Page:Duhem - Le Système du Monde, tome I.djvu/518

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
510
TABLE DES MATIÈRES DU TOME PREMIER.

CHAPITRE III
LES SPHÈRES HOMOCENTRIQUES
Pages.
I
Le problème astronomique au temps de Platon 
 102
II. 
Où en était la solution du problème astronomique dans les Dialogues de Platon 
 107
III. 
Les sphères homocentriques d’Eudoxe 
 111
IV. 
Les sphères homocentriques d’Eudoxe (suite). Théorie de la Lune 
 117
V. 
Les sphères homocentriques d’Eudoxe (suite). Théorie du Soleil 
 119
VI. 
Les sphères homocentriques d’Eudoxe (suite). Théorie des planètes 
 120
VII. 
La réforme de Calippe 
 123
VIII. 
Les sphères compensatrices d’Aristote 
 126
CHAPITRE IV
LA PHYSIQUE D’ARISTOTE
I. 
La Science selon Aristote 
 130
II. 
La Physique et ses rapports avec la Mathématique et la Métaphysique 
 134
III. 
L’acte et la puissance 
 150
IV. 
La matière, la forme et la privation 
 152
V. 
Le mouvement et les mouvements. La suprématie du mouvement local. La périodicité de l’Univers 
 159
VI. 
La substance céleste et ses mouvements 
 169
VII. 
Les deux infinis 
 177
VIII. 
Le temps 
 180
IX. 
L’espace et le vide 
 189
X. 
La Dynamique péripatéticienne et l’impossibilité du vide 
 192
XI. 
La théorie du lieu 
 197
  
A. Ce qu’Aristote, en ses Catégories, dit du lieu 
 197
  
B. Ce qu’Aristote, en sa Physique, dit du lieu 
 198
XII. 
Le grave et le léger 
 205
XIII. 
La figure de la terre et des mers 
 211
XIV. 
Le centre de la Terre et le centre dit Monde 
 215
XV. 
L’immobilité de la Terre 
 219
XVI. 
La pluralité des mondes 
 230
XVII. 
La pluralité des mondes selon Simplicius et selon Averroès 
 234
CHAPITRE V
LES THÉORIES DU TEMPS, DU LIEU ET DU VIDE APRÈS ARISTOTE
I. 
La Physique péripatéticienne après Aristote 
 242
II. 
La théorie du temps chez les Péripatéticiens 
 244
III. 
Les théories néo-platoniciennes du temps : Plotin, Porphyre, Apulée, Jamblique, Proclus 
 246
IV. 
La théorie du temps selon Damascius et Simplicius 
 263
V. 
La théorie du temps selon la Théologie d’Aristote 
 271