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TABLE ANALYTIQUE

avec un préambule contemporain de Çâkya, p. 65. — Traduction du Sûtra mythologique de Kanakavarṇa, p. 79. — Forme et objet de ces Sûtras, p. 87. — Spécimen des Mahâyâna sûtras, p. 88. — Analyse du Sukhavati vyûha, p. 88. — Analogie de ces Sûtras avec les Mahâvâipulyas, p. 90. — Comparaison des Sûtras Mahâyânas (grands véhicules) et Mahâvâipulyas (de grand développement) avec les Sûtras simples, p. 91. — Forme extérieure des grands Sûtras, ibid. — Ils sont composés d’une double rédaction, l’une en prose, l’autre en vers, ibid. — Ils sont beaucoup plus développés que les Sûtras proprement dits, p. 92. — Ils en diffèrent par la nature du langage propre aux parties versifiées, p. 92. — Ce langage n’est ni le sanscrit pur ni le pâli, mais un sanscrit altéré, p. 93. — Caractère du sanscrit dans lequel sont écrits les Sûtras et autres livres en général, p. 93. — Analogie de ce langage avec le pâli, p. 95. — De quelques personnages qui figurent dans le préambule des Sûtras développés, p. 96. — Des Bôdhisattvas, ibid. — De Mâitrêya, p. 97. — D’autres Bôdhisattvas dont les Sûtras développés font des Auditeurs de Çâkya, p. 98. — De Mandjuçrî, p. 99. — D’Avalôkitêçvara, p. 101. — Système des Bôdhisattvas surhumains et de la contemplation, p. 102. — Du suprême Âdibuddha, p. 103. — Tous ces personnages et ce système sont complètement étrangers aux Sûtras simples, p. 106. — Autres traits de différence entre les Sûtras simples et les Sûtras développés, p. 107. — Des Mantras et Dhâraṇîs, p. 108. — Que les Sûtras simples appartiennent à une autre époque que les Sûtras développés et Mahâyânas, p. 109. — Les Sûtras simples senties plus anciens, p. 110. — Raisons en faveur de ce sentiment, p. 110 : le titre même de développé, p. 110 ; la rédaction des livres qui portent ce titre, p. 110 ; les détails exclusivement mythologiques dont ils sont remplis, p. 111. — Les Sûtras simples, au contraire, représentent dans le plus grand détail l’état de la société où a paru Çâkya, 112. — Cette société est celle que nous font connaître les monuments de la littérature brâhmanique, p. 115. — Son organisation est antérieure à la venue de Çâkya, d’où l’on conclut que le Brâhmanisme est plus ancien que le Buddhisme, ibid. — Preuves de ces assertions, p. 116. — Des Dieux brâhmaniques, p. 116. — Adoptés par Çâkya, mais soumis à son pouvoir, p. 117. — Leur culte inférieur à la pratique de la morale, p. 118. — Extrait d’un Sûtra à ce sujet, ibid. — Indépendance du Buddha à l’égard des Dieux, p. 119. — Utilité des livres buddhiques pour l’histoire de la mythologie indienne, p. 120. — Absence du nom de Krichna dans ces livres, p. 121. — Les Sûtras contemporains d’une forme du Brâhmanisme antérieure à celle que décrivent les Purânas, p. 121. — De la société indienne d’après les Sûtras, p. 122. — Des castes, et d’abord des Brâhmanes, ibid. — Du mot Brahma tcharya propre aux Brâhmanes, et adopté par les Buddhistes, p. 124. — Des Kchattriyas, p. 127. — Sur les rois et leur pouvoir absolu, p. 129. — Détails empruntés à l’histoire et au supplice de Vâsavadattâ, p. 130. — Des préjugés de la caste royale, preuves extraites de la légende d’Açôka, p. 133. — Des castes inférieures, p. 134. — Mission que se donne Çâkya au milieu de la société indienne, p. 135. — Çâkya est un simple ascète, p. 136. — Il partage la plus grande partie des opinions brâhmaniques, p. 137. — Il ne diffère de ses adversaires que par la définition qu’il donne du salut, p. 138. — Preuves de ces assertions, p. 139. — Premiers débuts de Çâkya, ibid. — Égalité des Auditeurs de Çâkya et des ascètes brâhmaniques, p. 140. — Ils se livrent également à une vie de pénitence et de retraite, p. 141. — Sacrifices volontaires, p. 142. — Ressemblances et différences du Buddhisme et du Brâhmanisme en ce point particulier, p. 142. — Griefs des Brâhmanes contre les Buddhistes, p. 143. — Preuves puisées dans les Sûtras, p. 144. — Lutte des Brâhmanes contre Çâkya ; miracles et exemples empruntés aux Sûtras, ibid. — Jalousie des Brâhmanes contre Çâkya, preuves empruntées aux légendes, ibid. — Des moyens employés par Çâkya pour convertir le peuple, p. 173. — De la prédication et nouveauté de ce moyen, ibid. — Des miracles et de la foi, p. 173. — Autres moyens de conversion, p. 174. — Çâkya reçoit les ignorants, p. 175, les pauvres et les malheureux de toutes les conditions : preuves extraites des Sûtras et des légendes, ibid. — Il attire le peuple par la grandeur des récompenses qu’il promet, p. 177. — Preuves empruntées à une légende, p. 178. — Influence de la prédication de Çâkya sur le système des castes, p. 182. — On accuse Çâkya d’aller chercher trop bas ses disciples, p. 183. — Preuves détaillées extraites d’une légende, ibid. — Comment Çâkya s’affranchissait de la dis-