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TABLE DES MATIÈRES


des poursuites qu’il veut engager contre Picquart et à interroger Mercier sur les pièces secrètes, 266. — Discours de Négrier au banquet de Gennetines, 267. — En prévision de la discussion de Zurlinden, je signale à Brisson le général Darras ; Bourgeois et Vallé lui amènent le général Chanoine, 268. — Conseil du 17 septembre ; démissions de Zurlinden et de Tillaye ; ils sont remplacés par Chanoine et Godin, 269. — IX. Progrès du parti revisionniste, 270. — Les réunions publiques ; Pressensé, 272. — Esterhazy et Pressensé rayés de la Légion d’honneur, 273. — Polémiques furieuses des journaux ; légende de l’assassinat d’Henry, 274. — X. Zurlinden passe à Chanoine le dossier Picquart que Brisson aurait dû réclamer pour Sarrien, 275. — Il demande à être renommé gouverneur de Paris, 276. — Conversation de Chanoine avec Brisson et Sarrien, 277. — Chanoine, sans en avertir Brisson et contrairement à ce qui a été convenu, donne l’ordre formel d’ouvrir une enquête contre Picquart pour faux et usage de faux, 278. — Visite de Zurlinden à Brisson, 279. — Brisson apprend par Sarrien qu’un ordre d’informer et qu’un mandat d’amener ont été lancés contre Picquart, 280. — Conférence entre Brisson, Sarrien et Chanoine ; Brisson se résigne à laisser faire, 282. — XI. Joie des adversaires de la revision, 283. — Huitième chambre correctionnelle ; procès Picquart-Leblois ; aux débuts de l’audience, le substitut annonce que Picquart est réclamé par l’autorité militaire, 284. — Plaidoiries de Labori et de Fabre, 285. — Déclaration de Picquart ; L’affaire correctionnelle renvoyée au premier jour, 286. — Picquart est transféré au Cherche-Midi, 287. — XII. Violents articles de Clemenceau contre Brisson, 288. — Inquiétudes de Zurlinden, 289. — Brisson subordonne tout à la revision, 290. — XIII. La commission consultative du ministère de la Justice ; Crépon, Petit et Lepelletier, 291. — Sur la recevabilité de la demande de Lucie Dreyfus, la commission se divise par moitié, 292. — Brisson insiste avec force sur la nécessité politique et morale de saisir la Cour de cassation, 293. — Lettre désespérée de Dreyfus au gouverneur de la Guyane, 294. — Déroulède reconstitue la Ligue des Patriotes, 296. — Schwarzkoppen reconnaît l’authenticité du petit bleu ; publication, à Londres, de l’aveu d’Esterhazy qu’il a écrit le bordereau « par ordre », 297. — Conseil de cabinet du 26 septembre ; Brisson l’emporte à deux voix ; la revision transmise à la Cour de cassation, 298. — XIV. L’agitation continue ; Félix Faure reste hostile, 299. — Déroulède réunit les éléments d’une insurrection nationaliste et cherche à préparer un coup de force militaire, 300. — Complot royaliste parallèle au complot de Déroulède, 302. — Guérin chez le duc d’Orléans : le duc le prend à ses gages, 304. — Vaines tentatives des royalistes pour s’annexer Déroulède, 305. — Le prince Victor Bonaparte, 306.