
418
— IV. — Dieu étant le souverain bien, est nécessairement incorruptible.
419
— V. — Ses doutes sur l’origine du mal.
419
— VI. — Vaines prédictions des astrologues.
420
— VII. — Tourments de son esprit dans la recherche de l’origine du mal.
421
— VIII. — Dieu entretenait son inquiétude jusqu’à ce qu’il connût la vérité.
422
— IX. — Il avait trouvé la Divinité du Verbe dans les livres des Platoniciens, mais non pas l’humilité de son incarnation.
422
— X. — Il découvre que Dieu est la lumière immuable.
423
— XI. — Les créatures sont et ne sont pas.
424
— XII. — Toute substance est bonne d’origine.
424
— XIII. — Toutes les créatures louent Dieu.
424
— XIV. — Il s’éveille enfin à la vraie connaissance de Dieu.
425
— XV. — Toutes choses participent de la vérité et de la bonté de Dieu.
425
— XVI. — Ce que c’est que le péché.
425
— XVII. — Par quels degrés il s’élève à la connaissance de Dieu.
425
— XVIII. — Jésus-Christ seul est la voie du salut.
426
— XIX. — Il prenait Jésus-Christ pour un homme d’éminente sagesse.
426
— XX. — Les livres des Platoniciens l’avaient rendu plus savant, mais plus vain.
427
— XXI. — Il trouve dans l’Ecriture l’humilité et la vraie voie du salut.
427
Chapitre premier. — Augustin va trouver le vieillard Simplicianus.
429
— II. — Simplicianus lui raconte la conversion de Victorinus-le-Rhéteur.
430
— III. — D’où vient que l’on ressent tant de joie de la conversion des pécheurs.
431
— IV. — Pourquoi les conversions célèbres doivent inspirer une joie plus vive.
432
— V. — Tyrannie de l’habitude.
432
— VI. — Récit de Potitianus.
433
— VII. — Agitation de son âme pendant le récit de Potitianus.
434
— VIII. — Lutte intérieure.
435
— IX. — L’esprit commande au corps ; il est obéi : l’esprit se commande, et il se résiste !
436
— X. — Deux volontés ; un seul esprit.
436
— XI. — Derniers combats.
437
— XII. — Prends, lis ! Prends, lis !
438
Chapitre premier. — Actions de grâces.
440
— II. — Il renonce à sa profession.
440
— III. — Sainte mort de ses amis Nébridius et Vérécundus.
441
— IV. — Son enthousiasme à la lecture des Psaumes.
442
— V. — Il consulte saint Ambroise.
444
— VI. — Il reçoit le baptême avec Alypius, son ami, et Adéodatus, son fils. Génie de cet enfant. Sa mort.
444
— VII. — Découverte des corps de saint Gervais et de saint Protais.
444
— VIII. — Mort de sainte Monique. Son éducation.
445
— IX. — Vertus de sainte Monique.
446
— X. — Entretien de sainte Monique avec son fils sur le bonheur de la vie éternelle.
447
— XI. — Dernières paroles de sainte Monique.
448
— XII. — Douleur de saint Augustin.
449
— XIII. — Il prie pour sa mère.
450
Chapitre premier. — Elévation.
452
— II. — Confession du cœur.
452
— III. — Pourquoi il confesse ce que la grâce a fait de lui.
452
— IV. — Quel fruit il espère de cette confession.
453
— V. — L’homme ne se connaît pas entièrement lui-même.
454
— VI. — Ce qu’il sait avec certitude, c’est qu’il aime Dieu.
454
— VII. — Dieu ne peut être connu par les sens.
455
— VIII. — De la Mémoire.
455
— IX. — Mémoire des sciences.
456
— X. — Les sciences n’entrent pas dans la mémoire par les sens.
457
— XI. — Acquérir la science, c’est rassembler les notions dispersées dans l’esprit.
457
— XII. — Mémoire des mathématiques.
457
— XIII. — Mémoire des opérations de l’esprit.
458
— XIV. — Mémoire des affections de l’âme.
458
— XV. — Comment les réalités absentes se représentent à la mémoire.
458
— XVI. — La mémoire se souvient de l’oubli.
459
— XVII. — Dieu est au delà de la mémoire.
459
— XVIII. — Il faut conserver la mémoire d’un objet perdu pour le retrouver.
460
— XIX. — Comment la mémoire retrouve un objet oublié.
460
— XX. — Chercher Dieu, c’est chercher la vie heureuse.
460
— XXI. — Comment l’idée de la béatitude peut être dans la mémoire.
461
— XXII. — Dieu unique joie du cœur.
462
— XXIII. — Amour naturel des hommes pour la vérité ; ils ne la haïssent que lorsqu’elle contrarie leurs passions.
462
— XXIV. — Dieu se trouve dans la mémoire.
462
— XXV. — Dans quelle partie de la mémoire trouvons-nous Dieu ?
463
— XXVI. — Dieu est la vérité que les hommes consultent.
463
— XXVII. — Ravissement de cœur devant Dieu.
463
— XXVIII. — Misère de cette vie.
463
— XXIX. — La grâce de Dieu est notre seul appui.
464
— XXX. — Triple tentation de la volupté, de la curiosité et de l’orgueil.
464
— XXXI. — De la volupté dans les aliments.
465
— XXXII. — Plaisir de l’odorat.
466
— XXXIII. — Plaisir de l’ouïe. Du chant de l’Église.
466
— XXXIV. — Volupté des yeux.
467
— XXXV. — Curiosité.
468
— XXXVI. Orgueil.
469
— XXXVII. — Disposition de son âme touchant le blâme et la louange.
470
— XXXVIII. — Vaine gloire, poison subtil.
471
— XXXIX. — Complaisance en soi-même.
471
— XL. — Coup d’œil sur tout ce qu’il a dit.
471
— XLI. — Ce qui le rejetait loin de Dieu.
472
— XLII. — Égarement des superbes qui ont eu recours aux anges déchus comme médiateurs entre Dieu et les hommes.
472
— XLIII. — Jésus-Christ, seul médiateur.
472
Chapitre premier. — La confession de nos misères dilate notre amour.
474
— II. — Il demande à Dieu l’intelligence des Écritures.
474
— III — Il implore la Vérité qui a parlé par Moise.
