Le théâtre de lutte est de couleur prasine ;
Des uniformes blancs et rouges, d’ennemis,
S’entre-croisent ; l’honneur et l’argent y sont mis,
Car Bellone est joueuse et plus âpre qu’Argyne.
D’attentifs combattants dont se courbe l’échine
Tiennent de longs bâtons où courent des semis
D’ivoire et de burgau, lorsqu’ils sont affermis
En de royales mains qu’exerce leur machine.