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Montesquiou - Les Perles rouges, 1899.djvu/202
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TABLE
Pages.
I. —
Mes vers ont reflété votre Miroir, ô vasques
2
II. —
Verbe fait d’un silence où des luths ont gémi
4
III. —
Tant de soleils sont morts dans ces bassins augustes
6
IV. —
Portraitiste attitré du vieux Versailles, Lobre
8
V. —
La Nature reprend ses droits sur tes vestiges
10
VI. —
En pente douce, en dôme vert, monte l’allée
12
VII. —
L’if seul garde encore son funéraire cône
14
VIII. —
Quelquefois une horreur sacrée et sépulcrale
16
IX. —
Les parfums dans l’air mol s’exaltent : il a plu
18
X. —
Ce Bacchus me séduit parmi bien des statues
20
XI. —
Ces Marbres que sans bruit la vétusté dénude
22
XII. —
Tout est en or, tout en brocart, tout orfévri
24
XIII. —
Le grand enterrement de la Terre s’ébauche
26
XIV. —
La feuille morte pleut à flots, par cataracte
28
XV. —
Le Parc a pris, par place, un ton de rouge étrusque
30
XVI. —
De feuilles mortes le bassin s’ambre et s’étoupe
32
XVII. —
Les pleurs de Niobé, les larmes d’Éloa
34