475
— IV. — Le ciel et la terre nous crient qu’ils ont été créés.
476
— V. — L’univers créé de rien.
476
— VI. — Comment Dieu a parlé.
476
— VII. — Le Verbe divin, Fils de Dieu, coéternel au Père.
477
— VIII. — Le Verbe éternel est notre unique Maître.
477
— IX. — Le Verbe parle à notre cœur.
477
— X. — La volonté de Dieu n’a pas de commencement.
478
— XI. — Le temps ne saurait être la mesure de l’éternité.
478
— XII. — Ce que Dieu faisait avant la création du monde.
478
— XIII. — Point de temps avant la création.
478
— XIV. — Qu’est-ce que le temps ?
479
— XV. — Quelle est la mesure du temps ?
479
— XVI. — Comment se mesure le temps ?
480
— XVII. — Où est le passé ? où est l’avenir ?
480
— XVIII. — Comment le passé et l’avenir sont présents.
480
— XIX. — De la prescience de l’avenir.
481
— XX. — Quels noms donner aux différrences des temps ?
481
— XXI. — Comment mesurer le temps ?
481
— XXII. — Il demande à Dieu la connaissance de ce mystère.
482
— XXIII. — Nature du temps.
482
— XXIV. — Le temps est-il la mesure du mouvement ?
483
— XXV. « Allumez ma lampe, Seigneur ; éclairez mes ténèbres ! »
483
— XXVI. — Le temps n’est pas la mesure du temps.
483
— XXVII. — Comment nous mesurons le temps.
484
— XXVIII. — L’esprit est la mesure du temps.
485
— XXIX. — De l’union avec Dieu.
485
— XXX. — Point de temps sans œuvre.
486
— XXXI. — Dieu connaît autrement que les hommes.
486
Chapitre premier. — La recherche de la vérité est pénible.
487
— II. — Deux sortes de cieux.
487
— III. — Des ténèbres répandues sur la surface de l’abime.
487
— IV. — Matière primitive.
488
— V. — Sa nature.
488
— VI. — Comment il faut la concevoir.
488
— VII. — Le ciel est plus excellent que la terre.
488
— VIII. — Matière primitive faite de rien.
489
— IX. — Le ciel du ciel.
489
— X. — Invocation.
489
— XI. — Ce que Dieu lui a enseigné.
490
— XII. — Deux ordres de créatures.
490
— XIII. — Créatures spirituelles ; matière informe.
491
— XIV. — Profondeur des Écritures.
491
— XV. — Vérités constantes, malgré la diversité des interprétations.
491
— XVI. — Contre les contradicteurs de la vérité.
493
— XVII. — Ce que l’on doit entendre par le ciel et la terre.
493
— XVIII. — On peut donner plusieurs sens à l’Écriture.
494
— XIX. — Vérités incontestables.
494
— XX. — Interprétations diverses des premières paroles de la Genèse.
494
— XXI. — Explications différentes de ces mots : « La terre était invisible. »
495
— XXII. — Plusieurs créations de Dieu passées sous silence.
495
— XXIII. — Deux espèces de doutes dans l’interprétation de l’Écriture.
496
— XXIV. — Difficulté de déterminer le vrai sens de Moïse entre plusieurs également vrais.
496
— XXV. — Contre ceux qui cherchent à faire prévaloir leur sentiment.
496
— XXVI. — Il est digne de l’Écriture de renfermer plusieurs sens sous les mêmes paroles.
497
— XXVII — Abondance de l’Écriture.
498
— XXVIII — Des divers sens qu’elle peut recevoir.
498
— XXIX. — De combien de manières une chose peut être avant une autre.
499
— XXX. — L’Écriture veut être interprétée en esprit de charité.
500
— XXXI. — Moïse a pu entendre tous les sens véritables qui peuvent se donner à ses paroles.
500
— XXXII. — Tous les sens véritables prévus par le Saint-Esprit.
500
Chapitre premier. — Invocation. Gratuite munificence de Dieu.
501
— II. — Toute créature tient l’être de la pure bonté de Dieu.
501
— III. — Tout procède de la grâce de Dieu.
502
— IV. — Dieu n’avait pas besoin des créatures.
502
— V. — De la Trinité.
502
— VI. — Comment l’Esprit de Dieu était porté au-dessus des eaux.
502
— VII. — Effets du Saint-Esprit.
503
— VIII. — L’union avec Dieu, unique félicité des êtres intelligents.
503
— IX. — Pourquoi il est dit, seulement du Saint-Esprit, qu’il était porté sur les eaux.
503
— X. — Bonheur des pures intelligences.
504
— XI. Image de la Trinité dans l’homme.
504
— XII. — Dieu procède dans l’institution de l’Église comme dans la création du monde.
505
— XIII. — Notre renouvellement n’est jamais parfait en cette vie.
505
— XIV. — L’âme est soutenue par la foi et l’espérance.
505
— XV. L’Écriture sainte comparée au firmament, et les anges aux eaux supérieures.
506
— XVI. Nul ne connaît Dieu comme Dieu se connaît lui-même.
507
— XVII. Comment on peut entendre la création de la mer et de la terre ?
507
— XVIII. Les justes peuvent être comparés aux astres.
507
— XIX. Voie de la perfection.
508
— XX. Sens mystique de ces paroles : « Que les eaux produisent les reptiles et les oiseaux. »
509
— XXI. Interprétation mystique des animaux terrestres.
510
— XXII. Vie de l’âme renouvelée.
511
— XXIII. De quoi l’homme spirituel peut juger.
511
— XXIV. Pourquoi Dieu a béni l’homme, les poissons et les oiseaux.
512
— XXV. Les fruits de la terre figurent les œuvres de piété.
513
— XXVI. — Le fruit des œuvres de miséricorde est dans la bonne volonté.
514
— XXVII. — Signification des poissons et des baleines.
515
— XXVIII. — Pourquoi Dieu dit que ses œuvres étaient très-bonnes.
515
— XXIX. — Comment Dieu a vu huit fois que ses œuvres étaient bonnes.
515
— XXX. — Rêveries manichéennes.
516
— XXXI. — Le fidèle voit par l’Esprit de Dieu, et Dieu voit en lui que ses œuvres sont bonnes.
516
— XXXII. — Vue de la création.
516
— XXXIII. — Dieu a créé le monde d’une matière créée par lui au même temps.
