Livre:Montesquiou - Les Perles rouges, 1899.djvu

Titre	Les Perles rouges : 93 sonnets historiques
Auteur	Robert de Montesquiou
Maison d’édition	Bibliothèque-Charpentier
Lieu d’édition	Paris
Année d’édition	1899
Bibliothèque	Google
Fac-similés	djvu
Avancement	À valider

Pages

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TABLE

Pages.

I. —

Mes vers ont reflété votre Miroir, ô vasques

2

II. —

Verbe fait d’un silence où des luths ont gémi

4

III. —

Tant de soleils sont morts dans ces bassins augustes

6

IV. —

Portraitiste attitré du vieux Versailles, Lobre

8

V. —

La Nature reprend ses droits sur tes vestiges

10

VI. —

En pente douce, en dôme vert, monte l’allée

12

VII. —

L’if seul garde encore son funéraire cône

14

VIII. —

Quelquefois une horreur sacrée et sépulcrale

16

IX. —

Les parfums dans l’air mol s’exaltent : il a plu

18

X. —

Ce Bacchus me séduit parmi bien des statues

20

XI. —

Ces Marbres que sans bruit la vétusté dénude

22

XII. —

Tout est en or, tout en brocart, tout orfévri

24

XIII. —

Le grand enterrement de la Terre s’ébauche

26

XIV. —

La feuille morte pleut à flots, par cataracte

28

XV. —

Le Parc a pris, par place, un ton de rouge étrusque

30

XVI. —

De feuilles mortes le bassin s’ambre et s’étoupe

32

XVII. —

Les pleurs de Niobé, les larmes d’Éloa

34

XVIII. —

Sous les villosités violettes des tartres

36

XIX. —

Les feuilles mortes ont posé leur jaune bourre

38

XX. —

Sur les feuilles aux tons d’écaille et d’orichalque

40

XXI. —

Des bouquets de lilas, d’iris et de tulipe

42

XXII. —

Dans les brandons du Ciel qui brûle, je crois voir

44

XXIII. —

Les arbres d’un vert noir où le regard s’enfonce

46

XXIV. —

Ce sont filles de Rois que ces Grandes-Eaux Fées

48

XXV. —

Sur cette eau dont la Lune opalise le disque

50

XXVI. —

Le pétale de rose, aux murs d’Élagabale

44

XVII. —

La galerie où sont les glaces au cœur mol

54

XVIII. —

Ces bassins sont pour moi le baquet de Mesmer

56

XXIX. —

Les caisses en argent des orangers en fleurs

58

XXX. —

Belle urne de Paros, blancs vases de Carrare

60

XXXI. —

Véhicules pompeux de baptême ou de sacre

62

XXXII. —

Louis Treize est un roi fauconnier ; ses gerfauts

64

XXXIII. —

Louis Quatorze, le Grand Roi, le Roi-Soleil

66

XXXIV. —

Parfois Louis Quatorze en perruque a souri

68

XXXV. —

La Vallière est boiteuse : elle a de doux écarts

70

XXXVI. —

Il te faut enfanter parmi la tubéreuse

72

XXXVII. —

Dénouant ses liens et coupant ses cheveux

74

XXXVIII. —

L’antique bénitier de Saint-Louis-en-l’Isle

76

XXXIX. —

Diabolique idole apparaît Montespan

78

XL. —

L’altière Montespan nous apparaît sanglée

80

XLI. —

Cette veuve de l’Astre a l’aspect de la Lune

82

XLII. —

Les ébats amoureux de ces dieux en perruque

84

XLIII. —

Le vrai Louis Quatorze est le seul Saint-Simon

86

XLIV. —

La Marquise est bavarde et caquète de loin

88

XLV. —

Ces verts appartements dessinés par Le Nôtre

90

XLVI. —

Le théâtre de lutte est de couleur prasine

92

XLVII. —

Deux noms chers à l’Amour : Montbazon et Rancé !

94

XLVIII. —

La Foudre, dans l’Olympe, éclate sur Fouquet !

96

XLIX. —

Prince de l’Inconnu, Roi des Sphinx et des Sphinges

98

L. —

Pas un homme ne mange avec Adéodat

LI. —

Un Monarque observant se distingue au Carême

LII. —

Treize petits enfants, bien propres, sont choisis

LIII. —

Il joue aux naturel les Mythes, les Roger

LIV. —

Figurant les Rogers, jouant les Apollons

LV. —

Païen déguisement de nos Rois très chrétiens

LVI. —

Plus d’un obscur venin s’exerce en la maison

LVII. —

Un bois d’abricotiers et de bigarreautiers

LVIII. —

C’est le rassemblement des princes douloureux

LIX. —

Ce Louis-Salomon, cet Apollon-César

LX. —

Aux pieds des Héros Grecs, des Vénus Argiennes

LXI. —

Le Soleil fut ton Dieu, tes espèces, ton astre

LXII. —

La Galerie en glace et l’ombreux corridor

LXIII. —

Autour de l’Astre, danse en rond le Zodiaque

LXIV. —

Ce que Rembrandt a mis sur le front d’un bourgmestre

LXV. —

Versailles, c’est Louis, comme Athènes, Cécrops

LXVI. —

Étrange aboutissant d’une splendeur si grande

LXVII. —

Le dernier mot du Règne est dit par une auberge

LXVIII. —

Ce que fait de débris, de cendre, de poussière

LXIX. —

Le Pacha Louis Quinze est Sire à plusieurs queues

LXX. —

Cinq fois l’an, au sortir des coupables ruelles

LXXI. —

Les filles de Louis qui n’ont pas gagné l’ambe

LXXII. —

La Pompadour fut Reine en son orgueil gaucher

LXXIII. —

Conforme à son rôlet de monstre et de bijou

LXXIV. —

Sur le pâle Cheval que meut l’Apocalypse

LXXV. —

Disgracieux, balourd, malhabile, taquin

LXXVI. —

Antoinette est un lis que l’on fauche debout

LXXVII. —

Le plus pur des Bourbons est un orphelin blême

LXXVIII. —

Les Rois tirent les Rois, entre eux, avec les Reines

LXXIX. —

L’affreux métier de Roi, de naissance on l’exerce

LXXX. —

Ô Marie-Antoinette, à quel horrible hymen

LXXXI. —

Lamballe fut sublime : elle égale Sombreuil

LXXXII. —

Ce fier Duc d’Orléans qu’Ingres peignit si beau

LXXIJII. —

Le Ciel est rose et bleu pour plaire à la Marquise

LXXXIV. —

Quelle sera ta Véronique, Siècle impur

LXXXV. —

Versailles, Vatican d’un Roi qui fut Papal

LXXXVI. —

Tous ceux qui dans l’Éden-Versailles ont souri

LXXXVII. —

Tes phases, ô Palais, sont toutes accomplies

LXXXVIII. —

Toutes les fleurs de Lis dont un Bourbon est ceint

LXXXIX. —

Ainsi qu’un donateur dans le coin d’un triptyque

XC. —

La Nature à l’Histoire emprunte ses effets

XCI. —

L’Une pleure, et ne veut pas être consolée

XCII. —

Une Vierge, une Sainte, une Muse, une Fée

XCIII. —

J’ai présenté la glace aux lèvres du mourant

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