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Montesquiou - Les Perles rouges, 1899.djvu/204
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191
TABLE.
Pages.
XXXIX. —
Diabolique idole apparaît Montespan
78
XL. —
L’altière Montespan nous apparaît sanglée
80
XLI. —
Cette veuve de l’Astre a l’aspect de la Lune
82
XLII. —
Les ébats amoureux de ces dieux en perruque
84
XLIII. —
Le vrai Louis Quatorze est le seul Saint-Simon
86
XLIV. —
La Marquise est bavarde et caquète de loin
88
XLV. —
Ces verts appartements dessinés par Le Nôtre
90
XLVI. —
Le théâtre de lutte est de couleur prasine
92
XLVII. —
Deux noms chers à l’Amour : Montbazon et Rancé !
94
XLVIII. —
La Foudre, dans l’Olympe, éclate sur Fouquet !
96
XLIX. —
Prince de l’Inconnu, Roi des Sphinx et des Sphinges
98
L. —
Pas un homme ne mange avec Adéodat
100
LI. —
Un Monarque observant se distingue au Carême
102
LII. —
Treize petits enfants, bien propres, sont choisis
104
LIII. —
Il joue aux naturel les Mythes, les Roger
106
LIV. —
Figurant les Rogers, jouant les Apollons
108
LV. —
Païen déguisement de nos Rois très chrétiens
110
LVI. —
Plus d’un obscur venin s’exerce en la maison
112
LVII. —
Un bois d’abricotiers et de bigarreautiers
114
LVIII. —
C’est le rassemblement des princes douloureux
116
LIX. —
Ce Louis-Salomon, cet Apollon-César
118
LX. —
Aux pieds des Héros Grecs, des Vénus Argiennes
120