517
— XXXIV. — Sens mystique de la création.
517
— XXXV. — « Seigneur, donnez-nous votre paix. »
518
— XXXVI. — Le septième jour n’a pas eu de soir.
518
— XXXVII. — Comment Dieu se repose en nous.
518
— XXXVIII. — Différence entre la connaissance de Dieu et celle des hommes.
518
LES LETTRES.
TRADUCTION DE M. POUJOULAT.
Lettre I. — Augustin à Hermogénien. — Il s’agit des philosophes désignés sous le nom d’Académiciens ; saint Augustin s’est occupé d’eux dans un de ses ouvrages ; il demande à son ami Hermogénien ce qu’il pense de ce qu’il en a dit.
519
— II. Augustin à Zénobe. — Saint Augustin adresse à son ami Zénobe quelques mots de philosophie et d’amitié. Il avait commencé avec lui une discussion philosophique qu’il avait fallu interrompre. Il lui exprime le désir de reprendre d’aussi utiles entretiens.
520
— III. Augustin à Nébride. — Saint Augustin parle à son ami Nébride de la vie heureuse et de ce qui fait le vrai bonheur.
520
— IV. Augustin à Nébride. — Saint Augustin parle à Nébride de ses progrès de solitaire dans la contemplation des choses éternelles.
522
— V. Nébride à Augustin. — Nébride déplore que les affaires des gens de Thagaste détournent trop souvent saint Augustin dans la contemplation.
523
— VI. Nébride à Augustin. — Nébride admire les lettres de saint Augustin. Il pose des questions sur la mémoire et l’imagination.
523
— VII. Augustin à Nébride. — Saint Augustin examine les deux questions proposées par Nébride.
524
— VIII. Nébride à Augustin. — Nébride demande à saint Augustin comment les puissances célestes peuvent nous envoyer, pendant le sommeil, des visions et des songes.
526
— IX. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à Nébride sur les questions précédentes.
527
— X. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à son ami qui l’accusait affectueusement de ne pas songer aux moyens de vivre ensemble.
528
— XI. Augustin à Nébride. — Saint Augustin répond à son ami qui lui avait demandé pourquoi le Fils de Dieu s’est seul fait homme, tandis que les trois personnes divines sont inséparables.
529
— XII. Augustin à Nébride. — Saint Augustin revient à la question précédemment traitée.
530
— XIII. Augustin à Nébride. — Sur la question de savoir si quelque chose de corporel n’appartiendrait pas à l’âme.
531
— XIV. Augustin à Nébride. — Réponse à d’autres questions de Nébride. Belles pensées de saint Augustin sur le Christ et la création.
532
— XV. Augustin à Romanien. — Saint Augustin annonce à son ami Romanien son livre sur la Vraie Religion et l’exhorte à élever son âme au-dessus des biens temporels.
533
— XVI. Maxime de Madaure à Augustin. — Maxime de Madaure, qui était païen, défend le polythéisme, se moque de certains noms puniques, devenus des noms de saints, et adresse des reproches aux chrétiens et à leurs mystères.
534
— XVII. Augustin à Maxime de Madaure. — Saint Augustin mêle à de fines raillevies d’utiles leçons.
535
— XVII. Augustin à Cétestin. — Trois genres de natures.
536
— XIX. Augustin à Gaïus. — Saint Augustin envoie ses ouvrages à Gaïus qui n’était pas encore chrétien : il exprime l’espoir de le voir enfant de l’Église.
537
— XX. Augustin à Antonin. — Vœux exprimés pour qu’une même foi unisse une même famille. — Belles idées sur l’estime affectueuse qu’on témoigne à ceux qu’on croit gens de bien.
537
— XXI. Le prêtre Augustin à l’évêque Valère. — Saint Augustin ordonné prêtre malgré ses résistances, supplie le vieux Valère, évêque d’Hippone, de lui accorder un certain temps pour se préparer au saint ministère.
538
— XXII. Augustin, prêtre à Aurèle, évêque de Carthage. — Saint Augustin déplore des usages grossiers et coupables, sous apparence de religion, dans les cimetières et sur les tombeaux des martyrs.
540
— XXIII. Augustin, prêtre catholique, à Maximin, évêque donatiste. — Saint Augustin demande des explications à l’évêque Maximin qu’on accusait d’avoir rebaptisé un diacre catholique.
543
— XXIV. Paulin et Thérasie à l’évêque Alype. — Saint Paulin de Nôle parle de sa vie et demande à saint Alype lui-même l’histoire de sa vie et comment il est arrivé au christianisme.
546
— XIV. Paulin et Thérasie à Augustin. — Saint Paulin parle avec admiration d’un ouvrage de saint Augustin que saint Alype lui avait
envoyé.
547
— XXVI. Augustin à Licentius. — Saint Augustin exhorte au mépris du monde son jeune ami Licentius.
549
— XXVII. Augustin à Paulin. — Saint Augustin loue saint Paulin ; il lui parle de quelques uns ses meilleurs amis et parle de lui-même avec humilité.
551
— XXVIII. Augustin à Saint Jérôme. — Sur une nouvelle version des saintes Ecritures après les Septante. Le passage de l’Epitre aux Galates ; le mensonge officieux.
554
— XXIX. Augustin à Alype, évêque de Thagaste. Cette lettre renferme l’intéressant récit des efforts heureux de saint Augustin pour faire cesser les festins désordonnés qui se mêlaient à la célébration de la fête des saints.
556
— XXX. Paulin et Thérasie à Augustin. — Témoignage de respect et de pieuse affection pour saint Augustin.
560
TABLE DES MATIÈRES
CONTENUES DANS LE DEUXIÈME VOLUME.
LES LETTRES.
TRADUCTION DE M. POUJOULAT.
Lettre XXXI. Augustin à Paulin et à Thérasie. — Saint Augustin s’abandonne à tous les mouvements de son cœur pour saint Paulin et le félicite d’avoir tout quitté pour Dieu.
1
— XXXII. Paulin et Thérasie à Romanien. — Saint Paulin félicite l’Église d’Hippone d’avoir mérité saint Augustin pour coadjuteur du vieil évêque. Il exhorte Licentius, en vers et en prose, à mépriser l’éclat du monde et à se donner au Christ.
