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Montesquiou - Les Perles rouges, 1899.djvu/206
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193
TABLE.
Pages.
LXXIX. —
L’affreux métier de Roi, de naissance on l’exerce
158
LXXX. —
Ô Marie-Antoinette, à quel horrible hymen
160
LXXXI. —
Lamballe fut sublime : elle égale Sombreuil
162
LXXXII. —
Ce fier Duc d’Orléans qu’Ingres peignit si beau
164
LXXIJII. —
Le Ciel est rose et bleu pour plaire à la Marquise
166
LXXXIV. —
Quelle sera ta Véronique, Siècle impur
168
LXXXV. —
Versailles, Vatican d’un Roi qui fut Papal
170
LXXXVI. —
Tous ceux qui dans l’Éden-Versailles ont souri
172
LXXXVII. —
Tes phases, ô Palais, sont toutes accomplies
174
LXXXVIII. —
Toutes les fleurs de Lis dont un Bourbon est ceint
176
LXXXIX. —
Ainsi qu’un donateur dans le coin d’un triptyque
178
XC. —
La Nature à l’Histoire emprunte ses effets
180
XCI. —
L’Une pleure, et ne veut pas être consolée
182
XCII. —
Une Vierge, une Sainte, une Muse, une Fée
184
XCIII. —
J’ai présenté la glace aux lèvres du mourant
186
⁂