Page:Stendhal - Rome, Naples et Florence, I, 1927, éd. Martineau.djvu/314

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Bologne. — La première visite

Bologne. — Les regards

Bologne. — Être aimable

Bologne. — Le dolce far niente

Bologne. — Les façons

Bologne. — La méfiance

Bologne. — Danger sous Louis XVI

Bologne. — Précautions

Bologne. — Anecdotes

Bologne. — Le valet de cœur

Bologne. — Anecdote française

Bologne. — Misanthropie

Bologne. — L’homme d’esprit de la famille

Bologne. — Les sots

Bologne. — Le Rocolo

Bologne. — Vers de Properce

Bologne. — État précaire

Bologne. — L’honneur sous le gouvernement vénitien

Bologne. — Le gouverneur vénitien

Bologne. — Bergame

Bologne. — La tasse de café

Bologne. — Histoire d’Italie

Bologne. — Vengeance de l’orgueil

Bologne. — Bains de la Poretta

Bologne. — Un emprunt

Bologne. — Les brou-brou

Bologne. — On achète au 12 pour 100

Bologne. — Pas de fats

Bologne. — Prix des moindres préférences

Bologne. — Rareté du fat

Bologne. — Rareté de l’humeur revêche

Bologne. — Rareté des devoirs

Bologne. — Agrément du jeu sans affectation

Récupérée de « https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Page:Stendhal_-_Rome,_Naples_et_Florence,_I,_1927,_éd._Martineau.djvu/314&oldid=13320253 »