4
— XXXIII. Augustin à Proculéien, évêque donatiste. — Saint Augustin invite cet évêque donatiste à une conférence pour mettre fin au schisme.
6
— XXXIV. Augustin à Eusèbe. — Saint Augustin raconte les violences d’un jeune homme qui, après avoir menacé de tuer sa mère, a été rebaptisé par les donatistes ; il veut savoir si l’évêque Proculéien a donné la main à l’admission de ce forcené, et dit ensuite qu’il est toujours prêt à conférer avec Proculéien.
8
— XXXV. Augustin à Eusèbe. — Efforts de saint Augustin pour amener Proculéien à une discussion, à des explications, à la répression des clercs donatistes. Saint Augustin rapporte des faits scandaleux et violents.
9
— XXXVI. Augustin à Casulan. — C’est une réponse à une dissertation partie de Rome, en faveur du jeûne du samedi. Cette lettre nous apprend comment on comprenait et on pratiquait le jeûne dans l’antiquité chrétienne. Elle abonde en détails instructifs.
11
— XXXVII. Augustin à Simplicien. — Saint Augustin se félicite que Simplicien, dont le souvenir se mêle aux premiers temps de sa conversion, ait lu et approuvé ses ouvrages ; il lui soumet tous ses écrits et particulièrement ceux qu’il a composés pour la solution des questions que Simplicien lui avait proposées.
22
— XXXVIII. Augustin à Profuturus. — Saint Augustin, dans cette petite lettre, parle de ses souffrances avec une patiente douceur ; il dit quelques mots de la mort de Magalius, évêque de Calame, et donne d’utiles conseils pour empêcher la haine d’entrer dans notre cœur.
23
— XXXIX. Jérôme à Augustin. — Simple lettre de recommandation de saint Jérôme.
23
— XL. Augustin à Jérôme. — Sur le livre de saint Jérôme intitulé : Des Écrivains ecclésiastiques. — Saint Augustin revient à la question du mensonge officieux ; il demande à saint Jérôme de mettre en lumière les erreurs d’Origène et de tous les hérétiques.
24
— XLI. Alype et Augustin à Aurèle. — Hommages religieux rendus à l’évêque de Carthage.
26
— XLII. Augustin à Paulin et à Thérasie. — Saint Augustin souhaite d’obtenir quelques écrits de saint Paulin.
27
— XLIII. Augustin à Glorius, Eleusius, etc. — Saint Augustin s’adresse à des donatistes qui habitaient Tubarsi. Il expose le schisme de Donat et l’accable sous le poids des faits et sous le poids des saintes Ecritures.
27
— XLIV. Augustin à Eleusius, Glorius, etc. — Saint Augustin raconte sa conférence avec Fortunius, évèque de Tubarsi ; on y voit toute la puissance de discussion de l’évêque d’Hippone.
37
— XLV. Alype et Augustin à Paulin et à Thérasie. — Saint Augustin et saint Alype prient saint Paulin de leur écrire après un silence de deux ans, et de leur envoyer son ouvrage contre les païens.
42
— XLVI. Publicola à Augustin. — Publicola adresse à saint Augustin diverses questions qui sont autant de traits de mœurs de cette époque.
43
— XLVII. Augustin à Publicola. — Saint Augustin répond aux questions.
44
— XLVIII. Augustin à Eudoxe, abbé du monastère de l’île de Capraïa. — Saint Augustin se recommande aux prières des moines de Capraïa ; il dit dans quel esprit il faut aimer le repos et pratiquer les bonnes œuvres, et comment il faut se tenir toujours prêt pour les besoins de l’Eglise.
47
— XLIX. Augustin à Honoré, évêque domitiste. Saint Augustin marque avec précision les points sur lesquels il faut qu’on s’explique dans la question du donatisme.
48
— L. Augustin aux chefs et aux anciens de la colonie de Suffec. — Les soixante martyrs de Suffec.
49
— LI. Augustin à Crispinus, évêque donatiste. — Saint Augustin voudrait l’amener à une discussion par écrit.
49
— LII. Augustin à Séverin. — Saint Augustin montre à Séverin, qui était son parent et qui était donatiste, l’erreur du parti dans lequel il est engagé.
52
— LIII. Fortunat, Alype et Augustin à Générosus, catholique de Constantine. — Générosus avait envoyé à saint Augustin une lettre d’un prêtre donatiste, dans laquelle celui-ci se vantait d’avoir reçu les communications d’un ange ; l’évêque d’Hippone et deux de ses collègues s’adressent à Générosus pour rétablir la vérité religieuse.
53
— LIV. Réponse aux questions de Janvier, livre premier. — Pour expliquer la diversité des pratiques en usage chez les différents peuples chrétiens, saint Augustin enseigne que ce qui est établi par l’Ecriture, par la tradition apostolique ou par les conciles généraux, doit être observé partout, et que, pour le reste, il convient d’observer la coutume de l’Eglise où l’on est actuellement.
55
— LV. Réponse aux questions de Janvier, livre second. — Saint Augustin fait d’abord connaître les raisons profondes et mystérieuses pour lesquelles on ne célèbre point la résurrection, la mort et la sépulture du Sauveur les jours mêmes où ces grands événements se sont accomplis, n. 1-27. — Il explique ensuite pourquoi la descente du Saint-Esprit, le cinquantième jour après Pâques, n. 28-32 ; et ce qu’il faut penser de quelques usages particuliers, n. 33-40.
59
— LVI. Augustin à Céler. — Invitation à l’étude des saintes lettres et au retour à la vraie foi.
72
— LVII. Au même sur la même question.
73
— LVIII. Augustin à Pammachius. — Saint Augustin félicite le sénateur Pammachius des exemples de foi et de courage qu’il a donnés au milieu de ses gens d’Hippone.
73
— LIX. Augustin à Victorin. — Sur la convocation d’un concile.
74
— LX. Augustin à Aurèle. — Sur une affaire de discipline.
75
— LXI. Augustin à Théodore. — Conduite de l’Eglise à l’égard des clercs donatistes revenus à l’unité.
75
— LXII. Alype, Augustin et Samsucius à Sévère. — Sur une question de serment.
76
— LXIII. Augustin à Sévère. — Saint Augustin se plaint auprès de son ami et collègue Sévère, qu’il ait ordonné son diacre, pour retenir dans son diocèse un ecclésiastique qui avait rempli dans le diocèse d’Hippone les fonctions de lecteur.
77
— LXIV. Augustin à Quintien. — Saint Augustin répond à un prêtre accusé, et qui se plaignait de n’être pas encore jugé ; il l’exhorte à ne pas lire aux fidèles, dans l’église, des écritures non canoniques, afin de ne pas donner des armes aux hérétiques et surtout aux manichéens.
78
— LXV. Augustin à Xantippe. — On voit ici quels soins mettait saint Augustin à éviter les mauvais pasteurs.
79
— LXVI. Augustin à Crisipinus, évêque donatiste — Indignation pieuse de saint Augustin contre cet évêque donatiste qui avait osé rebaptiser de pauvres catholiques d’un village.
80
— LXVII. Augustin à Jérôme. — Saint Augustin assure à saint Jérôme qu’il n’est pas vrai qu’il ait écrit un livre contre lui, comme on l’en a accusé. — Vif et affectueux désir d’obtenir quelque chose du solitaire de Bethléem.
81
— LXVIII. Jérôme à Augustin. — Saint Jérôme répond à la précédente lettre de saint Augustin, et parle de celle où l’évêque d’Hippone l’invitait à chanter la palinodie au sujet d’un passage de l’épître aux Galates ; malgré de pieux efforts pour se contenir, on reconnaît aisément un homme blessé dans le langage de saint Jérôme.
82
— LXIX. Alype et Augustin à Castorius. — Deux frères avaient passé du parti de Donat à l’unité catholique ; l’un d’eux était évêque, et, pour l’amour de la paix, avait déposé le fardeau de l’épiscopat. — Saint Augustin s’adresse au frère de celui-ci pour l’engager à entrer dans l’Église et à se charger lui-même du fardeau épiscopal.
83
— LXX. Alype et Augustin à Nocellion. — On oppose aux donatistes leur propre conduite.
84
— LXXI. Augustin à Jérôme — Sur les traductions de saint Jérôme. — Tumulte dans une église catholique à l’occasion d’un passage de l’Écriture dont la traduction différait du sens accoutumé.
84
— LXXII. Jérôme à Augustin. — Des paroles dites avec trop de confiance, des malentendus et, par-dessus tout, des commentaires peu charitables avaient mis au cœur de saint Jérôme une certaine amertume dont cette lettre porte des traces.
86
— LXXIII. Augustin à Jérôme. — Saint Augustin se plaint doucement d’une certaine âpreté de langage, reconnaît son tort involontaire et en demande pardon ; il cherche la vérité et regrette qu’une longue distance le sépare de saint Jérôme.
87
— LXXIV. Augustin à Présidius. — C’est un simple billet pour prier cet évêque de faire parvenir à saint Jérôme la lettre précédente.
91
— LXXV. Jérôme à Augustin. — Saint Jérôme défend son opinion sur le passage de l’Épître aux Galates.
91
— LXXVI. Aux Donatistes. — Saint Augustin fait parler l’Église catholique pour mieux toucher les gens du parti de Donat.
98
— LXXVII. Augustin à Félix et à Hilarion. — On remet au jugement de Dieu une affaire entre un moine et un prêtre. — Extrême réserve de saint Augustin en matière d’accusation.
100
— LXXVIII. Augustin au Clergé et à tout le peuple d’Hippone. — Les scandales dans l’Église.
101
— LXXIX. Saint-Augustin châtie l’ignorante et orgueilleuse perversité d’un prêtre manichéen.
105
— LXXX. Augustin à Paulin et à Thératie. — Comment on peut savoir si on accomplit la volonté de Dieu.
103
— LXXXI. Jérôme à Augustin. — Témoignage pacifique et affectueux de saint Jérôme.
106
— LXXXII. Augustin à Jérôme. — Saint Augustin répond à la lettre où saint Jérôme défend son opinion sur le fameux passage de l’Épître aux Galates, et va au fond du débat avec une grande supériorité ; il se déclare converti au sentiment du solitaire en ce qui touche les traductions sur l’hébreu.
107
— LXXXIII. Augustin à Alype. — Règlement de questions d’intérêt dans la vie religieuse.
118
— LXXXIV. Augustin à Novat. — Les devoirs de l’évêque et les tendresses de l’ami se retracent dans cette lettre.
120
— LXXXV. Augustin à Paul. — Remontrances de saint Augustin à un évêque.
121
— LXXXVI. Augustin à Cécilien. — Saint Augustin appelle l’attention de Cécilien, gouverneur de Numidie, sur les violences des donatistes dans le pays d’Hippone.
122
— LXXXVII. Augustin à Emérite, évêque donatiste. — Saint Augustin va droit à l’origine du schisme et enferme son adversaire dans le cercle de la vérité.
122
— LXXXVIII. Les Clercs catholiques du pays d’Hippone à Janvier. — Cette lettre, où saint Augustin fait parler son clergé, est une des plus importantes, dans la question des donatistes, par les pièces et les détails curieux qu’elle renferme, par l'expression de la véritable attitude du catholicisme en face du schismatisme africain, et par l’éloquente animation du langage.
126
— LXXXIX. Augustin à Feslus. — Festus était un personnage de l’empire qui possédait dans le pays d’Hippone des domaines considérables ; saint Augustin l’exhorte à des efforts pour ramener à la vérité ses fermiers et ses paysans donatistes ; il ramasse les faits et les raisonnements les plus capables d’éclairer et de frapper.
131
— XC. Nectarius à Augustin. — Un vieillard païen de Calame s’adresse à saint Augustin pour qu’il intervienne miséricordieusement en faveur des gens de Calame, coupables d’avoir violé les lois impériales et commis des violences contre les chrétiens.
133
— XCI. Augustin à Nectarius. — Cette réponse est un curieux monument des relations entre les chrétiens et les païens des premiers âges de l’Église.
134
— XCII. Augustin à Italica. — Saint Augustin console la veuve Italica et lui répond sur la manière dont les élus verront Dieu dans la vie future.
137
Lettre XCIII.
Augustin à Vincent. — Cette lettre est célèbre dans l’histoire des controverses religieuses ; conduite à l’égard des hérétiques.
139
—XCIV.
Paulin et Thérasie à Augustin. — Belle et intéressante lettre de saint Paulin. — Le renoncement chrétien. — Les occupations des élus dans le ciel. — Admiration pour l’évêque d’Hippone.
159
—XCV.
Augustin à Paulin et à Thérasie. — Saint Augustin touche avec profondeur au gouvernement des âmes, à l’utilité des peines infligées aux coupables, et laisse voir à cet égard les anxiétés de sa conscience de pasteur. — La vie future et les corps après la résurrection.
161
—XCVI.
Augustin à Olympe. — Saint Augustin recommande une affaire d’un de ses collègues dans l’épiscopal.
165
—XCVII.
Augustin à Olympe. — Saint Augustin demande à ce personnage d’obtenir un acte public qui fasse connaître à toute l’Afrique que les lois pour briser les idoles et pour ramener les hérétiques, ont été établies de la volonté expresse des empereurs. — Violences des donatistes.
168
—XCVIII.
Augustin à Boniface. — Réponse à des questions sur le baptême des enfants.
167
—XCIX.
Augustin à Italica. — Alaric et les malheurs de Rome.
171
—C.
Augustin au proconsul Donat. — Sentiments de modération et de miséricorde à l’égard des donatistes.
172
—CI.
Augustin à Mémorius. — Les études libérales, les erreurs des anciens, les livres de saint Augustin sur la musique.
173
—CII.
Augustin à Deogratias. — Cette lettre est une éloquente et forte réponse à six questions ou objections proposées par les païens du temps de saint Augustin.
174
—CIII.
Nectarius à Augustin. — Il s’agit encore de l’émeute païenne qui avait éclaté à Calame.
186
—CIV.
Augustin à Nectarius. — Grande supériorité morale de saint Augustin dans sa réponse au vieux polythéiste.
187
—CV.
Augustin aux Donatistes. — Saint Augustin résume les faits, pose nettement les questions, démontre invinciblement les torts religieux du donatisme.
193
—CVI.
Augustin à Macrobe. — Saint Augustin veut empêcher cet évêque donatiste de rebaptiser un sous-diacre catholique.
200
—CVII.
Maxime et Théodore à Augustin. Même affaire.
200
—CVIII.
Augustin à Macrobe. — Saint Augustin profite de quelques mots de Macrobe pour entrer avec lui dans le fond de la question du schisme et lui faire toucher du doigt la vérité catholique.
200
—CIX.
Sévère à Augustin. — Sévère, évêque de Milève, cet ami si tendre de saint Augustin, lui écrit d’un lieu solitaire où il avait pu goûter tout à son aise le bonheur de lire ses ouvrages et lui exprimer sa vive affection en des termes touchants.
210
—CX.
Augustin à Sévère. — Saint Augustin parle de l’amitié et des louanges entre amis avec beaucoup de cœur et de finesse ; il supplie ses amis d’épargner son temps et de faire, sous ce rapport, bonne garde autour de sa vie.
211
—CXI.
Augustin à Victorien. — Les dévastations des Barbares et les malheurs de l’empire.
212
—CXII.
Augustin à Donat. — Saint Augustin l’invite aux pensées et aux perfections chrétiennes.
216
—CXIII.
Augustin à Cresconius. — Il s’agit ici de l’ancien droit d’asile dans l’Église et de la législation relative aux prisonniers pour dettes.
217
—CXIV.
Augustin à Florentin. — Cette lettre témoigne encore de la sollicitude de l’évêque d’Hippone pour un malheureux à l’égard de qui on méconnaissait la loi.
218
—CXV.
Augustin à Fortunat. — Même affaire.
218
—CXVI.
Augustin à Générosus. — Même affaire.
219
—CXVII.
Dioscore à Augustin. — Un jeune Grec, appelé Dioscore, s’adresse à l’évêque d’Hippone pour l’explication de quelques passages difficiles de Cicéron.
219
—CXVIII.
Réponse à Dioscore. — Cette lettre est une des plus belles et des plus attachantes qu’ait écrites saint Augustin.
219
—CXIX.
Consentius à Augustin. — Consentius soumet sa foi à l’évêque d’Hippone et lui demande de l’instruire sur le mystère du Dieu en trois personnes.
232
—CXX. Augustin à Consentius. — Cette réponse est d’une remarquable portée et d’un grand intérêt.
234
—CXXI.
Paulin à Augustin. — Saint Paulin soumet à saint Augustin des difficultés tirées des psaumes, des épîtres de saint Paul et de l’Évangile. — Beau commentaire des dernières paroles du Sauveur expirant.
241
—CXXII.
Augustin aux ecclésiastiques et à tout le peuple d’Hippone. — Saint Augustin, dans cette lettre écrite de Carthage, invite les fidèles d’Hippone à la pieuse réparation d’un oubli : ils avaient, en son absence, négligé de vêtir les pauvres.
246
—CXXIII.
Jérôme à Augustin. — Petite lettre de saint Jérôme à saint Augustin, écrite sous des voiles et des figures.
247
—CXXIV.
Augustin à Albine, à Pinien et à Mélanie. — Saint Augustin explique à ces illustres chrétiens comment il a été obligé de passer l’hiver sans aller les visiter.
249
—CXXV.
Augustin à Alype. — Saint Augustin écrit à son cher collègue de Thagaste au sujet de ce qui se passa dans l’Église d’Hippone, quand le peuple voulut avoir Pinien pour prêtre et sollicita son ordination.
250
—CXXVI.
Augustin à Albine, belle-mère de Pinien. — Saint Augustin lui écrit pour rétablir les faits dans leur vérité et pour venger son peuple d’injustes soupçons ; et comme les plaintes d’Albine ne l’avaient pas épargné, il parle de lui-même avec une admirable humilité.
252
—CXXVII.
Augustin à Armentarius et à Pauline. — Saint Augustin s’adresse à deux époux qui avaient fait vœu de continence, et les fortifie dans leur pieuse résolution. — Pensées ingénieuses et profondes sur notre passage ici-bas.
257
—CXXVIII.
Aurèle, Sylvain et tous les évêques catholiques à Marcellin. — Cette lettre est relative à la célèbre conférence de Carthage, du 1er juin 411 ; elle est comme l’acceptation des conditions et des règlements de l’assemblée.
260
—CXXIX.
Aurèle, Sylvain et tous les corps catholiques à Marcellin. — Cette lettre, rédigée par saint Augustin, a aussi rapport à la conférence de Carthage, et va au fond de la question.
262
—CXXX.
Augustin à Proba. — Cette belle lettre, adressée à une veuve romaine d’un sang illustre, forme comme un livre, sur la prière.
264
—CXXXI.
Augustin à Proba. — Courte réponse à cette illustre romaine.
275
—CXXII.
Augustin à Volusien. — Saint Augustin engage Volusien, encore païen, à lire l’Écriture sainte et à lui faire part de ses doutes et de ses difficultés.
275
—CXXXIII.
Augustin à Marcellin. — Cette lettre est un mémorable témoignage de la douceur miséricordieuse de saint Augustin à l’égard des hérétiques.
276
—CXXXIV.
Augustin à Apringius. — Même esprit de douceur envers les coupables.
277
—CXXXV.
Volusien à Augustin. — Volusien rend compte d’une très-curieuse conversation entre païens.
279
—CXXXVI.
Marcellin à Augustin. — Marcellin supplie l’évêque d’Hippone de répondre aux difficultés proposées par Volusien.
280
—CXXXVII.
Augustin à Volusien. — Admirable lettre de l’évêque d’Hippone, qu’on lira avec profit dans tous les temps.
280
—CXXXVIII.
Augustin à Marcellin. — C’est la réponse aux difficultés que Marcellin, de son côté, avait proposées à l’évêque d’Hippone ; elle complète la lettre à Volusien.
288
—CXXXIX.
Augustin à Marcellin. — Efforts de saint Augustin pour arracher au glaive de la loi des donatistes coupables.
295
—CXL.
Augustin à Honoré. — C’est une grande réponse à cinq questions adressées à l’évêque d’Hippone : 1o sur le sens de ces paroles : « Mon Dieu, pourquoi m’avez-vous abandonné ? » 2o sur la largeur, la longueur, la hauteur et la profondeur dont parle l’apôtre saint Paul dans son Épître aux Éphésiens ; 3o sur les vierges folles et les vierges sages ; sur les ténèbres extérieures ; 5o sur l’incarnation du Verbe. Saint Augustin ajoute une sixième question sur la grâce, pour mieux enchaîner les vérités chrétiennes. Cette lettre forme un beau livre qu’il faut étudier et méditer.
296
—CXLI.
Sylvain, primat, et d’autres évêques du concile de Zerta aux donatistes. — Cette lettre établit la vérité sur la Conférence de Carthage, en 411, et rappelle l’ensemble des actes méconnus ou défigurés dans l’appréciation des donatistes vaincus.
326
—CXLII.
Augustin à Saturnin et Euphrate. — Saint Augustin adresse de douces paroles à des ecclésiastiques revenus du parti de Donat à l’unité catholique.
330
—CXLIII.
Augustin à Marcellin. — Exposition des diverses opinions sur l’origine de l’âme.
331
—CXLIV.
Augustin à ses frères de Constantine. — La population de Constantine avait été ramenée à la foi catholique par les soins de saint Augustin ; les principaux de la ville ayant écrit à l’évêque d’Hippone pour lui annoncer cette heureuse conversion et l’engager à venir visiter les nouveaux catholiques, saint Augustin leur répond.
335
—CXLV.
Augustin à Anastase. — Le désir du repos. — Ne pas fuir le mal par la crainte de la peine, mais par l’amour du bien. — L’erreur naissante des pélagiens.
337
—CXLVI.
Augustin à Pélage. — C’est une petite lettre de simple politesse dont Pélage avait cherché à tirer parti au Concile de Diospolis.
339
—CXLVII.
Augustin à Pauline. — Grand et profond traité sur la vision de Dieu.
340
—CXLVIII.
Augustin à Fortunatien. — L’évêque d’Hippone traite de nouveau de la nature de Dieu, de son invisibilité, de l’état futur des corps après la résurrection, et rappelle que la vue de Dieu est réservée à ceux qui ont le cœur pur.
359
—CXLIX.
Augustin à Paulin de Nole. — Intéressante et belle explication de plusieurs passages de l’Ecriture sainte.
365
—CL.
Augustin à Proba et à Juliuna. — C’est une réponse à ces deux illustres Romaines, qui avaient annoncé à l’évêque d’Hippone la sainte résolution de la jeune Démétrias.
376
—CLI.
Augustin à Cécilien. — Cette lettre, d’un intérêt historique, est relative au meurtre de Marcellin et de son frère.
377
—CLII.
Macédonius à Augustin. — Macédonius, vicaire d’Afrique, demande à saint Augustin de vouloir bien lui donner les raisons chrétiennes de l’intercession des évêques auprès des hommes revêtus du pouvoir.
382
—CLIII.
Augustin à Macédonius. — Saint Augustin expose admirablement toute la pensée de notre religion sur la punition des crimes en ce monde.
382
—CLIV.
Macédonius à Augustin. — Témoignage d’admiration pour l’évêque d’Hippone.
398
—CLV.
Augustin à Macédonius. — Toutes les beautés de la philosophie chrétienne se retrouvent dans ces pages sur la vie heureuse et les devoirs de ceux qui sont à la tête des peuples.
392
—CLVI.
Hilaire à Augustin. — Questions adressées à l’évêque d’Hippone.
398
—CLVII.
Augustin à Hilaire. — Cette réponse, qui a l’importance d’un livre, établit la doctrine de la grâce contre le pélagianisme, et la vérité de l’enseignement chrétien relativement aux riches.
398
—CLVIII.
Evode à Augustin. — Evode interroge l’évêque d’Hippone sur les apparitions des morts dans les songes et sur l’état de l’âme après qu’elle est séparée du corps.
412
—CLIX.
Augustin à Evode. — Impossibilité d’expliquer les visions et les songes prophétiques. — Vision curieuse et instructive du célèbre médecin Gennadius.
415
—CLX.
Evode à Augustin. — Questions sur la raison et sur Dieu.
417
—CLXI.
Evode à Augustin. — Sur l’Incarnation de Jésus-Christ et sur la question de savoir si on peut voir Dieu, même avec les yeux d’un corps glorifié.
418
—CLXII.
Augustin à Evode. — Réponse aux questions d’Evode.
419
—CLXIII.
Evode à Augustin. — Doutes proposés.
422
—CLXIV.
Augustin à Evode. — Saint Augustin répond. — La descente de Jésus-Christ aux enfers.
423
—CLXV.
Jérôme à Marcellin. — Sur la question de l’origine de l’âme.
430
—CLXVI.
Augustin à Jérôme. — C’est tout un livre sur l’origine de l’âme de l’homme.
430
—CLXVII
Augistin à Jérôme. — Sur l’explication de ce passage de l’Epitre de saint Jacques : « Quiconque ayant gardé la loi la viole en un seul point, est coupable comme s’il l’avait violée tout entière. »
440
—CLXVII.
Timase et Jacques à Augustin. — Lettre de remerciement au sujet du livre de la Nature et de la Grâce.
446
—CLXIX.
Augustin à Evode. — Saint Augustin donne à Evode le vrai sens d’un passage de saint Paul, et répond à ses questions sur la Trinité.
447
—CLXX.
Alype et Augustin à Maxime, médecin de Tenès. — Saint Augustin et son ami invitent Maxime, revenu de l’arianisme, à faire rentrer toute sa maison dans la foi catholique.
451
—CLXXI.
Alype et Augustin à Pérégrin. — Simple billet pour expliquer la forme d’une lettre.
454
—CLXXI bis.
— Fragment d’une lettre de saint Augustin à Maxime. — Les degrés de la vie chrétienne.
454
—CLXXII.
Jérôme à Augustin. — Saint Jérôme loue les deux lettres de saint Augustin sur l’origine de l’âme et sur le passage de l’Epitre de saint Jacques.
455
—CLXXIII.
Augustin au prêtre Donat. — Saint Augustin établit brièvement le crime religieux de la séparation, et nous donne une idée des emportements frénétiques des gens du parti donatiste.
456
—CLXXIV.
Augustin à Aurèle. — L’évêque d’Hippone envoie à l’évêque de Carthage une copie de son ouvrage sur la Trinité.
459
—CLXXV.
Aurèle et ses collègues du concile de Carthage au pape Innocent Ier. — Condamnation des doctrines de Pélage et de Célestius.
459
—CLXXVI.
Sylvain et ses collègues du Concile de Milève au pape Innocent. — Sur les erreurs des pélagiens.
462
—CLXXVII.
Aurèle, Alype, Augustin, etc., au pape Innocent. — Le pélagianisme.
463
—CLXXVIII.
Augustin à Hilaire. — Avertissement sur les erreurs du pélagianisme.
468
—CLXXIX.
Augustin à Jean, évêque de Jérusalem. — L’évêque d’Hippone s’adresse à Jean pour l’avertir et l’instruire au sujet de Pélage.
469
—CLXXX.
Augustin à Océanus. — Cette lettre nous apprend que saint Jérôme s’était rangé au sentiment de saint Augustin sur la célèbre question du mensonge officieux.
472
—CLXXXI.
Le pape Innocent aux évêques du concile de Cartharge. — Sur le pélagianisme.
473
—CLXXXII.
Innocent aux Pères du concile de Milève. — Même question.
476
—CLXXXIII.
Innocent à Aurèle, Alype, Augustin, etc. — Même question.
477
—CLXXXIV.
Innocent à Aurèle et à Augustin. — Simple billet du pape Innocent.
478
—CLXXXIV. bis.
Augustin à Pierre et Abraham. — Sur le péché originel et l’état des enfants morts sans le baptême.
478
—CLXXXV.
Augustin à Boniface. — L’hérésie des donatistes ; histoire de leurs erreurs ; lois impériales portées contre eux. Cette lettre est célèbre et d’un grand intérêt religieux et historique.
481
—CLXXXVI.
Alype et Augustin à Paulin de Nôle — Saint Augustin écrit à saint Paulin pour le prémunir contre les doctrines de Pélage, pour l’instruire des actes de l’autorité ecclésiastique et pour préciser l’enseignement de l’Eglise catholique sur la grâce.
497
—CLXXXVII.
Augustin à Dardanus. — C’est une réponse à diverses questions de Dardanus, préfet des Gaules, sur les paroles du Christ mourant au bon larron, sur le ciel, sur Dieu, sur le tressaillement de saint Jean dans le sein d’Ehsabeth. Saint Augustin, dans la Revue de ses ouvrages, appelle cette lettre un livre Sur la présence de Dieu.
509
—CLXXXVIII.
Alype et Augustin à Julienne. — Saint Augustin apprenant que Pélage a adressé une lettre à la jeune vierge Démétrias, s’empresse d’avertir sa mère Julienne ; il fait toucher du doigt l’erreur et met en garde la mère et la fille contre les opinions et les pièges de Pélage.
521
—CLXXXIX.
Augustin à Boniface. — Eloquentes et belles exhortations dont peuvent profiter les gens de guerre.
525
—CXC.
Augustin à Optat. — Il s’agit de l’origine de l’âme. Saint Augustin s’attache avant tout à sauvegarder la doctrine du péché originel.
528
—CXCI.
Augustin à Sixte. — Saint Augustin félicite le prêtre Sixte, plus tard Sixte III, d’avoir triomphé des ruses des pélagiens.
535
—CXCII.
Augustin à Célestin. — Le caractère et les devoirs de la charité.
536
—CXCIII.
Augustin à Mercator. — Réponse à des objections des pélagiens.
536
—CXCIV.
Augustin à Sixte. — La doctrine catholique contre le pélagianisme. Cette lettre est d’une importance capitale.
540
—CXCV.
Jérôme à Augustin. — Hommage de saint Jérôme à saint Augustin.
553
—CXCVI.
Augustin à Asellicus. — Saint Augustin distingue dans le judaïsme ce qui est aboli et ce qui subsiste toujours ; il développe la doctrine de saint Paul sur la différence entre les juifs selon la chair et les juifs selon l’esprit ; il montre que, depuis le Nouveau Testament, le chrétien seul est le véritable israélite.
553
—CXCVII.
Augustin à Hésychius. — Explication de certains endroits de l’Ecriture sur la fin du monde.
559
—CXCVIII.
Hésychius à Augustin. — Sentiments d’Hésychius sur la fin du monde ; les semaines de Daniel.
561
—CXCIX.
Augustin à Hésychius. — La fin des temps d’après les témoignages des saintes Ecritures.
563